[OS] 24 Heures avec Tom Kaulitz. [Besoin d'avis]

Ma vie n’était qu’une énorme blague. Moi, Emilie, âgée de dix-huit ans, du haut de mon mètre soixante dix, je voyais la poisse s’abattre sur moi jour après jour. Pourquoi ? Parce que la vie en avait décidé ainsi. Il lui fallait quelqu’un sur qui se défouler, quelqu’un pour pouvoir rigoler un peu. J’avais été choisie. Allez savoir pourquoi … Mais j’avais réussi. Je l’avais vaincue, pour la première fois de ma vie. Cela avait été une longue bataille mais les conséquences n’enavait été que plus heureuses.
Tout d’abord, pour commencer, j’appris qu’un concours pour rencontrer un des quatre membres de Tokio Hotel était prévu. Je me pressai donc d’aller acheter le magazine qui le présentait. Mais, pour ne pas changer des bonnes habitudes, mon petit frère déchira la carte postale qu’il fallait envoyer pour participer. Je retournai donc au bureau de tabac racheter un magazine – avec mes économies ! - et le posai en haut de mon armoire, hors de la portée de ce petit monstre. De retour du lycée, je remplis la carte postale, en précisant que c’était avec Tom que je souhaitais passer vingt-quatre heures, et la posta. La première étape était accomplie. Deux semaines plus tard, alors que je ne m’y attendais pas, je reçus un appel. Mais pas n’importe quel appel. Un appel du magazine en question, qui m’annonçait que j’avais gagné. Peut-être que ma chance avait enfin tourné, ou bien elle allait le faire. Une limousine devait venir me chercher le lendemain. Je prépara donc ma valise et, le jour-J, je prévins ma mère puis, sans attendre son accord, je sortis dehors. En découvrant la limousine, je fus impressionnée. En entrant à l’intérieur, je manquai de m’évanouir. De plus qu’il était là, le meilleur guitariste du monde. Celui qui occupait mes rêves, celui que jamais, ô jamais je n’aurai pensé rencontrer un jour. Il me sourit en guise de bonjour, sourire auquel je répondis plus que niaisement. Puis il m’invita à m’asseoir, ce que je fis. Je n’étais pas une personne que l’on qualifiait de « groupie », mais lorsque la personne que vous adorez le plus au monde se trouve là, en face de vous, et vous sourit, vous êtes bien plus qu’impressionné. Je réussis à me détendre au fur et à mesure que l’on avançait dans le temps. On discuta un bon moment. Il était très gentil et il draguait beaucoup. Puis la voiture s’arrêta. On descendit, et cette fois-ci, je crus vraiment que j’allais faire un malaise. Un hôtel quatre étoiles, et pas des moindres ! On monta dans la chambre. Il y avait un lit double et un lit simple. Je m’installai sur le lit simple, malgré ses insistances pour que je prenne le lit double. Il était aux environs de dix-huit heures. Il me proposa d’aller à la patinoire. J’acceptai, par politesse. Je n’avais jamais fait de patins à glace. Et je pensais qu’il l’aurait bien vite deviné une fois que nous serions sur la glace. Le lieu était désert. Sans doute avait-il réservé. Lorsqu’il vit que je m’accrochai comme je pouvais aux bords pour ne pas tomber, il me prit la taille, et me guida. A un moment, lorsqu’il me lâcha, je savais patiner. Enfin, c’est ce que je croyais, car je perdis l’équilibre aussi vite que je l’avais acquis. Par réflexe, je me dirigea vers lui, pour me rattraper à quelque chose et éviter la chute. J’atterris dans ses bras. Il m’aida à me relever, et me sourit. Puis nous continuâmes pendant une heure. Ou plus. Le temps n’avait plus d’importance. Il me tenait la main, pour éviter que je ne tombe. Je la serrais fort, pour ne pas tomber, mais aussi par ce que c’était si bien de sentir sa main dans la mienne. Il fallait profiter, vivre le moment présent, en aspirant chaque seconde le plus fort possible pour les garder une à une dans ma mémoire. On ne parlait pas beaucoup. Sans doutes avions-nous peur, chacun de notre côté, de briser la magie de ce moment. Deux heures plus tard, nous étions hors de la salle. On se dirigea vers un grand restaurant. Il n’avait pas l’air enchanté de s’y rendre, ce que je lui fis remarquer.
« C’est parce que je préfère les fast food » M’avait-il simplement répondu.
