[T] Journaliste: un métier de rêve.

On entra ans la boîte. elle était immense, et je ne mi sentais pas vraiment à l'aise. Je n'aimais pas trop quand il y avait énormément de monde comme c'était le cas ici.
on se dirigea vers une table, s'assis et commanda à boire. A côté de nous, installer à une table voisine, il y avait 3 filles, d'à peu près notre age, ou un peu plus jeune qui regardait un peu trop notre table à mon goût. Elles devaient avoir reconnu les garçons car elles emblait assez existées. Bien sur un autre personne les avait remarquait. Devinez qui c'était?? Tom. Il les avait en face de lui et ne cessez de les regardait en leur faisait des ptits sourires en coin se qui commençait à m'énervé. Je détestais quand il était comme ça. Au bout de 5 minutes il se leva et proposa d'aller danser, tout le monde l'imita sauf moi. Je venais de me rendre compte que j'étais jalouse ce qui m'énerva encore plus. Tom était le genre de mec que je détestait. pas physiquement bien sur, mais son côté macho sur de lui m'insupportait. Je restais donc assise. Laureline me regardait d'un air bizarre. Normal, d'habitude j'étais la première à aller danser.

Laureline: Ben qu’est-ce qui va pas? T’adore danser. c’est toujours toi qui me traine sur la piste de danse.

Moi: Oui, mais là je me sens pas très bien. Allez-y, je vous rejoins quand ça va mieux. J’ai juste besoin de 5 minutes.

Laureline: T’es sur que ça va?

Moi: Oui, oui.

Bill: Ben je ais rester avec toi, on va pas te laisser toute seule.

Moi: Non, t’inquiète pas, ça va aller.

Gustav: En fait, je crois plutôt que Bill se sert de toi comme prétexte, il déteste danser.

Bill: Mais si tu réfère rester seule.

Moi: Non, tu peux rester, ça me dérange pas.

Laureline fit une petite moue, puis ils partirent danser. Et devinez qui se leva aussitôt?
Les filles de la table d’à côté. Je les vit engager la conversation auprès de Tom et Georg. Finalement, je regretter ne pas être aller danser. Maintenant, Laureline dansait avec Gustav, Tom avec une des deux filles et Georg avec l’autre. Je détournais les yeux de ce spectacle qui me faisait enrager, quand je vit que la troisième fille était rester à table en train de siroter sa boisson, dévorant Bill des yeux. Décidemment ses filles étaient pire que des vautours. Je ne put pas y réfléchir plus longtemps car Bill engagea la conversation. Du coin de l’oeil, je vit que la jolie brune semblait légèrement contrarié.

Bill: Ben ils ont l’air de bien s’amuser là-bas.

Super juste le sujet qu’il fallait pas aborder.

Moi: Oui, mais ça doit toujours être comme ça je suppose.

Bill: Oui. Gustav danse bien gentiment pendant que les deux autres draguent à fond, surtout Tom. Moi en attendant, je reste à ne table et la soirée passe très lentement.

moi: Me fait pas croire, que tu reste tout seule toute la soirée. Il doit y avoir des tonnes de filles qui doivent adoré de tenir compagnie. D’ailleurs il y en a une là-bas qui attends que je me lève pour prendre sa place.

Bill: Ben ne te lève pas alors.

J’éclata de rire.

Bill: Mais c’est filles sont très mignonne mais elles ne sont pas très intéressantes. En plus je ne crois qu’elles veulent énormément parler si tu vois ça que je veux dire.

Moi: Oui je vois.

J’avais dit ça en fusillant Tom et sa pouf qui se trémoussaient toujours.

Bill: Sinon vous allez faire qui de vos vacances avec Laureline?

Moi: Ben vendredi on part dans nos familles. On reviens un peu chez nous, pour deux semaine puis on remonte.

Bill: C’est pas dur, loin de vos familles, vos amis et tout?

Moi: Ben ça nous manque des fois, le soleil, la mer et bien sur nos proche. Mais on a tellement de travail que de toute façon on ne pourrait pas en profiter. Mais c’est pas comme vous. nous on les voit à toutes les vacances. C’est différents et puis on les voit souvent quand même.

