[T]** Un Concert Inoubliable, suiteuh**

Oh, merci!
C'est super sympa! Jkiff ton com!
J'vais essayer d'écrire la suiteuhn de la suiteuh... 'fin bref koi j'me comprend

Gros bisous
J't'adore trop fort!!!!!!!!!!!!!!!!

Ta fic est sublissime!

Sophangel51_du_67 a écrit:

Oh, merci!
C'est super sympa! Jkiff ton com!
J'vais essayer d'écrire la suiteuhn de la suiteuh... 'fin bref koi j'me comprend

Gros bisous
J't'adore trop fort!!!!!!!!!!!!!!!!

Ta fic est sublissime!

merci de dire ke ma fic é sublissime^^

jsui accro à la tienne !!! =D

gros bisous ma givrée !! jtd fort !!

Je kiff je kifff je kiff
J'aime trop leur complicité entre Jo et Bill, ca me fai bien marrer ses attitudes un peu exagérées...
T'écris de mieux en mieux je trouve, tous ces détails, ces expressions que t'écris ca nous plonge vriaiment dans l'histoire!!!!!
Faut que t'écrive un livre ma tite chewie ^^

Sinon en attendant ben
LA SUITEEEEEEEEEEE

Bizoux et continue a écrire, c trop un bonheur dte lire
Jtadourr

jsui complétemen dacord avec Dani20 !!!!!! ^^

Vous voulez la suiteuh alors?

ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii stp !!!!!!!!!!!!

UIIiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii titouplé

O_o en haut de pache! XD
Suiteuh, c'est parti mon kiki...


