[T.] Playing Dead.

félicitation Lucky! xD


Nao, c'est de pire en pire. Lire tes mots avec Eux en fond... j'ai le coeur qui s'est détaché. Il est venu se balader un peu partout dans mon ventre, dans mon estomac, dans ma gorge en étant pris d'une crise de folie. Il sautait, tournait, plongeait, courait, se tortillait frénétiquement en prenant soin de me donner le mal de mer que je n'ai jamais eu. Il a remué tout ce que contenait ces organes. Je te laisse imaginer ce que ça peut bien faire ^^

T'es une sacré folle!! <3

Nao reviens!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Nao.

(L)

Putain que j'aime.
Putain de sentiments.

Je viens de me manger 19 pages d'intense douleur en plus de 2 heures. ( Car ouai je prenais à chaque fois le temps de m'en remettre. Car ce que tu nous raconte sa fait pas juste mal, c'est hyper douloureux en faite. )
Et là, je reste conne. Sans vraiment savoir pourquoi.
Tout est confus dans ma petite tête, et déjà que sa l'était un peu avant que j'te lise, j'dois t'avouer qu'en faite c'est carrément l'anarchie là.
Mon Dieu. Bonté Divine. Sainte mère. Doux Jesus. Tout c'que tu voudras. Mais écrire en un commentaire tout ce que j'ai ressenti et décrire tous les etats dans lesquels j'ai pu être, c'est comme tenter de déplacer une montagne, sauter dans l'vide sans parachute et êttre certain d'arriver en vie ou bien encore un tas de truc impossible.
J'dirai donc.
Merci. Et puis (L)
Sa suffira je crois.

Vous êtes folles. Toutes.
Toutes.
Toutes.

Mais mon dieu, qu'est-ce que je peux vous aimer derrière cet écran.
Ce qui compte le plus au monde, c'est sûrement ça.

Je vous poste la suite cette nuit.
Pardon de mon retard.
J'ai le coeur lourd.
Bien trop lourd.

Et toujours, le silence.

Alors que mes démons sèment la pagaille entre les valves de mon cœur qui ne sait plus où donner de la tête et que tes doigts s’emmêlent les uns aux autres comme un nœud inextricable, c’est le silence qui règne. Celui qui frémit dans l’air, qui pressurise, qui nous broie au milieu de toutes nos attentes, de tout ce qu’on n’a pas eu le cran de réaliser. Le silence, celui qui viole ma voix depuis des années.

Je me souviens des ces moments où Elle s’approchait de moi avec ses mains manucurées et où ses ongles multicolores s’enfonçaient dans la peau de mon cou. Où la mort ne semblait pas si loin, sous la pression de ses paumes. Où respirer devenait un exploit sous la brutalité d’une mère qui ne savait pas m’aimer. Tais-toi, catin. Il y a des mots dont on ne se remet pas, tu le sais bien, tu les cherches d’ailleurs. Elle, Elle les avait trouvés. Ce n’était pas si difficile, il lui suffisait de taper là où ça fait mal. Et quand on est gosse et que c’est sa propre mère qui nous détruit, je peux te dire qu’un rien nous crève sans mal. Tais-toi, catin. Sa propre mère. Son propre sang. C’est de là que je viens, bordel, c’est de ce sexe que je suis sortie, c’est dans ce sexe que j’ai été créée. Tais-toi, catin. Je me souviens, Bill, je me souviens des claques, des torgnoles, des cris, des cheveux qu’on arrache. Ce n’est pas que j’étais une enfant battue c’est plutôt que je suis mutilée depuis ma naissance. Et tais-toi, catin.

J’ai appris très tôt à en dire le moins possible, puisqu’il fallait que je lui obéisse. Je suis conditionnée à être muette depuis qu’Elle fait la loi. A m’emmurer derrière les barrières que toi seul as été capable de surmonter. Tais-toi, catin. Je ne sais pas de quelles fautes j’ai pu me montrer coupable à ses yeux, de quelle façon j’aurais dû me comporter pour éviter sa haine. Etait-ce seulement de la haine ? Etait-ce seulement un ressentiment connu ? J’étais sa fille et chaque jour était un calvaire. J’étais sa fille et c’est à mourir de honte qu’elle m’apprenait. Sans avenir, sans devenir. Nous sommes fous.