Bill: Ouais nous, même quand on les voit, ce n’est pas longtemps. Car i y a toujours une tonne de fan et ça devient vite ingérable. Du coup, n ne reste pas très longtemps. on essai de les prendre en vacances avec nous, mais eux aussi en une vie, et la notre n’a vraiment pas le même rythme.

Moi: Ouais, ça doit être trop chiant. C’est un des revers de la médaille.

Bill: Oui mais ça nous apporte tellement de plaisir qu’on a pas le droit de se plaindre. Il y a jute ça, la presse et les amours de déplaisant. dans toute cette magnifique aventure.

Moi: Oui ben même dans la vie « normale » les amours c’est pas le simple.

Bill: Oui, mais bon par exemple, toi et Laureline, je suis sur que vous avez un copain que vous voyez souvent et avec qui vous vous entendais bien. Alors que nous même si on voulait ce caser, on aurait pas assez de temps pour notre copine, et ça pourrait pas durer.

C’était plus fort que moi, j’explosa de rire. La vision que Bill voyait de la vie, était loin d’être réelle.

Bill: Quoi?

Moi: C’est loin d’être le cas. Tout d’abord avec Laureline on est célibataire, et ça fait un bon bout de temps et ensuite même si on avait des copains se serait loin d’être aussi simple. Crois, je sais de quoi je parle.

Bill: Vous avez vraiment pas de copain?

Moi: Ben euh oui!! On est même plutôt des célibataire endurci. Mais tu sais je vois pas pourquoi tu t’étonne, ça arrive souvent.

Bill: Ok. Je viens de passer pour un débile. Mais ce que je voulais dire c’est que ça m’étonnait, j’sais pas vous êtes sympa, drôle, mignonne (ou comme je nous lance des fleures Laureline mdr) alors j’pensais que vous étiez prise.

Moi: Non, pas du tout; on a pas eu des histoires super simple alors on veut plus se prendre la tête et ça fait un ptit moment qu’on reste seule. On est tranquille et puis au moins on fait ce qu’on veut. Mais bon aussi on a pas vraiment rencontré de mecs très intéressants donc voilà.

Bill: Ok. Ça fait combien de temps sans indiscrétion?

Moi: Euh.. à peu près 2 ans et demi.

Bill: Quoi??? Non, c’est vrai, c’est impossible.

Moi: Ben non. La preuve.

Bill: Mais rien de sérieux ou rien du tout.

Moi: Ben rien du tout.

Bill: Je me sens moins seul.

Sa remarque me fit rire.

Bill: Mais moi encore c’est excusable. Mais vous ça paraît complètement dingue.

Moi: Ben pourtant c’est vrai.

Bill: Ben c’est bizarre.

La tête de Bill me faisait trop rire. On aurait dit qu’il venait d’entendre un truc complètement fou. On discuta encore un moment mais à force de boire (de l’eau je précise lol) j’avais très vie d’aller au toilettes. Je me leva puis parti au toilettes. Au moments ou je sortais, Laureline entra.

Laureline: ah t’es là je te cherchais. ca va? Tu c’est je suis pas conne tu sais, je sais très bien que ton excuse tout à l’heure c’était du bidon. Alors qu’est-ce qu’il y a?

Moi: Laisse tombé, c’est nul. En plus c’est trop bizarre.

Laureline: Non, mais vas-y raconte.

Moi: Ben en enfait Tom m’avait un peu soulé et j’avais pas envie d’ller danser c’est tout. J’étais énervé.

Laureline: Mais, Tom il a rien dit... Oh non.. me dit pas que.. T’es jalouse?

moi: Ben si. Je sais c’est trop bizarre. asi ça doit juste être physique. Une pulsion tu vois?

Laureline: Ouais parce qe Tom c’est exactement le genre de mec que tu déteste.

Moi: Oui je sais. Du coup ça me trouble.

Laureline Ouais. Bon tu viens danser maintenant?

Moi: Non, il y a toujours cette file.