Moi, un peu ironique : « Mon père ? Toujours là, pour m’engueuler, toujours là pour péter les couilles, toujours là dès qu’il faut partir en amoureux avec ma mère, toujours là, quand je suis loin de lui, toujours là quand j’ai pas besoin de lui, toujours là pour s’éloigner de ses enfants, toujours là, pour son boulot, toujours là, mais qu’est-ce que je raconte ? Jamais là. Mon père est un brillantissime chirurgien et depuis petite, c’est presque Alfred qui m’a tout appris, Qui était là pour mon spectacle de fin d’année ? Alfred. Qui m’a appris à faire du vélo ? Alfred. Qui a pansé mes petites blessures ? Alfred. J’aime mon père, mais il ne le sait pas, j’aime savoir qu’il est là, j’aime me perdre dans mes souvenirs, quand petite il venait me donner un bisous sur les cheveux et que je faisais semblant de dormir. Seulement, c’est Alfred qui m’a élevée comme sa fille, c’est lui qui m’a consolée quand j’avais peur du noir. C’est lui qui m’a engueulé quand il a su que j’avais fais des bêtises. »
Bill : « Oh, désolé, je voulais pas… »
Moi : « C’est pas grave tu sais, et puis, je sais qui est qui…J’ai ni peur, ni honte de l’avouer. Mais pour ma mère, c’est pareil, elle ne m’a pas vu grandir, c’est normal, elle, c’est une avocate réputée, donc entre le barrot de Paris, celui de Marseille, un tel qui la veut pour sa défense, j’ai grandis sans mes parents, avec mon frère, on se soutient beaucoup, quand il est partit, ça m’a énervée, mais j’avais Elisa et mes amies, puis je peux faire ce que je veux… C’est un bon côté des choses… Alfred m’engueule, je le respecte beaucoup, mais il me laisse faire beaucoup de chose, il me dit toujours ‘Pour apprendre, faut faire les conneries soit même ‘ Mais bon, je veux pas te souler plus que ça avec ma vie. Dans quelques heures tu seras plus là, et moi je te raconte le côté nul de ma vie… Désolé, j’excelle dans le pas douée ! »
Bill : « Tu me soules pas du tout, t’inquiètes ! C’est dommage que tes parents ne soient pas là pour toi ! »
Moi : « Et les tiens ? Je sais qu’ils sont divorcés, et que parfois ça pète encore entre eux, mais ils vous suivent partout, toi et Tom, ou pas trop ? »
Bill : « Tiens, tu veux que je te mettes le sparadrap ? »
Moi : « Oui, merci, mais tu veux pas parler de tes parents ? »
Bill : « Euh, si, ça me gène pas, mais je voudrais pas que tu te sentes mal à l’aise parce que mes parents sont là… et pas les tiens. »
Moi : « Oh, ne t’inquiètes pas pour moi, je suis forte tu sais! »
Bill : « Je sais ! Mais je sais aussi que voir la vie des autres, quand la notre est moins bien, ça fait mal, ben moi, mes parents se sont divorcés, mais ils nous ont toujours soutenus ! Surtout mon beau père… Voilà, ce n’est pas trop long, mais mes parents ont toujours été là, au moindre problème, au moindre coup de fil, ils se démerdent pour être là, le plus vite possible. »
Il me met le sparadrap, son téléphone sonne.
Bill : « Ça te gêne si je décroche ? »
Moi : « Non, vas-y ! »
Bill : « Ouais, halo ? »
Bill : « Ok, mais bon, oui, on arrive ! »
Bill : « Non, quoi ? Qu’est-ce qu’il s’est passé ? Raconte ! »
Bill : « Trop drôle… Ok, bon a tout de suite alors. »
Moi : « C’était qui ? »
Bill : « Gus’, faut qu’on y aille ! »
Moi : « Ah, ok… Il t’a raconté quoi ??? »
Bill : « Je t’expliquerai plus tard ! Aller viens. »
Il se lève, je regarde une dernière fois cette salle de bain, de la mélancolie monte en moins, c’est comme quand je partais du Portugal quand ma grand-mère y était encore, je regardais les lieus où j’avais séjourner pendant trois semaines et les larmes montaient et finissaient par s’échapper de mes yeux clos, malgré ma volonté, malgré ma concentration pour éviter de pleurer, les larmes sortaient de moi, elles jaillissaient de mes yeux, c’était plus fort que moi., et là, je sens cette même nostalgie des lieux, je suis triste, non pas parce que je ne rentrerai plus jamais dans cette chambre, cet hôtel, mais plus parce que je sais que mon histoire avec Bill se finira dans quelques minutes, dans un aéroport.
Bill : « Jo’ ! T’attends quoi. ? »
Moi : « Euh, rien, j’ai eu une absence, t’as pas un doliprane ? J’ai mal à la tête... »
Bill : « Tiens, t’es sûre que ça va ? Si tu veux, on peut rester ici… »
Moi : « Non, on va bien s’amuser… »
Il me tend la main, je me lève sans son aide, je me sens bizarre, un peu stone.
Bill : « T’es sûre que ça va ? »
Moi, un peu énervée sur les bords : « Oui, désolé, je suis un peu à cran… »
Bill : « Pourquoi ? »
Moi : « On y va ? »
Bill : « On ne répond pas par des questions ! »
Moi : « Veux pas te le dire, allez, viens, on y va ! »
Il se met devant la porte de la salle de bain, j’essais de passer, mais il m’en empêche.
Bill : « Dis moi ce qui va pas, sinon, je te laisse pas partir ! »
Moi : « Non, j’aime pas dire ce que j’ai, ni ce que je pense au fond de moi ! »
Bill : « Alors, fais moi le voir ! »
Moi : « Oublie ! Je ne le dirais pas et je ne te le montrerais pas ! »
Bill : « Ok ! Alors, on ne bouge pas d’ici ! »
Moi : « Je suis têtue, tu le sais ! Si on ne bouge pas d’ici, tu risques de rater ton vol ! »
Bill : « Je m’en fous de rater mon vol ! Dis moi pourquoi ! »
Moi, les larmes aux yeux : « Pourquoi tu veux savoir, pourquoi je vais pas bien ? Pourquoi tu t’intéresses autant à ce que je peux ressentir ? Pourquoi tu ne t’en fous pas de moi ? Pourquoi tu reviens toujours, même quand je suis une vraie pute avec toi ? Je ne mérite pas autant d’attention… je ne sers à rien ! A part te souler, encore une fois ! Laisse moi passer !»
Bill : « Oublie, tu sortiras pas, tu veux savoir pourquoi ? Ça m’étonne que tu n’es pas compris, parce que je t’aime, je suis attaché à toi ! Je veux savoir pourquoi mon bébé va pas bien ! »
Il me tend le bras, je le prends, il me pousse contre lui, j’éclate alors en sanglot il me caresse le dos, j’ai mes mains qui cachent mon visage, je pleure, je suis faible…
Bill : « Tu veux bien me dire ce qu’il y a maintenant. »
Moi en hoquetant : « Nostalgie. Ma vie. Toi. »

Ma pensée : Haha, et maintenant, tu réponds quoi ???

