[T]33 Kilos d'Espoir...[1er Topic]

Maria-Eva se rendormit, sa main serrant toujours celle de Bill.
Ce dernier n'osait pas bouger, de peur de la réveiller une nouvelle fois.

Il regarda à nouveau Maria-Eva, avec un petit regard curieux envers cette jeune fille qui était rentrée dans sa vie brutalement et de façon tout à fait inattendue. En effet, si un jour on lui avait dit que Georg la ramènerait à l'appart, il aurait rit. Georg, ramener une fille? Non, c'était tout bonnement incroyable. Georg, le beau gosse à la mèche rebelle et au sourire ravageur ne se préoccupait pas des filles. Il préférait de loin ses basses. Au moins, ces dernières ne le feraient jamais souffrir. Et elles donnait un son superbe, qu'aucune voix humaine ne saurait reproduire.

Mais voilà, Maria-Eva était là, juste à côté de Bill, pour lui prouver que Georg pouvait quand même ressentir quelque chose pour d'autres personnes et objets que ses basses et ses potes. C'était assez déstabilisant.

Maria-Eva serra un peu plus fort la main de Bill dans son sommeil, ce qui le fit sortir de ses pensées. Elle était encore fiévreuse, il le sentait au contact de sa main. De grands cernes sous les yeux, un visage très pâle, encadré par des cheveux noirs... maigre comme un clou. A cet instant, elle lui paraissait tellement fragile, tellement vulnérable... Un oisillon tombé du nid, qu'il avait envie d'apprivoiser pour l'aider ensuite à déployer ses ailes vers le ciel.

Il bailla longuement, puis jeta un coup d'oeil au réveil.2h22. Il faudrait peut-être qu'il songe à aller au lit, s'il ne voulait pas se réveiller demain avec une tête à faire retourner les morts dans leurs tombes. Il relâcha en douceur la main de Maria-Eva, tachant de ne pas la réveiller, puis il partit sur la pointe des pieds vers sa chambre. Il s'endormit comme une masse, quelques instants à peine après s'être retrouvé sous ses draps.

[...]

Maria-Eva se réveilla en sursaut, et regarda avec stupéfaction la chambre dans laquelle elle se trouvait. Comment était-elle arrivée là?

Puis, elle se souvint. Le parc, l'appartement, le docteur, et puis ce jeune homme qui lui avait parlé au milieu de la nuit. Bill, d'après ce qu'elle avait comprit. Il avait l'air assez sympathique, à première vue.

Les membres douloureux, elle essaya de se mettre debout. Elle fut prise de nausées, et se rassit immédiatement sur le lit. Peut-être qu'elle devrait attendre un peu avant de se lever, finalement. Elle se calla confortablement contre la tête du lit, puis chercha du regard sa précieuse chemise. Elle était là, sur la table de nuit. Elle l'ouvrit, puis regarda les dessins qui se cachaient à l'intérieur. Il y en avait exactement 1043, elle le savait. Mais un de ces dessins était de trop.

Elle prit en main le dernier dessin qu'elle avait créé. Un jeune homme nu posait machinalement dans un vieux fauteuil défoncé. Elle regarda attentivement le jeune homme, nullement gênée par sa nudité. Elle cherchait dans son regard quelque chose, qui l'aiderait à mieux comprendre. Mais il n'y avait rien. Absolument rien. Le jeune homme dessiné n'avait guère l'air de se douter que ce dessin qu'il lui avait demandé lui causerait autant de soucis.

Elle regarda une dernière fois le dessin, puis s'intéressa aux traces rouges qui tachaient la feuille. Du sang séché. Elle eut un pâle sourire, un sourire moqueur, puis elle déchira la feuille en deux, en quatre, en huit.

Elle reposa sa chemise, puis essaya de se lever une nouvelle fois. Elle parvint à tenir debout, et à faire quelques pas vers la poubelle près du bureau. C'était déjà ça. Elle jeta les huit morceaux de papier dans la poubelle. Voilà, le compte était juste. 1042.

[...]

