[T]Biographie du sourire.

Parce qu'un sourire ça signifie tout.

(latin subridere, de sub, sous, et ridere, rire)
Expression rieuse, marquée par de légers mouvements du visage, et en particulier un élément de la bouche, qui indique le plaisir, la sympathie, l'affection, etc.
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Narrateur Tom :

"Dans ma vie, aussi médiocre elle eut été, j'ai eu affaire au plus beau des présents que nous offre ce monde.
Le Sourire.*
C'est précieux le sourire car si on le perd on a plus rien.

Du jour de ma naissance en passant par le temps de Peter Pan que j'ai quitté il y a de ça bien longtemps, j'ai eu droit au Dieu Sourire sous toutes ses formes. Même les moins honnorifiques.
Mais il faut savoir qu'il n'y a rien de plus laid que le trop plein de sourires. Le sourire doit être un cadeau, quelque chose qui se démarque, et non pas un vulgaire mouvement des zigomatiques qui se fond dans le décors.

Le sourire né à partir d'une réaction du cerveau face à la production de quelque chose, un son, une image, une blague, une émotion et j'en passe.
IL est situé en bas de l'échelle de sa catégorie, le plus haut niveau étant le fou rire incontrolable.
IL peut avoir plusieurs degrès : l'esquisse, le timide, et le franc.

La première forme du Sourire est celle de la joie simple et honnête ou même de la sympathie.
Les enfants ou les gens extrêmement et vraiment heureux en sont les majoritaires détenteurs .
Vous ne trouverez rien de plus sincère que le sourire d'un enfant qui nage dans le bohneur, soyez en certain.
Ce sourire tout comme ce bonheur sont malheureusement pour la plupart éphemères.
C'est pour ce sourire là que j'accepterai de vendre mon âme au damné Dieu Adès.

La seconde forme est :
Le sourire ayant pour but de témoigner du soutien ou de l'incertitude.
Les principaux utilisateurs de cette forme de sourire sont les pays en cours de développement.
IL symbolise l'espoir et l'envie de vivre dans tous les moments de leur vie qui passent.
Un sourire dont personne ne pourra ravire la beauté."

[...]

Tres beau tout ça. Suite. vite vite.

Voici donc pour ma seule lectrice.
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Tuez moi, tuez moi si de ce monde le sourire est banni .
Voici ses autres formes, à lui mon unique :



"Je suis passé sur la plage comme un fantôme débouche en silence devant vous.
La mer semblait me regarder du coin de l'oeil et restait impassible face à mes mouvements saccadés.
Le chagrin pesait tellement sur mes épaules que j'ai cru ne pouvoir le supporter.
Je me suis laissé tombé à terre, le sable grincait sous mon corps à mon plus grand déssaroi.
Je n'aime pas la mer, je n'aime pas ma vie.

-"Tu vois tu y arrives maintenant, déplace toi légerement et sens le glisser entre tes doigts, laisse le s'échapper et regarde sa majesté".
-"Qu'il est beau, regarde papa il éclipse le soleil ".

Et à ce moment là il a sourit. Le sourire le plus heureux du monde.
Et pendant ce cours instant c'est lui qui a éclipsé le soleil.
J'ai sus que ce geste extraordinaire j'allais passé ma vie à le traquer désormais.
Le bonheur en ce monde."



"Je suis las frangin, las de toutes ces inepties qui composent notre vie, las des sempiternelles recommendations futiles de ces gens.
Jure moi d'être toujours là et de ne pas devenir un de ces être cupides.
Jure moi que jamais tu ne prononceras de paroles dont la dysphonie perce au grand jour."

A ces mots petit frère tu as m'as juste enserré les épaules de tes bras chaleureux et tu m'as balancé notre sourire.
Celui de la fraternité.

J'arrive après la guerre, mais avant la fin de la fic'...

T'as deux lectrices maintenant

Biographie du sourire ....
Elle porte bien son nom ta fic' [iii]

Mon blabla habituel se résumera pas le mot SUITE!

