[T] De l'enfer au paradis..

la suite stp !!!!!!!!


ps:prend ton temps quand meme !!!!


la suite !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Je suis pas sûre mais, c' était... heu, enfin j' ai vu..
Je n' arrivais même pas à prononcer son nom, d' ailleurs pour moi il n' en avait plusn, je ne savais pas comment l' appeler.
Mon corps s' est mis à trembler, je n' y comprenais plus rien et là il m' a serré conte lui, dans ses bras.

- on arrive bientot à l' hotel, tu me diras plus tard, t' inquiète pas"

Je sais pas si c' est de l' amour mais en tout cas c' est pas rien du tout. Nous sommes donc rentrés bras dessus bras dessous, comme dans les vieux films parisiens sauf que là c' était plus dans l' urgence de fuir quelqu' un que je préfère preque appeler quelque chose, que par romantisme.

J' arrive à l' hôtel, toujours blotie contre Bill, puis on monte en vitesse dans l' ascenseur sans même saluer la femme qui travaillait à l' acceuil et qui nous a regardé avec un air décontenancé. Ce soir je commence à avoir l' habitude d' être regardée de travers --" le problème c' est que Bill n' a rien fait et les subit aussi ces regards, il doit même les supporter...
La porte de la cabine se referme et je sens mes pieds soulevés . Au fur et à mesure des secondes qui s' écoulent le temps me parait de plus en plus long et surtout insOutenable, je serre les pings avec le peu de force qu' il me reste, je me pince les lèvres et dance un pied sur l' autre tout en dardant le cadran du peit voyant rouge qui annonce les étages. Plus que deux, ou encore deux, deux étages c' est extrement long quand on les attend mais très court quand on n' a pas vraiment de descendre de l' ascenseur. Je me sens étouffée, emprisonnée, et je n' ai qu' une envie c' est de tourner en rond mais l' espace est si petit que je precuterai inmanquablement Bill qui a déjà l' air d' avoir du mal à tenir debout :s.
Ca y est, 3ème étage, on est arrivé mais les portes s' ouvrent si lentement que dès que j' ai la place de passer je me rue hors de cette cabine lugubre malgrès les tapisseries rouges et les poignées dorées sous le miroir qui témoignent d' un chic incontestable. Je déteste le rouge de toute façon. Quand est ce que je quitte cet hotel? D' ailleurs je dois rentrer chez Manu, je n' ai même plus mon portable! Au moins l' autre ordure ne pourra pas me harceler --". Nan pourquoi j' ai pensé à lui?! Je suis vraiment trop stupide comme fille. Maintenant je vois comme s' il était posté là en face de moi et je tremble comme pas possible, je tremble de mes dernières forces et je force sur la poignée de la chambre qui ne veut pas s' ouvrir par ce que c' est fermé et que je n' ai pas les clés. J' attend qu' il ouvre puis j' essaie de rentrer calement comme si de rien n' était mais tout s' embrouille dans ma tete, tout se mélange, tout remonte et s' efface en même temps, je ne comprend plus rien, j' aurais voulu serrer sa main à cet instant même dans la mienne mais il est déjà dans la cuisine, trop loin de moi pour l' instant alors je sens dors et déjà une larme couler sur ma joue, une larme de panique et d' incompréhension, une larme qui n' est que l' annonce du bataillon qui va suivre si je n' arrive pas à me chasser del' esprits ces pensées trop obscures pour une gamine de 16 ans dans un hôtel de luxe avec de la tapisserie rouge ( qu' elle déteste) et du marbre dans le hall.
Puis je sens un grand vide en moi, un vide trop soudain et trop brutal, un vide qu' il faut remplir alors je rejoins Bill dans la cuisine mais je ne fais pas attention à lui et je commence à ouvrir les placards. Je me saisis d' un paquêt de je ne sais quoi je n' ai même pas regardé, je me fiche du gout, de la couleur de l' emballage ou du nom de ce que je vias ingurgiter le principal est que je mange j' en ai besoin. C' est encore cette putain de maladie qui me bouffe, je la vois pas arriver, je l' ai même pas vu s' installer d' ailleurs, un jour j' ai juste ouvert un placard, j' ai mangé, j' ai vomi et j' ai recommencé, et ce jusqu' à maintenant dès qu' elle se pointe et qu' elle prend le dessus sur moi.
J' ouvre le paquêt et je sens qu' il lève les yeux sur moi, sur mon pauvre moi, ma pitoyable personne en manque devant un paquêt de chips. Je me déteste mais je suis incapable de faire autrement. Je plonge ma main dans le paquêt et je sais qu' il baisse les yeux en soufflant. Il rejette tout cet air qui pue, cet air d' un monde qui le dégoûte par ce qu' il sait que j' y vis aussi et qu' il me contamine de sa pourriture avec cette sale bouffe que j' avale sans même regarder. Il crache ces saletés de molécules de dioxyde de carbone et les envoie le plus loin possible avec ses sentiments qui lui arrachent le coeur.
Il n' essaie même pas de me décourager, même pas de le prendre et de le balancer de l' autre côté de la chambre, il est juste découragé, épuisé, vidé.
Moi aussi mais en plus je mange, lui il se nourrit. C' est pas la même chose. On est tous les deux assis sur le plan de travail mais quand je le regarde il mange lentement la part de pizza froide qui restait sur la table, il la mache et l' avale délicatement, pfiou c' est pas possible il est beau même quand il mange! Et moi je suis là, je n' ose même pas imaginer à quoi je ressemble mais je m' en fou puisqu' il ,ne me regarde même pas. Il vaut mieux qu' il ne le fasse pas d' ailleurs, il a raison.
J' ai vidé l' étagère, je sors de la cuisine, je vais aux toillettes et je suis tellement dans un sale état que je ne pense même pas à lui, à quelques mètres de là qui va forcément m' entendre faire ce que j' ai à faire au dessus de la cuvette des WC. J' ai honte mais j' ai mal quand j' y pense alors j' ignore ma honte ce qui me permet de continuer et je m'enfonce encore plus la deuxième fois que je retourne aux toilettes pour vomir le contenu du troisième placard. Je sors et je m' apprête à retourner à la cuisine pour finir le dernier mais je fonce dans quelqu' un. Non ce n' est pas Bill, c' est Georg. Je lève les yeux sur lui, surprise. Qu' est ce qu' il fait là lui? 'o'. Sur le coup j' ai bien tenté de faire un bond en arrière pour retourner m' enfermer dans les toilettes mais il m' en a empêché, je n' ai même pas lutté, pas la force ni le courage et l' envie de rebellion qui va souvent avec.
On avance un peu pour aller dans la pièce principal et ils sont tous les trois plantés au milieu de la chambre --". J' ai pas vraiment envie de les voir après ma super révélation en fait...