Gustav et Georg étaient face à face, en train de déjeuner, lorsqu'un grincement de porte les interpella. Georg regarda l'heure. 7h30. Etrange, les jumeaux ne se réveillaient jamais aussi tôt.

Une silhouette s'approcha d'eux. Une silhouette féminine.
- Qu'est-ce que tu fais debout à cette heure, toi? demanda Georg à Maria-Eva.
- Ben...Je me lève.
- Le docteur t'a dit de te reposer.
- Je me suis reposée.
- Pas assez à mon goût.
- Tu sais, si t'as pas envie de me voir, tu peux me le dire, plutôt que de me sortir une réponse aussi bidon. Je ne le prendrai pas mal, je te le promet...répondit Maria-Eva.
- Oh, s'il-te-plait, ne commence pas à jouer à ça avec moi. Pas de si bonne heure le matin.
- Il est plus de 7h !
- Tu ne trouves pas que c'est suffisamment tôt pour être qualifié de "bonne heure"?
- Non. Pour moi, "de bonne heure" c'est 5h30 du matin, et encore...C'est l'heure à laquelle je pars me promener dans les rues avant de commencer ma journée...A cette heure, il n'y a pas un chat dans les rues, mais le jour commence à succéder à la nuit.
- Où tu vas comme ça dans les rues à 5h30 du matin?
- C'est mon secret, répondit Maria-Eva avec un sourire.
- Gustav, fit Georg, je crois que j'ai trouvé une personne encore plus malade que toi...
- Oui, je crois aussi, répondit Gustav en souriant. Personnellement, j'aurai du mal à me lever aussi tôt, et pourtant je suis le plus matinal des quatre.
- Tu es Gustav? Le batteur? demanda Maria-Eva.
- C'est bien moi.
- Moi c'est Maria-Eva. Je te trouve très courageux d'avoir appris à jouer de la batterie.
- Pourquoi? lui demanda Gustav, intrigué.
- Parce que c'est un instrument qui demande de jouer de tous les côtés et à différents rythmes...Or la syncro, ce n'est pas trop mon truc...
Gustav rit.
- Ce n'est pas si difficile que ça, crois-moi.
- Pour toi, peut-être...pour moi, c'est un autre histoire.
- Au fait, viens par là toi, lui dit Georg en lui prenant la main.
Il passa sa main sur son front, puis fit la moue.
- Tu es encore fiévreuse...
Il se tapa le front.
- Les médicaments, j'allais oublier !
- Quels médicaments? demanda Maria-Eva.
- Le docteur t'a prescrit une sacré liste de médicaments que tu dois prendre tous les jours...
- Mais je n'en ai pas besoin !
- Oh que si...et d'ailleurs, je m'assurerai que tu les prends tous, répondit Georg avec un ton qui ne laissait aucune place aux protestations.
Il prit sa veste et sortit, en direction de la pharmacie.
- Je vous laisse, essayez de ne pas vous entretuer pendant mon absence.
- Pas de risques là-dessus, lui répondit Gustav.

Une fois Georg parti, Maria-Eva jeta un regard dans le salon.
- Les autres ne sont toujours pas réveillés? demanda-t-elle.
- Bill et Tom, se réveiller à 7h30? Tu crois au Père Noël, dis-moi...
- Non, je me posais juste la question.
- Et bien pour ton information, les jumeaux ne se lèvent pas avant 10 heures minimum. Quant à Georg, tu as eu de la chance de le voir debout. Il se lève plutôt à 9h qu'à 7h30... Mais là, comme il a dormi sur le canapé...
- Pourquoi?
- Ben il n'y a que quatre chambres, alors il t'a laissé son lit et il a dormi sur le canapé...
Maria-Eva regarda le canapé.
- Je voulais pas le priver de son lit moi...Je vais dormir sur le canapé ce soir.
- Il n'en est pas question ! Tu dois te reposer, et donc dormir dans un bon lit, pas sur un canapé inconfortable.
- Mais Georg va mal dormir...
- Alors, c'est moi qui dormirai sur le canapé ce soir, et tu dormira dans ma chambre. Attend, la galanterie c'est sacré chez nous...les jeunes filles ne peuvent pas décemment dormir sur le canapé alors que nous on est pépères dans un bon lit...répondit Gustav, un brin moqueur
Maria-Eva sourit.
- Tu veux manger quelque chose, au fait? lui demanda Gustav.
- Oh non, merci, je n'ai pas très faim.
- Il faut que tu manges...
- Je mangerai à midi. Pour l'instant, j'ai juste envie de prendre une bonne douche.
- C'est la porte à droite au fond du couloir. Tu as quelque chose d'autre à te mettre?
- Non, je n'ai que ces habits sur moi...Tu sais, ça fait deux ans que je vis là où je peux, alors j'ai emmené le moins d'affaires possible avec moi. J'avais juste une tenue de rechange, que je ne peux plus récupérer maintenant.
- Je vais te passer des habits. Ils seront sans doute un peu grands pour toi, mais ce n'est que provisoire, avant qu'on ne t'achète ce qu'il faut.
- Merci, répondit-elle.

