[Terminée]Trottoirs usés par les regards baissés

Merci ichtokioliebehoteldich =D
Hanlala, ça doit être triste de les voir comme ça =S
Suite !

Merci moi même.=DD
Heii je vais à Bordeaux !!=DD

Suite =DD

suite please
toujour cool

Magnifique.
Une Pure Merveille.

Franchement j'adore et je veux une suite please.

hum... interressant.

S.U.I.T.E.

merci les filles...
le problème c'est que j'ai pas écrit une ligne...
donc ba j'essai demain...

C'est officiel J'aime trop ta fic !!

impatiente de lire la prochaine suite

allé la suite please

Tu devrais écrire en avance, dans ces cas là.

Comme je l'ai dit je trouve sa magnifique mais tellement triste.
Suite quand tu peux. Mais c'est officiel, j'adore ta fic'.

la suite please

Wouaaah *-*
J'adore!!!
Nouvelle lectrice ^^
Et j'aimerais bien une suite stp =D

dodiflying a écrit:: Tu devrais écrire en avance, dans ces cas là.

c'est ce que je veux fire...
j'avais une suite d'avance jusqu'à présent...
mais ma petite soeur, alias ichtokioliebehoteldich m'a supplié. et je ne peux rien lui refuser^^
mais là j'avance un max^^

D'accord.
J'ai hâte, en tout cas.

suite please
ma raleuze

C'est dramadique.
J'adore Like a Star @ heaven

.

.
C'est claire que je n'aimerais pas les voirs comme sa =S !
Sa doit être... Choquant.

J'ai faillit oublié :

SUiiiiiiiiiiTEUH'

je l'écrit aujourd'hui et je la poste ce soir les gens^^

youpiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

rooo c loin se soir

On est le soir.

suite ma raleuze

Dernière édition par rocky girl le Jeu 30 Oct 2008 - 23:31, édité 1 fois

... : hey Gusti, bill ? J’ai oublié mes clés !

Bill se penche à la fenêtre. C’est Georg, entouré de deux mecs et de 3 nanas.
Bill : putain tu me fais chier !
Georg : allez Billou... lances les-moi par la fenêtre si tu veux.
Bill : parce que tu crois qu’en plus je vais bouger mon cul. Alors que toi tu ne bouges pas le petit doigt pour nous.
Gustav a l’habitude. Il se referme sur lui-même, chope les clés de Georg sur le comptoir. Puis mettant son bras dehors lâche la clé. Georg les ramasse et s’en alla sans même dire merci. Juste un enculé qui s’adresse à Bill. Ou à Gustav. Personne ne sait. Georg a tant changé. Son air calme a fait place à une attitude hautaine et méprisante. Son rire si communicatif est devenu sinique lorsqu’il daigne se faire entendre.
Bill : Gustav ? Tu sors. Toi aussi va sauter une petite pute quelque part !
Le brun a prononcé ces quelques mots entre deux cigarettes sans même regarder le blond.
Mots destructeurs, mots insignifiants dont le brun ne mesure pas l’importance. Innocence envolée, réalité frappant à chaque porte. Mots démolisseurs, mots ravageurs qui font partis du langage courants. Pensées ravageuses, pensées funestes, non sans conséquences. Pensées saboteuses, pensées mortelles qui nuisent à leur passé. Gustav ne cherche pas son regard. Il enfile son pull, son écharpe, son bonnet. Et ressort sous la neige. Combien ils avaient détesté la neige lorsqu’à leur apogée ils devaient signer des autographes et poser pour des minettes. Combien ils avaient pesté ces minuscules étoiles blanches qui faisaient pétiller les yeux des enfants. Mais pour eux elle les répugnait. Comme ils avaient pu être égoïstes. Comme ils peuvent encore l’être si souvent. Maintenant le batteur se laisse imprégner du froid. Il aimerait se prouver que tout ça n’est qu’une illusion. Il espère de tout son cœur que les flocons ne le toucheront pas. Aujourd’hui il pose un regard différent sur cette poussière d’ange car elle est la seule qui prouve son existence.
... : Gusti ? Ne me dis pas que tu as laissé Bill tout seul.
Tom venait d’arriver dans sa bagnole tape-à-l’œil. Sa dépendance semblait s’être dissipée mais pas pour longtemps.
Tom : Putain Gustav ! Tu sais très bien que Bill ne fais que des conneries quand il est tout seul.
Ton de voix colérique. La voix de tom de prend plus d’autres tons depuis que tout à été déclenché. Ses yeux sont infectés de sang et noirs le reste du temps. Le batteur fixe le ciel. Regarde les flocons tomber. La voix du guitariste n’est plus qu’un arrière-plan.
Tom : Tu fais chier ! Tu pense qu’à toi ! Sale égoïste.
Le guitariste prononce cette phrase sur un ton lassant en regardant le sol. Mots destructeurs, mots insignifiants dont le brun ne mesure pas l’importance. Innocence envolée, réalité frappant à chaque porte. Mots démolisseurs, mots ravageurs qui font partis du langage courants. Pensées ravageuses, pensées funestes, non sans conséquences. Pensées saboteuses, pensées mortelles qui nuisent à leur passé. Jumeaux dans les actes, jumeaux dans le comportement. Jumeaux de sang, jumeaux de cœur.

voili-voilou. j'essaierais de passer demain. mais je ne posterai pas avant samedi soir.

J'adore.
C'est.. WOUAHOU Like a Star @ heaven

.

Suiiiteuh'.

Ettt joyeux HALLOWEEN Very Happy

.
en avance.. Certe ^^

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