[T] Elle l'aime, Lily, son inconnu.

AAAARF.
[Putain vive mon voc^^]
Enocre ma belle !

Lily: Reprend vite ton souffle. J'veux pas être responsable de la mort d'une ' grande ' moi. Et puis j'aime bien quand t'es là. Tes commentaires me font toujours sourire =)
(L)

Camille: Hanlala, tu te rends pas compte à quel point ton commentaire me fait plaisir là. Accro ? Putin. Mais Sourire quoi.
<3

Emma: Suite bientôt ma belle. Merci de continuer à lire. =)


Ma Marie: Viens quand tu veux, je t'attends. ( Et merci, pour ta signature <3 )

Ma Salomé: Laisse toi bercer alors. Si j'arrive à te faire plaisir, j'en suis ravie.
(L)

Enora: Une drogue dure ? Sa c'est un compliment. Merci. (L)

Ouais, accro. Vrai de vrai.
Sourire sourire <3

Camille: Je t'aime toi (L).

Ma Marie: Tu m'vis ? Et moi je els vis aussi en écrivant x). Waouu, ma Marie. Tout ce que tu dis, c'est moi que sa a perturbé. Perturbée à dose de 'Putain', 'Bordel' et de 'Dieu'.
(L).

bertiiille ! Jtai rpeodnuu sur ma fic =p

Tu sais quoi Bertille ?
Bah moi aussi

Emma: Okay, j'ai vu je vais y répondre. Et tu dis n'importe quoi. Il suffit que je fasse de la pub ici et j'suis sure que Lily, Camille, Marie, Salomé, Enora, toutes ces 'grandes' comme tu dis. Toutes iront lire ta fiction et tes OS. Ce que tu fais, c'est digne d'une grande aussi, crois moi =D

Camille: . Faudra que tu m'donnes ton adresse MSN toi =).

Oh course

AAArf -_-' !!
x)..<333333
Allez ma belle maintenant il est l'air de nous faire planer !

Les sens toujours exaltés, l’esprit brouillé, Lily a laissé ses jambes marcher toutes seules, incapable de diriger son corps encore brûlant, et s’est finalement retrouvée face à cette immense glace présente dans les toilettes. Décidément, elle ne les aurait jamais autant visités qu’aujourd’hui.

Lily observa son propre reflet dans la glace et pour la première fois, elle ne s’est pas reconnue. Ce n’était pas Lily qui portait cette jupe bien trop courte, ce n’était pas elle non plus qui avait mis toute cette couche de crayon noir et de gloss à paillette. Ce n’était pas Lily qui portait ce haut un peu trop plongeant. Non, Lily n’aurait jamais pu faire tout sa à l’époque ou elle était encore cette Lily innocente et naïve. Et qu’était-elle devenue ? Une pute. Une pute de luxe, marchant à la drogue, au sexe et à l’alcool. Joli tableau.
Et tout sa, elle se l’ait pris dans la gueule lors de cette danse ou tout ce qu’elle croyait avoir oublié avait ressurgi. Ce trop plein de sensation lui avait ouvert les yeux. Bill lui avait ouvert les yeux.
Cette peau qui lui avait tant manquée, cette sensation de se noyer dans l’infini d’un regard, cette odeur bien spécifique qu’il avait dans les cheveux. Tout lui avait manqué.

Alors que des larmes commençaient à perler dans ses yeux verts, Lily ouvrit l’un des robinets et s’aspergea le visage de ce liquide pur et sain. Comme pour se nettoyer, se purifier, tirer un trait sur tout sa. Ces 3 mois avaient été une énorme erreur.

