[OS]Un dixième d'une fraction de seconde.

Un geste, un regard juste un. Cela à suffit à déclencher l’avalanche. Avalanche de mes fesses oui ! Tu m’as littéralement soutiré mon cœur, mis en charpie en une fraction d’un dixième de seconde. Ca aura juste suffit. Juste une fraction d’un dixième de seconde. C’est fou ce que peu provoquer ce sentiment qu’on appel l’amour. L’amour, le seul acte choquant qui nous reste sur Terre. La seule chose qui nous permet de passer en une fraction d’un dixième de seconde de passer d’une joie immense à une tristesse insurmontable. Pourtant on s’y accroche à ce sentiment, plus que tout au monde. Moi aussi je mis suis accroché tu sais. Parfois plus que toi j’ai l’impression. Et je crois maintenant que ce n’était pas qu’une impression. Bordel j’y ai cru, jusqu’au bout, jusqu'à la fin, jusqu'à la dernière fraction d’un dixième de seconde. Mais non. Non non et non. T’auras beau dire que tu m’aimais, j’y crois plus. Ca sonne faut, ça sonne même plus maintenant. Ton regard ne m’évoque plus rien, ton sourire ne me fait plus effet. Du néant je te dis. Tes promesses se sont émiettées au fil du temps, il n’aura fallut qu’un dixième d’une fraction de seconde pour que tout balayer, pour que le temps reprenne la ou il avait commencé, la ou ça aurait du continuer. Jamais tu aurais du croiser mon chemin. Tu n’étais qu’un rêve utopique. Utopie qui ne fut plus le temps d’un dixième de fraction de seconde. Fraction de seconde de trop. Trop intense, trop beau, trop parfait, trop toi. Mais trop c’est trop tu sais. T’aurais pas du poser ton regard sur moi, t’aurais pas du avoir la prétention de m’avoir d’un simple claquement, d’un simple battement de cils. T’aurais pas du … Tu as tout foiré en un dixième de fraction de seconde. Tous c’est effondré. Ca ne reviendra pas, trop tard . . .
Au final tu m’auras juste laissé un trou béant à la place de ce qui me servait d’organe vital. Tout a commencé, tout à durer, tout a finis dans un dixième de fraction de seconde. Il en aura fallut peu.