Bill : « Nostalgie ? »
Moi : « Oui, je suis sensible à la moindre petite chose, le seul fait de savoir que c’est la dernière fois que je viens ici et que je sais que ce sont les derniers moments que je passe avec toi, me fait pleurer… T’as vu, j’suis quelqu’un de faible… Je pleure pour un oui ou pour un non, je sais que faire des conneries… Pourquoi tu m’aimes ? Pourquoi tu aimes une fille comme moi ? Je ne suis pas assez bien pour toi… »
Bill : « Sous-estime toi si ça peut te faire plaisir ! En tout cas, je pense tout le contraire de toi ! Fais ce que tu veux, penses ce que tu veux, j’ai essayé de te faire changer d’avis, t’as pas voulu m’écouter, je peux rien y faire. Soit têtue ! Fais toi plaisir… Mais ça te fait souffrir, et je n’aime pas ça ! Mais j’ai essayé de te faire ouvrir les yeux, mais tu es ma petite mule… têtue… et tu ne vois pas plus loin que ton nez ! »
Je soupire, ça me tue, il est si parfait. Je suis si bien, je sens sa respiration sur mon épaule. Il me serre un peu plus fort, j’entends son cœur battre, il me pose un bisous sur le cheveux
Moi : « Au fait, pourquoi tu es parti avant ? »
Bill : « N’en parlons pas ! »
Moi : « Si ! Je veux savoir ! »
Bill : « Insistes pas ! »


Suiteuh ou pas? Vous avez aimé?

ouiiii jaime trop!!!! jve la suite stp!!!!!!!

j'attends encore un com de somebody différent et je la mets ^^

dépéchez vous "somebody" !!!!!

Dani20 a écrit:

Je kiff je kifff je kiff
J'aime trop leur complicité entre Jo et Bill, ca me fai bien marrer ses attitudes un peu exagérées...
T'écris de mieux en mieux je trouve, tous ces détails, ces expressions que t'écris ca nous plonge vriaiment dans l'histoire!!!!!
Faut que t'écrive un livre ma tite chewie ^^

Sinon en attendant ben
LA SUITEEEEEEEEEEE

Bizoux et continue a écrire, c trop un bonheur dte lire
Jtadourr

C'est vrai que j'écris de mieux en mieux??? :$

Allez dépêche toi de mettre la suite maintenant !!

C'est super bien !! Je veux savoir comment ça va se passer !

SUITE !!

Comme promis, la suiteuh:

Il me lâche.
Moi : « Accouche, je t’ai dis pourquoi j’allais pas bien, alors dis moi pourquoi tu es partit ! »
Bill, un peu énervé : « Je t’es dis de pas insister ! Si tu me le demandes encore une fois, ça va faire mal !»
Moi : « Nafoute, je veux savoir ! Et je ne lâcherai pas l’affaire ! »
Bill : « T’es sûre ? Après te plains pas si je te gueule dessus comme du poisson pourri ! »
Moi : « J’t’écoutes ! »
Bill, super énervé : « J’en ai marre, tu me prends pour un chien ! Tu fais tout pour toujours te retrouver dans le rôle de la victime ! Tu dragues Tom sous mes yeux ! Et après, tu fais comme si de rien n’était ! J’en ai marre ! Mes limites, tu les dépasses chaque jour un peu plus ! Tu te rabaisses tout le temps, et moi, j’essais d’arranger les choses, mais à chaque fois, tu trouves le moyen de m’énerver, j’encaisse, j’encaisse, tu t’amuses avec moi ! Maintenant, tu vois, j’en ai marre ! C’est pour ça que je suis parti ! Tu t’es assise sur les genoux de Tom, t’as fais comme si j’existais pas ! Tu me mens ! J’en ai marre, tu joues à un jeu avec moi ! Et moi, je me dis ‘mais non, c’est pas possible’ ou encore ‘je l’aime, je peux encore supporter’ et après, je fais tout pour oublier, mais à chaque fois, il y a quelque chose en plus. Jo’, je tiens à toi, mais là, j’en peux plus ! Tu me prends vraiment pour un con qui peut tout voir, sans s’énerver, qui peut tout entendre sans être blessé, qui peut tout encaisser. Voilà, maintenant, ça te va comme réponse ? Je suis partis parce que je ne supportais plus ça, toi, tu peux flirter avec Tom, mais moi, suffit que je parle avec quelqu’un d’autre, que ça y est, tu te plains ! Désolé, mais je peux plus le supporter, désolé de t’avoir tout dit en face, comme ça…. Peut-être que tu penses que je suis un salaud, ou autre, mais tu m’as poussé à bout, tu as voulu savoir, maintenant tu sais, voilà… »
Je suis sur le cul, je l’avoue, j’ai eu un comportement pas bien, mais je m’en rends pas compte, je suis étonné, j’savais pas que je pouvais être aussi chieuse, méchante et conne. Mais c’est bien, ça me remet à ma place.
Moi : « Wow, je suis sur le cul là… Ben en tout cas, merci de m’avoir dis ça en face, la plus part du temps, je ne vois pas quand j’abuse… Je suis désolée de tout ce que je t’ai fais subir…Désolée pour avec Tom, désolée d’être égocentrique, désolée d’être cette fille, désolée de ne pas être comme toi ! »
Bill me pose un doigt sur ma bouche.
Bill : « Tu m’en veux pas alors de t’avoir dis tout ça ? »
Je prends ses mains dans les miennes, je le regarde droit dans les yeux
Moi : « Bien sûre que je t’en veux pas ! Justement, ça fait du bien que quelqu’un nous remette à notre place…Et toi, ça t’as fais du bien d’extérioriser toute ta colère ? Tout ce que tu avais à l’intérieur ? »
Bill : « Oui, ça fait du bien, désolé de t’avoir balancé tout ça en plein gueule, mais j’en pouvais plus, alors quand tu m’as demandé pourquoi j’étais parti, j’ai pas résister. »
Moi : « Non, mais attends, t’as pas à t’excuser ! La seule fautive, c’est moi ! Donc culpabilise pas »
Il regarde mes lèvres, d’un coup, je le prends dans mes bras, je le serre fort…
Moi : « Désolé ! Excuses moi ! »
Bill : « Je te pardonne ! »
Une soudaine envie de l’embrasser, je mets mes mains de part et d’autre de son visage, j’approche son visage du mien, et Bam, quelqu’un toque.
Bill : « Faudrait y aller ! »
Moi : « Pas tout de suite ! »
Je l’embrasse, il se laisse faire, la personne re toque, mais nous, on continue, son portable vibre, je le sens puisqu’on est collé bassin bassin, on est obligé d’arrêter…
Bill : « Combien tu paries que c’est… »
Moi, je finis sa phrase : « Tom ! »
Bill : « Transmission de pensées, XD »
Moi : « Ouais… Je peux répondre ? … Enfin, si ça te gènes pas ! »
Bill : « Ouais, vas-y, mais prend une autre voix ! »
Moi, avec une voix de pétasse, d’une fille de pouf land quoi : « Halo, Bill ne peut pas répondre pour le moment, vous lui voulez quoi ? »


Suiteuh ou pas?

Ohhh trop émouvant cte suiite!!!!! (petite sensible =D)


Il se lève, je regarde une dernière fois cette salle de bain, de la mélancolie monte en moins, c’est comme quand je partais du Portugal quand ma grand-mère y était encore, je regardais les lieus où j’avais séjourner pendant trois semaines et les larmes montaient et finissaient par s’échapper de mes yeux clos, malgré ma volonté, malgré ma concentration pour éviter de pleurer, les larmes sortaient de moi, elles jaillissaient de mes yeux, c’était plus fort que moi.

Je ressens exactemen ça aussi... ca me rapelle trop de choses pffiouu....