Bisous

oua je doit t'avouer que mon crveau n'a moi a totalement decrocher lol mais va y suiiite ^^
PS j'ai rien piger a toute la fic' ^^

Hey, ton sale pokemon est en manque de toi*.
Pitié repond Moi.
J'arrive pas a t'avoir sur MSN, et les MP bug ce soir --'.
(l)
Puis j'espere que tu va bientot nous donner une suite ^^
biz

J'ai écris cette suite vite, très vite même.
Parce que là j'arrive pas à faire mieux.
Ce soir je vais pas spécialement bien alors voilà.

Merci |.Mariie.| <3.
J'avoue ce soir j'ai pas le sourire.
Alors cette suite sera bien plus orientée vers la noirceur que peux comporter un sourire.
Merci de me suivre, ça me fait énormément plaisir.


avril_pink : Je sais pas trop comment je dois le prendre.
On va dire merci quand même.

Auré : Pas ce soir.
Parce que sinon je sens que ça va partir dans tous les sens.
Vaut mieux qu'on en parle quand je serai "calmée".

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J'ai rencontré Anaxarétè dans un club mal fréquenté de Paris .
Une jeune fille sublime.
Mais qui porte malheureusement bien son prénom.
Une jeune fille qui rend les hommes fous d'amour, leur Membre ensorcelé juste par un regard ...ou un sourire.
Elle dansait en se servant de sa barre devenue sont élément de prédilection, celui qui ne décrochait plus de son corps, ce corps que tant d'adolescents et d'hommes auraient voulus ne serai-ce que toucher.
Des centaines de paires d'yeux fixaient avidement son decolleté plongeant.
Et moi, comme les autres j'voulais me la faire.
J'ai réussi à l'approcher grâce à ma renommée.
Elle m'a fait une danse privée.
Et je me suis laissé prendre dans son jeu, ivre de bonheur.
On a baisé ce soir là.
J'ai eu droit au plus mesquin des sourires, au plus envoûtant.
Le sourire faux, celui qui pue le mensonge.
Nos deux situations personnelles étaient tellement différentes, une incongruité que personne n'aurait jamais osé penser.

Elle se foutait du monde autant que de moi.
La seule fois où un de ses sourires ne fut véritablement vrai ce fut pendant notre jouissance commune.
Le sourire d'extase .
Le lendemain je suis repartis .
Et le dernier mouvement des lèvres c'est pour moi qu'il a été.
Elle a ouvert les paupières et je lui ai souris.
D'un sourire monstre, j'en suis conscient.
Le sourire pervers.

____________

"Tom, notre succès décline de jour en jour.
-On est plus crédible Bill, c'est pour ça.
-A ton avis, c'est notre fin à tous les quatre?
-Pas pour toi Bill, t'es trop beau pour ça.
-Arrête Tom, j'suis sérieux.
-Moi aussi.
-Quoi qu'il arrive on est ensemble frérot hein.
-Quoi qu'il arrive on est ensemble oui."

Et sur ce banc, tu m'as souris Bill.
Un sourire frêle, presque brisé.
Un sourire incertain.

.
Toiiiii <3.
T'es juste génial.
Merci.
______________

"-Oksana dis moi, qu'est ce que tu perçois là ?
-Ta présence et puis...rien."

Elle a éclaté en sanglots et à ce moment j'ai compris, bien que trop tard.
Je lui avait fait du mal.
Ses mèches rousses ont caché son visage noyés de larmes.

"-Je vois rien, rien du tout Tom."

Elle entrouvert ses yeux et j'ai pu y entrapercevoir un vert des plus extraordinaires, légerement teinté d'une sorte de rouge orangé.
Ca n'était pas juste. A huit ans, des cheveux oranges pétants et des yeux ayant la magnificience des feuilles d'automne elle n'avait pas le droit d'être privé de la vue.

"-Tom, tu verras pour nous deux, et tu regarderas pour moi la beauté et la sérenité dont regorgent les arbres.
-Tu les as déjà vus, les arbres?
-Oui, dans ma tête et dans mes doigts, ils forment l'image la plus distincte que j'ai du monde."

