[T] Une erreur peut en cacher une autre.

la suiteuh!

raah merfii viite cette swite pour ma tey'te

Eh ouii je vous aréte tout de suite j'en ai une nah ! ^^
Contente de te faire rigoler humble fille xD'ay

J'suis en manque, j'veux une suiteuh ! Pliiz

Pourquoi tu veux qu'on soit déprimée?
Méchante!!!



Merci pour tes coumz sur mes nombreux blogs! ^^
Gentille!!!

Raaah Deuxième Haut De Page -_-'
Décidément C'Est Pas Possile J'Les COllectiOnnes Ou QuOi !
Raaah Bon Bref, Sa Mérite Bien Une Suite Nan ? Sii !

Siiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!!!!!!!!!

J'ais mis la suite sur ma fic!!!!!!!!

clarana26 a écrit:

Sweet ce souar

Huhu, je suis une menteuse

Mais c'est pas bien grave ça dérange personne ^^

Si moi ça me fais chier!

MOI AUSSIIIIIIIIII!!

MDr oh nan au secours les fans se révoltent ! xD

Bon bon, j'l'ai recopiée sur word hier. J'la relie. J'la poste. [si j'oublie pas ]

Pour personne, pour tout l'monde.

L'apocalypse [ne me tuez pas] :

Elle est morte. Morte. Morte. MORTE. Elle est MORTE !!!
Je le répète de toutes mes forces dans ma tête, espérant que ça atténue la douleur. Mais ça ne sert qu’à faire couler plus fort mes larmes. Elle est morte. Une larme. Morte. Une autre larme. MORTE. La barrière est ouverte et c’est un flot de larmes salées qui dégouline des mes joues.
Le pire jour de ma vie. C’était hier. Hier. Pourtant si bien commencé. J’allais la voir. A l’hôpital. Devant sa chambre il y avait une infirmière, l’air inquiète. Paniquée même. Un docteur est arrivé en courant. Une civière. Deux infirmiers qui emportent Camille. Le médecin qui suit. Je veux leur courir après. L’infirmière me retient. Qu’est ce qu’il se passe ?!? Camille…

Ils s’éloignent. Partis. Elle est partie. Je ne vois plus qu’un couloir. Blanc. Blanc comme le vide qui se répand en moi, pour m’empêcher de crier. Pour m’engourdir. M’empêcher de sombrer. L’infirmière me dit de me calmer. Je suis calme. Tétanisée. Mes larmes coulent. Des larmes d’impuissance qui roulent sur mes joues. La même eau salée que celle sui coule actuellement sur mon visage. Elle est partie. 15h17. Quand j’ai vu le docteur revenir, j’ai compris. Ça puait la mort. Son regard fuyant, ses mains nouées. Il a ouvert la bouche, mais j’avais déjà compris. Je savais qu’elle ne reviendrait jamais. Que je ne la verrais plus jamais sourire à nouveau. Que la dernière image que j’aurais d’elle pour toujours, ce serait ce visage d’un blanc laiteux crispé de douleur qui s’éloigne, poussé par deux infirmiers, pour me laisser seule à contempler les murs blancs du couloir. Blancs comme mes mains translucides à cause du froid. De ce frisson glacé qui ne m’a pas quitté depuis que je sais. Que je sais qu’elle m’a laissée. Seule.
Non, pas seule.
Mon ventre c’est mis à me faire souffrir comme jamais. Convulsions. Contractions. On m’a emmenée dans une salle. Allongée sur un lit, les jambes écartées. Une vie contre une mort. J’ai jamais eu aussi mal. Moralement. Et physiquement. Des cris ont accompagné mes larmes. Mes cris. Puis d’autres. Des cris de bébé. Il est enfin sorti.
Mais mes pensées étaient tournées vers une autre. Sarah. Elle qui nous avait abandonnées. Elle qui m’a abandonnée. Il n’y a plus de « nous ». Notre ange gardien. Elle est partie en même temps que Camille. A ce moment j’ai cru que le vide dans mon abdomen était sa faute, la preuve de sa disparition. Et à ce moment là, j’ai murmuré « Sarah », comme un appel à l’aide. « Sarah », comme une prière. Pour la retenir. Mais Camille était partie, et Sarah avec. Elles m’avaient abandonnée en même temps. Parce que Sarah ne pouvait exister sans Camille. Parce que c’était notre protectrice. L’ange gardien de notre amitié. Disparue, envolée, avec la moitié de moi même. D’où le vide.

