[T.] Playing Dead.

Hasta la vista. Je ne sais pas pourquoi mais se sont ces mots qui me clouent le coeur sur place. J'étais en haleine pendant tout le texte et c'est définitif, à la fin j'ai arrêté de respirer. C'est définitif Nao tu es la plus grande dans mon coeur, tu le seras toujours. C'est définitif Nao je t'aime comme personne, tu es la déesse de ma vie, et je ne vois pas comment je pourrais un jour penser autrement quand je vois ces mots qui tu sèmes sur ton passage.

*__*
Nao, Nao, là tu n'imagines même pas ce que ça m'a fait de te lire. Tu sais que j'aime énormément ce que tu fais, depuis le début de cette fic, mais alors là, là, c'est carrément décapant, là c'est un ouragan, une tornade qui est allé se cacher dans mon coeur.
Musique, la Musique, même seule, c'est ma déesse à moi aussi. Mais alors quand tu l'écris, ça devient carrément plus.
Bordel, je sais pas si tu te rends compte de ce que t'écris, et moi qui arrive même pas à te le dire =)
C'est vrai que c'est très différent de d'habitude je trouve, mais bordel, qu'est-ce que c'est grandiose ton truc.
Qu'est-ce que c'est grandiose...
<3


Do-léance. Ré-miniscence. Mi-elleuse. Fa-buleuse. Sol-aire. La-nce pierre. Si-lence. Do-léance.

Et ce passage. Ce passage, à lui tout seul, il veut dire tellement (L)

Si j'avais un mot à souffler quelquepart ici, il serait tellement fou, tellement incompréhensible qu'il en deviendrait illisible. Je suis défoncée. <3

Alors voilà, c'est la fin.

A celui qui vient d'ailleurs {tout ça pour éviter de dire ton pseudo u_u}, j'ai envie de dire qu'il faut bien que les aventures se terminent un jour, n'est-ce pas ?
Bim, tu sais ça me rend énormément heureuse tout ce que tu dis sur moi. Ta localisation, ta signature, tes commentaires. A chaque fois que j'écris quelque chose, j'ai tout de suite envie d'avoir ton avis. Tu vois, tu t'es fait ta place dans ma vie, et j'aime bien ça. (L)
Mero, merci à toi, ton com' me touche énormément. (L) Ca ne servirait à rien, tout ça, si vous n'étiez pas là.
Camille, je voudrais te dire un truc comme merci, ça me fait
plaisir, han la la déesse ton commentaire je peux le relire encore, je n'arrive toujours pas à me dire que c'est pour moi. Mais tout ce qui vient c'est : après demain (L)
Caramel, je suis contente que ça te plaise toujours autant après tout ce temps. J'ai pris mon pied sur cette histoire, il faut bien le dire. J'ai pris mon pied à me démener pour essayer de vous faire passer tout ce que je voulais y mettre. Alors, merci d'avoir compris, d'avoir aimé. (L)
Ki§@, tu sais tes commentaires à chaque fois c'est comme une douleur qui me traverse, une de ces douleurs qu'on ne peut pas s'empêcher de souhaiter. Je ne sais pas même pas pourquoi c'est douloureux, ça en devrait n'être que joie mais... Merci de ressentir autant. Et merci de me le dire. (L)
Marie, j'aurais bien aimé l'entendre, ce mot. Je suis sûre qu'il m'aurait laissée aussi défoncée que tu l'étais.




Je me souviens du poids de ton corps sur le mien et de la symphonie de nos sanglots qui se mêlaient à même le sol, les larmes nous coulant dans le cou et se rejoignant sur la terre humide. Je me souviens de la douleur de ce départ que nous ne pensions pas pouvoir surmonter. Et surtout, Bill, surtout, je me souviens de tes bras autour de mon ventre qui m'ont remise sur mes pieds quand le temps de continuer notre chemin est venu. Oui, je me souviens de ta force qui recollait avec fermeté les pièces de mes émotions écartelées. Tes sourires malhabiles éclairaient l'obscurité de mes angoisses, tes mots envahissaient chaque parcelle de mon âme. Nous sommes restés ainsi quelques mois dans cette maison pleine de lui, qui sentait l'odeur de ses cheveux, fruitée, et la tendresse de ses mains musiciennes, nos peines. Et c'est avec son absence que nous avons vécu, du mieux que nous pouvions le faire. J'ai appris à calmer ton sommeil, j'ai soulagé tes épaules du poids de tes remords, j'ai enlacé ton faible corps. J'ai lentement compris que mes mains n'étaient jamais en paix tant qu'elles n'étaient pas dans les tiennes. Et quand le silence de ce coin de paradis a fini par laisser place au manque d'ailleurs, nous avons rassemblé toutes nos affaires pour partir à nouveau. Je n'ai jamais su très clairement où nous sommes allées mais dans un monde à deux cela n'a pas d'importance, tout ce qui comptait c'était ta présence, l'insouciance qui battait dans nos veines. Du reste, personne n'a cherché à savoir où nous étions et nous n'avons jamais eu besoin de rien. Je n'existe que pour toi, tu n'existes que pour moi. Et, quelque part, pour Tom. Pour cet être cher que nous n'avons pas perdu, qui s'est simplement envolé.