En effet à huit ans et les doigts en or on n'a pas le droit de ne pas jouir de la vue.
Elle ne vivait pourtant que pour cela, les arbres et leur imposante majesté.
Mais parfois je me dis, qu'elle a de la chance de ne voir les monstruosité de sa vie.

"-Tom, j'aimerai bien apprendre à lire comme toi.
-Tu iras à l'école et tu me donneras les plus beaux ouvrages sur les arbres que j'ai jamais lu.
-C'est pas possible ça. Le brail tu ne sais pas le lire.
-J'apprendrai."

Elle avait le visage le plus pur et pourtant le plus souillé qui existe.
Avoir été violée ça n'aurait jamais du lui arriver.
Il y a un certain nombre de choses qui n'auraient jamais du lui arriver.

Elle m'a lancé un sourire placide, le plus blanc possible.
Signe de reconnaissance et non de reproches.

"-Menteur. Adieu."

Et là, Ils l'ont remmené.
Loin de moi, à tout jamais.
L'Allemagne n'était pas son pays, il n'aurait jamais pu l'être.
La Russie n'aurait pas pu être le mien non plus.
Alors je l'ai laissé partir.

Pourtant si tu savais Oksana, le brail je l'ai appris.
Pour toi.
Et ces arbres ils t'appartiennent.
Parce que toi tu les aimes.
Alors ouvre tes yeux et regarde.
Le monde il est à toi.

Ptin c'est beau.
Chaque mots, chaque phrases...
Fait durer cette fic' je t'en supplie...
Je l'aime et je ne veux pas voir le mot fin.
Pas tout de suite.
Je sais tu es l'auteur et tu fais ce que tu veux XD
Mais la fin ca fait trop mal.

Je souris là tu sais?.
Tes mots sont des armes tu sais, ils controlent mes sentiments. Et Dieu c'est que pendant ces débuts de fic' ils se sont enchainés... Le sourire fut le plus dominant certes.

Merci Toi <3

Han.
Ca me perces le coeur ce que tu dis là |.Mariie.|
C'est juste trop beau pour moi.
Wow <3.

Auré:
Pikachu d'mon coeur<3.
Ca me touche tu sais.
Merci d'être là, je t'aime très fort l'oublie pas.

Vous (L).
Vos com's à vous deux c'est un énorme sourire sur mon visage.
Celui de Peter Pan.
Celui d'une enfant qui vous couche ses songes sans pudeur.
Merci.

Et toi t'es juste merveilleuse.
Tu m'offres bien des choses auquelles je ne peux pas prétendre.
Parce que cette fic' c'est un peu ma vie.
Alors me dire que tu l'aimes...Pfiouuuu <3.
Une suite sûrement ce soir, si je peux.

J'sais même plus te quoi dire <3.
____________

« Tommmmmmmmmmmmmm !!!!!!!!!!!!! »
Suite à ce beuglement hystérique, j’ai été obligé de courir.
Car si elles m’attrapaient j’étais sûr de mourir étouffé par leurs cris et mouvements oppressants.
J’ai tourné à l’angle de la rue principale et j’ai eu le temps de voir chuter mes "accessoires passe-partout" derrière moi.
Je ne sais plus, j'ai oublié comment, mais j'ai finis par les semer.
Je m'étais cru sauvé.
Comme la vie me le démontre bien souvent, j'avais tort.
C'était là en toute beauté et sérénité le début de la sainte horreur.
L'homme a éclaté de rire avec un rictus malfaisant.

"-Pourtant j'n'ai pas encore eu ma dose journalière.
Peut être des effets secondaires sont-ils en train prendre place a force."

J'ai cru mourir d'effroi.
Ce vieux corps décharné bougait et parlait, c'en était trop.

"-Tu ressemble drôlement à ce jeune homme qu'on voit sur les magazines qui traînent dans les rues.
Celui qui fait partit de la famille du travelo, l'autre tarlouse là..."

Il avait ajouté cela stupidement.
Demain on retrouverai mon corps bouffé par cet affreux bonhomme dans cette rue morbide, c'était ce que je pensais.

"Beaucoup de gens t'aiment bien, moi aussi quand j'étais plus jeune les filles m'aimaient bien.
Mais la rue c'était mon domaine à moi, alors les filles je les ai laissé tombé.
Si j'aurai pu aller à l'école peut être ça aurait été différent."