Laureline: Raison de plus. Comme sa genre tu la pusse ou je sais pas moi.

Moi: T’es folle. non, j’suis pas comme ça. En plus comme je te l’ai dit c’est juste une pulsion alors je m’en fiche. Mais bon j’vais pas aller danser à côté d’elle quand même.

Laureline: Rooo. Mais dit moi je trouve que tu parles un peu trop bien avec Bill.

Je rit.

Moi: Tu préfère que je fasse autre chose?

Laureline: N’y pense même pas.

Moi: T’inquiète, je te faisait marcher.

On sorti des toilettes, elle retourna danser et moi je reparti vers la table de Bill. et là surprise devinez qui s’est incruster? La fille de tout à l’heure. Je m’approche et m’assoies. Bill avait l’air soulagé de me revoir.

Bill: Euh ben Anaïs voici...

La fille: Lucie!

Moi: Enchanté!

C’est ironique bien sur. Je suis pas du tout enchantée et elle non lus.

Lucie: Ouais, euh moi aussi. On disait quoi déja?

Bill: J’en ai aucune idée.

Ro j’y crois pas la fille trop lourde elle voit même pas qu’elle le saoul.

Lucie: Ah oui. Vous restez longtemps ici?

Bill: Non, on part demain.

Lucie: Oh, c’est dommage, mais bon il reste quand même ce soir.

Je faillit m’étouffé en buvant mon verre d’eau et tout lui craché à la figure.

Bill: Ça va?

Reprenant mon souffle.

Moi: Oui.

Bill: Désolé mais tu vois ça n’a pas l’air de plaire à ma copine.

Moi: Qu....

Je ferma dessuite la bouche car Bill venait de m’écrasait le pieds. Je lui lança tout de même un regard noir.

Lucie: Quoi, cette.. fille c’est ta copine.

Bill: Euh.. oui!

Il pris ma main. Je me sentais très mal, mais j’avais terriblement envie de rire, vu la tête que la fille tirait.

Lucie: J’y crois pas, comment tu peut la préféré à moi.

Moi: Bon euh si tu pouvais te la fermé..;

Bill: Te crois pas supérieur à elle tu fais vraiment pas le poids.

Oh c’est mignon ce qu’il venait de dire. Pourquoi Tom était pas comme son frère.

Lucie: Ben t’as vraiment de mauvais goût.

Puis elle parti en colère. Bill allait me lâcher la main mais...

Salut à toi nouvelle lectrice!!

Ben je mets une suite alors!!!
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Puis elle parti en colère. Bill allait me lâcher la main mais... flash.
Un flash venait de m'aveugler. Il me lâcha subitement la main et on chercha d'où ça pouvait venir mais on ne voyez rien. Je regardait Bill super inquiète.

Moi: Tu crois que c'était ce que je pense.

Bill: Malheureusement ouI.

Je pris ma tête dans les mains.

Moi: C'est vraiment une soirée nul, j'aurais du rester chez moi à regarder Jared.

Bill: Merci pour moi.

Moi: Non, mais c'est vrai!! Il y a rien contre vous, mais avoue que la soirée commence vraiment à partir en n'importe quoi. Et surtout ça. Je suis pas la merde maintenant.

Bill: On va arranger ça. Il avait pas le droit de prendre cette photo.

Moi: Bill, on sait même pas qui c’était tu compte les récupéré comment hein?

Bill: Oui, t’as raison. Désolé, j’aurais pas du faire ça.

Je voyais qu’il s’en voulait, et ça me faisait de la peine.

Moi: Non, tu pouvais pas savoir. Et puis c’est de ta faute, c’est de la faute à l’autre pouf là-bas, si elle serait pas venu de coller, t’aurais pas fait ça.

Bill: Oui bof , j’suis pas convaincu. Mais tu va avoir plein de problèmes maintenant.

Moi: Oui je sais. Mais bon, c’est bon j’vais pas mourir quand même.

Bill: Euh tu sais la dernière fois la fille...

Moi: Bill j’essais de me rassurer alors s’il te plaît ne montre pas que j’ai tort.