C'était l'histoire de nos deux vies, de tes longs cheveux noirs entre lesquels ma cendre est si souvent venue se perdre, c'était l'histoire de tes yeux noisette contre les miens si pâles, et c'est tout cette histoire que je retrouve à la surface du miroir où mes yeux se perdent. J'ai tellement changé depuis toutes ces années, l'as-tu vu ? Je ne retrouve plus mon air de damnée sur mon reflet, mon seul tourment à présent c'est le temps qui passe trop vite, regarde-nous, cela fait déjà dix ans, Bill. Dix ans. Mon frère s'est marié il y a trois semaines, il a grandi sans avoir besoin de moi. Je me suis cachée au milieu de la foule des passants pour l'apercevoir aux bras d'une jolie rousse, mignonne à croquer, tout le contraire de notre mère. J'ai su qu'il était guéri. Et je suis tellement, tellement fière de lui. Mon père a croisé mon regard d'un air entendu et j'ai abaissé la tête pour le remercier. C'est tout ce que je peux faire pour eux, mon destin n'est pas le leur, mes envies ne sont pas les mêmes. Je n'ai besoin que de l'éternel de tes caresses, que de ton air où respirer, le reste, - quel reste ? -, le reste me passe par dessus la tête. C'était l'histoire de la souffrance qu'il m'aura fallu vivre pour enfin atteindre la douceur de tes bras qui me sont toujours ouverts. C'était l'histoire qui nous a enchaînés l'un à l'autre jusqu'à ce soir, jure-moi encore que cela continuera toujours. Je ne me lasse pas de voir le monde à travers tes yeux. Nos pensées vagabondent bien plus librement quand on est tous les deux. Oui, dis-moi que cette histoire n'est pas terminée, promets-nous l'éternité, à nous qui sommes si mortels, offre-nous le ciel. Et je pourrais sûrement essayer de croire en tes mots, tu m'as tant de fois démontré que la vie pouvait être belle...

C'était l'histoire de ce qui nous a sauvés.

- Tu viens, mon amour ?
Je souris. Il y a comme un goût de déjà vu dans l'air, des moments qui reviennent en tête. Ça sent le désespoir passé, l'avenir emprisonné. Regarde-moi, le reflet que je contemple depuis tout à l'heure n'a plus rien en commun avec le visage de cette femme, regarde-moi, mes yeux ne tombent plus de la même manière et je n'ai plus la ride dure de ses rictus au coin de la bouche. Et je peux te répondre, je peux le faire sans avoir mal. Je le peux, Bill.
- J'arrive !

Je n'ai plus peur de trop me sentir attirée par tes manières délicates, je n'ai plus peur de me retrouver seule au moindre coup de vent qui pourrait t'emporter. Je n'ai plus besoin de camouflage, j'ai trouvé mon courage sur tes tatouages, j'ai appris les rouages de ce corps que je t'ai tant donné et qui sait encore se dévoiler à tes yeux, j'ai compris ce qu'il fallait faire pour te garder. Exister simplement sans détour, pas de retour, dévorer simplement les jours qui passent et s'en faire des coliers, simplement exister, Bill. J'existe et toi, tu restes. Est-ce que la vie pourrait être aussi simple que ça ? Et si parfois tu m'échappes c'est pour mieux me revenir. Dis-moi, alors, comment avoir peur de l'avenir ?

Je te rejoins aux côtés de la voiture noire, je prends le volant comme je sais que ton coeur bat bien trop vite pour que tes mains puissent le soutenir. C'est ce soir ou jamais. C'est ce soir que tout se joue, son absence, ses silences. Je ne suis pas même sûre de pouvoir suivre la cadence. Ce soir, dans une petite salle de la capitale, trop petite pour avoir son importance dans le cours du temps, bien trop énorme pour que nous puissions l'éviter. Je me souviens encore du bond que j'ai pu faire en voyant ça dans le journal. Tom Kaulitz au Petit Casino. Non, je pense que personne ne peut imaginer l'immensité de cette nouvelle, personne ne peut comprendre à quel point ce soir notre histoire sera scellée définitivement. Personne ne peut comprendre que le moindre de nos atomes se tourne vers lui avec crainte. C'est un peu comme si tout ce que nous avions vécu jusqu'à présent n'avait été que pour nous rapprocher de cet instant. Les minutes passent comme des blessures, je gare la voiture sous le regard imposant des immeubles parisien. Ça faisait combien de temps que nous n'avions pas respiré l'air de cette ville en sentant aussi bien toutes les lamentations des coeurs désoeuvrés qui y puisent leur inspiration ? Dis-moi, Bill, ça fait combien de temps qu'on attend ça ?