Quelques minutes plus tard, elle était sous la douche, laissant l'eau bouillante parcourir son corps. Elle savait qu'elle n'aurait pas dû, parce qu'elle était déjà brûlante de fièvre, mais l'eau chaude lui faisait un bien fou. De l'eau chaude, cela ne semblait rien. Mais pour elle, qui n'avait pas eu l'occasion de prendre des douches chaudes depuis un long moment, cette instant où on regarde la buée se déposer sur les vitres était un pur moment de bonheur.

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Bon, moi je vais aller dormir...

Je ne sais pas si je vais mettre de suite cet aprem, on va voir si j'ai bien avancé dans mon dossier d'SVT (qui est à rendre pour lundi, et que je n'ai pas encore commencé)

Allez, dormez bien !!!
Bizzz
Milie

allez suite !!!

jdr la suiiiiiiiiite^^

tro bien suite!!

La suite stp!!

c'est bizard l'histoire de son dessin xD

J'aime beaucoup comment tu décrit chaque passage c'est tellement bien écrit que j'en ai des frissons Gusti et Georg sont trop choux lowl.

Suite stp!!!!

<3

Suite !
Ma Killeuz'
<33

ouai c koi l'histoire de son dessin???

Le dessin le gars était peut-être moche xD

Ou alors elle n'as pas réussit a voir au delà comme tous les autres

Peux-tu nous écalairer ?

Merci beaucoup pour vos coms très touchants (et bienvenue à la nouvelle lectrice, flavieff !!!!! )

Pour vous éclairer un peu sur cette histoire de dessin, je vais vous dire que bah... le gars était loin d'être moche déjà ( XD ) et puis que vous aurez toutes les explications que vous voulez dans la prochaine suite. (sadique, hein???? j'assume, vous inquiétez pas...MDR)

Bon, et bien je vais aller prendre mon petit déjeuner kà, et puis pour la suite on verra. Si ma soeur est sur l'ordi quand je reviens, ce qui risque fort d'arriver, je vous mettrai la suite plus tard et commencerai mon gros dossier que je dois rendre en SVT...et si elle est pas devant l'ordi bah je vous tape la suite puis je fais mon dossier.

Bizzz
Milie

Ok la Miss lowl

Alors a bientôt

<3

aller je veux la souiteee cets trop bon

alors, ze vous explique tout...mon père m'a demandé d'aller chercher du roquefort au 8 à huit du lac bleu pour le repas de ce midi. Il est malin mon géniteur, il sait que j'adore aller là-bas en vélo...c'est pour ça qu'il me l'a demandé à moi et pas à mes soeurs...alors, toute contente que j'étais (il faut pas grand chose pour me rendre heureuse, zavez vu??? lol) j'ai pris mon vélo un tantinet trop grand pour moi et j'y suis allée... de chez moi au lac bleu, il y a environ 2km. ça me fait donc 4 kilomètres dans les jambes. De bon matin, c'est quand même quelque chose ! lol

Et donc voilà, je suis devant l'ordi là, toute transpirée, pas décidée à bouger d'un poil (même pas pris de douche, trop la flemme mdr) et puis je vais vous taper la suite dans quelques instants (attendez-vous à la voir postée dans 30 minutes- une heure...bah oui, c'est long ce que je tape, et en plus j'invente au fur et à mesure...)

bizzz
Milie

ok XD lol jattend

De l'eau chaude, cela ne semblait rien. Mais pour elle, qui n'avait pas eu l'occasion de prendre des douches chaudes depuis un long moment, cette instant où on regarde la buée se déposer sur les vitres était un pur moment de bonheur.

