[T] YOURS

c'est magnifique, j'en suis accro, allez poste la suite stp !!

moi j ve bien le chap pliz pi suiteuh

Han
Suite <3

allleeez la souiteuh ^^ !!

Une suite chiteupléééééééé [T] YOURS - Page 5 16

Chapitre XIII

Nous attendions dans le couloir du tribunal, le procès n’allait pas tarder à commencer. Bill n’arrêtait pas de défaire sa cravate, ce qui m’obligeait à la lui remettre.
« Ca va? Lui demandai-je.
-Ca pourrait aller mieux.
-Ne t’en fais pas, ça va être vite fini.
-J’espère…. »
Je lui souris, et me mis sur la pointe des pieds pour lui embrasser le front.
Nous pûmes enfin entrer. Nous nous installâmes du côté droit de la salle d’audience. Seulement quelques mètres nous séparaient du violeur. Il fixait Bill avec un sourire pervers, lui baissait les yeux, n’osant pas le regarder. Je fus la première appelée à la barre. Pendant tout mon témoignage, je regardais cet homme dans les yeux, sans ciller. Si j’avais pu, je l’aurais tué de mes mains. Je racontai tout en détails, ma voix tremblant de temps à autres.
« Entretenez-vous une relation plus qu’amicale avec Monsieur Kaulitz? Me demanda l’avocat du camp adverse.
-Objection! S’exclama celui de Bill. Ceci ne regarde en rien l’affaire!
-Je pense au contraire que cela peut influencer les paroles de mademoiselle Alpmann.
-Objection rejetée, trancha le juge.
-Je… je… bégayai-je. »
Je croisai le regard de Bill, qui avait les sourcils froncés. J’vais prêté serment, mais dire la vérité pouvait nous amener à perdre le procès. Bill me sourit et fit oui de la tête. Après tout, les jurés allaient certainement jugé l’agresseur coupable…
« Oui, répondis-je.
-Je n’ai plus d’autres questions. »
Je retournai à ma place sous l’œil narquois du violeur. Ce fût ensuite au tour de Bill de tout raconter.
« Avez-vous subi l’influence de Mademoiselle Alpmann pour identifier le suspect?
-…
-Et bien?
-Non. »
Il avait dit ça d’un ton vraiment convaincant, apparemment ça ne le dérangeait pas de mentir sous serment… Lorsque les deux avocats eurent fini de l’interroger, l’agresseur pris place. J’entendis son nom pour la première fois : Patrick Sobel. Un nom que ni Bill ni moi n’oublierions certainement jamais. Il plaida non coupable. Il niait tout en bloc. Puis au bout d’un moment, un sourire se dessina sur son visage, une lueur démente apparût dans ses yeux.
« J’étais juste en train de fumer une clope dehors, commença-t-il. Quand il est passé près de moi, habillé et maquillé comme une traînée, je l’ai immédiatement reconnu. Je me suis alors dit que péter le cul d’une star pourrait être très excitant. Je ne me suis pas trompé, c’était un vrai plaisir de l’entendre couiner et pleurer comme une gamine entre moi et ce très cher mur. »
Comment un être aussi monstrueux pouvait-il exister? Je sentais les larmes couler sur mes joues et le dégoût m’envahir. Cette ordure ne méritait pas de vivre. Il avait finalement décidé d’avouer, probablement fier d’avoir pris possession du corps d’une célébrité. Je regardai Bill. Sa tête était baissée, son visage caché par ses cheveux retombant devant. Mais il n’était pas utile de voir son visage pour deviner qu’il pleurait, rien qu’à voir ses épaules tressauter. Petit ange…
« Mademoiselle Alpmann et monsieur Kaulitz affirment vous avoir vu la journée du 22 décembre devant l’appartement du groupe Tokio Hotel à Hambourg.
-J’étais en manque, et cette salope m’avait donné tellement de plaisir, je crevais d’envie de recommencer. Malheureusement, avant que j’aie pu tenté quoique ce soit, il s’est tiré la queue entre les jambes. Je n’ai pas retrouvé sa trace par la suite. »
Les questions continuèrent un peu, et il répondait toujours des horreurs inimaginables. Les jurés se retirèrent ensuite pour prendre leur décision, et nous sortîmes prendre un peu l’air. J’emmenai Bill à l’abri des regards, et il s’effondra dans mes bras, pleurant sur mon épaule. Je tentai de le calmer, mais j’étais impuissante devant sa détresse. Nous restâmes un bon moment enlacés. Quand nous fûmes appelés pour entendre le verdict, j’essuyai ses larmes avec mes pouces, et déposai un rapide baiser sur ses si douces lèvres.

Je n’en pouvais plus, je voulais savoir, je n’avais jamais été aussi stressée de toute ma vie.
« Patrick Sobel, accusé du viol du jeune Bill Kaulitz, est déclaré… coupable. Il encourt donc une peine de prison de 25 ans sans sursis. »
Des cris de joie retentirent dans la salle, se répercutant contre les murs. Nous nous levâmes tous, les bras en l’air, nous serrant le uns contre les autres pour manifester notre joie. C’était trop beau. J’en remerciais le ciel. Bill me prit dans ses bras et m’embrassa fougueusement, au milieu des gens qui sautaient et qui riaient. Nous ne les entendions pas, dans notre bulle où il n’y avait de place que pour nous deux…

new fan, elle est super bien écrite ta fic. est-ce qu'il y aura une suite ?

