[T] De l'enfer au paradis..

ben par ske jen ai tapé bocou dun coup, et à force de lire sur lordi sa fait mal o yeux

mdr oki ! Ben non sa va j'ai l'habitude ! Sa m'arrive de rester la journée devant l'ordi donc sa me dérange pas trop ! En plus j'ai mes lunettes donc sa me fais pas mal aux yeux !!!

dix heures et quart, Bill n' est toujours pas rentré, je ne sais pas pourquoi je l' attends. Je n' ai rien mangé depuis tout à l' heure, j' en ai eu envie par ce que être presque heureuse de sourire ça m'a fait peur. L' homme a peur de tout ce qui lui est incconnu. Je tourne en rond comme un lion en cage à peu de choses près que je ne m' exibe pas devant des spectateurs pour sauter dans un cerceau en flamme, quoique après tout à l' heure pour le non exibisionisme on repassera. A 11 heure et demie la porte s' ouvre enfin et Bill rentre, exténué, pourtant il n' a pas de concerts en ce moment mais il sent la cigarette et pas que ça d' ailleurs. Il est sorti ce soir et vu que je le regardaiis d' un air dubitatif il me promet qu' il n' a rien fait, rien pris. Un peu douteux quand même. Je m' en fiche c' est sa vie. Je me penche sur la table basse pour attraper un paquet de chewin- gum et le lui donner, Bill en a bien besoin, ou plutôt moi si je ne veux pas mourir asphixiée dès qu' il me parlera. Il grignote deux ou trois petites choses, pas beaucoup d' appétit ce soir lui. Il voit bien que je suis étonnée et il me dit qu' il a déjà mangé. Comment fait - il pour deviner ce que je pense? J' aimerai bien faire pareil avec lui. Après y avoir réfléchi 30 secondes defois je préfère ne pas savoir ce qu' il pense. Je m' aperçois vite qu' il ne m' a pas menti et qu' il est bien sobre, ça me rassure un peu, j' ai déjà vu trop de fois ce que ça donnait un homme saoûl. Je me détends.
" Qu' est ce que tu as en bas du dos?
Il a laché ça comme ça. Ca me glace le sang et je me fige sur place. Mon Dieu il l' a vu tout à l' heure! Je ne peux pas lui dire, rien ne vas sortir. Si lui l' a vu, Tom aussi. Cette perspective ne réjouis encore moins et j' ai pilé en plein milieu de la pièce. Je me suis arrêtée si brusquement qu' il m' est rentré dedans et je suis tombée par terre. Sans chercher à me relever il s' est accroupi en face de moi et m' a regardé droit dans les yeux. Non pas ça, il n'a pas le droit, il sait bien que je cède tout le temps perdue quelquepart au milieu de la Terre quand il me fixe comme ça. Bill n' a rien eu besoin de dire, et le fait d' en parler m' a fait me souvenir de certaines choses qui font vraiment trop mal alors sans le vouloir une larme a coulé le long de mon visage et j' ai baissé la tête pour la voir tomber par terre et pour regarder toutes les autres qui se sont précipitées derrière elle. Il a glissé sa main en dessous de mon menton et m' a relevé le visage. A présent mes larmes finissaient leur trajet sur son poignet. Je me suis levée brusquement pour partir, fuir encore, je ne me sentais pas prête à réouvrir les vieilles blessures mais il s' est lui aussi levé juste après moi et m' a rattrapé en m' interdisant de partir trop loin pour lui, trop loin pour qu' il ne puisse plus rien faire pour moi et ça il ne voulait pas alors il a tout fait pou m' en empêcher. Il m' a susuré des mots doux à l' oreille, juste pour me calmer, mais ça ne marchait pas, il était triste de me voir comme ça et ça lui faisait sûrement aussi mal à lui qu' à moi. C' était la première fois que quelqu' un partageait ma douleur.
" Est- ce que j' ai le droit de comprendre maintenant?
- C' est un secret, je n' ai pas le droit de le dire...
- Mais tu peux me le dire à moi, il restera suspendu entre nous deux et un secret à deux c' est moins lourd à porter.
Retour à la maternelle au moment fatidique de la révélation d' un secret si chez à nos yeux et qui nous paraît être le plus important du monde. Ces choses qui nous semblent anodines des années plus tard sont pourtant le fondement de la confiance, si dure à donner à quelqu' un de longues années apres encore.
J' hésite, je ne sais pas, que dois- je faire?
Alors qu' on se rapproche de plus en plus d' une blessure qui en rappelle tant d' autres mes sanglots redoublent d' intensité et je décide de me retourner. Il a compris et me tend la main. Je pose doucement la mienne dans la sienne et il referme ses doigts dessus pour m' attirer plus près de lui et cette fois ci c' est moi qui avance pour me coller tout contre lui, et me blotir loin du monde dans ses bras. Je l' entoure de mes bras puis les remonte dans son dos et les serre aussi fort que je peux et Bill ne fait que resserrer son étreinte. Je me sens mieux de sentir qu' il est là et qu' il ne me lache pas. La peur s' éloigne petit à petit et je pleurs encore et encore afin d' évacuer et il sait.