Dans le brouhaha ambiant de la chambre d’hôpital, j’ai vaguement entendu au loin « c’est une fille ! », mais tout ce que j’ai pu répondre, entre deux sanglots, c’est « Sarah... ». Et ma fille s’appelle Sarah. Un petit bébé ne devrait pas porter un prénom chargé de tant de souvenirs.
Ainsi mon enfant porte le même prénom que ma protectrice créée par la femme de ma vie, elle même morte en emportant avec elle Sarah. Et me laissant seule avec la nouvelle Sarah et son nom lourd de souvenirs. Chargé du plus beau jour de ma vie, et du pire. Rempli de Camille. Car ma Sarah, mon ange, c’était Camille.
Mais cette Sarah sortie de moi il y a quelques heures, ce n’est pas Camille. Parce qu’elle est morte. Morte.
Pourquoi ? Peut-être que c’est écrit, dans l’enveloppe que m’a donné la sage femme après l’accouchement, de la part de Camille. Je ne le saurais pas tout de suite. Je ne veux pas l’ouvrir. Pas maintenant. Peut-être jamais. Camille. Je l’aime. Non, je l’aimais. C’est dur. Atroce. Et j’ai mal. Vide. Je suis vide. Mon ventre est rempli de vide, de douleur, de malheur, tout comme mon cœur. Et cet horrible mélange s’insinue dans mon corps à travers mes veines, me brûlant la gorge et les poignets. 15h17. Elle est morte. 16h53, l’autre est née.
6h02. Je me lève de mon lit, encore tremblante. Je m’habille, attache mes cheveux et fourre la lettre de Camille dans ma poche. Mes gestes sont mécaniques. Je ne suis plus qu’une machine, le cerveau en veille. Je marche à travers les couloirs blancs. Blancs comme le vide dont je ne me sortirai jamais. Le vide que je suis devenue. J’arrive à la nurserie sans vraiment savoir comment j’y ai atterri. Je trouve ma Sarah. Elle dort paisiblement. Tant pis. Je la prends dans mes bras. Son corps tout chaud me brûle un peu plus la peau et le cœur. Je sors de l’hôpital. Je ne sais pas où aller. Tant pis. Je marche sans but. Un pied devant l’autre. Un pas après l’autre. Mouvement mécanique pour ne pas s’arrêter. Je rentre dans quelqu’un, cogne un poteau, traverse au feu vert. Tant pis. J’aperçois le fleuve. J’ai un but. Je n’entends plus rien, pas même les pleurs de Sarah. Je ne sens plus rien, pas même la chaussée froide sous mes pieds nus. Je ne vois plus rien, pas même la voiture qui arrive par la droite. Je ne sens plus rien. Pas même le sang qui coule de ma tête. Elle est morte. 15h17. Ma dernière pensée pour Camille.



Alors ?
Je continue ?

Nan Mais C'Est Quoi Cette Question ? Bien Sur Que Tu Continue ! Rahlalah C'Est Vraiment Très Touchant Ce Que T'Ecris

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHH
çA VA PAS LA TÊTE??
muhuhuhuhuhuhuhu ='(
bouhouhouhouhouhou snif'

VEULAINE!!!! =(=(=(=(=(=(=(=(=(=(=(=(=(=(=(=(=(=(=(=(=(=(=(

dsl j'ai eu un méga big bug ='(

pourquoi tout le monde il a mouru? Sniff

HUUUEALB RFLKCHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
AHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAm
vezlbv
ùmjuegggvk
oh mein got!
What that?.
call las socouristos!!!!!

xDD tu m'fais trop marrer Ori' ^^

pralinefjord a écrit:

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHH
çA VA PAS LA TÊTE??
muhuhuhuhuhuhuhu ='(
bouhouhouhouhouhou snif'

VEULAINE!!!! =(=(=(=(=(=(=(=(=(=(=(=(=(=(=(=(=(=(=(=(=(=(=(

&

bluefairy a écrit:

HUUUEALB RFLKCHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
AHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAm
vezlbv
ùmjuegggvk
oh mein got!
What that?.
call las socouristos!!!!!

=> ou comment me faire exploser de rire xD

So-Ptite-loveuzz a écrit:

Nan Mais C'Est Quoi Cette Question ? Bien Sur Que Tu Continue ! Rahlalah C'Est Vraiment Très Touchant Ce Que T'Ecris

=> Merchii

Vive les explosades de rires!

Vive les questions résolues!


Et vive les prochaines suites qu'on attend avec impatience!

ui et vive mon ordi qui bug à mort -_-.
il ne m'affivhe la page internet qu'une fois sur 4! :@

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putain d'ordiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!!! j'en ai marre je suis maudiite!! ='(='=(='=(='=(

Arfeuh l'est meuchant ton zordi >_<

Et on a pas eu de suites!