[T.] Playing Dead.

Pralinette, tu as sûrement raison.
=]

Marie je voulais te dire plein de choses mais "(L)" a l'air de bien tout résumer.

Aëlle Crois-moi ils sont bien comme ils sont.
Fais-le, fais-le. Et peut-être qu'elle arrivera à t'entendre.
Mais je ne suis pas certaine qu'elle te répondra pour autant.

Kim bordel ôte-toi de la tête cette idée que tu as en pensant que tes commentaires sont de la merde (L)
Ils sont trop bien. [Mais meurs pas trop quand même trtm]

*

- Parle-moi mon amour, ça fait une éternité que le jour s’est levé, ne le laisse pas se coucher sans délier ta langue, s’il te plaît…

Je ne veux pas te répondre et c’est comme un mur qui se construit entre toi et moi, un mur à l’isolation presque trop efficace. Je suis allongée à même le sol, la tête sur le tapis de ton salon et les membres en étoile, je suis là il paraît puisque tu m’appelles mais ma tête est ailleurs. Je ne veux pas de ton espoir, bordel. Arrête avec tes mots d’amour, arrête, tout va s’enflammer et j’ai déjà trop de cicatrices, si tu savais seulement leur nombre tu en serais épouvanté. Tu ne pourrais même pas me regarder dans les yeux, Bill.

Tu te penches sur moi et tes longs cheveux noirs me rappellent ceux, blonds, de la Femme, doux à en crever, étincelants comme le soleil qui t’aveugle alors que tu es plutôt d’humeur brumeuse. Tu t’imposes à mon regard mais c’est son visage que je vois dans tes traits, vos couleurs se superposant dans un mélange odieux, tes airs d’anges engloutissant ses marques de démon, ses rides déformant la douceur ta peau. Quoi que je fasse, où que j’aille, elle me hante, elle me terrifie, elle s’attache à mes entrailles comme un mal dont je ne trouverais jamais la guérison. Et plus tu t’approches, plus j’essaie de deviner le monstre qu’elle est revenir en force comme un boomerang que je me prendrais en pleine tronche. Je suis son sang, je suis sa chair.

Ça fait trois mois que j’ai quitté la « maison », ça fait autant de temps que tu t’es amusé à m’arracher à cette pourriture pour me faire partager la tienne. Ça fait trois mois et ça pourrait faire trois ans, ça serait bien pareil. Elle ne me quittera jamais, elle sera là chaque fois que tu t’approcheras de moi et que ton souffle s’échouera sur mes lèvres, elle l’égarera dans les plis des draps, elle annihilera chacune des émotions que tu m’envoies et me laissera froide et insensible. Elle réduira à néant tes tentatives, qui seront de plus en plus désespérées, et elle tuera dans l’œuf toute absolution qui pourrait pointer le bout de son nez dans l’horizon infini de ces jours qui n’en finissent plus.

Je la regarderai faire, tu sais. Je la regarderai faire et je l’admirerai dans son ignominie, j’adulerai ses chevilles gracieuses sous la courbe de ses talons aiguilles, je rêverais de se jambes et de ses mains sur le corps tendre de mon frère, quel âge avait-il, quel âge j’avais, moi-même ? Quel âge avions-nous quand elle a marqué nos ventres haine et perversité, quelle était l’innocence qui coulait dans nos veines quand elle nous l’a à jamais interdite ? Je contemplerai les dunes de ses lèvres quand tu m’embrasseras et je me souviendrais des gémissements de mon frère quand, sous mes yeux, il entrait en elle.

I nestle into pain
Hug suffering
Caress every ache

Elle m’assassinera et je l’en remercierai. C’est à ce moment-là seulement, quand j’en crèverai pour de bon, quand tu t’effaceras au profit de ce vide qu’on appelle mort, c’est quand je n’entendrai plus ta voix qui m’appelle sans relâche, c’est à cet instant-là seulement que je pourrais oublier tes maudits yeux.

