[T] Pensées Nocturnes

... LinoooooOOOOOooooo !

... Je t'aime !

Dis, dis, dis, j'en veux encore !

Tu veux bien invoquer l'arc-en-ciel encore une fois ? Claquer des doigts et faire apparaître les chutes du Niagara dans tes mots... Encore une fois.

Je suis avec les nuages, tu nous as véritablement gâtées ! ^^

Je t'embrasse fort p'tite étoile.

Un tout p'tit morceau (j'm'en excuse >.<) avant un sûrment plus gros. Merciiii pour vos commentaires. Z'êtes adorables <3
*Calin* =))




« Lino… Ils viennent quand, tes éditeurs ?
- J’en sais rien. Ce soir je crois.
- On est ce soir.
- Le soir de ce soir, alors ?
- Le soir du soir c’est pas l’matin ?
- Non, le matin, c’est l’aube du début de la journée. C’est le prologue du jour. Tu vois ?
- Non j’vois pas le matin. Puisqu’on est le soir.
- Hein ?
- T’es rigolote.
- Ah bon ?
- Oui. T’es rigolote. Et ton sourire c’est un peu comme un esquimau.
- Un esquimau, c’est froid…
- Non, parce que un esquimau, c’est au chocolat et à la vanille. Un esquimau c’est tout doux et tout fondant. C’est rigolo les esquimaux, aussi.
- Ah ? Tu trouves ?
- Bien sûr. »

Ah bon ? Ah… Peut être bien, en fin de compte, que les esquimaux c’est rigolo. Un peu comme…

« Comme les hiboux ?
- Tu les trouves rigolos, les hiboux ?
- Ouais. T’as vu leur grosses lunettes sur la tête ? Et leur air un peu idiot…
- C’est vrai.
- Ouais.
- Tu m’aimes ?
- Quoi ?
- Lino, tu m’aimes ?
- Oui. Encore plus que les hiboux.
- J’espère que t’aime beaucoup les hiboux.
- … T’es rigolo. »

On a été prit d’un fou rire tous les deux, et on s’est tellement tortillés dans tous les sens qu’on en a un eu perdu la tête, je crois. On a fini par se battre, s’chatouiller et se mordre, comme si tout allait bien et qu’la vie était belle.

Mais justement… Tout va bien, et la vie est belle.

Muhh.

Je vais me répéter, je vais me répéter...

Tant pis.

Je t'aime, et j'aime ce que tu fais. Ah, j'voudrais qu'ça finisse jamais.

Mon dieu mon dieu.
Mon coeur est saturé.
Explosion d'émotions.
Merci Lino parce que j'crois que tu contribue à m'empecher d'le vomir, ce coeur.
C'est compliqué mais j'me comprends.
Je t'aime (l).

Passage un peu obligé disons. Mais pas forcement... Enfin vous verrez bien hein.
J'sais meme plus quoi répondre à vos compliments. J'suis juste... Vraiment heureuse, de lire de tels trucs. Merci. J'vous aime mes enfants perdus =)







« Hé, Lino, c’est pas tes éditeurs là bas ?
- Des grands mecs baraqués et qui font un peu peur, genre Men In Black ?
- Ouais…
- C’est eux. »

Je m’approchai de l’entrée du hangar pour leur montrer qu’ils étaient au bon endroit. J’avais un peu peur, même si j‘avais fais comme si cette histoire m‘indifférait. Peur que ce ne soit qu’une ridicule moquerie, peur que l’entretien ne se passe pas bien, peur… D’eux, tout simplement.
Et puis sans que je ne dise rien, j’ai vu les autres se lever, et venir derrière moi, comme une petite armée d’anges qui empêcheraient, quoi qu’il arrive, qu’on me fasse du mal. Bill me prit par la taille et je me retournai. Tom et Blin’, main dans la main, étaient juste derrière nous. Contre un mur, Georg regardait les hommes qui arrivaient, bras croisés. Gustav se tenait de côté, à peine devant moi.

« Bonjour, Lino. »

Je fis un sourire timide et leur serrai la main qu’ils me tendaient tous les deux.

« Alors, vous avez enfin décidé de parler de ce livre avec nous ?
- Oui, enfin… J’aimerais savoir ce que l’on pourrait en faire, disons…
- Nous allons voir ça. De belles choses je pense. »

Sur ces paroles, ils lancèrent un regard interrogatif à l’égard de mes amis, et je vis dans les yeux de l’un des deux hommes une légères hésitation.

