[T] De l'enfer au paradis..

lol merci beaucoup, tu peux pas imaginer ce que me fait ton com par ce que moi ce que g peur c ke ce soit soulant et là ça me soulage trop! merci^^ et une suite biento ( surtout qu' un passage TRES interessant se rapproche, je te laisse deviner lequel c' est lol)

C'est tjrs aussi bien, la suiiiiuiiiiiiiiittttteee!!!!!!!!
dsl j'suis parti tôt hier soir ...:s Mais zé lu là et zaimmmm tjrs autant on attend le passage .. lol !!!!!
suiiiiiiiiiiitte

rho j' avais oublié ta signature cocom^^ encore merci pour le lien sur ma fic je viens de le voir là... oui je vous tape la suite l' échéance se rapproche...

Maintenant il ne me reste plus qu' à prier pour qu' il ne me dise pas "Ok, je viens avec toi alors". Je vous en supplie mon Dieu faites qu' il ai encore du boulot avent son concert de ce soir...

"- Bon ben je viens avec toi" dit - il d' un ton sans équivoque comme si aucune tentative de ma part pour le repousser n' était possible. J' étais coincée et n' avais pas le droit à la réplique. Ce serait inutile. Encore impuissante. J' en ai marre. Le pire c' est que je sais que c' est pour mon bien qu' il fait ça mais c' est plus fort que moi....
Alors comme je n' avais pas mon mot à dire je me suis contenté de le penser aussif ort que possible "Non" mais je crois que j' ai pensé tout haut et Bill n' a rien répondu, il était largué, sur le cul, n' avait plus aucune idée, ne savait plus quoi dire. J' en ai profité et je me suis enfuie. J' ai sauté l' escalier prestement et me suis retrouvée en coulisses. Il ne me restait plus qu' à suivre le dédal de couloirs innondé d' une lumière rouge pour me retrouver dehors et retourner à l' hotel. Avec un peu de chance il resterait quelque chose à manger.. C' était tout ce qui m' importait sur le moment présent et le fait que la nourriture m' omnubile m' empêchait de réfléchir à une solutions et en fait c' étaient les solutions que je fuyais.
Je marchais de plus en plus vite par ce que j' avais de plus en plus besoin de manger. C' est nul je sais, j' en suis consciente mais c' est une crise, une de plus, c' est juste une maladie comme l' alcoolisme. Les gens comprennent pas, ils font seulement semblant dans le meilleur des cas. Mais je m' en fou des autres. Ils représentent une part si minime dans ma vie jusqu' à présent. Sauf Bill. Lui je ne sais pas trop quelle part il prend dans ma vie. Je sais juste qu' il est plus important que beaucoup de choses et ça ne fait qu' une semaine que je le connais...

La dernière rue. J' accélère franchement le pas et je dis ça pour éviter de dire que je me mets presque à courir tout ça pour aller manger. C' est pitoyable. Je suis lamentable et j' a honte de moi mais je suis pas assez forte pour affronter tout ça en face et je fuis.. Je cours toujours plus vite.

SUUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIITTTTE!!!!!!!!

rooo quel chieuse comme même ! mdr, pas commode la fille avec le pauvre billou!

clair elle est pas commode du tout mais ça lui chnage d' avoir l' habitude d' avoir tout ce qu' il veut en claquant des doigts, en tout cas en matière de relations sociales^^