Elle est la cause, Bill, tu le vois bien. Elle est la cause de tout, la cause de rien, le foutu point de départ de cette connerie de vie qui ne va nulle part, elle aurait mieux fait d’avorter c’est certain, elle aurait dû se faire interner c’est certain, elle aurait dû ne jamais naître, ne jamais apparaître, elle aurait dû mais elle l’a fait. De la même façon qu’en n’en faisant qu’à ta tête tu oses encore me dire
- Mon amour…
- …
- Mon amour… ?
- …
- Mon amour !
- Ta gueule !
- Merci.

Je me demande quand j’arriverai enfin à gagner ce jeu que nos deux âmes se tordent à essayer de continuer chaque jour. Je me demande quand tu décideras enfin d’abandonner la partie avant moi, puisque ce jour-là je sais que c’est moi que tu laisseras sur le trottoir et que je retournerai à mon observation détachée de ce monde en train de crever. Tu cracheras la cigarette que je suis devenue et tu écraseras le mégot par terre de tes foutues santiags. Et tout rentrera dans l’ordre.

Ou pas.

*

C'est malsain, cette ambiance que tu crées en deux ou trois lignes.
J'en redemanderai bien...

Meurs pas trop...tss j'suis déjà 25 pieds sous terre.

Bon bon bon, en tant que testeuse tu sais déjà en "avant-première" ce que j'en pense...

Je...répète ?

Non non, j'aime pas copier coller.

C'est magnifique, c'est...tss j'aime c't'espèce de lumière noire que tu nous balance en pleine face histoire d'éclairer cette histoire brumeuse.

Et en plus j'suis première...ça multiplie tout.

(l)


[P.S: le truc d'être première n'a aucun rapport...désolée ^^]

Ou pas.
voilà tout.



[6jours, merde]

La dernière phrase de ta dernière suite.
Le premier dialogue entre elle et lui.
Et ce tout.
Mon dieu.
J'ai fait des pauses entre les suites, parce que j'en avais mal au coeur et qu'il fallait qu'à chaque fois, les battements redeviennent normales, et que la course folle se calme.
De la folie à l'état pure. Des mots qui se dévoilent dans toutes leurs splendeurs avec tes deux personnages. C'est sublime dans l'horreur que Sans nom vit. C'est tellement torturé tout ça que ça en laisse une trace indélébile.
Et on se retrouve totalement chamboulés.
Mais, qu'est ce que ça fait du bien.
<3

Tu viens de poster, donc je continue mon commentaire minable.
C'est comme de se prendre une grande claque dans le figure et d'en redemander. Les "Mon amour" on dirait que Bill les répète comme une litanie abominable.
Tout ça pour dire, que je ne sais vraiment plus quoi dire.
Ou pas.
On verra à la prochaine suite, si j'arrive à sortir quelque chose de plus constructif.

J'ai du mal à respirer là. Tu crois que c'est normal ? Dis, tu crois que c'est normal ?
Je voudrais répéter tout ce que je viens de te dire sur msn, mais tu me croirais toujours pas hein, espèce de folle . Sombre désaxée.
Tu me dis sans cesse que tu me détestes et moi pourtant tu vois, c'est quand je plonge dans tes mots comme ça que je t'aime le plus.
Un truc de fou, comme disent les jeunes.

un frison d'horreur a parcouru mon corps et tu sais quoi
je n'ai pas eu peur
j'en redemande

ps: je suis souvant sans mots alors je ne posterai pas a chaque fois parce que... c'est nul même si c'est ce que je ressent

Tu m'en laisses le souffle court.
Toujours ainsi lorsque je me retrouve face à ton don de manipuler les mots à ta facon.
J'en veux encore, amante de mon coeur.

En espérant que j'arriverais à poster cette cinquième fois sans buguer...

Tu vois, je m'en doutais de cet inceste.
J'en doutais seulement et ça me touchait déjà assez comme ça.
Mais exprimé par toi par l'intermédière de Sans Nom... raaah! Comment veux tu ne pas crever après ça?
Non j'ne lâcherais pas. Je n'crèverais pas. j'espère...