"Si j'aurai pu" .
Ces mots me firent horreur.
Bouffé par un vieux sac d'os completement inculte et illettré en plus.
Chaque membres de mon être semblait s'être dérobé à ma volonté.
Je ne parvenait plus à bouger .

"J'ai pas mangé aujourd'hui, j'ai faim.
T'aurais pas un petit quelque chose mam'selle?."

Dieu du ciel, en plus il n'avait pas eu sa pitance et ça serait moi qui lui servirait de repas.

"Bah alors mam'selle qu'est ce qui va pas, tu bouge plus et t'es tout blanc, tu t'sens pas bien?."

Et puis il y a eu comme un déclic en moi.
Et là miracle j'ai bougé, de très peu mais j'ai bougé.
L'homme à fait un sourire.
Un sourire vide, comme si il avait compris.
Mais il a juste marmonné d'une façon presque onirique qu'il aimait bien les filles, oh oui, il aimait bien les filles.
Et un nouveau sourire s'est pointé sur son visage.
Sa vacuité a percé véritablement au grand jour à cet instant.

Et là, j'ai courus.

Jusqu' à la derniere ligne j'ai crus que t'avais oublié...
Pourtant ca m'etonnais de Toi*.
La surprise en fut d'autant plus bonne.
Bravo
Ta fic' est toujours aussi géniale...
Huhu <3

T'as vu maintenant je suis a jour. (l)

Bordel.
J'vous aime.
Et Merde je l'ai dit.
A croire que je deviens moins renfermée.
Vous êtes deux à me lire, mais bon sang vous êtes les deux meilleurs.

|.Mariie.| : T'es lignes elles sont pas sans intêret.
Pas du tout.
Sois en convaincue.
J'aime le blabla, surtout le tien.
Wow encore une fois <3.
Merci d'arriver à me faire sourire juste par tes com's.

Auré :
T'as vu j'ai pas oublié notre mot.
Juste un silence pour témoigner de l'ensemble des mes sentiments envers toi <3.

Encore une fois : J'vous aime.

Appelle moi Margot alors.
Margot tout court.
Ou alors Moody, parce que la Lune et moi...(L).
T'as raison je les dis jamais ces mots parce que j'y arrive pas, mais là c'est sortit tout seul .
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"-J'veux la Lune.
-Et moi je veux que tu te taises, tu parles trop.
-Tu m'écoutes pas.
-T'as raison chut."

Laisse moi te dire que tu étais puéril Séléné.
Ton prénom ne te conferait pas le droit de réclamer la Lune.
Tu avais trop songé, trop rêvé à cette lune si changeante.
Sache qu'elle ne t'appartenait pas, tu n'avait aucun droit sur elle.
Tu crèveras de l'avoir trop quémander auprès de toi .
Tu étais stupide de regarder le ciel chaque soir avec ces yeux mièvres.
Tes rêves étaient presque béotiens tellement tu en abusais.
Ou alors étais-ce moi qui étais véritablement inique à ton égard.
Tu abusais trop des sourires pourtant bien trop précieux selon moi, envers cette Lune, ton seul Dieu.
Sûrment ton véritable péché fut celui-ci.
Mais ton attitude me paraissait pourtant scatologique.
Peut être suis-je excessivement dur avec toi, c'est possible.
Mais dans ce cas, je n'en tire aucun repentir.
D'ailleurs à l'heure qu'il est tu n'es plus de ma vie.
Je t'ai bazardé de mon existence .
Je n'en suis pas navré car la dernière chose que tu m'as offerte c'est un sourire.
Un sourire désabusé...et puis s'en va.

.
Je sais pas quoi te dire Marie (L).
J'ai vidé mon quotat de Merci .
C'est ce com's là que j'ai préféré <333'.
Il est tellement splendide et venant de toi il n'en est que plus estimable.
Marie, Marie, Marie...Tu me fais flancher le coeur.
Pas de nouvelles suite ce soir car je ne pourrai pas être là.
Mais peut être demain, oui peut être demain. Qui sait .