[T] De l'enfer au paradis..

mci mais là je suis tellement deg, ke je recommencerai pas avant demain! lol

finallement vous savez quoi? je crois que je vais supprimer cette fic par ce que:
_ elle intersesse quasi personne
_ du coup je perds ma motivation et l' inspiratin$
_ je pars pdt 3 semaines et vous allez tout oublier pui squand je mettrait l' autre suite ça vous dira plus rien

donc je pense que c' est plus raisonnable d' arrêter, en plus faire la course aux comz pfiou c' est soulant, donc voilà....

nonnnnnnnnnnn fai pa ca !!!
ca prend du tps c tou et pi on sen fou de "la course au com " com tu di
ce serai vraimen dommage et je lavou horrible pour moi !!!!!!!!!!!!!

pour pa perdre linspi tu peu lecrir a coté et pi tu recontinuera plus tard !!!!MOI JVEU SAVOIR LA SUIIIIIIIIIIIIIITTTT STPP FAI PA CA !!!!!!!!!!!!!!

Desolé de ne pas être venu avant mais j'avais un empêchement !

Franchement arrête pas ta fic !
Elle est super !
Moi en tous cas je peut plus m'en passer !

et je suis comme cocom !
Je veux savoir la suite !!!!!

Quand tu reviendra on se rapellera de ta fic t'inquiète pas !!!

SUITE !

Si vous le dites...
je vais essayer de continuer mais je vous promets rien, puisau cas où je la finis pas, vous pourrez toujours imaginer la suite que vous voulez^^

Nous devions partir tout de suite car Bill avait pris du retard pour passer me prendre et les organisateurs allaient faire la gueule s’ il posait d’ autres problèmes. J’ ai tendu le bras dans sa direction et du bout de mes doigts j’ ai cherché timidement à les glisser dans les siens. Comme si pour lui c’ était anodin il a refermé ses doigts sur les miens et m’ a tiré vers la sortie. Il a appelé une voiture et nous sommes monté à l’ intérieur sans un mot comme tout le trajet qui s’ est effectué sans un bruit. Le front posé sur la vitre du véhicule je regardais défiler les bandes blanches de la route sans un grand intérêt, l’ esprit ailleurs et des pensées vagues. En descendant il m’ arrache presque le bras pour qu’ on se dépêche. Un moment je stoppe net devant l’ entrée, cherchant du regard une quelconque faiblesse à cet imposant bâtiment qui me faisait presque peur de par sa taille. Aux heures des concerts il devait se transformer en monstre mangeur d’homme et avaler plusieurs milliers de spectateurs ou de fans. C’ était effrayant. Je n’ ai pas eu le temps de m’ attarder d’ avantage qu’ il m’ a amenée jusqu’ à l’ intérieur du hall du gymnase. Nous avons traversé les tribunes puis il a monté quatre à quatre les marches qui menaient à la scène sous les regards impatients du reste du groupe qui l’ attendaient depuis une demie heure. Sur la dernière marche il se retourne vers moi:

« Restes par là s’ il te plais, c’ est grand ici et on a vite fait de se perdre. »

Je ne dis rien par ce que je sais très bien que je ne l’ écouterais pas. Ce lieu gigantesque m’ attirait irrésistiblement. C’ était comme si tous les endroits faits comme des labyrinthes m’ appelaient à eux , comme si j’ aimais me perdre en fin de compte…. Peut être que même Bill ne pouvait rien pour moi par ce qu’ au fond je préférais rester dans ma détresse. A force de penser je déprime. Je m’ enfonce dans ma difficulté pour que ce soit impossible de m’ en extirper même avec toute la volonté du monde. Oui je suis une fille déprimante, vraiment.
Quand Bill a finit de se disputer avec son frère de l’ emplacement du guitariste et du bassiste sur la scène il se retourne pour jeter un coup d’ œil aux tribune et me voir mais je n’ y suis plus. Inquiet il scrute les gradins, les mains en visière au dessus de ses yeux dans l’espoir de m’ apercevoir assise, sage comme une image pendant qu’ il pourrait travailler. Il panique est s’ élance dans les coulisses à ma recherche. Quant à moi à force de sillonner les couloirs des coulisses je me retrouve devant un petit escalier. Ma petite promenade m’ a conduite sur la scène et hésitante j’ avance lentement jusqu’ au bord du sol noir jonché de fils gris, noirs et blancs tous entremêlés les uns dans les autres. J’ imagine la salle remplie de fans hurlants pour Bill et mon cœur s’ accélère. On se sent invincible devant toutes ces personnes qui nous acclament dans une ambiance sur exitée. Ici ce n’ est plus le même monde, on quitte la terre pour faire un voyage en apesanteur d’ une heure et demie avec eux, tous ces incconus qui nous accompagnent dans ce voyage en orbite autour de la musique. C’ est fantastique! Un sourire idiot commençait à peine à s’ afficher sur mon visage quand soudain j’ en tends une voix monotone et agressive provenant d’ un haut parleur qui me hurle dessus:

« Hey, vous on va faire la balance vous allez nous aider vu qu’ on en a perdu un apparement et qu’ on a pas le temps de le chercher.

Tom Georg et Gustav rappliquent en moins de deux et sont déjà prêts à jouer. Je me retrouve avec un micro dans les mains alors que je ne sais même pas comment ce truc là s’ allume!

- Bon allez, vous allez chanter pour qu’ on puisse faire les réglages.
- Mais je ..je ne sais pas chanter….
- Pas besoin pour faire ça, tu crie dans le mirco si tu veux du moment qu’ on a de la voix pour régler avec l’ écho et tout ça….
- …
- Dépêchez vous, on a pas que ça à faire! »

Je ne connais aucune chanson et la panique me gagne amis tout à coup je me souviens des paroles que j’ avais chantonné une fois à l’ hôtel. J’ avale péniblement ma salive et commence péniblement à chanter. Les sons qui sortent de ma bouche sont à peine audibles mais les autres ont tous reconnus les paroles de rette mich et commencent à jouer de leur instruments pour le morceau. Ma voix s’ accroche aux notes de guitare et aux percussions de la batterie qui retentie sous les coups de Gustav. Peu à peu je prends de l’ assurance et la mélodie se crée pour donner quelque chose de pas mal du tout d ‘ailleurs. C’ est assez fière de moi que je referme la bouche et me retourne mais là mon micro tombe sur le sol et effectue plusieurs rebonds avant de s’ immobiliser. Sous le coup de la surprise je ne parviens pas à parler. Bill était là, devant moi tout sourire et moi rouge pivoine par ce que j’ avais chanté à sa place le temps de quelques minutes seulement mais que j’ avais osé m’ imaginer être à sa place, je lui avais husurpé son identité pendant quelques secondes d’ extase grâce à la musique et à la joie d’ être sous les feux des projecteurs même dans une salle vide.C' était vraiment destabilisant, depuis une semaine je ne fias que ça. Je suis bringballée de tous côtés et ne parvient pas à trouver ma place au milieu de toute cette agitation. Ca ne m' aide pas vraiment tout ça mais c' est la vie et on fait avec. C' est toujours mieux qu' à Paris dans les quartiers auvres avec mon "père". Je ne devrais pas me plaindre mais plutôt m' estimer heureuse d' avoir atterie ici, avec lui. Lui qui essaie de m' aider même s' il n' y comprend rien. Il se jette sur moi et me prend dans ses bras. Le souffle court il respire dans mon cou et j' en profite pour faire le plein de son odeur, une bouffée de liberté, un peu de Lui tout court^^.

" J' ai eu peur tu sais, je te voyais plus j' ai cru que t' avais eu une crise par ce que je t' avais laissé toute seule encore une fois. j' ai couru jusqu' à l' autre bout du gymnase mais tu n' étais nulle part...
- Pardon, mais tu sais je voulais pas chanter à ta place hein... c' est que t'étais pas là et ils...
- C' est pas grave on s' en fou de ça , on s' en fou."

C' était à mon tour de ne plus rien comprendre. Ce matin même il m' accusait de le faire prendre de la coc et là on aurait dit qu' il venait d' échapper à la crise cardiaque par ce que je n' étais plus près de lui...[/b]

C' était vraiment destabilisant, depuis une semaine je ne fias que ça. Je suis bringballée de tous côtés et ne parvient pas à trouver ma place au milieu de toute cette agitation. Ca ne m' aide pas vraiment tout ça mais c' est la vie et on fait avec. C' est toujours mieux qu' à Paris dans les quartiers auvres avec mon "père". Je ne devrais pas me plaindre mais plutôt m' estimer heureuse d' avoir atterie ici, avec lui. Lui qui essaie de m' aider même s' il n' y comprend rien. Il se jette sur moi et me prend dans ses bras. Le souffle court il respire dans mon cou et j' en profite pour faire le plein de son odeur, une bouffée de liberté, un peu de Lui tout court^^.