Nous sommes fous et on ne s’en sortira pas, Bill. Pourtant c’est quand tu fais semblant d’être plein d’illusions que tu m’es le plus cher. Je suis instable, c’est vrai, taciturne et changeante. Ceci est une promesse, toute bancale qu’elle soit. Je te chercherai jusqu’à ce que je sache me retrouver dans tes yeux. Abreuve-moi de toi chaque fois qu’Elle m’étouffera encore. Romps le silence. A présent, c’est autre chose que je veux entendre.

- Bill…
- ... Mon amour, emmène-moi.
- Où, Bill ?
- N’importe où. Change les couleurs. Montre-moi ton noir et blanc.
- …
- Rappelle-moi que le monde crève, mon amour.

Tu n’as pas besoin d’en dire plus, je le crains. Il suffit que je te regarde pour saisir l’ampleur de ta requête. Ce n’est pas une demande, ce n’est pas une prière. C’est une autre de tes lamentations égoïstes, la seule qui soit vraiment importante parmi toutes tes stupidités. La seule qui ne fait pas semblant de se soucier des autres, la seule qui te montre à mes yeux comme tu es véritablement. J’ignore ce que les deux jeunes hommes de tout à l’heure ont bien pu faire remonter comme souvenirs mais ça a fait un beau remue-ménage au creux de ton âme, pas vrai ? Je ne jure de rien, cependant serait-ce vraiment culotté d’affirmer que te rappeler que tu n’es pas l’unique âme en agonie sur cette planète n’est pas la mer à boire ? On n’est pas des nantis mais la pourriture des autres nous sautera tellement à la gorge qu’au dehors tu te souviendras vite que tu pourrais tous les envoyer aisément se faire foutre, Bill.

Alors, cette fois, un simple
- Suis-moi.
semble être assez pour te tendre la corde que tu implores. A toi de voir si elle te paraît assez solide. Elle ne te sauvera pas, c’est certain, mais peut-être suffira-t-elle à notre pendaison.

*

La fin de tes suites c'est toujours ce que je préfère.
C'est l'point final qui t'envole, qui t'écrase. Ca dépend. Mais c'est toujours celui qui fait le plus mal au coeur.
Et j'me suis toujours demandé d'où venait toute cette magie.

Suga'Girl, je m'excuse d'avoir eu du retard. J'ai dû dire au revoir et je n'avais pas su prendre en compte la douleur que ça allait causer. J'aurais pu le savoir, pourtant.
Merci de ton enthousiasme. =]

Folie, moi ce que je trouve fou c'est la douceur que tu me jettes dans tes commentaires. Et cet acharnement que j'ai à attendre les choses importantes. "Comme un éternel recommencement." Le 8 décembre.

Margaux, mais dis-moi, tu le sais que ta présence sur mes écrits c'est aussi comme une drogue pour moi ? Vous êtes tellement, tellement bien que je pense bien ne pas vous mériter. Je sais que c'est bête mais bordel ne partez jamais. Ne pars jamais, Margaux. (L)

lovepandora, comme je disais, je suis vraiment désolée. J'avais dit quelque chose et je ne l'ai pas fait. Je trouve ça nul. Tout ce que je trouve à dire pour ma défence c'est que j'avais le coeur défoncé. (il l'est toujours un peu, d'ailleurs). Merci beaucoup =]

Lino, ma Lino que j'aime tellement tellement... C'est vrai, je pensais que tu ne le ferais plus mais j'espérais toujours. Tu sais, t'es tellement importante pour moi, t'as tellement manqué à ma vie... Je saurais pas te le dire en vrai, ou même te le faire ressentir, je sais pas ce que je devrais faire quand je me retrouve face à toi pour te faire comprendre que je t'aime, moi qui ne suis pas capable de le dire. Maël, Flo, tout ce que tu es pour moi. Tu peux pas savoir ce que ça me fait de te voir sur cette fic. Tu peux pas savoir, sûrement. Mais putain Flo, merci.

Camille, c'est fini les suites courtes =] Je me sentais coupable de vous mettre qu'un tout petit bout n_n. Camille... tu me manques, Camille. Vous me manquez putain. C'est pas facile de se retrouver seule dans sa chambre. Sans personne.
-
Elle vient de vous, cette chose que tu appelles magie. Elle vient sûrement de vous. Parce qu'il n'y a que vous pour faire en sorte que mon coeur s'explose sur le clavier.

Pao, voilà, je me reprends en main comme je peux. Merci ma Pao. Merci d'être là, si loin peut-être mais là quand même. (L) Je t'aime. Et je ne sais pas quand mais c'est sûr, on se reverra. Et j'attendrai jusque là. Encore.

