[T] Journaliste: un métier de rêve.

Trop trop trop trop trop trop trop trop trop trop trop trop trop .... bien !!! j'adore !!! allez suite stp !! obligé !!! lol !!!

Joyeux anniversaire,

Joyeux anniversaire

Joyeux anniversaire TOMO MILICEVIC

Joyeux anniversaire!!!!!!!!!!!!

Les quelques jours qui nous séparaient de notre retour en France passèrent à une vitesse halucinante! Une réelle complicité c'était maintenant installée. Et e départ fut un peu plus difficile car on voulait vraiment plus partir. MAis malheureusement les cours nous attendaient. On a donc repris l'avion et on est toutes rentrée chez nous. Puis, une semaine après, les cours reprirent. Un premier trimestre s'écoula, puis un second et enfin on finit l'année avec pour moi, le fameux stage. En plus étant donné que c'étaitma dernière année, ce stage était déterminant, je devais vraiment faire bonne impression pour espéré trouvé une place dans l'équipe du magasine. J'étais donc encore plus stressé que lors de l'intreview des TH, un ans plus tôt. D'ailleurs, tout aller pour le mieux pour eux.On gardait toujours contact, même si on avait pas pu se voir beaucoup. Effectivement, avec laureline, on les avait revu à trois reprise mais Magali qu'une seule fois. Mais quelle rencoontre. Rien que d'en parlait, les images ressurgissent imédiatement.

* FLASH BACK *

Moi: Ouaaa!! Trop bien ce concert, j'y crois p)as comme ils ont assuré!

Laureline: C'est claire! Eux qui avait peur que l'album en Allemand ne plaise pas au Anglias!

Magali: Cash! Ils ont adoré, ils connaissaient toutes les chansons par coeur.

Laureline: Comme ils étaient contents les mecs, vous avez vu leur sourires?

Moi: Ouais! Ca faisait vraiment plaisir.

Magali: en tout cas, moi, de sauter partout ça m'a épuisé!

Moi: C'est clair, j'en peux plus moi aussi.

Laureline (en baillant): Moi non, on recommence?

On éclata toutes les trois de rire. Les garçons étaient déja parti se coucher il y a un moment mais nous on était de vrai piles électrique et il était impossible qu'on s'endorme maintenant.

Magali: En tout cas, moi je vais me coucher.

Moi: Ouais, moi aussi.

on se dirigea toutes les trois dans l'ascenceur, mais au moment de fermer les portes...

Magali: Mrde, mo sac! Quelle conne, je l'ai oublié à la table. Bon je vais le chercher. Bonne nuit les filles à demain.

Moi: Tu vux qu'on t'attende?

Mag: Ben pas la peine, vu qu'on est pas au même étage.

Moi: Ok ben bonne nuit!

Laureline: Ouais bonne nuit.

C'est vrai que dans cet hotel il n'y avait que moi, Laureline et Tom au même étage, les autre était à l'étage supérieur.
Dans l'ascenseur, Laureline me posa LA question!

Laureline: Dit, je rêve ou pendant le concert tu faisait une fixette sur Tom?

Moi: Quoi? Non, pas du tout, enfin pas plus que sur les autres!

C'était un gros mensonge. J'avais passé pratiquement tout le concert les yeux rivé sur lui. A la vu de sa tête, j'ai vite compri que mon excuse n'était pas passé.

Moi: Bon, peut-être un peu plus que les autres. Mais c'est juste pour la gratte. Tu sais que ça me rends folle comme il jout.

Laureline: Cette excuse était encore plus nul que la première. Fais gaff Anaïs, je le sens pas cette histoire.

On était maintenant au niveau de ma chambre.

Moi: T'inquiète, ça va aller! Bon allez, bonne nuit.

Laureline: Ouais, bonne nuit!

Une fois la porte fermée, je me suis laissé glissé contre celle-ci. Une fois ar terre, je pris ma tête dans mes mains. Moi aussi je la sentais très mal cette histoire. Pourtant, j'y pouvais rien. J'avais essayais de me convaincre que ce n'étais qu'une simple attirance physique, mis je ne pouvais pas me mentire éternellement, j'étais dingue de ce mec! Après ses réflexion, qui devenaient quotidienne, je me glissa sur ma couette et m'endormi aussitôt. Quand je me réveilla, en jettant un ptit coup d'oeil au réveil je vis qu'il était 11heures. Oula, Laureline commence vraiment à déteindre sur moi. Je me prépara, et alla la rejoindre dans sa chambre, elle venait juste de se lever? J'attendis qu'elle se prépare pour aller déjeuner. Mais, juste quand on sorit de la chambre.....