J’en profitai alors pour lui préciser que moi aussi, c’était mon avis. C’est donc comme cela qu’on se retrouva dans un fast food devant un hamburger-frites au lieu de dîner dans un restaurant quatre étoiles. Mais pour moi, la magie ne s’était pas envolée pour autant. Ce n’est qu’en le détaillant un peu mieux tout en mangeant mon hamburger que je me rendit compte de la chance que j’avais. Ce n’est qu’à ce moment précis que je me rendit compte que des milliers de jeunes filles seraient prêtes à tout donner pour être ici, à ma place, ne serait-ce qu’une minute. On ne parlait pas beaucoup, mais j’aspirais chaque parole qu’il prononçait. On se regardait, on essayait de découvrir chaque secret que cachait l’autre rien qu’en l’observant. Pour ma part, je ne réussis pas. Mais je put me rendre compte qu’il était vraiment beau. Je ressentais pour lui quelque chose de plus fort que de la fascination, quelque chose qui ne pouvais pas être de l’amour mais qui n’était pas de l’admiration non plus. Je ressentais un sentiment que j’éprouvais pour le troisième Tom, le Tom caché, que je ne découvrais qu’en plongeant mes yeux dans les siens. Lui, il me regardait aussi, mais pas seulement dans les yeux. Et il se contentait, pour répondre à mes regards mi-noirs, mi-interrogateurs, de sourire. Vers onze heures, il me proposa de soit de retourner à l’hôtel, soit de se rendre en discothèque. « Vivre chaque instant au maximum ». Cette phrase se répétait sans cesse dans ma tête. Je décidai donc d’aller en boite. Une fois là-bas, on s’installa à une table. On buvait. Un peu. Puis il m’entraîna sur la piste de danse. Je buvais aussi. Un peu trop. Ma tête tournait déjà. Lui aussi il bu beaucoup, je crois. Lorsque vint un slow, j’enroulai mes bras autour de sa nuque et posai ma tête sur son épaule gauche. Il avait posé ses mains sur mes hanches et les descendaient peut-être un peu trop bas parfois. Mais cela m’importait. Même si je n’avais pas toute ma tête, il m’en restait assez pour que je me sente bien dans ses bras, en aspirant son parfum, en sentant son corps contre le mien. Puis, tard dans la soirée, tandis que nous étions dépassés par l’abus d’alcool, la limousine nous raccompagna à l’hôtel. A peine fûmes-nous arrivés dans la chambre qu’il me plaqua contre la porte et m’embrassa sauvagement. Je ne le repoussais pas. Et même si j’avais voulu, mon corps était trop faible pour le faire. Il me porta jusqu’à son lit. La soirée n’était pas encore finie.
C’est un rayon de soleil qui avait réussi à percer les rideaux qui me réveilla. Mon idole dormait toujours à côté de moi. Il avait réussi. J’étais consciente de n’être qu’une conquête de plus à sa liste féminine, mais cela ne m’attrista pas plus que ça. Voilà comment je savais que je n’éprouvais pas d’amour pour lui. J’avais atrocement mal à la tête. J’allai me doucher en attendant son réveil. A ma sortie, il était réveillé. Il m’embrassa en guise de bonjour et me remplaça à la douche. Lorsqu’il sortit, on se jugea trop faible pour faire quoique ce soit. On regarda donc on film d’action dont je ne pourrai faire le résumé car mes yeux regardaient le film, mais mes oreilles n’écoutaient pas. Ou plutôt n’écoutaient plus. Lorsqu’on se leva enfin, tout prêts, il était midi. On décida de manger au restaurant de l’hôtel. Il me faisait rire. Il imitait une personne très distinguée et cela aurait semblé réel, s’il avait une coiffure différente et d’autres vêtements. Nous finîmes notre journée dans un petit parc très joli et peu occupé. On s’installa sous un arbre et on discuta sur nous. On s’apprit plusieurs choses, on s’embrassait et on se tenait la main. Comme des amoureux. Mais des amoureux de courte durée. Pendant un moment de silence, je me demandai s’il faisait ça avec toutes les filles qu’il amenait dans sa chambre. Lorsque nous vîmes que dix-huit heures approchaient à grand pas, on retourna à l’hôtel. Il m’aida tout d’abord à ranger mes affaires, puis me raccompagna en bas. On s’embrassa une dernière fois. J’y mettais dedans tous les sentiments étranges que je ressentais pour lui. Il me déclara qu’il avait passé de très bonnes vingt-quatre heures à mes côtés et qu’il espérait me revoir un jour. Et, avant que je monte dans la voiture, il glissa un papier dans le creux de ma main. Je ne le dépliai pas, je souhaitais l'ouvrir une fois chez moi. Je me contentais de le serrer le plus fort possible dans ma main. Nous nous adressâmes un dernier sourire avant qu’il rentre à l’intérieur de l’imposant bâtiment.
« Emilie ? Emilie réveille toi ! »
J’ouvris les yeux peu à peu. L’ombre dont les contours se dessinaient au-dessus de moi devinrent de plus en plus nets, et je reconnus ma mère qui me secouait gentiment l’épaule. Tout cela n’était donc qu’un rêve ? Ma mère me pria de me préparer car j’allais être en retard au lycée et quitta la chambre. En vérifiant sur mon portable, nous étions bien le vingt-deux décembre et j’avais bien fait un rêve. Je me levai de mon lit et, de ma main, un papier blanc vint tourbillonner dans l’air avant de se déposer à mes pieds. On pouvait lire dessus l’inscription : « Tom » suivie d’un numéro de téléphone. Je m’empressa d’appeler ce numéro.
« Bonjour vous êtes bien sur la messagerie de Tom Kaulitz. Merci de laisser un message et je vous rapellerai dès que je pourrai. »