[ah tiens ma connexion internet vient de buguer -_-]

J'ai une peur bleue qu'il lâche tout Bill. ça m'en donne un espèce de mal au bide! Bill si tu m'entends, t'as intérêt de tenir.
Finalement, ça a du bon d'être têtu. x)
Je n'avais jamais regardé l'entêtement sous cet angle la. C'est fou comme en se penchant bien on voit vachement de choses différement. C'est marrant x)
J'viens de prendre une résolution! J'me pencherais chaque fois que quelque chose me paraîtra moche =)
Et PAF [ça fait des Chocapics] encore une lecon de vie jetée élégament à la gueule by Nao! J'm'y habituerais jamais >_<'

Au risque d'avoir l'air ridicule (no comment! xD), le passage où Sans Nom dit "ta gueule!" à Bill m'a fait sourire. Je jurerais même avoir surprit un infime son à pein perceptible m'avoir échapé. On aurait pu l'interpréter par un rire étouffé mais en se penchant bien avez vous la même impression? (à méditer :p)
J'me sens con d'un coup

Ah oui et j'ai beaucoup aimé la transition antre l'explication sur les conséquences des actes de sa mère sur son état et le dialogue (oui oui s'en est un. elle a parlé ^^)

Et voilà je crois que c'est à peu près tout =)
<3

Etrange cette suite.
Mais admirable.

Y'a une certaine perversité dans l'air, ça me plaît.

=]

Et y'en aura encore, Folie. =]

MUAHHAHAHHA t'étais même pas première Kim mais c'est pas grave hein. x]
Merci (L)
[Bon ben ne descend pas au 26e pied alors xD]

Lily, Lily, tu le sais je te l'ai dit ça me fait plus que plaisir de te revoir sur mes pages, j'espère que tu y resteras longtemps (L) Merci, merci et encore merci.

Camille bordel je t'aime. Trop sûrement.
Etincellante folle. [qui tord mes entrailles]

Faraway d'accord pas à chaque fois mais de temps en temps, hein ? juste pour que je sache que tu continues à lire. =] Merci.

Pao, ça va mieux mon coeur, je me reprends. Le choc était dur, pardon. Je t'aime.

Waaa, Pralinette ce commentaire la vache x] Je sais pas trop quoi répondre à part que merci et que je l'ai adoré muhuhuh (j'adore quand c'est long x]) (L)

Marie (L) bordel tes commentaires me renversent le coeur. Tu crois que c'est grave ? Oh non ne réponds pas, je sais que ça l'est.

Aëlle <3 J'avoue. J'y suis allée fort.
Tant mieux si ça te plaît.

Longue suite. =]

*

Le pire c’est quand tu t’en vas, quand dix-neuf heures trente arrivent avec leurs gros sabots et que tu t’effaces dans l’embrasure de ta porte d’entrée. Le pire c’est cet instant où l’air se vide de ta présence et que je me retrouve seule, comme une naufragée échouée par hasard sur une île inconnue. Le pire c’est quand je n’ai plus qu’à errer dans tes couloirs, à passer de pièce en pièce sans parvenir à saisir ce qui me force à ensevelir mes sentiments sous une bonne couche d’indifférence quand je promène mon regard sur ces meubles, ces bibelots, ces souvenirs d’un passé que je ne connais pas.

No light no air to live in
A place called hate
The city of fear

Le pire c’est quand tu pars et que je ressens ce manque et ce besoin, cette envie mortelle de ta peau contre la mienne, cette même peau qui pourtant me fait souffrir, cette même peau dont je frissonne de plaisir autant que de chagrin, cette même peau que je ne sais pas caresser. Le pire c’est quand, sans toi, je n’ai plus aucune raison de rester entre ces murs et que je m’obstine à m’introduire dans cette histoire à laquelle je n’appartiens pas.