« Tokio Hotel. Vous êtes Tokio Hotel, pas vrai ?
- Juste Tom, Gustav, Georg et Bill monsieur. Rien d’autre.
- Ma fille vous adore !
- Euh…
- Mais ! Je ne pensais pas que vous vous terriez dans un hangar en France ! Personne ne sait où vous êtes depuis presque six mois !
- Un an. Enfin… Je pense que notre manager a réussi à cacher notre absence quelques temps en prétextant je ne sais quelle raison. Mais nous sommes en France depuis presque un an.
- Que s’est-il passé ?
- Le sujet est Lino, pas Tokio Hotel.
- Oui mais…
- Monsieur, s’il vous plait.
- Bien. »

J’étais restée silencieuse, à écouter Bill et l’homme. L’échange de parole avait été tendu. L’évocation de Tokio Hotel avait mis tout le monde mal à l’aise, mais Bill se ressaisit et me prit par la main.

« Venez vous installer. Vous voulez boire quelque chose ? »

Cette question était un peu comme une conclusion à la précédente discussion, et une ouverture à la vraie. Celle pour laquelle étaient venus les éditeurs.
Tout le monde s’installa autour de la table basse, Bill apporta des verres et de quoi boire puis s’installa à mes côtés, toujours méfiant, protecteur. Rassurant.

« Hm bon… Tenez, voici le manuscrit que m’avait envoyé votre père il y a quelques temps déjà. Nous avons surligné les choses qui nous dérangent, qui pourraient être rectifiées, les passages difficilement compréhensibles… Les fautes de grammaire et d’orthographe ont déjà été corrigées, rassurez vous. Il y en avait peu, d’ailleurs. Pour ce qui est de la syntaxe, elle est assez remarquable, surtout pour quelqu’un de votre âge.
- Ne jugez pas mes écrits par rapport à mon âge, Monsieur. Si c’est le cas, si vous trouvez que j’ai bien écris « pour mon âge », je pense que ça ne sert à rien de continuer.
- Non, non, ne vous inquiétez pas, nous…enfin, disons…
- Je refuse un traitement de faveur.
- Vous n’en aurez pas besoin. Je vous assure. Ce livre est une merveille. »

Ce genre de remarques ne m’allaient pas vraiment. J’ai dû devenir écarlate, et j’ai détourné les yeux pour cacher ma gêne. Bill me lança un regard amusé et me serra la main. Je l’ai regardé du coin de l’œil et j’ai compris l’message. Quelque chose comme : « T’es adorable ».

« Euh, hé bien, euh… Merci beaucoup. Vous voulez que je réécrive les passages qui ne sont pas bons, alors…?
- Oui, nous vous laisseront quelques semaines pour clôturer l’écriture. Nous ne pouvons pas nous permettre plus, nous avons déjà tout prévu pour l’édition.
-… Alors. Mon livre va vraiment être édité ? Vendu…? J’connais pas trop le principe… Droits d’auteur et tout ça…
- Aucun soucis. Regardez, voici les papiers. Je vous laisse les lire et vous nous les remettrez signés en même temps que le manuscrit.
- C’est trop facile. Je n’ai jamais eu l’habitude de la facilité.
- Si. En écrivant ce que vous écrivez.
- C’est un peu plus de plaies qui s’ouvrent à chaque mot.
- C’est un livre exceptionnel.
- Ma vie n’a rien d’exceptionnel, vous savez…
- Hem… Bon.
- Oui.
- Nous allons vous laisser.
- Et bien, euh, oui, d’accord. Merci pour toutes ces informations. Merci pour… Merci de m’avoir contactée. Et d’accepter de publier mon livre.
- Merci de nous avoir permis de lire ceci. Sincèrement. »

L’entretien s’est terminé ainsi, aussi simplement, aussi calmement. Un mot d’espoir, un mot souriant dans la bouche sévère de cet homme droit. Un mot partagé pour exprimer une reconnaissance, un remerciement… Un plaisir, juste. Décidément, moi qui ne connaissais plus que ce sentiment de paranoïa inaltérable, je retrouvais confiance en tout ceux qui m’entouraient. Même en mon père, dont je n’avais jamais vraiment eu foi.

« Sincèrement… »

Un mot plein de promesses.

Muuh, je t'aime. ^^

:vv:

"Sincèrement"...
Venant du coeur, c'mot n'peut qu'être plein de promesses.

La suite, p'tite étoile >o< !

Haan. Humf. Arf. Bon, peu de mondes commentent, mais... Nao et Cindy. Et Po' pour les autres fois. Et d'façon meme si vous commentez pas, mes ptites étoiles. <3
J'vous aaaimeuh ^^
Merciii. Beaucoup.