Bill: Oui désolé. Bon j’crois qu’on ferais mieux de partir maintenant, je vais chercher tout le monde.

Moi: Ok.

Je replongea ma tête dans mes mains. Non mais vraiment des trucs comme ça, ça arriver qu’à moi. C’est pas possible. J’allais me réveiller et m’apercevoir que c’était un mauvais rêve, mais la voix de Tom me rappela à la réalité.

Tom: T’AS FAIS QUOI??????

Je levais la tête, à mon avis Bill venait d’expliquer à Tom pourquoi on partait.
Puis tout le monde revins à la table ramassa ses affaires et on sorti dehors. J’étais derrière avec Laureline. Tom parlait toujours avec Bill.

Laureline: Pourquoi on part, on s’amuser bien!

Moi: Ben euh...

Je lui expliqua ce qu’il c’était passé.

Laureline: T’AS FAIS QUOI?????

Tout le monde se retourna vers nous.

Moi: Oui ben pas besoin de crier c’est bon!!!!

Laureline: Je sais si tu te rends compte, mais ta vie va tourné en enfer.

Moi: Merci de ta compassion, ça fait plaisir.

Laureline: C’est pas ça, mais toutes les groupie vont te détester.

Moi: Oui, mais elle savent pas qui je suis, où j’habites enfin elles savent rien sur mi alors avant qu’elle me reconnaisse dans la rue il se passera du temps non? Et puis elles auront oublier.

Laureline: Te fais pas d’idée, il y a forcement quelqu’un qui va te reconnaître et l’info va vite circuler, tu l’as bien par toi même plein de fois. Les forums et tout, ça va suer vite.

Moi: Qu’est-ce que je vais faire, en plus c’est même pas vrai!!!

Laureline: Ouais, ben je sais pas.

Moi: On aurait mieux fait de regarder Alexandre tranquillement chez nous.

Laureline: Oui, ça c’est sur. Il y a des jours où il vaut mieux pas sortir. Mais tu sais ça serait arriver un jours ou l’autre. Sortir comme ça avec eux, c’était normal que ça arrive.

Moi: Ouais, t’as raison, mais bon là il y avait que moi et Bill. Encore si il y avait eu tout le monde ce serait mieux passer.

Laureline: Je crois pas. C’est juste qu’on en aurait pris toute les deux plein la gueule alors que là ça va être que toi.

On arriva à la voiture, raccompagna les garçons à leur hôtel. On leur dit au revoir, puis on rentra chez nous. Au moins quand les photos apparaîtrons je serais à Marseille. Peut-être qu’il y aura moins de conséquence là-bas. On se coucha, et s’endormi.

Les garçons étaient reparti, aujourd'hui, on était vendredi. Avec Laureline, on finissait notre valise. Puis parti pour l’aéroport. Toujours aucune trace des photos dans la presse. Heureusement d’ailleurs. On embarque tranquillement. C’est parti pour une heure d’avion. Le trajet se passa bien. On atterrit, descendit de l’avion et retrouva nos familles. Puis chacune rentra chez soi de son côté. Le lendemain, ma matinée passa tranquille. J’avais envie de savoir comment aller Laureline, mais à 10 heures, elle devait encore dormir. je pris donc mon ptit déjeuné tranquille. A peine arrive je me faisait déja chier. Mais bon. 1heure 30. Bon c’est bon je vais pouvoir l’appelais.

*Bip, bip, bip* (ou je fais même les ptits bruits mdr)

Laureline: Allo!

Moi: Hey, ça va?

Laureline: Je viens de me réveillais mais ça va.

Moi: Je me fais chié.

Laureline: Ouais moi aussi.

Moi: On sort cet aprèm? Comme ça on revoit un peu les gens. MAgali j’ai trop envie de la revoir. (et voilà tu es là mdr. Bon ça va être la guerre mdr)

Laureline: Ouais moi aussi. Ben 16 heure devant le ciné?

Moi: Ok, pas de problème.

Laureline: Ah tout à l’heure.

Moi: Oui, a toute. Bisous.

