[OS] "Morts d'amour."

J'observais inlassablement la ville, ma ville, celle dont les lumières parvennaient à mon balcon pour éclairer mes nuits passées au clair de lune. Un léger vent frais vennait carresser mes épaules, j'étais presque nue et frissonnait. Je posai les mains sur le rebord, prenant une grande inspiration, le visage toujours doux, je souri, souri à qui? À quoi? Au bonheur. Et lançai ensuite un regard amusé à l'enfer, là tout en bas, au malheur de tous ces gens que je voyai courant les rues, à ceux qui quittaient avec empressement leurs immeubles, à tous les gens qui souffrait ce soir j'exhibai mon bonheur. Je narguai le comun des mortel avec mépris, telle une divinité Grecque ou Romaine.
Soudain j'entendis frapper. Je me tournai dans un pas de danse, une ronde où mes bras, mes cheuveux et le bas de ma robe de nuit dansaient ensembles. Un deuxième coup se fît entendre, je mordai ma lèvre inférieur dans un sourire. La passience n'avait jamais été son fort. J'avançai sans faire de bruit jusqu'à la porte que je dévérouillai, laissant apparaître, seul dans le couloir, mon impassient. Il se tennait là hésitant, les mains derrière le dos, qui ne tardèrent pas à me faire découvrir un bouquet, un bouquet de fleurs...

Anna : Tu sais que je n'aime pas ça.
... : Je n'ai rien trouvé d'autre. Et c'est comme ça qu'ils font dans les films non?

Il se mit à genou me saisissant la main et l'embrassa, je ris.

Anna : Tout à fait chèr Monsieur. Si vous comptiez me demmander en mariage.

Son visage restait pensif, je pris sa main et le relevai pour atteindre ses lèvres sans qu'il n'eut le temps d'articuler quoique ce soit. Il me sourit, son sourire, j'y avais succombé, comme toutes les autres... Il referma la porte d'un bras posté en arrièreet s'approcha de moi un sourire joueur...
Je ne cessais de mordiller mes lèvres et reculant au rythme de ses pas, il fît tomber sa lourde veste, j'arrivais au mur, prisonnière de ses bras, et bientôt, de ses lèvres...
Je retirai tout ce qui se trouvait sur sa tête, pendant qu'il s'empressait de retirer ses chaussures.
Mes mains carressaient sa nuque, son coup, son torse, je sentais entre chaque baiser son sourire, mon sourire, nos sourires...
Je retirai son t-shirt avec peine pendant qu'il me regardait amusé, il déposa doucement sa main sur mon épaule, et fit glisser de ses doigts ma nuisette, observant à sa guise mon corps presque nu, tremblant sous ses mains...
Je déposai un doux baiser sur sa joue avant de me précipiter sur l'inntérrupteur que j'éteignis, laissant place aux lumière de la ville, celles que j'aimais tant...
Il me pris ensuite dans ses bras, me serrant contre son coeur que j'entendais battre au rythme du mien. La chaleur de son corps, de son souffle.. et pour la première fois de ma vie, une larme, une larme de bonheur dévala ma joue..
IL l'essuya rapidement, et reprit ses baisers où ils les avait laissé, me dirigeant vers le lit, et retira son pantalon avant de prendre position au dessus de moi, et d'éfleurer chaque partie de mon corps de ses doigts, de ses lèvres, du bout de sa langue... Il avait retiré les derniers tissus qui couvraient encore certainnes parties de mon corps, et nous avions fait de même avec son caleçon...
Il se mit tout contre moi, et exécuta sa tâche, j'étouffai un léger cri. Nos corps ne firent plus qu'un, et nous entriions ensembles dans cette folle danse, une transe comune, assension vers le plaisir, vers le bonheur. Car rien ne pouvait me rendre plus heureuse que d'être ici, avec lui...
Nos soufles sacadés résonnaient dans la pièce, accompagnés parfois de quelques cris étouffés, nos corps transpirant n'en réclammant que toujours plus, et mes ongles s'enfoncait dans son dos, mes jambes se croisaient derrière son bassin, lui poursuivait sa tâche, à bout de soufle nous atteigniions ensembles le plaisir suprême...
Dans un dernier souffle l'on se séparait, il tomba à mes côtés et quelques secondes plus tard nous avions reprit nos respirations. Je vîns me blottir contre lui, et remontai le drap sur nos deux corps à présent frissonnant. Il m'enferma dans ses bras, déposant de légers baisers sur mon front, carressant mes cheveux...
Nous avions dû rester ainsi quelques minutes, peut-être quelques heures et je regrettais déjà l'idée de le quitter à nouveau. Et les yeux rivés vers la fenêtre, ma ville, une nouvelle larme foula le sol de ma joue encore rougie, elle n'avait pas le même goût que la dernière, même lui le comprit vite. Il soupira. Que pouvait-il bien faire d'autre?