rho bon dsl jvais manger, mais j' aurais bien voulu taper encore un peu, bisoux a tout le monde et j' espère une next soon^^

hey au fait j' attend de voir vos comz pour plus tard hein, interet qu' il y en ai !!! xD.

ouiiiiiiiiiiiiiii roooh trop bbien ça faisait tellement longtemps!!!!!!!

i love !!

va y avoir des com's tkt !! *
SUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIITE

[__*miana*__] a écrit:

durand a écrit:

hey cc tout le mOnde, tous vos comz me font cho o coeur sérieux pis bienvenue à miana et j' espère que ce que j' ai écris ne te fais pas de mal, je ne voulais pas faire une critik des boulimik, d' ailleurs je dis boulimie dans ma fic mais c boulimie anorexie je crois --", fin bref ce que j' écris n' est peut etre pas la réalité puisque je ne suis pas moi même atteinte de cette maladie, je ne fais que m' imaginer que mon personnage l' est. dc voilà j' espère ne pas te faire de mal, je m' en voudrais vraiment. merci pour ton compliment ça me touche vraiment, c' est vraiment ce que j' essaie de faire, faire passer les sentiments^^ une suite biento j' espère, ce soir si j' ai fini mon TPE a temps^^

bx tt le monde, encore mci, et à bientot =)