C'est super beau !!!! Mais je veux qu'elle lui dise alors SUITE !!!!!

Au bout d' un moment il s' éloigne.
" C' est bon?
- Non par ce que j' ai à te dire est encore plus dur et ce n' est pas facile à entendre, t' es sur de toi?
- Depuis que je t' ai vu je veux t' aider, mais toi tu me repousses alors c' est pas maintenant que je vais renoncer et puis je suis sur ne t' inquiètes pas.
Je l' ai laché et suis allée m' assoir sur le bord du lit pour qu' il me rejoigne juste après et s' assoit à côté de moi, ce qu' il a fait sans tarder. Avant de me lancer je l' ai regardé une derrière fois et d' une voix hésitante je lui demandé:
- Vraiment?
- Oui.
Alors comme la première fois j' ai posé ma tête au creux de son épaule en écoutant sa respiration et il m' a entouré de son bras. J' ai pris mon souffle et j' ai commencé.
- Tu ne sais quasiment rien de moi, et pour commencer tu ne sais pas qui était l' homme dans le hall qu....qui....
Je n' arrivais à prononcer les mots, encore trop dur, c' était il y à peine deux jours.
- Et bien c' était mon.... mon père.
Son regard est devenu plus grave par ce que ça n' était que le début et que le pire était à venir. Je parlais entre deux sanglots et il m' écoutait sans rien dire, patient.
-Quand j' étais petite tout allait bien, enfin quand j' étais très petite tout allait bien, les choses se sont vite gatées. Mon père était alcoolique et c' est lui qui conduisait la voiture le jour où ma mère est morte dans un accident de voiture. Il était plutôt gentil avec moi avant mais parèx sa mort il ne s' est jamais pardonné de l' avoir tué. Une vraie tragédie pour l' instant pas vrai? mais là encore ça allait. Sauf qu' il a perdu son boulot, on s' est retrouvé sans rien mais il touvhait encore les allocations de je ne sais plus quoi. J' allais encore en cours, il ne m' en empêchait pas du moment qu' on avait de quoi manger et surtout de quoi boire tout allait pour le mieux dnas le meilleur des mondes pour lui. Mais quand j' avais 13 ans il a vraiment sombré.
Je lui faisait le récit en enchainant les mots les uns derrière les autres pour éviter d' y réfléchir. Là je me suis arrêtée et j' ai pleuré deux fois plus par ce que je me suis souvenue malgrès mes efforts alors je me suis réfugiée dans ses bras et il m' a amené plus près de lui encore, jusqu' à ce que je m' assois sur ses genoux et que je laisse couler mes larmes par dessus ses épaules. Bill me chuchotais des mots qui font du bien et me disant qu' il était là " ich bin da" les même mots que ma mère fredonnait quand je faisais un cauchemar et que je me réveillais en pleurs au beau milieu de la nuit.

comment c'est trop beau, j'adore vraiment la façon dont tu écrit.

alors SUITE!!!!

je dois partir mais dès que je reviens j'espère que yora la suite !