" J' ai eu peur tu sais, je te voyais plus j' ai cru que t' avais eu une crise par ce que je t' avais laissé toute seule encore une fois. j' ai couru jusqu' à l' autre bout du gymnase mais tu n' étais nulle part...
- Pardon, mais tu sais je voulais pas chanter à ta place hein... c' est que t'étais pas là et ils...
- C' est pas grave on s' en fou de ça , on s' en fou."

C' était à mon tour de ne plus rien comprendre. Ce matin même il m' accusait de le faire prendre de la coc et là on aurait dit qu' il venait d' échapper à la crise cardiaque par ce que je n' étais plus près de lui...

alors? j' attend votre avis ^^ bone nuit les filles

bon alors là je vias me suicider, j' avai tapé une TROP BELLE suite et g encore uenf osis ans faire espres tout effacé!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! j' ene ia marre, c' était trop bien!

bon les fillesj' essaierai de vous taper une suite mais bon, vu que c 'est l deuxième fois que ça s 'efface ça m' enerve, ça me fout les boulles, ça me décourage enfin bref la totale quoi, donc je vous promets rien^^ dsl en plus je pars demain matin très tot donc bon...

C'est toujours aussi bien !

Fais comme tu peut

SUITE !

ouiouioui c tjrs tro bien jdr le momen de la repetition c magnifik!!!!!!!
LA SUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIITTTTE !!!!!

Neu(e) Nombre de messages : 9 Age : 31 Date d'inscription : 13/04/2007

jador je c pas komen tu fait pour écrire ossi bien jador
suite pleaze

Hey!!!!
Voila t'as une nouvelle lectrice prise dans tes filets, tu sais tu disais que ma fic' était bien mais la tienne est vraiment géniale!
J'm'étais dit cinq minutes d'ordi ça fait deux heures que je lis ta fic alors que je dois absolument préparer ma valise!
c'est pour te dire a quel point elle est captivante et super bien écrite, vraiment merci et surtout t'arrètes pas
(je suis ultra étonné qu'il y ai pas plus de monde parce que vu comment c'est génial!

SUITE !

moi je suis de retour et je veux une suite !! Smile

une tit' suite non ? Sad

SUITE STP

suite !!

suite !!

NEW LECTRICE !!!

ça fait plusieur jour que je lis toutes les pages de ta fic', j'aime vraiment !!! J'pensse même que t'as comment dire...quelque chose pour arrivée à faire passé les émotions comme ça ! C'est magique =) !

Surtout n'arrête pas cette fic' ! ça serai vraiment domage parce qu'elle est vraiment bien et que beaucoup de gens comme moi vienne la lire...

Voilà tout ça pour dire de ne pa te décourager, surtout pas !

Tu écrit vraiment bien !

Sur ce, j'esper une suite alors à ton clavier et fait nous encore pleuré ^^ !

SUITEUH' !!!!

bon ben là je rentre de colo, déprimé et oui mes amies me manque mais je retrouve le forum et deux nouvelles lectrices et vos commz sont géniaux, ça m' a trop redonné envie de vous faire plaisir en tapant la suite psk sa m' a fait chaud au coeur kon me dise ke c génial et ke vous la lisez depuis 2h alors ke vous avez otre chose à faire ouke vous avez pas le droit ou je c pas koi dotre e,ncore vraiment c super! donc MERCI et PROMIS une suite dnas la soirée si jarrive à taper quelquechose de convenable par ce qu' il faut que je me remette dnas le bain quoi^^

nooooooooooooooooon jen i marre,n je commenias a taper une bele suite et tt s' est encore effacé putin de clavier de merde!

J’ en ai marre. Je n’ y comprend vraiment plus rien du tout. Il n’ a pas le droit de me faire ça. De me torturer comme ça. S’ il croie que c’ est comme ça qu’ il va m’ aider en changeant d’ avis toutes les 5 minutes il se trompe mais sur toute la ligne! Vous savez j’ en ai marre d’ être larguée par moi-même en permanence. Si déjà lui ne sais pas quoi faire comment est ce que je peux trouver? J’ ai peur qu’ il abandonne comme tout à l’ heure où il m’ a laissée toute seule après m’ avoir accusé de lui faire prendre de la coc laissant mes problèmes me rattraper sa conscience parlant dans le vide, ses remords derrière lui. Il avait espéré qu’ ils ne le rattraperaient jamais mais c’ est bien beau de rêver seulement rêver c’ est la nuit quand les étoiles brillent et autorisent toutes les folies dans nos songes. Autrement rêver c’ est pas possible, rêver ça nous tue si on le fait les yeux ouverts, enfin je crois peut être je sais pas…