Tu sais koi, j'ai pa envie kil se quittent!! lol
Nan mé sinon c vrmt trop géniale!!!! J'aime les émotions que dégage ta fic: tristes, marrantes,... Merciiiiii merciii
SUITEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE

Et oui si jamais, je trouve que t ecris de mieux en mieux, c magnifique!!!!!! je suis arch fan!! lol

Bizzzz'
et
Suite

Merci! C'est super sympa, t'inquiète, ils vont se quitter, mais je dis pas comment. héhé

Je vous prépare une petite surprise...

mdr j'adore qd elle prend la voix de pouf !!! xD

SUITE SUITE SUITE !!

C'est horrible de sentir le moment fatidique arrivé !

C koi cte suprise allezzz diiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!!!!!!!
SUITE SUITE SUITE SUITE
la fin aproche, sniiiiifffff

Haha, surprise surprise...

trop bien !! la suiiiiite stp!!

Moi : « Oui, je vous le passe tout de suite madame ! »
Bill : « Maman ? »
Bill : « Euh, non, c’était Anne lyse qui s’amusait avec mon portable…Mais tu veux quoi ? »
Bill : « Ah, tu es devant ma chambre, et tu voudrais entrer…Oui, mais là, je suis pas à l’hôtel ! »
Bill : « Oui, mais maman, ok, je t’ouvre ! »
Moi : « Qu’est-ce qu’elle veut ? »
Bill, en chuchotant : « Je sais pas, cache toi, reste ici… »
J’ai failli piquer ma crise parce qu’il ne veut pas que sa mère me voit, mais vaut mieux. Que je me taise, parce qu’en plus, j’suis plus une gamine merde !
Moi, en chuchotant : « Et mon bisou ! »
Oui, quand même, je n’allais pas le souler avec autre chose, XD
Il s’approche de moi, et il m’embrasse, mais juste un smack, sa mère tambourine la porte…
Simone : « Mon chaton, on ne fait pas attendre sa mère comme ça, je t’ai pas élevé pour que tu me traites comme ça ! »
Bill : « Mais attends, je prenais ma douche, tu veux pas me voir tout nu non plus ! »
Simone : « Je t’ai déjà vu nu comme un vert plusieurs fois en plus, mon petit poussin! »
Bill : « Maman, c’était il y a très longtemps ! Genre, j’avais 5 ans, la dernière fois ! »
Simone : « Ha ! Enfin ! C’est pas trop tôt mon petit poulet ! »
Je glousse derrière la porte, elle a trouvé pleins de bons surnoms ma belle mère, ai-je dis ma belle mère ? Ou la, ça va plus ! Non, mais sans dec’, mon poussin, mon poulet, mon chaton, elle excelle dans l’animalerie…
Simone : « Tiens, voilà ton pantalon, je repars maintenant, faut que j’aille voir ton frère, mon tit fauve… »
Il ferme la porte. Il ouvre celle de la salle de bain, il me voit pliée en deux, en me pinçant les lèvres.
Bill : « Tu fais quoi là ? Une nouvelle pose ? (pas de sous-entendu, s’il vous plait, XD) »
Moi : « HAAAAAAAAAAAAAHHHAAAAAA, excuse, mais j’adore tes surnoms mon lapine ! »
Bill : « Commence pas ! »
Moi : « Désolé mon roi …lion ! »
Bill : « Ciao ! Je me barre ! »
Moi : « Non, excuse moi, Bill ! Je suis désolée ! Mais c’était plus fort que moi… Désolé, regarde, j’arrête ! »
Il me choppe par la tête, il l’a met sous son bras et frotte mes cheveux avec son poing fermé.
Moi : « Arrête ! J’ai arrêté ! S’il te plait ! Tu me décoiffes en plus ! »
Il n’arrête pas, je tente les chatouilles, rien n’y fait, je pique son portable, il me lâche.
Moi : « Ah ! Enfin, tiens, roh, j’suis toute moche maintenant ! »
Bill : « Mais ça te change pas de d’habitude ! »
Vous connaissez l’amour vache ? En voici un exemple, XD.
Moi : « Merci, t’as pas une brosse ? »
Bill : « T’es pas chiche de sortir avec cette coupe ! »
Moi : « Ah ouais ? On parie quoi ? »
Bill : « Une clope ? »
Moi : « Ok, si je le fais pas, je te dois une clope. Mais si je le fais, oh et puis, rien nafoute, je le fais, sans rien en retour, juste pour le fun ! »
Je précise, j’ai une coupe à la folle, genre Bill mais que sur le haut de la tête…Et sans laque.