Une suite =)




« J’peux le lire ? »

On était tous restés autour de la table, nos verres à peine entamés entre nos mains, silencieux. Le livre jonchait au milieu de la table et semblait attendre que quelqu’un le saisisse. Nos yeux, tous nos yeux, même ceux de Blin’, étaient fixés sur la première page où se dessinaient les lettres du titre et mon nom, juste en dessous.

« Non Tom. Faut que j’le remanie.
- J’peux quand même le lire…?
- Tom ! J’t’ai dis non.
- Mais Lino…
- Quoi…?
- Lino…
- Tom ?
- Lino.
- QUOI ?
- J’veux lire ! »

Plus têtu que ça !

« Le premier chapitre !
- … Bon. Ok. Mais t’aimeras peut être pas, qui sait ?
- J’aimerais.
- Bon… »

Bill tentait tant bien que mal de ne pas tomber de son tabouret, tellement il riait, pendant que Tom dévorait du regard la première page du livre.

« T’es vraiment… Incorrigible, Tom.
- Oh, hé, Georg, j’te ferais dire que si j’l’avais pas pris c’est toi qui aurait demandé. »

Silence. J’me tournai vers Georg. Georg, qui ne m’parlait jamais. Même si je savais qu’il m’appréciait, ça s’voyait dans ses yeux. Il avait l’air un peu peiné en me voyant d’ailleurs. Comme s’il avait mal pour moi, ou bien juste un peu peur que j’me casse.
Il détourna les yeux, l’air embarrassé, et je lui fis un grand sourire.

« Vrai, Georg ?
- Vrai.
- Adorable.
- Vrai ?
- Vrai.
- J’pourrai ?
- Ouais.
- Mais !! Et moi tu m’disputes !
- Parce que t’es rigolo quand t’es énervé. »

Eclats de rire. C’était Blin’ qui riait.
Blin’ riait.
Blin’… Riait.
Et son rire, je crois qu’il a arrêté le temps. Tom a levé les yeux de sa lecture, Bill a retenu son souffle, Georg et Gustav ont fermé les yeux peut être quatre ou cinq petites secondes. Immenses secondes. Interminables et délicieuses secondes…
C’était comme un rêve. Un dessin qui s’inventait sous nos yeux, qui dansait sur une feuille invisible tendue devant nous, et puis des couleurs d’partout et c’était beau, tellement beau.

« Tu savais encore, alors…?
- J’avais juste oublié le mode d’emploi, Tom.
- Merci Lino.
- Pourquoi ?
- Pour lui avoir réécrit le mode d’emploi. »

Tom… Je pensai un instant qu’il aurait pu être jaloux. Jaloux du rire de Blin’ qui s’adressait à moi, jaloux de moi, simplement. De ma présence ici. Mais c’aurait été absurde de penser qu’un tel sentiment pouvait vivre en Tom. C’était impensable. C’que je voyais, c’était juste un sourire rayonnant sur le visage d’un gamin torturé, et l’rire dévastateur de la petite fille aux yeux morts. Ou aux yeux d’or, je sais plus trop, en fait…

*_*
Je t'aime, p'tite étoile.

Blin' a rit.
Le monde s'est arrêté. Pour mieux s'remettre à tourner.

^___^ Muh, je t'aime !

J't'en prie, encore !

J'ai enfin fini d'tout relire depuis le début. Et franchement...
Mais j'te hais tellement c'est beau quoi.
Y a des trucs j'me demande vraiment où tu vas les chercher, des phrases que j'savais même pas qu'elles existaient, même dans l'imagination de JM Barry. Putain là j'suis soufflée et j't'assure que j'ai du mal à trouver les mots pour écrire ce commentaire.
Et un simple bravo, ou même un silence décrirait pas c'que j'pense de tout ça. Mais au fond j'pense que c'que t'écris c'ets indescriptible.
T'as de belles images dans la tête franchement Flo alors t'arrêtes jamais d'écrire ca serait vraiment du gachis.

Oo
Mon étoile...
Ma reine des enfants perdus...
Mon DIeu mais...
que je t'aime toi ! °°
Jen veux encore encore encore et encore, jusqua que mon coeur explose, explose de tes mots, jusqu ce ue j'oublis tout ce qu'il enferme, mon coeur, même Lui, et qu'il ne reste plus que toi, tes mots et les enfants perdus...
J't'aime, et jme repète et jme répétrai encor longtps
...

Arf arf arf arf arf arf.
Ca devient impossible de répondre à des choses pareilles.
Merci à vous toutes.
J'suis contente de continuer à plaire avec cette histoire. J'ai cru qu'elle aurait pu battre de l'aile un peu mais finalement ça va, j'm'en sors à peu près ^^

J'vous aime.