Oui j’ avais peur qu’ il continue d’ avancer seul et qu’ il m’ abandonne sur le bord de la route. Je redoutais de voir sa silhouette devenir de plus en plus petite au fur et à mesure qu’ il s’ éloignerai ainsi que son souvenir qui s’ effacerai au fil du temps de ma mémoire laissant un gros trou dans ma vie par ce que pour l’ instant la seule chose que j’ accepte de regarder en face dans ma vie c’ est lui, ma seule source d’ espoir et s’ il me tourne le dos c’ est fini. J’ aurai rêvé en plein jour et ça m’ aura tué.

C’ est tellement désespérant de penser ça que je préfère ne plus penser alors je reste les bras ballants le long de mon corps, les yeux dans le vide immobile comme un automate en panne d’ amour, une panne de Bill.

Non ne me regarde pas maintenant s’ il te plais. Laisses moi le temps d’ en avoir besoin, d’ en avoir la nécessité, ne me donnes pas tout de suite ce dont j’ ai envie sinon je vais le perdre et c’ est trop précieux un don de toi. Laisses moi en avoir besoin pour que je sache comment m’ en servir pour m’ en sortir, me démêler de ce pétrin, de ces embrouilles, de ces emmerdes qui m’ empêchent de continuer la route avec toi main dans la main même si de temps en temps j’ ai encore du mal à ne pas faire un bond en arrière quand tu me tends la tienne et que tu me proposes ton aide. C’ est juste que c’ est dur tu sais, c’ est juste que c’ est moi, voilà tout. Tu t’ es encombrée d’ une fille qui s’ appelle Melanie et qui ne voie pas la vie comme toi par ce qu’ elle ne l’ a pas vécu du même côté que toi alors excuses moi de te ralentir mais au fond je commence à croire qu’ à deux c’ est plus facile. Laisses moi sauter dans le train en marche avant qu’ il ne passe devant moi et que je me retrouve sur le quai vide d’ une gare inconnue au milieu de nulle part.

alors? ben c' est que comme je l' ai dit plus haut, la suite d'avant était mieux mais elle s' est effacée, les boules oui je vous assure, mais bon j' ai quand même essayé de cracher quelquechose psk c degue de vous faire attendre alors ke vous m' aver laissé des commz trop sympa donc voilà, si vous aimez pas dsl, j' essaierai d' en faire une autre et la suite arrive^^

Je n’ avais pas le droit de rester impuissante et le regarder faire ce qu’ il ne fallait pas par ce qu’ il allait lever son regard sur moi, il s’ apprêtait même à le plonger dans le mien et je le refusais. Alors j’ ai bougé. Au début je n’ ai fait que lever mon bras et l’ étendre entre lui et moi pour lui dire stop sans rien faire d’ autre. Mais comme cette prise de distance ne suffisait pas puisque je sentais son regard peser de plus en plus lourdement sur moi et que sa main effleurait déjà mon menton je me suis écartée d’ un geste vif, d’ un mouvement fluide, coulant, fuyant même et je lui ai glissé entre les doigts une fois de plus alors qu’ il croyait avoir gagné une bataille. Sauf que je déteste la Guerre et que j’ ai trop souffert. Surtout par ce que je sais ce que ça fait de souffrir et combien ça fait mal. C’ est impossible de recommencer et de risquer de s’ offrir toute entière à la douleur. Alors oui Bill encore une fois je m en vais pour me protéger et tenter d’ avancer sasn trop soufrir. C’ est le même scénario qui se répète. La balle est dans ton camp et je n attends plus que toi… Seulement pour ça il faut d’ zabord que tu bouges, que tu esquisses au moins un mouvement et pas que tu restes planté là dépassé par les évènement. Je sais que c’ est dur mais imagine un peu ce que ça doit être pour moi. Alors BOUGE s’ il te plais. Tu sais bien que je n’ arrive jamais vraiment à te repousser alors tente quelque chose pour me sortir de là. S’ il te plais Bill essaie au moins encore une fois, rien qu’ une. S’ il te plais fais le pour moi si tu ne veux pas prendre le train tout seul.

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