Lucky, muahahahahha x] Bravooooo ! Je sabre le champagne, tu viens diner ? =P Merci pour Paris, ça m'a fait plaisir de te voir. Et quelle aventure, pas vrai ? x] (pardooon xp)

Kim, que te dire à part qu'à mes yeux c'est toi qui es magnifique ? Que te dire, hein ? Les prochaines vacances, mon coeur. Les prochaines vacances... (L) Courage, hein ?

Marie, t'en fais pas je ne m'inquiète pas. De toutes façons c'est maintenant qu'elle me vomit les rancoeurs que j'avais dans l'âme, cette fic. Une bombe à retardement, peut-être. Pour deux folles à retardement. Merci. (L)

Pralinette, t'es folle de les écouter en même temps que tu lis, ça doit anéhantir la puissance de leur musique x] Tiens d'ailleurs moi pendant que je te réponds y'a 1000 Meere qui tourne et figure-toi que je pense vite finir et aller me morfondre dans mon lit. Il est bien plus que l'heure, de toutes façons. Hey, Pralinette.. Merci, hein. (L)

Maë, ouaaais, t'es toujours là ! J'avais peur que tu aies pris la poudre d'escampette pour de bon. Thanks ! ^_~

Bertille, bordel je ne sais que te répondre tellement ce que tu m'as dit est immense. Quand je pense que tu disais que tu avais peur d'être ridicule... Quelle blague (L) T'es bien courageuse de t'être mangé toutes ces pages, mais j'irai vraiment pas m'en plaidre. Je voudrais bien te souhaiter bienvenue, je sais pas si on peut vraiment l'être sur cette fic où je veux que mes mots dégueulent. Merci à toi. (L)

e ne sais pas faire de magnifique com toutes les autres, j'ai beau essayé ça ne ressemble jamais à rien...
Bref.
Bravo. Merci. Encore.

elmer, huhu, t'en fais pas, va. J'ai compris le concept x]

J'sais pas quoi dire là, tu m'aveugles de briller aussi fort, ma Nao Jolie...
Et cette Sans Nom...Comment elle fait pour comprendre Bill aussi bien ? Et comment ils font, tous les deux, ppur crever avec autant de grâce...?
31 jours. Tu vois, si j'pouvais j'compterais presque les heures.

Dans ce cas, faut dire Bienvenue en enfer x).
Bref, Nao Nao Nao, encore une suite, et encore cette putain de sensation impossible à retranscrire.
Tu prends un malin plaisir à nous achever avec tes fins destructrices. Mon Dieu.
(L).

Harmo je sais pas si je brille. Je dégobille plutôt.
Ils s'entretuent. Ca a toujours plus de classe quand on sait s'aimer entre deux grimaces.
=)

Bertille, huuum. Ca me rappelle une chanson.
"Welcome to my nightmare
I think you're gonna like it
I think you're gonna feel like you belong
A nocturnal vacation
Unnecessary sedation
You want to feel at home
'cause you belong
Welcome to my nightmare
Welcome to my breakdown
I hope I didn't scare you
That's just the way we are
When we come down
We sweat laugh and scream here
'cause life is just a dream here
You know inside you feel right at home here
[...]"
D'Alice Cooper.
Je sais pas si tu comprends ces paroles (vive l'anglais).
Si tu le fais finalement c'est ça, non ?
C'est vrai, c'est un plaisir. =)

Nao, c'est exactement sa.
C'est énorme.
(L)

Ma Petite Nao, je te voue une entière admiration pour ta capacité a nous toucher avec tes mots !!!!!

C'est tellement beau, j'ai l'impression de vivre la scène d'être là a les voir tomber sans pouvoir les aider, surtout les fins de tes suites c'est toujours aussi triste mais j'aime quand même alors merci à toi de nous procurer autant de sentiments confus ^^ et sache que tu ecrit superbement bien et sa c'est pas donner à tout le monde!!!!

Bisous <3

Et suite stp!!!!!!!!!!!!!!!