Laureline: Tchao.

Je raccrocha et parti me doucher. Quand je revinttoute prête dans ma chambre, je pris mon portable. 9 appels en abences. de laureline et 4 de... Bil. Bizarre. Je rapella d’abord laureline.

Laureline: Anaïs, c’est horrible. Ta mère elle achète toujours ici PAris?

Moi: Euh oui, mais pourquoi c’est horrible, ta mère aussi elle l’achète.

Laureline: Ouvre le à la page 24.

Moi: Ok.

Je pris le magasine dans mon salon et l’ouvris.

Moi: Hann.

Laureline: T’as vu!! Lit l’article.

Je lus l’article.

Moi: Mais n’importe quoi!!!! attends mais comment il connaisse mon prénom et tout.

Laureline: J’en sais rien! C’est bizarre. Bill n’a pas parlé de toi pourt....

Moi: Oh la salope!

Laureline: Quoi?

Moi: Ben Bill a sorti cette excuse bidon pour une pouf qui le collait. Et il lui a dit mon prénom.

Laureline: Ça veut dire que c’est elle qui à racontait tout ça.

Moi: Ouais. Mais elle a dit n’importe quoi. Attends ta vu ce qu’il y marqué? « Il semblerait que bill Kaulitz, le célèbre chanteur des Tokio Hotel, est trouver le grand amour auprès d’une jeune parisienne, âgée de 19 ans prénommé Anaïs. Le chanteur à l’air très attaché mais est-ce vraiment le cas de la jeune fille. D’après des témoignages, elle ne semble pas porté un grand intérêt à son petit ami mais plutôt à son frère. Alors cherche t’elle à profiter? Le temps nous le dira. en tout cas, la rock star a eu du goût ».
Je passe pour quoi moi? C’est horrible, tout le monde va me détesté, je vais me faire tuer!!!

Laureline: Oui, je crois. Mais il faut d’abord que les gens te reconnaisse.

Moi: Oui! Il me reste cette chance.

Laureline: Au moins ils ont dit un truc de gentil.

Moi: Ah bon quoi?

Laureline: Que Bill avait du gout.

Moi: Ouais, ben si tu savais comme je m'en fou. Bon faut que je te laisse. Bill a essayé de m’appelai, ça doit surement être pour ça.

Laureline: Ok. Passe lui le bonjours de ma part.

Moi: Oui t’inquiète. A tout à l’heure.

Laureline: Ouais à toute.

Je raccrocha et téléphona à Bill.

Bill: Hallo!

Moi: Salut. T’as vu es journeaux.

Bill: Ben j’avais pas vu. Quand à l’interview ce matin on me demande si j’ai pas l’impression d’avoir mal choisit ma copine. Sur le coup, j’ai pas capté, et là le journaliste me sort un magasine italien avec moi et toi dedans.

Moi: Quoi ? Italien? C’est pas possible, c’est pire que ce que je pensais. mais t’as lu l’article.

Bill: Non, j’ai rein compris, et je suis pas encore retourné en Allemagne.

moi: Ben en gros il dise que toi t’es fou de moi a lros que moi je me sert de toi pour avoir Tom.

Bill: Ils disent vraiment ça.

Moi: Oui.

Bill: Il faut faire quelque chose. Parce que si c’est en France, en Italie et en Allemagne, c’est sûrement apparu dans d’autre pays.

Moi; Je sais.

Bill: T’inquiète, dès qu’in rentre en Allemagne, je fais un démenti, ça va s’arranger.

Moi: Ouais j’espère.

Bill: Désolé, je dois te laisser. Je te rappel, plus tard.

Moi: Ok. Bisous à tout le monde. Au fait Laurline vous passe le bonjours aussi.

Bill: Elle est avec toi?

Moi: Non, mais je viens de l’avoir au tel, et je lui est dit que j’allais t’appeller.

Bill: Ok. Bon à ce soir. Bisous.

Mo: Ouais, bisous.

Je raccroche mon téléphone et m’écroule sur mon lit. Dans quoi je m’étais mise encore.