[T] De l'enfer au paradis..

-..., il me regarde, haletant, il a encore plein de trucs dans ce genre à me dire, il a raison mais il hésite. Pourquoi? par ce qu' il vient peut etre de voir ma tpete, il vient peut etre de voir tout le sang qui coulait de mon être, tout le mal qu' il venai de me fair ete tout ce que dans sa rage les passage de ses mots ont détruits derrière eux...

- Mais c' est justement par ce que tu m' as dis que tu m' aimais que je voulais pas que tu le saches! regardes comment tu réagis, je pensais pas que tu gacherais tout Bill..."

j' ai serré les poings, tourné les talons, dit aurevoir à Georg juste derrière moi et je suis sortie de cette pièce qui puait la souffrance et la méchanceté...


Je me suis retrouvée dehors, de l' autre côté de la porte, dans le couloir, mes pieds encore posés sur cette putain de moquette rouge. Vous allez me dire que de vulagrit" en ce moment dans mes textes, dans mes mots c' est juste par ce que je commmence à déguster le goût dégueulasse de la vie qui te fais croire que ça va s' arranger, qui te force a tenir encore un peu juste par ce que ça l' amuse de te voir vomir tes tripes tellement t' en souffres de cette horreur qui remplit chaque millimètre carré d' espace de ce monde. Je sais pas comment j' ai fais pour [sur]vivre jusqu' ici --".
Toujours est- il que je me retrouve seule dans le couloir et que je les entends, j' écoute leur voix contre mon grès par ce que je ne peux pas m' en empêcher mais je ne comprend pas très bien ce qu' ils disent. Je sais juste que Bill crie encore plus fort qu'après moi, d' un côté ça me réconforte de voir qu' il se met encore plus en colère même si ce n' est pas contre moi, Tom crie aussi, puis les voix de Georg et Gustav recouvrent le chahue de tons graves et monocordes.
Au lieu de rester debout, raide comme un piquet, je me laisser tanguer, chavirée par mes sanglots qui reviennent, mon corps tangue comme un navire sur la mer, plutôt comme un radeau perdu au milieu de l' océan, secoué par les vagues, innondé par l' eau qui menace de l' emporter avec elle et de le noyer sous les flots. J' ai peur de couler et pour garder la tête hors de l' eau, pour rester debout et ne pas m' écrouler j' appuie mon front contre le mur, je ferme les yeux et je force autant que je peux pour pouvoir me dire que quand je les ouvrirai à nouveau je ne serai plus là, juste ailleurs, n' importe où du moment que ce n' est pas ici à entendre leur voix se casser sur les murs de cette chambre d' hotel.
Je les rouvre, je ne sais pas combien de temps plus tard, mais je suis toujours ici, au même endroit, rien n' a changé si ce n' est que le sol à mes pieds et taché de petites gouttes. Combien? ce serait trop long de n' en donner ne serais-ce qu' une idée aproximative. On croirait l' accumulation de je ne sais combien de litres. Trop de toute façon c' est toujours trop quand on est triste, on souhaiterai toujours ne pas l' être.

c' est juste par ce que je commmence à déguster le goût dégueulasse de la vie qui te fais croire que ça va s' arranger, qui te force a tenir encore un peu juste par ce que ça l' amuse de te voir vomir tes tripes tellement t' en souffres de cette horreur qui remplit chaque millimètre carré d' espace de ce monde.

God, tu m'as transpercé le corps, le coeur ...!

fin ?? laisse moi rire .. NON it's not posible!

SUIIIIIIIIIIIIIIIITE

cocom a écrit:

c' est juste par ce que je commmence à déguster le goût dégueulasse de la vie qui te fais croire que ça va s' arranger, qui te force a tenir encore un peu juste par ce que ça l' amuse de te voir vomir tes tripes tellement t' en souffres de cette horreur qui remplit chaque millimètre carré d' espace de ce monde.