Biz à toute !

Il me caressait les cheveux et collait sa joue contre la mienne.
" Tu veux qu' on arrêtes?
- Non je veux qu' on en finisse
Si tu savais à quel point je veux que tu saches tout pour que tu puisses comprendre pourquoi je réagis comme ça...
Je me suis redressée puis j' ai reposé ma tête au creu de son épaule mais cette fois ci il laissait sa main posée que sa cuisse et mes larmes tombaient dans sa paume.
Quand il a vu que je ne disais plus rien il a su qu' il fallait poser un mot sur ce qu' il m' avait fait, et même si ça le dégoutait il l' a dit. De plus en plus de petites perles de nacres tombaient dans sa main et elles débordaient pour couler sur son jean.
- Il t' as violé.
Ce mot a fait l' effet d' une bombe et j' ai seché mes larmes du revrs de ma main pour continuer à parler.
- Oui. Cette même année....

je re tout à l' heure^^ bonne lecture

he bé dit dont!! t'as écrit beaucoup!!!
j'avais pas mal de retard!!!
mais j'adore!! c'est toujours aussi bien écrit!!
et j'ai qu'une chose a demander c'est la suite bien sur!^^

oué j' étais inspirée
j' ai décider de m'en foutre du nombre de comz par ce que j' arrive pas à en avoir plus. Elle est pas assez bein pour ça sûrement snif Donc vous aurez des suites plus souvents à défaut de comz pour moi un peu deg par ce que ça me fait penser que c' est de la merde ma tite histoire mais tant pis ...

bah tu sais ce que tu fait!!
tu te fait de la pub!!
t'as cas allé sur mes fics t'en faire sa me dérange pas!!

et eeeeeee
LA SUITE!!!!
^^

[b]- Oui cette même année il n' a plus eu droit aux allocations chômmage, et on s' est retrouvé sans rien. Même pas de quoi pour manger. J' ai commencé à secher les cours et lui buvait de plus en plus. J' ai fugué deux fois, mais je suis rentrée la queue entre les jambes pour ne pas mourir de faim.
Je pleurais déjà moins, le fait d' avoir réussi à mettre un mot surce qu' il m' avait fait m' avait soulagé, c' était grâce à lui.
- Mais, ce que t' as vu en bas de mon dos ce n' est pas ça.
Je recommençais à avoir du mal à déglutir ma salive et me serrai de plus belle contre lui. Pour me rassurer il m' entoura de ses deux bras et déposa un baiser sur mon front mais j' étais tellement absorbée par mes souvenirs que je ne l' ai même pas remarqué et c' est non sans peine que j' ai continué à lui raconter par ce que tout ça qui remontait d' un seul coup ça faisait horriblement mal. Le son des larmes qui tombaient dans sa mains et qui aveitn céssé depuis quelques secondes reprit et ça devint troo dur de lui expliquer. Je me suis dégagée de ses bras et me suis ruée dans la cuisine. Il fallait que je mange, tout ce que je trouvias, j' avis encore une crise de boulimie. Quand il m' a vu aller dans la cuisine il s' est levé en courant et m' a attrapé le bars pou me faire pivoter et me plaquer contre lui.
" Non, ça sert à rien de faire ça tu vois bien
- Mais si tu peux pas comprendre toi, t' es pas comme moi, t' as pas besoin de manger pour oublier. Le fait de voir que tu te fais souffrir ne te donnes aps l' impression que les choses vont aller mieux. Tu n' es pas comme moi!
Je le frappais à coup de poing, mais je n' avais pas de forces alors il n' était même pas ébranlé et continuais de me serrer contre lui.
- Tu crois que moi j' ai jamais besoin d' oublier?
Là il venait de frapper fort. Je n' avais pensé à lui dans toute cette histoire, à ce qu' il pouvait traverser, sa vie.
- Je savais bien que je devais garder ça pour moi! que tyu ne pouvais pas assumer de savoir que...
- C' est pas ça, tu n' as pas compris. C' est qu' il y a d' autres moyen pour oublier, et tu n'es pas oblig d' oublier, il faut que tu arrives à vivre avec...
- Mais je n' y arrives pas! Tu crois que j' ai pas essayé?!
Plus je hurlais par ce que j' étais énervée et plus la mosuette en dessous de moi était trempée.
- Viens, calmes toi, on va parler.[/b]