Nao je n'ai qu'une chose à dire (car tout à déjà était dit):


MERCI


Suite magicienne des émotions

=]
je suis la
je peux enfin poser mes yeux sur tes mots ...
ca m avais manquer ...
malheureusement j epouvais pas faire autrement
et ouais
j ai repris les cours moi lundi eyt je suis bonbardée de devoirs ... --'
* on s'en fouuuuu !!!!* ( fin du 3615 My Life )
je dirai juste
suite please
a chause fois que je viens ici j ai" peur"
peur de decouvrir tes mots
parce que tes mots , ils .....
je sai ps mais c'est ....
voila quoi
mais qd mes yeux se posent sur le point final
j en redemande
( je sais mm pas ou je veux en venir ^^ je m embrouille la >.<)
tout sa pour dire
continue
encore
toujours
c'est un monde
ton monde
ton histoire
mais je peux deja plus m en passer ....
alors
encore
please
j'aime
<3
et aussi
merci , merci pr tout Nao
<33

"ça doit anéantir la puissance de leur musique"
Tssssssss... Vas dans le métro satanas >_<'


Putain Nao j'en peux plus. Non la c'est beaucoup trop fort pour moi. Tu vas vraiment finir par me tuer! -Ne serait-ce pas une magnifique façon de mourir x]-
Une
overdose de sentiments, de confusion, de peine, de folie, de sourires,
de larmes, de haine, d'amour, de colère, de compassion, de pardon, de
merci, de souffrance et que sais-je encore. Tout ça en même temps, ya
vraiment de quoi devenir complètement tapé. Je vais commencer à me
renseigner pour chercher un asile digne d'avoir un PC à disposition x)

Merci pour tout Nao. T'as vu? Je deviens vraiment dingue
Il me fait peur mon commentaire mais pourtant c'est bien réel.

<3

Ma Emo'Nao. J'voudrais une Emo'suite ' Sttttp '.
Non, c'est pas ça. Vouloir détendre l'atmosphère après cette avalanche d'mots. Tu sais, je joue à la morte depuis lundi. C'est plus facile paraît-il. Mais c'est toujours plus dur. Ouais, j'ai plus le silence de tes mots qui envahissent l'espace. J'ai juste ce néant qui me bouffe, toutes ces sensations oubliées.
Mon dieu, Nao. J'ai les yeux bordés de larmes et j'ai honte. Honte, parce que tes mots je ne peux pas les qualifier, je ne ferais que me tromper. Alors j'pourrais me taire. Mais voilà. J'ai ce Bill que tu fais naître qui coule en moi et je ne sais pas quoi faire pour respirer, ou même faire semblant.
Dès la deuxième page j'ai voulu fermer les yeux. Mais non, tu vois j'suis venue jusque là et bordel.
Nao. Nao. Nao. Nao.
Pardonne moi ce que j'écris n'a pas de sens. D'une futilité affligeante.
Pardonne moi de ne pas trouver les mots que je voudrais te balancer.
Pardonne moi, mais tu me manques bien trop.

Finalement tu vois t'arrives peut-être pas à le dire en face, tout en face, quand t'es là et que je me penche pour entendre tes paroles, t'arrives peut-être pas à me dire "je t'aime Flo" comme ça, mais ça n'empêche que quand je t'aies vue moi j'ai eu le sentiment que tu me le hurlais et que je pouvais pas éviter de l'entendre. J'ai bien vu dans tes yeux l'autre soir ce que ça faisait d'être de nouveau dans ton coeur, dans ton esprit, de revenir tu vois, parce que ça faisait trop longtemps. Cette nuit où j'ai si peu dormi et où je t'ai écoutée, et où je t'ai parlé, je crois que tu m'as rendu un bout de moi-même. Et même si cette fic est en train de me couper des bouts de coeur à coup de maux, je peux te jurer que ça me fait un bien terrible d'être ici et de lire les merveilles que tu écris. Encore cette suite, je peux même pas décrire ce que ça me fait... Alors merci, merde, merci Nao. Arrête jamais, je le dis encore parce que c'est important.
Encore et encore, s'il te plait.
Que je me saoul à tout ça.

que dire ?
elle creuse sa tombe
je vais pas tarder à entrer dans la mienne
toujours aussi dur, grave, horrible à hurler
je t'ayme
j'aime ton texte
et je fous les vacances là où je pense de m'avoir fait prendre 6 pages dans le cul.

<3

Oh bordel, cette dernière suite (L)
Sans-Nom est merveilleuse sous ses blessures.
Et ton Bill, ton Bill (L)
Grandiose, tu sais.
Ils sont grandioses tous les deux. C'est magique ce que tu fais avec une poignée de lettres.
Et moi je suis là, je voudrais te dire plein de choses, te faire comprendre à quel point elle me touche, ta fic. Mais j'y arrive pas, pour l'instant.
Alors je reste là, je m'installe dans un petit coin entre tes mots, et je regarde toute cette douleur, toute cette magie défiler devant mes yeux.
Et je resterais bien installée jusqu'à l'éternité.
(L)