J'ouvri donc la porte et là..... On voit Magalie sortant de la chambre de tom, remonta la fermeturede son jean et enfilant ses converse. Ma bouche resta grande ouverte! Aucun son ne put en sortir. Ce n'est qu'une fois disparut dans l'ascenceur que je sentis le regard hsitant de Laureline. Moi, j'en croyait toujours pas mes yeux. Ils avaient passé toutes la nuit ensemble, une de mes meilleures amies et le mec dont j'était raide dingue. Quand je repris un peu connaissance, la seule chose dont j'avais envie, c'était de rtourner très vite dans mùa chambre et de ne pas en sortir. Le seul fait de voir Tom danser m'avait rendu completement dingue alors de l'imaginer avec magali. A cette pensée, un grand frisson parcouru tout mon corp. Je me dirigea vers machambre et ferma la porte presque au nez de Laureline.

Laureline: Je peux rentrer?

Moi: Si ça te dérange pas, je voudrais juste rester seule.

Laureline: Mais... Bon ok. Je te vois tout à l'heure. Et Anaïs?

Moi: Oui?

Laureline: Il en vaut surtout pas la peine.

Moi: Merci!

Puis j'entendis ses pas s'éloigna. J'en voulait à cet instant même à la terre entière, mais surtout à moi. Comment j'avais pu être aveugle et bornée à ce point. Des tonnes de questions me venait à l'esprit. N'avaient-ils vraiment rien vu de ce que je ressentais? ou alors ils le savaient parfaitement mais s'en fichaient? Sans même m'en rendre comptent, les larmes coulaient depuis un bon moment sur mes joues. KQuelqu'un tappa à ma porte. J'avais pas envie de revoir Laureline maintenant, même si je savais qu'elle voulait m'aider.

Moi: Ecoute Laureline....

Tom: C'est pas Laureline.

Oh non pas lui!

Moi: Qu'est-ce que tu veux Tom?

Tom: Je peux rentrer?

Moi: Non!

Tom: Quoi? t'es sérieuse?

Moi: Oui!

Tom: Pourquoi?

Moi: Euh... parce que .. je.. je suis pas habillé, je sort de la douche.

Tom: Oh, si c'est que ça, c'est pas grave du sais.

Au ton de sa voix, je devinaisson ptit sourire qu'il affiche souvent. J'avais envie d'ouvrir cette porte et de l'étrangler. JE DETESTE CE MEC!!!

Moi: Bon qu'est ce que tu veux?

Tom: Je venais te chercher pour que tu viennes déjeuner.

Moi: J'ai pas faim!

Tom: Bon, ben tu va quand même descendre non?

Là, j'avais plus d'excuse, et puis je ne pouvais pas rester dans cette chambre toute la journée.

Moi: Oui. Laisse moi 10 minute le temps de me préparer, et je vous rejoint en bas.

Tom: ok, mais bouge parce qu'il est midi!

Moi: Oui ben c'est bon j'arrive!

Tom: Ouh ça va calme toi. Tu t'es levé du pieds gauche ou quoi?

Moi: Oui exactement! Tu peux partir maintenant.

Tom: Bon, ben va pas falloir t'énerver aujourd'hui. excuse moi de vouloir voir si tout aller bien!

Et il parti furieux lui aussi. Même de loin on l'ntendait raler "Ralala ces filles alros, j'y comprendrais jamais rien!"; "elle a ses règles ou quoi?". Après tout c'était sa faute non? Et au moins en me défoulant sur lui mes nerfs étaient un peu passé. asi maintenant, je n'avais plus le choix, je devais déscendre. Je me mis un oup d'eau sur la figure et descendit. Le seul mot que je sorti en trente minutes ce fut un vague bonjours. Apparement Tom avait du leur dire que je n'étais pas de très bonne humeur. La pression qu'il y avait à table était palpable. Ma mauvaise humeur avait du déteindre sur les autres. Puis au bout d'un moment, Bill se risqua avec un "Alors bien dormi?", mas le regard que je lui lança répondit à sa questiob et le fit taire.

* FIN DU FLASH BACK *

Je m'en souvenais encore vraiment très bien. A la fin de la journée, ma mauvaise humeure passa, pour le plus grand plaisir de tout le monde quoi, à part Laureline, n'avait pas vraiment compris ce qu'il c'était passé. Mais j'étais resté assez froide envres tom; après tout, magali était ausi très atiré par lui et je ne lui en voulait pas trop. Mais pour ne pas mentir, c'était pour ça que les deux autres fois, magali n'avait pas vu les garçons avec nous. En y repenssant, je me rendi compte que j'avais vraiment était une salope sur ce coup là, c'était pas cool de l'avoir tenu à l'écart. A part ça, il ne c'était rien passé durant cette année.