C’est à ce moment là que ce puissant manque contre lequel elle n’arrivait pas à lutter se décida à intervenir, juste pour lui rappeler que tirer un trait sur ces 3 mois serait une chose bien difficile. Ces jambes se sont mises à trembler, suivies par ses mains et finalement tout son corps a finis par être traversé par d’effroyables frissons. En manque, Lily était en manque.
Comme une habitude, un reflex, elle sortit de quoi contenter son corps afin que celui-ci la laisse tranquille.
C’est à cet instant là que la porte s’est ouverte et Lily a baissé immédiatement la tête, pour ne pas que la personne qui venait d’entrer ne découvre ses yeux rougis et ses pupilles dilatées par un manque encore non comblé.
Et pourtant, en sentant ce souffle chaud dans son cou, Lily a su immédiatement de qu’il s’agissait. Et elle était dans la merde.
Une bouche qui se faufile le long de son cou en une tendre caresse pour finalement s’arrêter au niveau de son oreille.

- Tu me manques aussi.

Non Bill, pas sa. Tout sauf sa.
Et sans réfléchir, Lily s’est retournée et s’est sans le savoir jeté dans le piège tendu par Bill qui ne perdit pas de temps et l’embrassa.
Alors que leurs langues se redécouvraient, tout deux ressentaient une véritable explosion intérieure. Explosion de sentiments. C’était un baiser doux mais pressant, marquant leurs retrouvailles et comblant ce manque accumulait.

Tout aurait à nouveau pu déraper si Lily n’avait pas cessé ce baiser, prise par un éclair de lucidité.

- Non Bill, arrête. On ne peut pas. Il y a Jenny.
- Jenny ?
- Jenny, Bill. Elle est là-bas et elle t’attend.
- Sauf que ce n’est pas d’elle que je veux.
- Quoique tu en dises, tu es venu avec elle, tu partiras avec elle.

Alors il s’est arrêté et vu la tête qu’il faisait, ce n’est absolument pas ce dont il désirait. Mais qu’il le sache, elle aussi ne désirait que continuer. Mais là, c’est Lily qui avait réagi et non pas la poule de luxe. Et Lily avait pensé à Jenny.

- Désolée …

Lily se décala lentement de Bill, évitant absolument tout contact avec ces yeux car sinon, elle serait perdu et alors qu’elle s’apprêtait à sortir, cil arriva ce dont jamais elle n’aurait souhaité qu’il arrive. Un petit sachet blanc s’échappa de sa poche et bien évidemment il l’attrapa avant elle.

- Qu’est-ce que c’est que sa ?
- Rien.
- Prends-moi pour un con aussi.
- Ecoute Bill …
- Merde, Lily. Pourquoi ?

Il l’attrapa au niveau du poignet et découvrit tous ces trous qui avaient du lui offrir pas mal de minutes de bonheur. Et c’est un regard lourd de sens qu’il lui lança alors qu’elle tenta de lui échapper.

- Pourquoi Lily ?
- C’est un Bill artificiel.

Et il la lâcha, abasourdi par ces deux mots. Et elle, elle a filé, car il savait maintenant qu’elle l’aimait toujours à en crever.

Je serais bien tentée de remettre le "Mon dieuuuuuuuuuuuuu *_*" Mais je vais essayer de mettre quelque chose de plus constructif x)

La dernière phrase de Lily là c'est immense, ça m'a littéralement fait explosé les yeux, et le coeur avec. Cette histoire m'embarque complètement, j'en suis folle, c'est officiel quoi. Je crois que toute leur douleur a eux deux me possède complètement (ouais ouais tu me possèdes ).
Finalement c'est pas constructif du tout ce que je viens de dire mais bon tu comprends hein ? Oui, je sais que tu comprends.

<3

Bon Dieu, ma Bertille.

C'est sa réplique quoi, cette phrase, cette évidence bien camouflée, bordel.
Mais merde quoi, juste merde.
Bordel, c'est grandiose, j'suis soufflée, soufflée et détruite.

Je t'aime, bordel. <3

"C'est un Bill artificiel"

Merde. Bordel de merde.
C'est magnifiquement magnifique.
T'explose mon coeur encore une fois, Bertille.
Et sûrement pas, la dernière.
(L)

Bordel quoi.
Tu n'sais pas ce que ça fait.
Mais je vais te le dire,
J'ai le coeur rongé, et l'estomac broyé.
Et cette réponse merde, " C'est un Bill artifiel. "
Elle fait encore plus mal que tout le reste.
<333