« Lino… Dis, Lino, tu viens ? »

Bill me regardait avec des yeux un peu penaud, tellement attendrissant, et j’éclatai d’un rire que je ne pu contenir, tout en lui saisissant la main.

« Oui Bill, allons-y. »

Aller où ? J’sais pas, j’m’en fiche, j’veux pas savoir. Que ce soit la Lune ou bien une prison, qu’ce soit vers la vie ou bien vers une mort certaine, moi j’veux juste être avec Bill.

J’voulais juste sa main dans la mienne, juste courir avec lui vers je n’sais où et faire ce chemin là, ce chemin inconnu avec lui. J’aurais pu m’envoler jusqu’aux cerfs volants qui nous narguent dans le ciel et danser avec eux. Faire des bulles avec l’espoir, rire d’un rien, rire de tout, faire des tours avec mes bras et croquer la joie comme j’le faisais avant, avec Maël. J’aurais même pu tomber du haut d’une falaise, j’savais très bien qu’il allait m’rattraper. J’savais très bien que j’pouvais n’avoir peur de rien, puisqu’il était là.
Il chantonnait à mes côtés. Un air de j’crois en la vie. Un air de j’crois qu’le bonheur est pas si loin. Un air de j’crois que j’t’aime. Et j’adorais cet air là…

« Oh, ça fait longtemps qu’il n’a pas plu.
- Tu crois ? J’croyais qu’il pleuvait à l’instant.
- Ah bon ? J’ai pas senti.
- C’est normal Bill, t’es trop fou pour sentir la pluie.
- Pourquoi ?
- Pourquoi… T’es fou ?
- Non, pourquoi j’sens pas la pluie ?
- Parce que la pluie elle te glisse dessus sans qu’tu t’en rendes compte.
- Oh… C’est triste. »

On était étendus par terre, au milieu de nulle part, l’herbe qui nous chatouillait le cœur de ses brins multicolores et du soleil plein la nuit. Au milieu d’l’averse. Et puis, je n’ai rien répondu un moment.

Deux, trois, quatre anges virevoltent au dessus de nos têtes. Sourires au vrac. Deux trois étoiles qui dansent une valse avec les lucioles. Douceur de rien… juste de nous.

« Mais non Bill. Tu t’concentres pas c’est pour ça.
- On a besoin de se concentrer pour sentir la pluie ?
- On a besoin d’pas trop regarder quelqu’un dans les yeux de cette façon si irrésistible. Comme tu le fais, exactement, tout de suite maintenant.
- J’te regarde comme ça moi ?
- Oui.
- Ah bon ? Il est comment mon regard ?
- Intense. Avec une pointe d’envie. Je crois.
- Tu crois ?
- Oui je crois bien.
- Non. Tu t’trompes.
- Ah zut.
- J’te regarde intensément. Avec d’l’envie à en faire exploser l’ciel.
- … Bill ?
- Oui ?
- J’ai envie d’toi.
- Euhm…. Hm. Lino…
- Tais toi Bill. »

Il s’est tu. Parce que j’l’ai embrassé, j’ai pas pu résister à ce geste que j’avais fais si peu jusqu’ici. J’tenais plus. J’avais juste envie d’son corps contre le mien. D’nos doigts emmêlés. D’sentir sa respiration dans ma nuque. J’avais envie d’manger son cou, j’avais envie d’le dévorer de baisers, et j’sentais mon cœur qui explosait un peu plus à chaque battement de cœur.
Vous savez, j’avais jamais vécu ça. Jamais vécu c’moment là. Avec personne. Et c’est avec Bill que j’ai appris qu’le monde nous réserve encore bien des surprises. Des promesses qu’il nous fait, il y en a certaines qu’il tient.
Comme celle de m’faire rire de nouveau aux éclats à m’en faire exploser le cœur. Comme m’permettre de vivre la vie comme je l’entends. Comme d’oublier mes peines et d’être aimée par un ange des temps modernes. Comme d’connaître l’amour entre ses bras.

haaaaaan (l)(l)(l)(l)(l)(l)

ma lino, je taime...

la suite

En fait j'voudrais dire des trucs.
Mais j'crois que là tu m'laisses sans mot.
Disons que...
Je sais même pas.
Enfin.
J'vais arrêter d'me ridiculiser là.
*

Simple, direct, efficace : Je t'aime.

Voilà.

Parce que sérieux, là, j'ai du mal à te dire quoi que ce soit d'autre.
Zut. Et en même temps, pas zut.

Bref.

Je t'aime <3

C'est magnifique.
*sourire jusqu'aux oreilles et des étoiles plein les yeux*
C'est juste grandiose.
Merci Lino d'être aussi parfaite <3.