donc je vous tape la suite dans ... 30 secondes lol

Quelques minutes plus tard j' arrive à l' angle de la rue qui mène à l' hôtel. Mes pas se font plus hésitants dès lors que je m' approche de l' entrée.Puis je pousse un soupir de soulagement par ce que l' echéance se rapproche et que je vais bientot pouvoir manger pour chasser tout ce qui me passe par la tête et m' obstrut l' esprit. Je franchis d' un pas l' hombre de la rue dans laquelle j' étais et je me retrouve devant le hall d' entrée seulement je fais aussitôt un bond en arrière. Je me colle contre la paroie du mur de pierre et ma respiration s' accélère. Quelle chiote! La voiture était là devant l' hôtel et Bill m' attendait dans le hall. Je ne voulais pas le voir ou plutôt je ne pouvias pas le voir après lui avoir craché en pleine figure ce "non" si sec et sans équivoque. J' étais méchante, j' allais finir vieille fille, sénile et toute aigrie de n' avoir jamais su saisir aucune occasion d arracher à la vie une once de bonheur. Il ne me restait plus qu' à attendre qu' il s' en aillle retrouver ses milliers de fans hystériques. Je m' en veux de m'être conduite de cette manière avec lui et de luia voir dit ce que je lui ai craché au visage tout à l' heure. C' est dingue comme trois petites lettres, ujn simple "non" peuvent nous accabler de remords et de regrets. Seulement le problème avec les regrets et tout le tralala c' est qu' ils arrivent une fois que tout est terminé, que tout est joué, fini remballé et qu' il n' y a plus rien à faire. Il faudrait inventer des regrets instantannés. Un quart d' heure plus tard je ne tiens plus il faut que je mange et je me lève subitement pour me diriger d' un pas décidé vers le hall malgrès le fait d' être certaine qu' il y soit encore en train de m' attendre.

SUIIIIIIIITTTTE!!!!!!

j'suis trop deg je dois partir..!! :'(
gros bisous, et continueeeeeeee !!!!!! ta fic est geniale!! re encor et oui lol !!!!

super impatiente déjà de rentrer !!!!

Tu pars en vacances?

Les portes en verre de l' entrée s' ouvrent pour me laisser passer et je m' engoufre dans le hall en tentant d' avoir l' air sure de moi. Je dis bien " tenter". Peu de temps après que je sois entrée je me retrouve au milieu du hall au par terre de marbre avec les initiales de la chaine d' hôtel gravées au sol. Je n' ai rien dit, rien fait et ai continué à avancer jusqu' à ce que Bill soit à ma hauteur. Là ça m' a mise en colère de le trouver sur mon passage. Je n' avais plus qu' à dire " hôte toi de ma route" et on se serait cru en plein film de guerre avec shwarzneguer. Heureusement pour lui que je déteste la guerre sinon les pavés de marbres ne seraient plus que bain de sang.(lol)

" - Qu' est ce que tu fais là? demandai- je hautainement.
- ...

Je ne lui laisse même pas le temps de répondre et réplique aussitôt:

- Tu me suis maintenant? Je croyais que monsieur la super star avait un concert ce soir alors qu' est ce que tu fous là!!!

J' ai hurlé ces derniers mots et tout le personnel de l' hôtel s' est retourné sur moi et m' a regardé avec des yeux éberlués. De la femme de chambre à la co- gestionnaire en chef de l' établissement ils ont tous braqué leur regard sur moi. Rien à foutre je continue mon chemin et je trace ma route sans leur accorder un seul coup d' oeil à eux comme à lui. Je continue d' avancer vers mes pulsions destructrices seule, sans entraîner personne dans ma chute. Je prend l' ascenseur et le regarde à travers les portes d' acier qui se referment pour m' emmener à l' étage au dessus. Cinquième niveau. Les voyants de l' ascenseur s' allument et je descends.
Je ne peux même pas que J' avance, ce sont plus mes jambes qui me portent qu' autre chose. Je ne décide pas vraiment, je ne suis plus maitre de moi même quand la maladie prend le dessus de toute façon. Je pousse la porte et j' entre mais...

Je pousse la porte et j' entre lais il est déjà là. Bill se tient debout contre le mur, les jambes croisées. Il m' attend.
J' enrage et je me tais. Tout fulmine en mon fort inéterieur mais je n' ai pas envie de lui dire que je me sens désarmée face à lui. Que même quand je lui réclame son aide je suis pas foutue d' accepter, que je suis trop stupide pour pouvoir tout lui avouer, trop stupide aussi pour faire les bons choix. Que je suis incapable de me contrôler. Et que chez moi il y aurait tout à refaire pour qu' il puisse m' accepter...

