[T] ... Tue moi ...

Mon Dieu, ne me demandez pas pourquoi je la poste, juste envie .
J'ai terriblement mal avec les débuts alors je vous devrais pas de ne pas jugez sur le premier chapitre . L'autre chapitre arrive quand j'aurais fini de manger . Bonne lecture !

TUE MOI .

Chapitre un :

" - Bébé ... "

Comme d'habitude, ces paroles ne t'atteignent pas, elles te frolent comme une petite brise de vent . Je pose ma main sur ton épaule, je caresse une de tes dreads . Je dépose mes levres sur ta peau ou se sont incrustés nos sueurs qui a vaguement le gout du miel .

" - Bébé ... "

Tu te retournes sans meme ouvrir les yeux, tu ne veux pas que je profite de la couleur de tes yeux . Je caresse ton torse délicatement comme je le fais si bien . Dehors le soleil va se coucher, les gens rentrent chez eux . Nous, nous ne voulons pas mener la danse alors nous restons dans ce lit . Je te regarde m'éviter, non tu évites simplement cette phrase qui me brule les levres . S'il te plait reveille toi . J'ai besoin de te le dire, je veux que ca t'explose à la figure . Tu as voulu y jouer à ce jeu alors assume . Ouvre les yeux, interroge moi que je puisse te répondre .

" - Bébé ... "

Tu ouvres les yeux, la couleur chocolat reflete sur ma peau terne . Ton regard me fait un " quoi ? ", tu le sais trés bien que j'ai besoin de te l'entendre dire . Je te regarde intensivement, allez dis le, ca me brule .

" - Quoi ?
- Tue moi ...
- Ta guele ! "

Comme d'habitude, tu quittes le lit, tu sors de la chambre . Je reste là avec cette réponse qui me sastifait depuis bien des mois . Je sais que tu vas revenir enfin je le prie quelque fois . Je sais qu'un jour tu vas finir par t'enlasser, tu vas me quitter pour une autre qui aime la vie . Tu as voulu y jouer, tu as crée tes propres régles et tu as finalement lancé les dés et moi je t'ai simplement suivi . Si je m'en souviens bien, c'est toi qui a commencé, c'est toi qui a voulu que toi et moi forment un . Si tu ne franchis pas le seuil de cette porte, tu auras perdu . Et toi, perdre tu ne peux pas l'admettre et moi non plus . Sur ce lit, je pense comment ce jeu a commencé, comment cette rengaine s'est faite .

Tout à commencer ...

Putain.
Si court, mais déjà si poignant.
Déjà amoureuse de ton écrit.
Continue. <3
J'aime.

c vrais que c'est cours mais c tellemen bien jaime sweet

Désolée d'être venue alors.
Mais tu devras me supporter jusqu'au bout, Je te le jure.
<3

Et moi, je te suivrais.
N'importe où, même dans l'enfer le plus cruel.
Où seuls tes mots pourront nous sauver du diable.
<3.

sweet

On attendra.
Comme on attend le soleil après la pluie.
Sauf que ton texte, il sera aussi beau qu'un arc-en-ciel.
<3

Je ne sais pas si c'est à moi que tu t'adresses. (Je ne pense pas). Mais sache qu'à chaque fois que je lis une de tes suites, je suis retournée de l'intérieur. Et franchement, je pèse mes mots. <3

Alors comme ça, nous sommes Kitt.
Mais je t'assure, continue de m'éblouir comme tu le fais.
Je ne peux pas t'expliquer à quel point j'aime.
<3

Chapitre deux :

Tout à commencer au paradoxysme de la vie, là ou les gens naissent et finissent par y mourrir . Ma mére venait de quitter ma chambre en laissant ces larmes repoussantes sur mon drap . Une fois de plus, je n'avais pas reussi, la lame m'avait encore battu pourtant je l'avais enfoncé jusqu'à qu'elle resorte . Mais non, elle a gagné. Mon coeur bat encore,le traitre, mes poumons sont encore gonflés de ce souffre qu'on apelle oxygéne . On m'avait mise dans ma chambre habituelle, loin de ses passants qui m'enervent . Leurs pas qui annoncent qu'ils tiennent encore à la vie . Malheuresement, j'en ai entendu des pas, ceux des santiags qui tapaient contre le sol . Je les ai méprisé, je les hais . Ils s'approchaient de moi, j'avais de me lever de mon lit et foutre ses santiags dans un néant . Il a traversé le couloir, je ne sais pas pourquoi mais mon coeur a parlé .

" - Hey ! "

Les santiags se sont approchés de moi . J'ai levé les yeux vers ce jeune homme . Je le haissais encore plus, ce menteur, ce diseur de bonne aventure . C'était cet ange comme toutes les Allemandes l'apellent . Il m'a encore fait ce sourire hypocrite, l'homme à plusieurs visages .

" - Oui je suis bien Bill Kaulitz . Je suis désolé mais j'ai pas le temps de signer un auto ...
- Mon grand, ici tu es dans un hopital pas sur un tapis rouge alors vas y doucement quand tu marches, certaines personnes essayent de dormir ou de mourrir comme moi ! "

Il m'a jeté un regard rempli de haine, il a quitté ma chambre en faisant encore plus de bruit avec ses foutus santiags . Je le haissais encore plus à cet instant . Ce menteur, qu'est que je pouvais le detester, qu'est que je peux le detester encore aujourd'hui . Ces pas se sont éloignés de moi, il venait de piétiner mon coeur . J'ai reposé ma tete sur mon oreiller esperant m'étouffer . J'avais envie d'assouvrir mon envie de mourrir . Je me sentais nulle de ne pas avoir encore reussi . J'ai entendu des vois depuis le couloir, je n'allais pas etre tranquille . J'avais le sang qui bouiller .

" - Voilà Monsieur Kaulitz, c'est votre chambre ! "

Court comme d'habitude, mais j'ai eu un petit blocage . Une autre peut-etre tout depent de vous .
Bisous < 3

Putain de Bordel de Scheisse.
C'est fou.
Je tombe net devant le pc, éblouie par toutes ces Splendeurs que tu me délivres à coeur ouvert.
Dur Réalité, dur à lire.
Mais Putain, qu'est-ce que j'aime ta réalité.
Continue, je t'en prie à genoux.
<3.