Au bout d'un quart d'heure, elle se décida finalement à sortir de son rêve de buée. Elle avait froid, malgré l'eau bouillante. Elle prit une serviette, et sortit prudemment de la douche. On n'était jamais à l'abri d'un dérapage...

Sur le lavabo, il y avait les habits que Gustav lui avait prêté. Maria-Eva sourit en les regardant. Ils étaient noirs, un pantalon assez ample, et un tee-shirt à manches mi-longues. Il avait compris qu'elle ne porterai que des habits de cette couleur, même si il n'en connaissait pas la raison.Un jour, peut-être qu'elle le lui dirait...mais pas maintenant. Elle ne voulait pas ressortir ces vieux souvenirs. La souffrance qu'elle avait maladroitement enterrée risquerait de refaire surface.

Elle s'habilla, puis se regarda dans le miroir. Elle sourit ironiquement à son reflet, qui paraissait tellement petit dans ces habits trop grands...et tellement maigre. Qu'est-ce qu'elle aurait donné pour reprendre du poids...Mais elle n'y arriverait jamais. Sa maladie lui prenait toutes ses forces.

Elle contempla les bleus qu'elle avait sur les bras, et regretta que Gustav ne lui ait pas donné un tee-shirt avec des manches longues...Au moins, elle aurait pû cacher ses traces bleuâtres qui tachaient ses bras. Mais elle sentait que, justement, il ne voulait pas qu'elle les cache. C'était, elle le pensait, sa manière de lui demander des explications. Et il les aurait, ses explications.

Elle sortit de la salle de bain, et se dirigea vers le salon. Gustav tourna la tête. Georg était rentré de la pharmacie, et la regardait, lui aussi.
- Pourquoi vous me regardez comme ça? demanda-t-elle.
- Et bien c'est la première fois que je te vois sans ton béret, répondit Georg. Cela change. T'es mignonne avec tes petites boucles détachées.
En effet, les cheveux noirs de Maria-Eva faisaient des belles boucles, qui étaient accentuées parce qu'elles étaient mouillées.
- C'est bien pour ça que je met un béret, répondit-t-elle. Je n'aime pas être mignonne.
- Et pourquoi donc? lui demanda Gustav.
- Les femmes qui sont belles ou simplement mignonnes ont toujours des regards masculins braqués sur elles. Je préfère paraître sans intérêt, et invisible aux yeux de tout le monde. Au moins, les gens me laissent tranquille, et n'essaient pas de m'aborder quand je suis comme ça.
- C'est peut-être ça qui fait ton charme, reprit Georg. Même lorsque tu caches ta beauté, tu dégages un certain charisme...Ton côté réservé et calme te rend mystérieuse, et c'est ça que j'aime chez toi...j'ai toujours aimé les mystères.
- Merci Georg, répondit-elle avec un sourire mi-amusé, mi-moqueur. Je ne m'étais jamais rendu compte que je dégageais une aura mystérieuse, mais c'est toujours bon à savoir.
- De rien.
Elle regarda sur la table un sachet plastique qui semblait bien rempli.
- Qu'est-ce que c'est?
- Tes médicaments, répondit Gustav.
Elle prit le sachet, et sortit une à une les boîtes.
- ça fait un sacré petit paquet, murmura-t-elle.
- D'ailleurs, tu vas les prendre tout de suite, ces cachets, comme ça je serai sûr que tu as pris ce qu'il faut pour ce matin, reprit Georg
- Passe-moi un verrre d'eau bien rempli, alors.
Il lui apporta le verre. Elle commença à ouvrir les boîtes, et à sortir les cachets qu'elle devait prendre. Elle les déposa sur la table.
- Le docteur Druger a bien fait attention à ne pas te prescrire des médicaments qui fluidifient le sang, ou qui au contraire le font circuler moins vite. Et il a rajouté sur l'ordonnance ton traitement pour un mois, que tu reprendras lorsque tu n'auras plus tes ... problèmes de fille.
Maria-Eva retint tant bien que mal un sourire en entendant Georg utiliser cette expression. Elle prit les cachets et les avala un par un, tout en buvant le verre.