On arrive, Tom explose de rire, Gus se roule par terre, quand Georg et Nana arrivent, ils se retiennent, mais explose de rire, bizarrement, je m’en fous .
Une soirée, magnifique, je passe le passage au resto, je vous laisse imaginer, ou plutôt, vous rappelez du dernier resto.
On arrive devant l’aéroport, mon cœur se serre peu à peu, Bill me prend la main et la serre, je veux qu’il me dise qu’il ne partira pas, mais je sais que ça serrait trop beau pour être vrai, je ne sors pas de la voiture, Bill veut que je l’accompagne, mais pas moi, les adieux sont trop difficiles pour moi, il part en claquant la porte, Tom entre dans la voiture.
Tom : « Va, avec lui jusqu’au bout ! »
Moi : « Nein ! Ich habe keine Abschiede gern ! (je n’aime pas les adieux[merci pour la traduction, miss]) »
Tom : « Foutaise ! »
Moi : « Dégage ! J’ai déjà assez mal comme ça ! »
Tom : « Allez ! Viens avec nous ! »
Moi : « Je ne peux pas ! »
Tom : « Comment ça tu ne peux pas ? »
Moi : « J’aime pas les adieux, tu veux me voir pleurer ? »
Tom : « Allez, viens ma gazelle ! Ça lui fera plaisir ! Et tu lui dois bien ça ! »
Moi : « Ihm das zu müssen? » (lui devoir quoi ?)
Tom : « Du weißt es sehr gut ! » (tu le sais très bien !)
Moi : « Oui, mais ! »
Tom : « Chut, et viens ! T’as juste à lui dire au revoir, et après, tu peux partir si tu veux, mais le laisse pas comme ça ! Sinon, tu peux oublier, il t’en voudra à jamais ! Allez, fais pas ta tête de mule ! »
Moi : « Ok ! Mais je reste pas longtemps alors ! »
Tom : « Zuviel gut!! » (très bien !)
Il prend mon visage dans ses mains et me fais un bisou sur le bout du nez. On sort, Bill est partit, j’avance, puis je retourne sur mes pas, Tom arrive à ce moment là.
Tom : « Tu nous fais quoi là ? »
Moi , en un souffle, comme épuisée : « J’ai pas le courage, Bill est partit ! »
Tom : « Kommen Sie!! » (Viens !)
Il me prends par la main, il me souris, je le suis, on arrive dans la salle d’attente.
Tom : « Regarde, qui est là, Bill ! »
Il se retourne, il me sourit, mais il a un sourire amer. Je lâche la main de Tom, j’avance, mes pas ne sont pas sûrs, trop de choses en même temps occupent ma tête, je m’approche de lui, je lui prends sa main, et on va s’asseoir un peu plus loin.
Moi : « Bill, excuse, mais je n’aime pas les adieux ! Je me retrouverais seule, et je ne voudrais pas que tu me vois triste. »
Bill : « C’est pas une raison ! »
Moi : « Désolé, je suis venue te dire au revoir, j’attendrais jusqu’à ce que tu embarques, ou je peux partir tout de suite si tu veux. »
Bill : « Non, viens ! »
Il me prend dans ses bras, je respire pour la dernière fois son parfum, les gens nous regardent avec attendrissement, l’heure passe.
La voix automatisée : « Porte 483, veuillez embarquer ! »
Bill : « C’est à mon tour d’embarquer. »
Je voudrais l’enlacer et ne plus jamais le laisser partir, mais je ne dois pas rendre les adieux aussi difficiles. On se lève, il me prend une dernière fois dans ses bras, il m’embrasse. Il est partit, moi je suis dans un taxi, je pleure, je ne peux m’arrêter, mon cœur vient de partir dans un avion direction Magdebourg, je suis sans sentiments.
Les jours passent et se ressemblent, toujours cette douleur, toujours ce manque, il m’envoie un message tous les jours, ou alors, il m’appelle, mais même à distance, je réussis à le souler, il m’a inviter à passer quelques journées chez lui, j’ai accepté, j’ai pris le premier vol, je l’ai rejoins, le premier jour, tout c’est bien passé, mais quand je l’ai vu entouré de fans, je n’ai pas résister, j’ai piqué ma crise.


suiteuh ou pas?

oula tu devré pa piker ta crise... c mové !!! =S

la suiiiiiiiiiiiite stp !!!!!!!!!!!!