tu rigoles ta fic est super bien

et je veux une suite

la suite!!!
j'adore toujours!!^^

SUITE !

merci c sympà sa fait plaiz d' avoir votre avis et ke tu me proposes sa les forces oranges^^ mci beaucoup, aller une suite ça vous dit?

oui sa nous dit

ouép une suite stp^^

ouè ! Moi sa me tente bien une suite !!!

[b]oua les 3 co en meme temps! j' en profite lol

Nous nous sommes rassis sur le lit, mais cette fois ci je me suis détachée de Bill, j' étais énervée et les idées et les mots qui allaient avec se bousculaient dans ma tête, encore pire que des confétis de carnaval qui retombaient au fond de mon cerveau pour le noyer sous leur masse. Assise en tailleur en plein milieu du lit, loin de lui il est quand même venu s' assoir derrière moi et m' entourer de ses jambes, posant sa tête sur mes épaules et les bras croisés sur les miens il était pret à écouter.
" Je ne sais plus ...
- Mais si tu peux me dire, Je suis désolé si je me suis énervé tout à l' heure mais je ne voulais pas que tu te fasses du mal encore une fois. Pas quand j' étais là pour t' aider.
Il avait prononcé cette phrase si doucement que je me demandais si je l' avais réellement entendu ( hum...la voix de la raison) lol.
- Ce que j' ai dans le dos c' est... c' est
Arf je n' y arrives pas, comment est ce que je peux lui annoncer ça? Il m' a fallut un certain temps avant d' aligner 3 mots sans m' arrêter pour retenir mes pleurs.
- Un soir mon père est rentré plus ivre que jamais, il titubait et s' ecroulait sur le sol toutes les 30 secondes. J' ai eu vraiment peur pour lui.
Et dire que je parlais encore de lui comme ça, je me dégoutais moi même, mais ne parvenais pas à le haïr même après tout ça.
Je voyais que Bill était étonné de m' entendre parler de mon père si gentiment, il ne comprenait pas et moi non plus d' ailleurs.
- Il était saoûl mais il m' a quand même envoyée contre le mur avec une force inouïe. Sous le coup de la surprise je n' ai pas réagis et quand il s' est approché de moi je n' ai fais que pleurer en silence, une fois de plus. A quoi bon me débattre il était plus fort que moi. Il a d' abord glissé ses mains rudes sous mon t- shirt jusqu' en haut de mon dos et même pour ça il trébuchait sans avoir bougé auparavant. Je priais pour qu' il tombe au sol et ne se réveille que le lendemain matin mais un jour ou l' autre il l' aurait fait. Il a glissé le long du mur et m' a entrainé avec lui. Voyant qu' il ne pouvait plus tenir debout je me suis mis à me débattre. Je l' ai griffé, mordu, frappé à coups de pongs et de pieds, de genoux et de coudes, tout. Mais ça ne l' a pas empêcher de continuer à me déshabiller à même le carrelage froid avec dextérité. Il a enlevé mon soutif puis arraché mon t - shirt . Je me souviens qu' il était jaune, pas commun comme couleur, je n' aurais pas du tenter ça ne m' a pas porté chance.
- Tu n' y pouvais rien, tu as tout essayé, c' est pas ta fuate, déculpabilises- toi.
- Si c' est ma faute, j' aurais du lui fendre le crâne avec n' mporte quoi tant que je le pouvais encore!
- Non, jamais tu n' aurais pu faire ça, crois moi, tu n' y étais pour rien.
Il me parlait d' un ton ferme et suppliant qui ne me laissit guère le choix de la réplique. Collé contre moi, ses respirations en soulevant son torse le faisait cogner dans mon dos. [ heu complètement hors sujet les filles mais la g chaud, je sais pas vous mais moi pfiou lala mdr] Les mèches de ses cheveux chatouillaient mes épaules et il y déposa un baiser qu' encore une fois je ne remarquais pas, trop profondément ancrer dans mes pensées et en moi même pour touver la force et le courage de lui dire.