Putain j'viens de tout lire.
Ta fic est ... Magnifique. Magnifique. Magique.
Une pure merveille.
Et...

« Comme les hiboux ?
- Tu les trouves rigolos, les hiboux ?
- Ouais. T’as vu leur grosses lunettes sur la tête ? Et leur air un peu idiot…
- C’est vrai.
- Ouais.
- Tu m’aimes ?
- Quoi ?
- Lino, tu m’aimes ?
- Oui. Encore plus que les hiboux.
- J’espère que t’aime beaucoup les hiboux.
- … T’es rigolo. »

Putain je t'aime Lino, quoi. Troooop fort.
Et j'te jure qu'avec un Shwarz en fond, le passage ou Blin' rit est tout simplement magique... Et m'a donné la larmette à l'oeil.
Tes mots ils explosent.
J'aime.

Et oui, tu deviens de plus en plus passionée de Bill :]

Merci pour ça

Han ! =$ Ohla là. J'sais plus quoi dire.
Mais. Pf.
Mais merci quoi. Merci d'aimer mes mots. De l'dire comme ça, à votre façon, j'trouve ça tellement beau.
Mais Camille. Tu t'ridiculises pas. T'es trop chou.
Krime. <3 SImplement.
Nao mais... Ha ! J't'aime !
Po' ? Arrête de dire des bêtises. J'suis pas parfaite. Mais t'faire sourire c'est la plus belle chose que j'puisse imaginer faire. Et y'arriver. C'est Wouah.
Et puis Pao. Tu m'as achevée, tu savais ? ^^ Et j't'aime. Trooop fort aussi =) [Bill j'l'aime à travers mes mots en fait ^___^]

Bon j'me tais. Et j'vous met une tooute petite suite histoire de vous faire patienter pour une plus grande, si j'y arrive^^









« Tap tap tap »

C’est quoi, ce bruit ?

« Tap… Bam Bam »

Hein ?

« Lino, j’ai mal à la tête…
- Maël ?!
- Lino… Pourquoi t’es partie, dis ? »

Maël. Mains sur le visage. Visage ensanglanté.
Et moi j’sais plus quoi faire, et j’crois que j’ai besoin de Bill, pour qu’il m’aide à sauver Maël… Pourquoi il est comme ça, pourquoi il a plus ses cigarettes dans la bouche, pourquoi il a l’air si… Mort ?

« Lino, tu sais, t’es un peu comme moi. T’as un truc en moins sur ton corps, qu’les autres ont, eux. Mais tu sais Lino… Tu sais, on est peut être plus vivants qu’eux, nous. Tu m’manques, Lino… »



« Maël… »

Main sur ma nuque. Soupire. Regard. Sourire. Bill ?

« Maël ?
- Euh… »

Sourcil levé. Regard… Jaloux ? Sourire crispé. Soupire gêné. Sourire… Jaloux ?

« Maël ?
- Maël oui.
- C’qui Maël.
- Dis pas ce nom comme si t’allais l’vomir.
- J’vomis aucun nom.
- Si, le sien.
- Bon, c’est qui, Maël ?
- T’as encore failli le cracher, là.
- Lino !
- Ah, t’as d’la chance, t’as pas failli le vomir celui là. J’aurais pas trop aimé.
- Mais c’est pas vrai…
- Oh, oui, désolée. J’avais oublié. Maël, c’est l’marchand de sable en Robe de Sorcier Vaudoo qui fume des cigarette en chocolat en s’accrochant aux branches des étoiles filantes.
- Pardon ?
- Maël c’est mon meilleur ami. »

"Maël, c’est l’marchand de sable en Robe de Sorcier Vaudoo qui fume des cigarette en chocolat en s’accrochant aux branches des étoiles filantes.".

Comment tu fais, dis ?
J'veux te lire encore et encore, rentrer dans c'monde là, ton monde, encore une fois. Et pour l'éternité. J'crois que j'pourrai y rester infiniment tellement j'm'y sens bien et tellement y'a d'trucs à voir, à connaître, à rêver, dans c'monde là. <3

Joyeux désespoir.
Ouais c'est ça.
Comme un joyeux calvaire à travers un ciel brumeux.
J'en veux encore Flo, encore jusqu'à m'en saouler l'âme, jusqu'à en gerber mes idées noires, jusqu'à en voir le monder tourner autour d'la lune.
C'est un peu ça tes mots.
Partir loin en restant là. Boulets accrochés au pieds et des rêves plein la tête qui mènent vers Pluton.
Pourquoi Pluton ?
Parce que.