Anna : Tu crois qu'on pourra un jour être aussi heureux que ce soir.
... : Demain je partirais. Comme toujours.
Anna : Tom je voudrais stopper le temps, m'arrêter là, en finir vite avant que tu repartes, pour être toujours heureuse, toujours dans tes bras, pour ne vivre plus que cet instant et aucun autre, je ne cherche plus rien, je n'attend plus rien de la vie j'ai ici le bonheur, Tom je voudrais.. je voudrais mourir ici, pour immortaliser..
Tom : Oui.
Anna : Quoi?

Il me quitta et partit vers la cuisine, il en revînt vite, un couteau en main, ses veines montrait la force avec laquelle il serrait ce couteau, les larmes dévalant son doux visage...
Je pleurais à mon tour, d'un sentiment indescriptible. L'amour. Chacun le vît à sa façon, et ce soir nous descidions de le vivre ainsi, et pour toujours...
Je m'avançai, me mis face à lui, et relevai la tête fièrement. Il tremblait, je pris ses avant bras, et les dirigeais vers mon coeur, que la lame pointait. Je souriai, et par mes yeux lui priai d'en faire autant.

Tom : On sera heureux pour toujours. Tu le promets. On regrettera rien de cette vie.
Anna : Personne ne pourra être aussi heureux.
Tom : Je t'aime Anna.
Anna : Je t'aime Tom.

A peine mon dernier mot prononcé je sentis pénétrer en moi la lame, d'un geste fort il l'avait planté, les yeux fermés, et s'était ensuite agenouillé à mes côté, criant. Je voyait le sang couler, ses larmes aussi, et cherchant du bout des doigts je trouvai le couteau au sol, je lui tendi, il releva la tête, ferma les yeux et je vis ce dernier geste qu'il n'avait pas évité. Ce coup de couteau qu'il s'était lui même affligé. Pour moi, pour nous...

Anna : Pour toujours

Il s'étala à mes côtés, je sentis sa mains chercher la mienne et m'enpressa de lui offrir avant que mes muscles ne soient complètement paralysés, avant que je ne sois complètement morte. Morte d'amour.

... : Pour toujours.

Je fermai les yeux, satisfaite de ces dernières paroles, je l'aimais, plus que tout au monde, il m'amait autant, nous ne fesions qu'un, et nous ne ferrons qu'un pour l'éternité. Personne ne connaîtra tel amour, personne ne connaîtra tel bonheur, plus j'amais il ne partira, et pour toujours restera, à mes côtés. Tom Kaulitz est mort d'amour pour moi. Et pas pour vous....

...

OO

Naaaaaaaaaaan mon Tom d'amour est mort!

enfin, c'est une belle fic^^ super triste et tout^^

bravo

HANNNNNNNNNNN salope chieuse kiwi petasse [...]
c'est magnifik' putain j'ai des papillons dans le ventre [de lumiere x) ] ou ptetre bien que c'est des mouches enfin on s'en fout ça vole dans mon ventre xD
ptiin c'est magnifique ...
<33

Je vais pas relancer quelquechose sinon on finira jamais. =]