Il y a beaucoup de photos, chez toi. Punaisées sur les murs, encadrées et déposées sur les étagères, sur les tables, sur les bureaux, à droite à gauche en bas en haut, partout. Tu es dessus, souvent, reconnaissable. Parfois tu y es plus jeune et tu y as une coupe courte, parfois je retrouve la masse de tes cheveux longs. Tu es dessus, souvent, et un autre jeune homme qui te ressemble un peu, habillé large et les cheveux en dreads, t’y rejoint sur les trois quarts de ces images. Vous avez l’air de faire un tour du monde, vous avez l’air complice, indissociables. Fréquemment, deux autres visages reviennent et ça me gave de ne pas les connaître, ça m’agace de ne pas savoir leurs noms. Tu souris avec eux, comme jamais je ne t’ai vu le faire. Tu ris, tu t’amuses, tu as l’air de t’élancer à toute vitesse sur un chemin bordé d’amitié et d’affection. Tu sais, j’aimerais savoir à quel endroit tu t’es perdu.

Je me balade entre ces images d’un autre temps, ces allusions à une vie que tu ne mènes plus, ces illusions d’une vie qui ne te mène plus. Je me promène dans cette fournaise qui brûle mes sens déjà bien rongés par le feu de cet enfer sur Terre qui semble ne pas avoir de fin. Tu le sais, c’est tout le temps comme ça, mais j’ai mal, Bill. J’ai mal quand tu t’en vas et c’est vraiment le pire, quand tu n’es pas là pour me faire braire à essayer désespérément de m’appeler, de me faire réagir, de me torturer jusqu’à ce que je cède à ta voix.

*

- C’est quoi, ton nom ?
- Je n’en ai pas.
- Ah…
- Oh.
- Et ta mère, comment elle t’appelle ?
- Elle ne m’appelle pas.
- Drôle de gamine.
- Drôle de génitrice.

Oh et bon dieu, les gens me saoulent, les gens m’horripilent, surtout quand ils cherchent à m’aider, à se lier à moi, à n’importe quoi, surtout quand ils s’approchent, surtout quand je les sens à moins d’une centaine de mètres de moi, surtout quand ils vivent, surtout quand ils meurent. Je ne sais pas ce que je fous, assise sur ce banc à la con à parler à ce mec à la con qui a une coiffure à la con et des yeux d’une couleur à la con. Je ne sais pas ce que je fous mais il est vingt-trois heures trente et tu n’es toujours pas rentré, je ne t’ai pas vu passer et il n’y a pas de lumière à ta fenêtre.

J’ai pensé que descendre et zoner dans les rues alentours serait comme fuir l’attente que tu m’imposes, cependant la vérité est autre, la vérité est fausse, non, qu’est-ce que je raconte, mais putain pourquoi tu n’es pas là tu rentres vers vingt et une heure d’ordinaire, et si tu ne revenais jamais, et si tu en avais déjà marre de mes airs de tabac froid, et si tu t’étais trouvé une nouvelle cigarette, tout neuve, bien longue, et si tu étais parti fumer ailleurs le cœur d’une autre, je ne te le pardonnerai jamais sache-le, oui je ne sais pas ce que je veux, et alors, et alors ? Je t’emmerde. Mais reviens.

- Tu as quel âge ?
- Je ne sais, est-ce que tu m’en donnes un ?
- Seize. Par là.
- Ah, parce que t’as envie de te taper une mineure ?
- Tu ne l’es pas ?
- Non.
- Dommage.

Ce type m’excède mais tu n’es pas là, Bill. Tu n’es pas là et j’en ai marre de regarder ma montre toutes les deux minutes, j’en ai assez d’être ce truc difforme que tu m’as fait devenir, j’en ai ma claque de ces transformations que tu me fais subir avec toutes tes bonnes intentions, j’en ai ras le bol, ras la casquette, ce que tu veux, ça me casse toutes ces couilles que je n’ai pas, imagine-les si ça t’amuse tu n’as foutrement rien à y redire. Je hais ce type mais ça n’a pas de sens, on le sait tous les deux. Avec toi c’est différent, avec toi il faut toujours qu’il y en ait une, de signification, de résolution, à en croire que tous nos problèmes ont des solutions, à en croire que tu ne connais pas l’abandon. Je hais ce type mais lui, au moins, n’attend rien de moi, à part que j’écarte les jambes. Et ça, tout le monde sait le faire, pas vrai ?