Ne t'inquiéte pas, ce que tu as écrit ne m'as absolument pas blessé, ça m'a fait mal oui parce que je me suis rendue compte du mal que je fais aux autres et aussi que je suis encore plus impuissante face à la maladie que je ne le pensais ..
masi ça m'a fait énormément de bien et même si je ne peux pas contrôler mon corps, j'ai réussi à calmer mes crises de boulimie en lisant ta fic' .. certes je les ai calmé mais maintenant je suis du côté anorexie mais bon je n'y peut rien à par me 'faire soigner' ..
je susi désolée d'avoir raconté ma vie comme ça

et pui bonne chance pour ton TPE

bizoo xxx

ne t' inquiètes pas ça ne me dérange pas du tout que tu me parles de ça au contraire, tu sais pour le mal que tu fais aux autres, je ne sais ps si les gens réagissent vraiment comme ça, je ne fais qu' écrire, je ne vis pas ces situations même si j' essaie de les imaginer suffisament bien pour coller le plus à la ralité, ben voilàct une big suite cele là pour me rattraper pardo, pardon pour avant j' ai pas posté pdt trop longtemps
bx

On avance un peu pour aller dans la pièce principal et ils sont tous les trois plantés au milieu de la chambre --". J' ai pas vraiment envie de les voir après ma super révélation en fait...

A vrai dire je n' en ai vraiment pas envie, mais alors pas du out, et mes pieds se plantent dans le sol mais deux mains solides me poussent vers l' avant, contre ma volonté, contre ma force, contre moi, on ne me demande pas mon avis, je subis de par mon impuissance les décisions des autres, qu' elles soient bonnes ou mauvaises, pour moi comme pour eux.
Gustav est allongé de tout son long sur le lit quelques peu défait, la couverture toujours par terre et la chambre un peu... désordonnée on va dire pour ne pas vous faire faire de cauchemars lol. Il est en train d' admirer un grain de raison et le regarde à travers les rayons du soleil filtrés par les rideaux tirés.

je vais manger, bisoux j' essaie d' avancer, je sais c' est rien du tout dsl :s

SUIIIIIIIIIIIIIITE!!!!!!!!!!

A vrai dire je n' en ai vraiment pas envie, mais alors pas du out, et mes pieds se plantent dans le sol mais deux mains solides me poussent vers l' avant, contre ma volonté, contre ma force, contre moi, on ne me demande pas mon avis, je subis de par mon impuissance les décisions des autres, qu' elles soient bonnes ou mauvaises, pour moi comme pour eux.
Gustav est allongé de tout son long sur le lit quelques peu défait, la couverture toujours par terre et la chambre un peu... désordonnée on va dire pour ne pas vous faire faire de cauchemars lol. Il est en train d' admirer un grain de raison et le regarde à travers les rayons du soleil filtrés par les rideaux tirés.

Sur le coup j' ai cru que ce grain de raisain avait un truc de particulier pour qu' il le tourne et le retourne ainsi entre ses doigts mais nan en fait il faisait exactement la même chose que moi quand je regarde mes pieds ou la moquette et que je trouve subitement que c' est la chose la plus importante au monde et qui va se produire un truc de super étonnant --".
Tom et ... Bill se regardent et se parlent en chuchotant, je ne veux même pas savoir ce qu' ils se disent je suis sure que ça fait trop mal, un truc à me faire plier les genoux et à me foutre par terre, incapable de me relever pendant un moment par ce que j' aurais trop peur de m' en reprendre un une fois à peine levée. Les mots ou les regards font trop de mal des fois, je les comprends trop bien et j' aurais souhaité ne pas le pouvoir, ce qu' on ne sait pas ne peut pas nous faire de mal, c' est pour que je ne lui avait rien dit de mon passé, par ce que j' ai vu l' expression qui est passé dans ses yeux quand il m' a dit qu' on allait rentrer, j' ai vu comment il m' a regardé quand il s' est agenouillé en face de moi, j' ai vu tout ça, j ai vu trop de choses sans le vouloir et il sait trop de choses que personne n' aurait jamais du savoir par ce que ça n' aurait jamais du arriver.
Georg est toujours derrière moi, pour m' empêcher de partir, m' obliger à rester, à ne pas reculer devant eux, imposante muraille de jugements et de regards impitoyables même si Gus est absorbé par du raisin --".
Son ventre me frôle, me touche imperceptiblement, juste un instant, rien qu' une infime seconde, mais ce n' est pas SON ventre, alors mon dos frissone, moi aussi par la même occasion et je fais un bond en avant et sans le vouloir je me retrouve en face de Gustav qui en fait tomber son gran de raisin par terre en le laissant glisser sous le lit, il n' a plus rien d' autre a regarder alors ses yeux se fixent sur moi puis....

ouahhhhh ça , ça pète tout ! lol

je suis sans voix!!
suiiiiite