mais oui il y aura une suite
Very Happy

mais pas tout de suite

chloopy31 a écrit:: mais oui il y aura une suite

mais pas tout de suite

une revenante mais je peut moin aller sur l'ordi donc^^'

sinon ben suite
y'en a une au moin?
a moin que je pourrais l'avoir avant les autres?xxD

LA suite stp!!!

suiteuh

Toujours aussi bien écrit, rien à dire ^^

Une suite?

pff moi je veu une suite et quan je le veu je l'ai Xd
nn a lle la suite la suite la suite la suite

SUITEUH MISSSSSSSSSSSSS

<3
Suiite

nouvelle lectrice et nouvelle fan

c un monstre ta fic,elle est trop belle!!!!!!!!!!!

suite stp

Chapitre XIV

Une foule immense attendait à la sortie du tribunal, impatiente de savoir le verdict. Les journalistes étaient aux premières loges, ils ne voulaient rien rater. Ils parlaient tous en même temps, demandant si Bill était heureux du verdict, si il se sentait libre, comment les choses allaient se passer maintenant pour la musique. Nous tentions de nous frayer un chemin parmi les gens qui nous étouffaient. Puis un journaliste m’assomma presque avec son micro afin de me demander :
« Ne pensez-vous pas avoir profiter de sa détresse pour le mettre dans votre lit? »
Je me suis arrêtée, la bouche grande ouverte, je n’en croyais pas mes oreilles. Et lui il me regardait avec un air interrogateur et très sérieux, en attente d’une réponse. Comment pouvait-il penser ça? Comment pouvait-on dire de telles choses juste pour faire vendre?
J’allais lui répondre, lorsque je vis un poing s’abattre sur sa mâchoire. Bill se tenait alors entre lui et moi, surplombant le journaliste avec un regard noir. Il fût emmené de force par son garde du corps, tandis que je suivais ma mère jusqu’à sa voiture. Ils tenaient tous un merveilleux scandale…

J’étais rentrée depuis deux heures lorsque l’on sonna à la porte. J’y allai d’un pas monotone, et ouvrit la porte sur Bill. Nos visages s’illuminèrent, et je me jetai dans ses bras. Je le fis entrer et l’emmena dans ma chambre. Il commença à me caresser tout en m’embrassant. C’est alors que les paroles du journaliste me revinrent à l’esprit. Je m’écartai de Bill pour m’allonger sur mon lit, dos à lui.
« Qu’est-ce qu’il y a? me demanda-t-il les sourcils froncés.
-Rien, ne t’inquiète pas.
-C’est pour le journaliste, c’est ça? »
Je ne répondis rien. Il s’allongea à mes côtés, collant son torse à mon dos, et posant ses mains sur mon ventre.
« Est-ce que c’est aussi ce que tu penses? Lui demandai-je en fixant le mur.
-De quoi? Que t’as profité de moi?
-Mmh…
-Mais non! Bien sûr que non! T’es malade! Si t’avais voulu profiter de moi tu ne m’aurais pas repoussé lorsque je t’ai dévoilé mes sentiments. »
À l’évocation de ce souvenir, mon cœur se serra encore un peu plus. Je lui avais fait du mal, alors qu’il était adorable.
Je me retournai alors, me serrant un peu plus contre lui, enfouissant ma tête dans son cou.
« Pardon, murmurai-je en sanglotant.
-De quoi tu t’excuses?
-De t’avoir fait du mal… je voulais pas… je regrette…
-Arrête, c’est fini maintenant. Et puis je préfère que tu aises été honnête au lieu de me donner de faux espoirs. Maintenant n’en parlons plus, tu ne peux me faire que du bien, sans aucun sous-entendu. »
Je ris dans son cou, ce qui le chatouilla et le fit se tortiller. Je me souvins alors de la raison de sa présence.
« Tu vas partir? Lui demandai-je. Maintenant que cette histoire est finie, que tu n’as plus rien à craindre.
-Oui. Je savais pas comment te le dire. Mais je repars ce soir. » je me levai alors, et commençait à rassembler ses affaires, cachant mes yeux embués de larmes.
« Eh t’es si pressée de me voir partir? Me demanda-t-il avec un air grave.
-Non.. Je… je
-Cerise… c’est pas comme si je changeais de ville, tout redevient comme avant, mais ça change rien, c’est pas ça qui va nous séparer.
-Oui mais je… je me suis habituée à me réveiller dans tes bras, à me blottir contre toi lorsque j’entends des bruits la nuit. »
Il prit ma tête dans ses mains et me murmura :
« Ecoute, moi aussi ça me rend triste, mais tu dois garder à l’esprit que je ne suis presque jamais là. Dès que les enregistrements de l’album seront terminés, nous devrons repartir, et tu dois te faire à cette idée. Tu dois te réhabituer à mon absence. D’accord. »
Je hochai la tête en signe d’affirmation. Il sourit et m’embrassa sur le front; Comme il l’avait dit, j’allais devoir m’habituer à ne pas le voir souvent, alors que c’était en partie lui qui m’avait permis d’être plus sûre de moi…

rah arrêtez les compliments j'ai peur de mal faire après...
...
...
...
finalement continuez j'adore ça Very Happy

hahah trp mignon !!!
suite hein!!!

la swite tinkiete qu'on va continuer

Allez la suite stp!!!

Suiite !

ouah déjà
OO

allez let's go , la suite ;-D !!

Rhooooooo

. Pauvre Cerise...

Eh ben cette suite elle me fend le coeur...

Il me faut une suite joyeuse pour me rendre le sourire ! ^^

c tro nion j ve la suiteuh