- Ceci dit, j’n’ai rien contre les majeures dans ton genre.
- Tu veux baiser ?
- Grave.
- C’est trois cents euros, du con.
- Pardon ?
- Je déconne. Trouve un endroit, par contre.
- Suis-moi.

Alors je le suis, parce que peut-être j’oublierai ton absence quand il me poussera contre un mur et que j’aurais plus mal qu’autre chose. Je les connais les mecs comme ça et à part éjaculer dans un trou il n’y a rien qui les intéresse. Mes intentions sont telles qu’elles sont, aussi méprisables soient-elles, et je n’ai même pas le temps de m’éloigner que j’entends un cri, ton cri.

- SANS NOM !

Et quelque part, un de mes rouages se met à tourner à l’envers, puisque je croyais que dans ta bouche je n’étais que ton amour. C’est encore toi qui saignes, c’est encore de ma faute, tant pis pour la souffrance sourde qui gronde au creux de mon ventre.

Saleté de lâcheté.

*

[Silence]
Tu tiens dans le creux de tes mains, un putain de talent.
[Silence. Plus long]
J'crois que ce que j'ai à dire ne peut pas être plus beau que le silence qui régne après avoir lu tes mots.
Juste un boum boum timide qui s'échappe.
[Silence. Peut être infini.]

ah oui effectivement ça fais vachement plus long sur le fow. et tout d'un coup en plus.
Bon tu m'as dit que t'étais prête pour un com qui par en live? ok alors j'vais me lâcher. mais pas trop quand même...
bref on verra bien.
allez c'est partit!

Mais qu'est ce que t'as foutu Bill??!!
Et regardez moi cette idiote!!! Non pardon c'est vrai qu'elle souffrre énormément et elle ne supporte pas son absence. Et son retard à Bill, n'a fait que tout empirer.
Mais c'est quand même pas une raison pour faire ça!!!!! Même déboussolée même c'que tu veux!
Tu sais à quel point ça va l'faire souffrir à Bill??!! Et toi aussi par la même occasion! Lui aussi il a des problèmes de son côté si t'en rajoute j'ai la trouille qu'il laisse tout tomber!
P'tain Nao j'ai la trouille et toi tu joues avec tout ça. Avec mon ventre qui réceptionne toutes mes émotions. Il n'est pas déja en très bon état mais la! c'est le pompon. Comme si mes intestins s'étaient noués tu vois?
Tu peux vraiment être fière de jouer avec mes nerfs à ce point la. Cette histoire je la vis même plus fort que si j'étais l'un des personnages. Tu réalises à quel point ou toujours pas?
Nan et puis ces expressions que tu emploies. Elles ne sont pas si extraordinaires détachées du texte. Mais tu les emploie au bon moment au bon endoirt, entouré des mots exacts qui font que ça fait toute la différence. Il n'y a jamais de trop ou de pas assez. C'est juste à la bonne dose et ça te transporte je n'sais où mais assez longtemps pour que l'air de cet endroi où on s'envole imprègne chacunes de nos pores mais pas trop longtemps non plus pour ne pas en crever. Même si parfois c'est vraiment limite on arrive toujours à se ressaisir. Tu vois? c'est tellemnt bien cuisiné que ça en dépasse de très loin la perfection s'il y en a une. En tout cas, ça dépasse ma perfection. Jamais je n'aurais cru que quelqu'un arrive jusque la. ça peut paraître cliché ce que je te dis la et tu as du sûrement l'entendre dire des centaines de fois mais pourtant ce'st la vérité.

