-Non, Non, s’il te plait
La vois de Mélinda résonnais dans la maison, accroupie dans un coin, elle suppliait l’homme qui se tenait devant elle, elle suppliait cette femme qui regardais la scène, elle suppliait le bon dieu pour que tout s’arrête.
CLAC !
La ceinture de l’homme avait claqué, une fois, deux fois, Mélinda pleurait, elle pleurait parce qu’elle souffrait, elle pleurait parce qu’elle voyait cette femme qui ne réagissait pas.
Ca fait 7 ans que cet homme vis chez elle, et Ca fait 7 ans qu’elle subit sa colère. Au début elle à voulus lui tenir tête, oui, Mélinda n’était pas une fille facile, elle savait se défendre, jusqu’au jour où, il prit les commandes, oui, c’était lui maintenant le chef !
Mélinda à froid, elle est nue, dans son coin, les larmes qui coulent sur son visage, ses genoux remontés à sa poitrine, regardant cette femme qui est sa mère s’éloigné, ne lui laissant même pas un regard. Elle vient encore une fois de subir les excès de colère de son beau père, elle venait de se faire frapper, pendant ½ heures. Elle se demandait comment, comment elle arrivait encore à tenir.
Elle ne comprenait pas, elle ne savait pas. Il avait changé, il était gentil, et ce jour là, elle avait fait une bêtise, elle avait 10 ans, et elle allait s’excusé, il ne lui pardonna pas, il l’a frappa, il se senti mieux, et ça à continuer.
Elle voyait encore sa mère essayer de le retenir, du haut de sont mètre cinquante-cinq, elle essayait de la sauver, mais il l’a elle aussi frapper, et menacer.
Depuis ce jour Mélinda est seule, seule contre lui, sa mère lui obéit et elle, elle le subit !
Mélinda sait qu’elle ne peut pas continuer comme ça, Mélinda, elle sait qu’elle ne va pas bien.
Ca fait 1 mois qu’elle ne mange pour ainsi dire plus, maintenant, elle mesure 1m60 et pèse 42 kilos. Mélinda, elle est anorexique, la nourriture la dégoûte, le simple fait de la voir lui donne des nausées. L’appétit n’est plus depuis qu’elle veux mourir, depuis qu’elle veux quitter se monde, mais un fil la retient, ce fil c’est cette femme qui la laisse crever sous les coups…
Mélinda à 17 ans, Mélinda elle est belle, elle à un beau visage, seule partie du corps épargnée. Mélinda c’est un soleil qui à perdu sa chaleur, une étoile qui s’éteint, Mélinda, c’est l’histoire d’une fille qui se fait battre et qui ne dis rien…
Encore une nuit où Mélinda est seule, renfermé dans sa chambre, où Mélinda pense à la fin, où Mélinda pense à s’envoler, à s’échapper, encore une nuit ou Mélinda va regarder les étoiles briller, où elle va passé sont temps à les compter, derrière les barreaux qui protègent ses fenêtre, Mélinda rêve de la vie facile, Mélinda rêve de se père qu’elle n’a plus, elle rêve de tout recommencer à zéro.
Mélinda, ça fait 3 mois qu’elle ne dort presque plus, elle compte chaque nuit les étoiles qui brillent et remarque celles qui s’éteignent. Elle se dit qu’un jour elle sera l’une d’elle, et qu’elle aveuglera toutes les autres. Mélinda rêve pour oublier, Mélinda rêve de la fin, elle n’a que 17 ans…
Ce jour là, Mélinda subissait, mais ne pleurais plus. Mélinda le regardait et l’encourageait du regard. Elle voulait partir, et vite, elle voulait juste mourir. Crever pour un monde meilleur, elle n’en était pas loin…
Le corps succomba et tomba lourdement sur le sol, le bourreau s’en allait, comme ayant finis sont travail. Le corps de Mélinda ne bougeait plus, elle semblait morte, enfin libre. Mais il n’en était rien, elle n’était évidement pas loin, mais là femme qu’elle appelait maman s’en rendis compte et appelas les secours.
Mélinda était allongée sur le lit recouvert de draps blanc, la pièce était stérile, elle était dans un sale état…
Elle Ouvre un œil, autour d’elle, pas de visage connus, Juste lui…
Lui, grand, maigre, les cheveux noir, les yeux noisettes. Lui, qui la regardais, lui, qui plongeât sont regards dans le siens.
-Je m’appel Bill
-Mélinda.
-Tu te sens mieux ?
-Je suis morte ?
-Non
-Alors non.
-Tu veux mourir aussi ?
-Oui
-Pourquoi ?
-Battue et toi ?
-Vie facile.
-Je comprends
Juste deux regards on suffit à ses amants d’une nuit pour se comprendre, juste deux regards pour prévoir se qu’ils feraient ensemble.
Le lendemain, c’est mains dans la mains qu’on vit Bill et Mélinda sur le toit de l’hôpital, c’est main dans la main qu’on les vit s’approcher du bords avant de s’y assoire. Ses mains dans la main, ainsi, qu’ils attendirent que la nuit tombe. Alors ils comptèrent les étoiles, il en manquait deux, Mélinda les avait vu s’éteindrent.
Et c’est encore liés par les mains, Que Bill et Mélinda se sont levé et on franchi le pas de la liberté…
Le lendemain, une petite fille regardait le ciel, derrière ses barreaux, elle comptait les étoiles. Puis elle les vit, ses deux étoiles qui se tenaient la main, elles semblaient lui sourire, elles brillaient de toute leur force, et la petite fille qui sourit, reprenait espoir en la vie…
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