[T] Une erreur peut en cacher une autre.

et cette suite?

comment ça ya pas de suite avec tous les coms que tu as???

j'avoue la suite elle vient pas vite

tant pis je m'y mets pas (on s'en fout)

vous savez quoi?? hier j'ai été dans un asile pour les fous (comme moi quoi) xDDDD

bon allez la suite la!!

le suite

ouais xDD ils voulaient me garder mais je suis partie!
chuis pas une follemoi! quoi que... xD

bon allez clarana : mets nous une suite s'il te plaît

(et j'ai une bonne nouvelle pour toi en plus)

ah bon? c'est quoi la bonne nouvelle?? veux savoir stpppppppppp

héhéhé!
la suite d'abord

(moi aussi je peux être missante quand je veux^^)

rooooooo alleeeez stpppppppp fais le pour moi pliz

nan mais en fait c'est relatif à ce dont j'ai parlé à clarana récemment


(je me comprends moi!)

pralinefjord a écrit:

ouais xDD ils voulaient me garder mais je suis partie!
chuis pas une follemoi! quoi que... xD

Mais qu'est-c que t'as bien pus aller faire dans un asile?

bah après ce que j'ai fait (tu vois de quoi je veux parler^^) il m'on envoyé chez les fous!
nan mais oh! j'ai fait un scandale j'voulais pas y rester moi!! xDD

suite?!

sister d'enfer a écrit:

bon allez clarana : mets nous une suite s'il te plaît

(et j'ai une bonne nouvelle pour toi en plus)

C'est quoi la nouvelle ??????????????????????

pralinefjord a écrit:

bah après ce que j'ai fait (tu vois de quoi je veux parler^^) il m'on envoyé chez les fous!
nan mais oh! j'ai fait un scandale j'voulais pas y rester moi!! xDD

suite?!

Tu m'étonne!

^^

allez la suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiteuuuuuuuuuuuh et toi aussi oriane^^

pralinefjord a écrit:

^^

allez la suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiteuuuuuuuuuuuh et toi aussi oriane^^

Yeah! I want the suitation!

suite?

MOIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII

alors?????? ELLE EST OU LA SUITE??????????

La suite ? Mais ici ma pralinette chérie ^^ :

Je prends quelques affaires, les mets dans un sac et me prépare à partir.
Mais où ? Où puis-je aller ?
Je n’ai personne, pas d’amies dignes de ce nom, pas de famille… Peut-être une vieille tante en Belgique, mais j’ai du la voir 2 fois en 16 ans.
Je n’ai nul part où aller, pas de travail donc pas de revenus et pas de quoi me payer une chambre d’hôtel.
J’abandonne mon sac à moitié rempli et m’écroule sur mon lit. Je suis coincée, dans la même situation qu’en Allemagne lorsque j’attendais Bill Kaulitz.
Soit il venait et il m’aidait à rentrer chez moi, soit j’étais foutue.
Maintenant je ressens la même sensation de piège, mais en 1000 fois plus fort ! Ou j’avorte, ou mes parents changent d’avis ou bien ils me jettent à la porte et je me retrouve SDF. Il n’est pas question que j’avorte. Je n’ai plus qu’à prier pour qu’ils décident de me laisser garder mon bébé, sinon je ne sais pas ce qu’il adviendra de moi.
Je me mets à pleurer sur mon lit.
Ma mère passe devant la porte de ma chambre entrouverte et me lance : « - Je n’ai pas changé d’avis, tu vas avorter. ».
Mes pleurs redoublent, et je sens un poids énorme m’écraser les épaules.
Mais je ne les laisserais pas m’enlever mon seul espoir de bonheur, la seule personne qui pourra m’aimer. Je ne les laisserais pas m’enlever la seule chose que je veux vraiment.
Je me relève et me mets à écrire : la seule chose qui me soulage en ce moment.
J’écris encore un poème, violent, triste, un cri de libération, une supplication.
Je me confie à ma feuille, la seule personne qui m’écoute dans ce triste monde où tout n’est que misère et méchanceté, où les gens sont cruels et manipulateurs, où la joie et le bonheur sont bannis, ce monde dans lequel je suis piégée.

C’est l’heure du dîner.
Je m’attendais à un accueil peu chaleureux mais celui-ci surpasse tout ce que je pouvais imaginer.
Mon père (il est là lui ?) me jette un regard méprisant et me lance : « espèce de petite salope, il est de qui le gosse ? Je suis sûre que tu ne le sais même pas ! Dégage, hors de ma vue ! Tu me répugnes ! »
Même ma mère semble choquée, je la regarde, bouche bée, j’attends qu’elle réagisse. Mais elle ne bouge pas, elle doit sûrement penser la même chose que mon père.
Mon père… rien que ce mot me donne envie de cracher, de le lui cracher à la figure comme il me postillonne ses insultes.
Non ce n’est pas mon père, ce n’est et ne sera plus jamais mon père, il n’est pas digne de ce nom. Je ne veux pas considérer cet homme grossier et sans cœur comme mon père. Je n’ai pas de père.
Et d’ailleurs je n’ai plus de parents.
Je monte dans ma chambre et attrape mon sac : je prends le peu d’argent de poche que j’ai, mon classeur de poèmes, des feuilles et un stylo, et c’est tout !
Pas la peine de me charger, je ne sais même pas où je vais.
Tant pis, je ne peux pas rester ici une minute de plus, humiliée par cet homme, dénigrée pas cette femme.
Je préfère être dans la rue plutôt qu’ici, n’importe où plutôt qu’ici.

suite