Nao j'en peux plus d'aimer autant. J'en peux plus d'attendre.
Nao cest pas un bordel ni un chaos que tu fous en moi. C'est le Big Bang puissance 10!

<3<3<3<3<3<3<3<3<3 !!!!!

Et le pire, le pire dans tout ça, c'est que ça ne me tue pas. Le pire c'est que ça me fait agoniser, encore et encore, et mon coeur est un peu bizarre ce soir, plus serré que jamais, il ne sait plus retrouver la droite de la gauche, je crois qu'il se balade en peu partout, comme du saut à l'élastique dans mon corps. Bordel, merde à la fin je saurais même pas te dire l'effet que ça me fait, tellement c'est inconnu, tellement je n'avais jamais, jamais, connu ça avant. C'est fou, dingue, taré, décalé, désaxé, tout ce que tu veux dans ce genre là. Que j'aime, que j'aime, j'en deviens folle, d'ailleurs, regarde je raconte n'importe quoi là, je ne sais plus quoi dire mais j'ai envie de continuer à raconter des conneries. Je suis complètement amoureuse de la Nao crue comme ça, quand tes mots n'ont pas froid aux yeux et que cette horreur me fait presque du bien, un peu comme quand cette fille bizarre m'enfoncait son aiguille dans la chair tout à l'heure. Nao, ne dis plus jamais des conneries comme tu as l'habitude de dire d'habitude sur msn, parce que je te jure, oui, je te jure, qu'un jour je finirai par te tuer.

Et alors, là, soulagement quand tu me dis que le choc est passé et que ca va mieux, parce que mon dieu mais regard un peu ca, un peu c'qui te file des doigts, moi ton talent il me donne des frissons partout, je le prends je te le secoue sous le nez Regarde Regarde comme il est terriblement fou, terriblement unique alors aime le bordel, et ais confiance en toi, parce que moi j'ai terriblement confiance en toi.

Je t'aime.

Bon, juste pour te dire que je t'abandonne pas et que je lis toujours. Seulement, j'ai pris du retard... beaucoup de retard. (A vrai dire j'en suis toujours qu'à la première suite mais je te promets de rattrapper... un jour.)

M'en veux pas hein.

...
soupir
bave
espoir
désespoir
amour
haine
je ne sais pas quoi dire! !!!
tu ne peux pas savoir à quel point ça m'énerve de ne pas savoir aligné 70.000 mots, moi, incorrigible bavarde et écrivaine !
j'aime tes mots
j'aime tes textes
j'aime les sentiments
et les scènes qui se jouent dans ma tête
je crois que je suis dépendante </3





sinon,
" Le pire c’est quand tu pars et que je ressens ce manque et ce besoin, cette envie mortelle de ta peau contre la mienne, cette même peau qui pourtant me fait souffrir, cette même peau dont je frissonne de plaisir autant que de chagrin, cette même peau que je ne sais pas caresser. "

je te demande la permission de recopiage sur mes murs ^^
cette phrase, je la vis <3<3

J'...
J'sais plus qui j'suis la, monumentale gifle de tes mots.
Preferisco dirglielo in Italiano...Il tuo testo è magnifico, non ho mai letto una meraviglia come quella che esce delle tue dita.
Ti amo sempre più ogni giorno.
<3

Yeah! Nao, une fois de plus, t'assures!

J'aurai pu te sortir des mots grandioses, étaler mon admiration dans ce carré blanc, te dire oh, combien, ton histoire m'attire.
Pourquoi, pourquoi, Nao, à chaque fois que je te lis, je ressens cette putain d'envie d'écrire ?
Pourquoi ma gorge devient douloureuse ? Pourquoi j'ai envie de dire n'importequoi à la fin de tes suites ? Pourquoi j'ai mal, pourquoi j'exalte ?

J'ai besoin que tu me répondes.
Dis, tu crois qu'un jour, ça aussi tu réussiras à le faire ?

Je t'aime <3