j'aime bien

j'ador c'est trop coolllll

oh j'adore c'est magnifique félicitations

new lectrice ! j'aime beaucoup ! c'est sympa , la fin chacun l'interprète comme il veut ! merci a toi !!

J'4DOR3 D3 TROP

Alors plusieurs remarques a faire :

_ Au tout debut, la premiere phrase n'a rien a faire ici, sa aurait ete mieux si tu aurais ecris :

"Moi, Emilie, âgée de dix-huit ans, du haut de mon mètre soixante dix,Ma vie n’était qu’une énorme blague, je voyais la poisse s’abattre sur moi jour après jour."

sa aurait deja ete un peu mieux.

_ Ensuite il y a quelques fautes d'orthographes, c'est dommage.

_ Tout d’abord, pour commencer, j’appris qu’un concours pour rencontrer un des quatre membres de Tokio Hotel était prévu. Tu pourrais essayer de reformuler sa, parce que Tout d'abord, suivi de pour commencer, sa fait un peu trop.

_ Au debut, je trouve que tout ce passe un peu trop vite, essaye de mettre plus de details, pour ralentir un peu l'histoire, et on comprendrai surement un peu mieux. Ca n'a peut etre aucun rapport avec le theme de l'histoire, mais sa reste important et il ne faut pas le negliger.

_ A partir du moment ou tu ecris "de retour au lycee", c'est deja beaucoup mieux, tu ecris bien, et sa devient interessant. Mais les evenement sont toujours aussi enchainer, on n'as pas vraiment le temps de realiser ce qui vient ce passer.

_ Apres je me suis vraiment laisser chavirer par tes mots, c'etait bon a lire, et j'ai beaucoup aprecier. Mais tu gache tout parce que j'etait toujours dans le delire du fast food que je me retrouve brutalement a l'hotel, apres je me retrouve de nouveau brutalement le lendemain, ce passage la, j'ai pas eu le temps de suivre.

_ Par contre la fin est EXRTRAORDINAIRE, j'etais vraiment bluffer, j'ai eu plein de frissons, et j'en ai encore, sa m'as fait bizarre, c'est une des plus belle fin que j'ai jamais vu, belle mysterieuse, intriguante, je meurt envie d'ecrire "suiteuh pleaseuh" comme a mon habitude, pour en avoir encore
rien qu'un peu.

Alors tu pourras penser que j'etait un peu dure
mais tu mas demander de donner mon avis
et je t'es meme donner des conseil pour t'ameliorer ^^
mais bon moi meme j'applique pas mes conseil
donc en gros j'ai bien aimer, mais il y a comme des chose a aranger. Lit toi plusieurs fois, et tu verra que tu peux arranger des choses.

Voila, je vais ptetre areter maintenant xD

Je sais c'est sencee etre court, mais comme meme, tu es pas obliger de faire long, mais juste de bien areter chaque action avant de passer a un autre. sinon c'est vrai que sa fait un peu long. Mais c'est juste pour qu'on se retrouve

et pis oui je veux bien un mp ^^

et pis derien pour les gentilles chose que je t'ai dite
je sais par apport au mechante y en a pas beaucoup --'

mais au moins chui sincere =P

ouai mais comme meme ^^

bisous (L)