La surprise, c'était deux longueuh suiteuh à la suite;)

Je me sens seule, stupide et abandonnée, hier on s’est encore engueulé, il m’a craché des mots de haine, je n’ai rien dis, je l’ai laissé faire, je l’ai laissé partir, il m’a dit que plus jamais il ne voulait me voir et que demain soir, quand il rentrera, il ne me voudrait plus que je sois chez lui. J’ai pris ses mots au pied de la lettre, mais je n’aurais pas le courage de vivre sans lui, mes amies sont là, mais elles ne sont pas lui. Je lui ferais une dernière surprise, bonne ou mauvaise, il m’envoie un sms, car je ne réponds plus à ses appels, il me dit de rester qu’il tient à moi, qu’hier il s’est emporté à cause du stress de la tournée, mais je l’ai tant fais souffrir, que je suis devenu un monstre, je le sais, je suis dans son appart’, mes valises sont faites, il n’aura plus qu’à les brûler. Je prends ma douche, le tuyau du jet m’attire, c’est comme un serpent qui s’enroule autour de mon cou, toujours plus fort, quelque chose me pousse à m’arrêter de suite, une idée, celle d’écrire le pourquoi de mon acte, tout dans sa salle de bain me parait apte à me recueillir, c’est la dernière fois que je vois cette pièce bleu, ma main écrit ces mots : « Je t’aime, ne m’en veux pas, je t’ai tellement fais souffrir et chier que je veux te laisser tranquille, ma vie sans toi, rimerai avec enfer, mais ma vie avec toi rime aussi avec enfer, pour toi, je veux rejoindre ma grand-mère, loin de toi, mais près d’elle, dans le village de mon cœur, là où la vie parait si simple et belle, au près de ma famille. Là où je sais qu’il n’y aura plus de dispute, là où je sais que je ne t’embêterai plus. Dis à mes parents que je me suis étouffée dans mon sommeil à cause de mon asthme , cache mes bras, le plus possible, désolé de te souler avec ça, mais dis leur que je les ai aimé, dis à Alfred que je l’ai considéré comme mon père, dis à Maria, à Daniela, à Karine, et à toutes mes amies, que je les aimerai toujours, mais que là où je vais, je serais toujours près d’elle, si elles me gardent dans leur cœur.» Des larmes coulent sur mon visage, je m’arrête un peu, je veux leur dire au revoir en vrai, mais ce serait beaucoup trop dure, je n’ai plus peur de la mort, c’est mon amie, j’étais si seule et elle m’a recueillit, j’ai appris à la connaitre, elle est si douce et pourtant si violente, je veux m’envoler de mes propres ailes, je veux rejoindre ma meilleure amie, mon âme-sœur ; la seule personne qui pouvait changer les choses n’est pas là, elle était si près de moi, mais à force elle s’est éloignée, je souffre, devant moi un gouffre sans fin s’ouvre peu à peu, je continues à écrire ma lettre. « Je voudrais t’éviter ça, mais désolé, je ne peux pas, tu voulais m’ouvrir les yeux, je les ai ouverts, mais j’ai pris peur, je devenais de jour en jour plus méchante avec toi, je te traitais comme jamais je n’aurais du, je suis désolée, j’espère que tu pourras me pardonner, sâche que jamais je ne pourrai cesser de t’aimer, et encore moins t’oublier. Je suis devenue un monstre, et pourtant, tu m’aimes encore, pourquoi ? Comment fais-tu ? J’espère que tu ne pourras me sauver, car si tu le faisais, je devrais retenter jusqu’à y arriver. Pourquoi ? Parce qu’hier, j’étais encore plus stupide que les autres fois, parce qu’aujourd’hui, mes parents m’ont appelés et m’ont dit qu’ils restaient encore 1 mois à Saint Tropez, parce qu’il y a à peine 3heures, Elisa m’a appelée et m’a dit qu’elle ne reviendrait pas tant qu’il n’irait pas mieux… J’espère que tu as compris pourquoi, je préfère arrêter de te souler, Surtout, ne pleure pas, je ne les mérite pas. Dis aux membres du groupe, qu’ils sont géniaux, que je ne les oublierai jamais, que votre groupe est l’un des plus mieux, qu’on est jamais vu ! Continuez comme ça ! De là-haut, je vous encouragerais toujours ! Vous êtes mes idoles pour toujours !»
Voici ce que je laisse sur la table de la cuisine, j’ai envoyé un sms, à chacune de mes amies, en leur disant au revoir, sans être trop explicite, la seule qui a tout compris, ce fut Maria, elle m’appelle plusieurs fois, mais je ne réponds pas, j’éteins mon portable, je vais dans la salle de bain, j’espère que Bill ne reviendra pas trop tôt.