Il n' avait pas bougé. Bill était toujours là, les bras croisés, une jambe par dessus l' autre adossé contre le mur. Il était beau avec ses longs cheveux noirs parsemés de mèches blondes. Ses yeux noisette avec de petits éclats de vert comme la terre. Ce sont dans ses yeux que je me perds quelue part au milieu de la Terre, au milieu de nul part sans doute, à chaque fois que j' y plonge les miens. Les lignes de son visage sont tellement douces qu' elles lui donnent un visage d' ange irrésistible. Comment ne pas craquer devant lui? Ses lèvres sucrées et bien dessinées, ses yeux maquillés de noir ténébreux, sa silhouette élancée. Bref une rock star tout en splendeur planté là devant moi sans rien dire attendant que je commence.

cc
g pu grâce à ma cousine me connecter!!! hihi Very Happy

lol trop heureuse, ba oui quoi !!
c'est sans doute la dernière fois que je me connecte pour deux semaines! et oui je pars en COLO bon ba zespere que ça ce passera bien !!!! ya pas de raison mais bon sans ta fic...:'(!
Continue, j'adore cette suite !!!!!
ro Bisoussssssssss encorr !!

LA SUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIITTTTTTTEEE

cocom a écrit:: cc
g pu grâce à ma cousine me connecter!!! hihi lol trop heureuse, ba oui quoi !!
c'est sans doute la dernière fois que je me connecte pour deux semaines! et oui je pars en COLO bon ba zespere que ça ce passera bien !!!! ya pas de raison mais bon sans ta fic...:'(!
Continue, j'adore cette suite !!!!!
ro Bisoussssssssss encorr !!

LA SUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIITTTTTTTEEE

rho merci cocom c' est trop gentil. Et moi comment je vais faire sans toi pendant deux semaines? Je vais être toute seule sur ma fic snif

Alors je commence.

[color=blue]" T' as pas compris? dis- je avec dédain.
- Non, tu m' expliques? Répond t- il du tac o tac."

C' est de trop. Je fais un demi tour sur moi même aussi raide que j' ai faillit m' étaler sur la moquette et je commence à faire les cent pas dans la chambre d' hôtel. Il me regarde sans esquisser une seule grimace il en a marre de mon manège. C' est compréhensible, même moi j' en ai marre alors lui j' imagine même pas! En plus lui expliquer. Mais lui expliquer quoi? pourquoi je suis comme ça? j' y peux rien voilà et je peux pas lui dire c' est trop dur...

" Mais bordel t' as toujours rien pigé ou quoi?!" Je crie de toute mes forces comme pour faire sortir quelque chose qui refuse d' être dit. Je crie à m' arracher les cordes vocales comme ça la douleur physique se confond avec la douleur morale que me cause ce que j' ai à dire. L' une dans l' autre ils font mal tous les deux mais c' est plus facile à accepter d' avoir mal physiquement plutôt qu' à l' intérieur. Le coeur ça met beaucoup trop de temps à guerrir et le mien est mitraillé de tous les côtés. Une vraie passoire qui sait même pas ce que c' est qu' aimer. A qui la faute? Je prononce même plus son nom, je dis juste que c' est la vie.
Il ne dit toujours rien alors je continue...

"- Tu vois pas que j' y arrives pas et que je commence à croire que j' y arriverais jamais? A chaque fois que je suis dans tes bras je suis tellement bien que j' aie envie de rester tout contre toi sans rien faire alors du coup justement je ne fais rien pour me sortir de cette merde qui nous ralentit tous les deux!" Je crie toujours mais ma voix faiblit et on entend presque rien. Trop nule pour réussir à parler pfff.
"- Mais de quelle merde est ce que tu parles?" dit- il en se redressant et en faisant un pas vers moi.

Oh non il a pas le droit de faire ça. Il a pas le droit de me demander de lui dire comme ça de but en blanc, il sait bien que ça fait mal. Mais putain il ne voit pas les larmes qui commencent à perler aux coins de mes yeux? Moi je les sens et je souffre encore plus de savoir que je suis faible devant lui. Il n' a pas le droit non plus de se rapprocher si dangereusement de moi comme si de rien n' était. Je le sais dès que je l' aurais touché je ne pourrais plus rien dire et ma main me démangeait si fort que je devais lutter pour lui dire ce qui n' allait pas mais aussi pour me contrôler et ne pas faire un seul geste vers lui.
Je parle de ce dont je ne peux pas parler mais aussi je te parle de moi par ce que c' est moi qui déconne. C' est dans ma tête mais aussi gravé sur mon corps. Apparement il voit pas de quoi je veux parler. Est- ce que tous les mecs sont aveugles?