- Alors il a recommencé il m' a encore une fois....
- Je sais...
- Mais là il était furieux contre moi par ce que je m' étais débatue et qu' il avait une estafilade sur tout le côté gauche du visage. Il m' a dit " tu n' auras plus jamais le droit de te débattre par ce que tu es à moi, tout le monde va le vor et saura que tu m' appartiens et t' auras honte d' avoir fait ça, tu t' en voudras toute ta vie, MA puce" et puis il a éclaté de rire. Son bars s' est allongé en direction de la cheminée et il a pris dans sa main la barre de fer forgé qui était posé au bord pour la tenir au dessus des flammes jusqu' à ce qu' elle soit incandescente et devienne rouge vif. A ce moment là j' ai crié, je l' ai supplié, j' ai pleuré, j' ai essayé de m' enfuir mais rien à faire, il était assis sur moi et j' avais beau pleurer tout les larmes que j' avais il s' en fichait éperduement et me tenait fermement de la main gauche, toujours la gauche pendant que la droite faisait autre chose, je déteste les mains gauches des hommes...
Bill a retiré sa main gauche de mon bras et l' a laissé glissé lentement.
- Pas la tienne dis- je en posant la mienne dessus [/color[color=green]] [ nouvo coup de cho mdr] Il a stopé net son mouvement et j' ai sentit qu' il avait sourit derrière moi, mais il était hors de question de me laisser destabiliser par son souffle chaud dans ma nque qui devenait de plus en plus chaud d' ailleurs. Puis il a posé ses lèvres douces et fraîches sur ma peau au creu de ma nuque, sans rien faire de plus que de rester là comme ça, tout contre moi et ses lèvres posées sur ma peau frissonante.[arf fait chaud]
-Quand le bout du manche était rouge il l' a pris dans ses mains, il souriait , il était content de se sentir supérieur. Puis il l' a promené lentement au dessus de ma peau. Au passage quelques particules brûlantes sont tombées sur mes hanches.
Là j' ai soulevé mon t - shirt et lui ai montré les traces laissées sur ma peau par les brûlures. Il a passé ses doigts tremblants dessus en regardant les marques. Je ne me suis pas arrêtée, non pas maintenant.
- Pour finir il a posé l' insigne brulante en bas de mon dos à gauche et le contact du métal si chaud contre ma peau m' a arraché un cri de douleur terrible, j' ai pleuré au milieu de toute cette fumée. Il m' a marqué comme du bétail Bill, pour que je sois sa chose rien qu' à lui. Il m' a même dit que je ne serais jamais à personne d' autre, et que s' il le fallait il me tuerai par ce qu' il avait tous les droits sur moi...
-...
En parlant j' avais remonté mon t- shirt du côté de ma cicatrice et le M en lettre d' imprimerie qui s' y inscrivait était là pour me rappeler que je lui appartenais. Bill avait pausé sa main dessus et ne la bougeait pas. Il avair rabattu mon t- shirt pour respecter ma pudeur et me respecter moi aussi, telle que je suis avec mes blessures et mon passé.
ps: la fin de ce mess a été réédité, donc si vous l' avez déjà lu il a changé!

C TROP BIEN manon continu comme sa jtdr!!!

franchement>>> J'ADORE tro!!!
la suite stp!!^^
trop bien écrit encore une foi!!

héhé mdr la lumiere o bout du tunnel sa te rapel pa kelke chose ??? jtdr !

c'est trop horriblement triste ! Malgrés les passages assez HOT ! xD

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