Mon âme sort de mon corps, je me lève doucement, je caresse sa joue, mais il ne la sent pas, je le vois qui pleure sur ma dépouille, mon corps inanimé sourit, des larmes perlent sous mes yeux, et sur mes joues, mes larmes ne seront jamais mêlées aux siennes. Les pompiers arrivent, ils séparent Bill de moi, ils tentent de me réanimer, je me sens attirée par mon corps, je reprends mes esprits, je cris : « Bill, dans la cuisine ! Soit heureux. Je t’aime ! » Et je repars dans l’inconscient, cette fois-ci, les pompiers se sont acharnés sur moi, mais rien y fait, je suis morte, je deviens gelée, je baigne dans mon sang, mon âme doit à présent partir, je vais dans la cuisine pour voir Bill une dernière fois, il est assis, lis attentivement, et mêle ses larmes aux miennes. Bill lève sa tête dans la direction de mon âme, il me regarde droit dans les yeux, il pleure abondamment.
Bill : « T’as eu ce que tu voulais, Jo’ ! T’aurais pas du ! »
Tom arriva, prit Bill dans ses bras, un pompier vint les chercher et il s’excusa, mais c’était trop tard, il ajouta même : « C’est la première fois que j’ai vu ça, réussir à réanimer la personne, elle crit son amour pour quelqu’un puis elle repart dans les lymbes froides de la mort. Petit, elle devait vraiment t’aimer pour réussir à crier ça. »
Quelque chose me tracte vers le haut, je veux dire adieu à Bill, je réussis à l’embrasser une dernière fois, il me suit du regard jusqu’au plafond et maintenant, je pars tranquille vers l’inconnu, j’ai pu dire adieux à Bill, ma vie est maintenant belle et bien finit.


FIN

euh ... Que dire ? Que ta fic a été merveilleuse du début à la fin ?

Que j'ai mal pour Bill, que Jo' avait un sacré caractère.

Que j'ai pleuré, ouais j'avoue, j'étais à fond dedans. A fond ds le rôle de Maria impuissante face à la situation alors qu'elle a tout compris.

La lettre d'adieu est tout simplement wouah sauf que sesparents sauront bien qu'elle s'est suicidé. Les pompiers les mettront au courant donc l'excuse de l'asphyxie ça ne marchera pas ...

J'pense qu'il ne faut pas se suicider d'ailleurs. J'viens de me rendre compte que ça fait souffrir les gens qui t'aiment et les plongent dans le désespoir. Alors qu'avant je ne le comprenais pas, ça.

J'aurai bien aimé qu'elle vive cette Jo'. Elle était dynamique, attachante !

Ouahh j'ai eu du mal à m'en remettre ! Surtout qu'en même temps j'écoutais une musique déprimante (j'te jure quelle idée aussi xd) !

Une fin fabuleuse qui montre l'ampleur de ton talent !!

Vraiment. C'était beau. ça m'a coupé le souffle.

Magnifique

Merci beaucoup pour tous ces moments !