"- Je parle de moi. Je veux guerrir Bill et ça marche pas. Le truc c' est que je sais pas exactement contre quoi je me bats et je crois bien que c' est contre moi même. Je t' ai pas encore tout dit mais c' est par ce que je peux pas encore tout te dire. Peut être un jour mais c' est pas sûr. Je sais pas, je sais jamais rien t' as dû le remarquer. Alors du coup ben je rame, je galère je tourne en rond et je mange pour essayer de guerri rien qu' un peu mais ça ne fait qu' empirer les choses seulement je peux pas lutter..."

Je n' ai pas pu terminer ma phrase par ce qu' il s' est rapproché de moi, si près qu' il m' a prise dans ses bras. C' est dangereux mais il l' a fait quand même. Je crois qu' il aime bien être au bord du gouffre, en équilibre sinon il ne m' aimerait pas moi...

" - Mais moi je suis là... chuchote -t- il.

Je laisse mes larmes couler un peu par ce que j' en ai tant refoulé que je n' arrive même plus à articuler un seul mot.

- Mais toi t' y peux rien. Tu peux pas te battre à ma place, tu peux rien faire c' est ça qui est nul..."

Le pire c' est que c' est vrai, il ne peut rien faire à ma place mais pourtant j' ai besoin de lui; Pourquoi? je n' en ai aucune idée je le sais c' est tout et pour une fois que je sais quelque chose c' est déjà bien.
Il soupir par ce qu' il sait que j' ai raison et que face à mes problèmes il est impuissant. C' est trop dur à accepter alors il tente de se convaincre qu' il peut faire quelque chose qui y contribue.

"- Ben je peux déjà commencer par faire ça... , il dépose un baiser sur ma tête. Je souris par ce que c' est si léger comme réponse à une situation si grave mais en même temps ça fait du bien. Seulement je pleure encore... J' ai eu tellement de problème jusqu' ici que j' ai rien appris de la vie. j' ai besoin de réapprendre à vivre.

- Mais faudrait m' apprendre à vivre Bill...

[color:ced1=blue:ced1]- Chuuut par ce que ta première leçon commence. Je peux aussi faire ça...., il relève mon menton et dépose un simple baiser sur mes lèvres. Il relève la tête pour scruter ma réaction mais je ne proteste pas et au contraire en redemande encore. Juste encore une fois s' il te plais c' est si bon... Je veux goûter tes lèvres et te sentir contre moi. Il baisse la tête et je me retrouve innondée de son parfum frais avec quelques unes de ses mèches de cheveux qui me chatouillent le visage. Je sens son souffle chaud caresser mon cou et il y dépose un autre baiser avec volupté qui se fait caresse sur ma peau.

Moi je trouve que c' est une super [T] De l'enfer au paradis.. - Page 24 Pixel234

looooooooooooooooooooooongue suite^^

comme je te lavé promis sur une otre fic je suis venu lire la tiene elle est vrémen magnifique ,très bien écrite elle ne resemble pa du tou au otre fi elle est spendide , bocou plu raliste ke lé otre ! en un sel mo : magnifique tou simplemen magnifiqu ,tu ma ému sur certain peti passg je trouv ke tu aénormemen de talen a l'écriture

je te demande une suiteuh

méeuh la suiteuh

j réclam une suiteh

bah pk ya po de suiteuh snif -_-,

rho merci beaucoup^^ promis jte mets la suite t' es la seule à passer par là en ce moment alors on va dire que je a mets pour toi^^ mci encore, tu dis que j' ai un talent pour écriremais toi t' as un don psk t' as fait apparaître un sourire sur moj visage^^ t' es croooo forte!! lol

merci la souiteuh de suiteuh plizeuhh loleuuhhh sa rmeuuuuu

lol
lé la suiteuh j ten supli jlaten depi lonten

a kel heur tu poste ??

bon ben je vais la poster maintenant pour pas te faire poiroter 300 ans je suis pas une sadique t' as de la chance lol

youpi merci bocou !!!! la the suiteuhhhh

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