Une fois tous les cachets pris, Gustav reprit la parole :
- Il faudra aussi qu'on te remette une bande sur ton bras là où ça c'est infecté.
- Je peux le faire toute seule, tu sais, répondit Maria-Eva.
- Je sais. Mais je préfère que ce soit nous qui le fassions. Allez, donne-moi ta main.
Elle lui tendit à contrecoeur le bras.
- C'est une sacré morsure que tu as reçue là...fit Georg.
- C'était un chien errant, un gros berger allemand. J'ai essayé de le carresser, et voilà comment il m'a remercié, répondit Maria-Eva avec une moue
Gustav observa la blessure. Elle était rouge vif autour de la morsure, et les traces des dents du chien se dessinaient sur la peau, des traces blanchâtres de peau qui n'avait pas eu le temps de cicatriser.
- Cest pas joli joli, ce que tu vois, reprit Maria-Eva.
- Quand tu seras guérie, on n'y fera plus attention.
Il partit dans la salle de bain, et récupéra du désinfectant.
- Je te préviens, ça va piquer, lui dit-il en lui passant le désinfectant sur la blessure.
Elle serra les dents, mais ne se plaignit pas. Après avoir désinfecté, Gustav prit un bande, et commença à l'enrouler autour de la blessure.
- Si je serre trop fort, tu me le dis. J'ai une sacré poigne.
- Non, ça va. C'est serré juste comme il faut.

Une minute plus tard, les médicaments étaient rangés, ainsi que le matériel dont Gustav s'était servi pour désinfecter la plaie. Ils étaient tous les trois assis près de la table. Maria-Eva partit dans la chambre de Georg, et revint avec son béret, qu'elle mit sur sa tête.
- Je me préfère comme ça, dit-elle. J'ai chaud quand j'ai les cheveux détachés.
Georg sourit. Gustav aussi.
- Au fait, ma belle, reprit Georg après un court instant de silence, j'aimerai bien que tu nous expliques où tu as attrappé de si jolis bleus aux bras, et partout sur le corps...
Maria-Eva sourit.
- Je me doutais bien que cette question n'allait pas tarder à venir.
- Et moi j'espère que la réponse ne tardera pas.
- Non. Je vais vous expliquer.
Elle tourna la tête, et son regard se posa sur la fenêtre, qui avait une vue sur la rue.
- C'est de ma faute. J'ai fait quelque chose que je n'aurai pas dû faire. Mais je ne pensais pas que ça m'aurait conduite jusque-là...après tout, ce n'était qu'un dessin.

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sadique sadique sadique sadique sadique....ben oui, j'ai jugé que mon chapitre était assez long comme ça, et je l'ai arrêté à ce moment-là...donc les explications que vous attendez, ça sera pour la prochaine suite... (part se cacher vite fait pour pas se prendre des pavés dans le gueu*e)

Me lancez pas ces regards-là, vous me faites peur !!!! lol

Suite ce soir, vers vingt heures en france, promis. Je dois me mettre sérieusement à mon dossier d'SVT là, si je ne veux pas voir un gros rond sur ma feuille de notes......

Bizzz
Milie

Waouh, j'ai presque respecté mon timing !!!! j'ai mis 1h03 pour taper...lol

Allez, bonne lecture les filles !!!

nah ej veux une autre suite, cets tellement bon

Franchement j'adore!!!!!!!!

J'ai pas d'autre mot, c'est bien écrit, la suite et bien grande mais la fin est sadik comme tout fic géniale qui se respecte

je n'ai plus qu'à attendre 20h pour encore rêver

Bisous la Miss <3

super, jve une suite!!!!!!!!!

La suite stp!!

on va enfin savoir le mystere du dessin lol
la suiiiite stp^^