God, tu m'as transpercé le corps, le coeur ...!

fin ?? laisse moi rire .. NON it's not posible!

ta citation m' a fait sourire, même rire un peu, si bien choisie...
je me rend compte de mes phrases bizarres maintenant que je les lis séparées du contenu xD.
suite le plus vite possible^^

ps: vos comz me font super plaisir

ps du ps(xD): jespère que tu ne seras pas trop privée d' ordi, pour t' interesser aux cours sors les du contexte scolaire ne te dis pas " a quoi ça va me servir ces equations de merde là?!" mais juste " faut que je reussise à trouver le bon resultat je suis là pour ça" c bête, c disciplinaire mais ça marche par ce que tu ne te poses aps de question comme ça....

sinon dis toi que t' es obligé d' y etre donc tant qu' à faire , autant ne pas gaspilelr ton temps et t' en servir pour sortir du circuit scolaire le plus vite possible^^

bon la vois de la sagesse ferme sa.... (tuuuuuuut) pis nan je m' en fou pas de ta vieuuuuuuuuuuuuuhhhh

J' attends toujours les yeux perdus, suspendus au vide, à des molécules de rien du tout, mais rien ne vient, personne ne sors, je reste seule, comme au début. Est ce que c' est le moment d' écrire" fin"? Je sais pas...

Pendant que mes yeux se ferment à cause du temps si long et pénible qu' ils ont passé ouvert, je bascule en arrière, me laisse tomber de l' autre côté, et mon dos se cogne contre le mur. Les yeux toujours clos je sourie, la douleur physique, si simple et fugace, si futile et réelle, palpable et identifiable, la douleur qui ne fait pas vraiment mal, retrouvée me rassure. On s' en délecterait presque, un léger rictus ignoble et anormable sur le visage, à traits tirés on savourrai...

Les yeux toujours fermés, je suis presque déconnectée, comme dans un autre mOnde, un endroit où leurs cris ne m' atteindraient pas, aucune chance je cours plus vite que le son là où je suis alors je r^ve que je cours. Courir c' est pratique pour fuir ses problèmes, je suis championne dans ce domaine là. C' est bien pour ça que je suis partie en pleurant ( encore) de la chambre, j' ai cédé sous la pression, craqué sous le poids de mes remords exacerbés par ses reproches. Je voudrais tout oublier, basculer ma tête en arrière encore une fois et fermer les yeux juste un peu plus...
J' étais tellement "ailleurs" que le bruit de la porte s' ouvrant lentement en grinçant ne m' a pas fait percuter où j' étais réellement.
Ils sont tous sortis de la chambre, sauf Bill bient sur, pourquoi sortirait- il de SA chambre si ce n' est pour aller se balader, passer par le toît et se jeter de là haut par la même occasion vu les horreurs qu' il m' a dit.
Ses mots résonnent, ses gestes me reviennent, son regard me transperce. L' écho s' amuse,le flash back aussi, je le réentend contre mon grès " apres tu pourras partir, j'aurais plus besoin de toi, je voudrais peut etre même plus te voir...".
Comment a -t-il pu me dire ça?! Il n' aura plus besoin de moi? Pff, c' est juste un salaud, une star qui vient de se brûler les ailes et qui le regrette, un mec qui n' assume pas ses sentiments du moins je crois. Il m' a bien dit qu' il m' aimait....

Je resors de mon monde, il me rejette de toute façon par ce que je n' ai pas fini - à peine commencé d' ailleurs- ce que j' avais à faire ici. "Ici" comme ce mot est triste: je voudrais être "là" mais je suis "ici", il exprime si bien mon enfermement, un emprisonnement en trois lettres c' est celui- ci. Bref je rouvre lentement les yeux, de toute façon la lumière est éteinte et la tête me tourne, trop d' émotion, rien mangé que je n' ai aussitôt vomi. Un ombre s' approche de moi, une silhouette. Ce n' est pas la sienne et pourtant des cheveux viennent me chatouiller le visage, de grosses mèches entortillées de baladent sur mon front. Je lève mes yeux embués et je décèle une casquette, il me soulève puis me prend dans ses bras, me serre contre lui.
Celui- là même qui m' avait prise pour ce que j' étAIS m' entourre de ses bras et me serre contre son torse après que celui qui m' ai pris pour ce que je SUIS m' ai balancé son venin en pleine figure. Je m' appuie contre Tom par ce que Bill n' est plus là, en tout cas pas pour moi, peut être même plus pour moi =(

Beaucoup de com's
alors je vérouille

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Merci.