Nous rentrons dans la salle sans rien dire, dans le noir relatif de l'éclairage léger de la scène. Je regarde les visages des spectateurs et je pense qu'aucun d'entre eux ne sait à quoi s'attendre. Je recommence à leur inventer des histoires, jusqu'à ce que tu poses la main sur mon épaule pour me dire de les laisser vivre en paix. J'ai tellement d'angoisses qui reviennent, est-ce si mal ? J'ai l'impression d'avoir tout juste vingt ans, j'entends à nouveau le bruit des plissements de ses jupes, je vois encore le visage tourmenté de mon frère. Et tout explose. Tout s'effrite. L'espoir vaincra toujours, n'est-ce pas ? Et si nos vies s'arrochent les unes aux autres, ça ne peut pas être sans issue. Tom est là, Bill. Tom est là. Je veux tellement entendre son bonheur, je veux tellement connaître sa Musique. Et les lumières s'éteignent.

Un. Deux. Trois et. Quatre.
Lumière.

Il est assis devant un piano à queue et fixe le pupitre vide. Dans son dos, ses longs cheveux se déversent comme la mer dans laquelle nous nous sommes déjà noyés. Ses mains sont posées sur le clavier, si frêles, si fortes. Je ne sais plus, rien, tout, j'attends d'entendre le son qu'il peut créer. Et je voudrais simplement partir avec lui comme on pourrait rêver. Je suis prête à tout, accrochée à sa bouche. Il prend une grande respiration et la première note résonne dans la salle comme une complainte, le silence tout autour m'écoeure, il n'y a plus que la musique, sa Musique, l'immensité de cette douleur qui nous prend le coeur avec douceur.

Do. Mi bémol. Sol. Do.
Musique.

Ivre. Désir. J'aurais voulu sourire mais pardonne-moi, j'ai le rire difficile. Sais-tu ? Cette musique est une de ces drogues dont on ne se remet pas. L'apothéose d'un monde en mille couleurs, l'explosion de nos sensations, écoute-les se taire alors que je pensais que je ne pourrais jamais entendre des cordes vibrer aussi justement. Musique, mus-elière. J'ai cru pendant bien longtemps que ma vie ne dépendrait pas de toi, mais c'était sous ses doigts que je devais t'appréhender, c'était sous ses doigts que tu devais t'envoler. Désir. Soupir. Le tonnerre gronde, mais ce n'est que le vacarme de nos respirations. Bill, tu sais, il y a ces sons qui nous emportent sur cette scène remplie d'instruments alors que ses mains enchaînent les cordes du piano et celle d'une guitare,des visages sombres se découpent dans la pénombre pour frapper des percutions ou faire résonner quelques notes, il y a ce monde qui frémit sous son génie et j'y reconnais toutes nos vies. Soupir. Mourir.

C'était l'histoire de ses mains qui cherchaient la musique.
Et de nos coeurs qui n'attendaient que ça.

Le temps ne passe plus. Il n'y a que cette mélodie, ces méandres de notes qui me crient qu'elles me connaissent et moi, j'ai la sensation de les avoir toujours entendues. Oui, Bill, je savais, je savais tout ça mais l'entendre de lui c'est différent, c'est différent. Ce sont des retrouvailles et des hommages, tu le sais aussi bien que moi, on ne lui reparlera pas mais ça ne nous empêche pas pour autant de nous toucher les uns les autres. Je sens sa main se refermer sur mes pensées et sa musique s'infiltrer partout, je sens cette vie qu'il nous a apportée. Tout est né de lui, Bill, tout est né de lui et tout mourra par lui. Personne ne pourrait comprendre, tout cela n'a de sens que pour nous.

C'était l'histoire qu'il est le seul à pouvoir aussi bien raconter.
L'histoire que décrivent ses accords qui s'échouent sur nos corps.
L'histoire du baiser que tu me donnes alors que le sol s'échappe à nos pieds. Sol si bémol ré.
L'histoire de ton souffle dans mon cou lorsque les dernières notes s'évanouissent dans l'air.
L'histoire de ses mots qui savent si bien nous résumer.

- J'avais appelé ce morceau Dead.

L'histoire de ces adieux qu'on transfome en bonjour.
L'histoire de ces mensonges qui ne veulent rien dire, qui nous cachent le pire.
L'histoire du meilleur qu'on finit par trouver.

- Et ce n'était que pour mieux revivre, enfin.

L'histoire d'un rideau qui tombe.

Et toute une vie à continuer.


Fin.

Voilà, j'ai lu, y'a des millions de choses à dire, mais j'n'en ai pas la force..
A tout à l'heure, j'suis incapable de poster là.

[...]

Je t'avais prévenue, Nao.
Mais je ne tuerais pas Bob. Car c'est l'éventuel futur mari du mien. Dans ce ca extrême, je me montrerais clément, même si je m'appelle Michael. Ahaha, humour.

En fait non, j'arrive pas à être drôle.
Oui, je les vois heureux, mais tout ça, toutes ces pages, c'est tellement énorme, c'est gigantesquissime, tu te rends compte ? C'est de toute beauté. J'ai cru marcher sur un fil de soie pendant la lecture de tes mots. Pas très solide, qui tangue. A bord de ton embarcation, je n'avais pas le mal de mer, Nao.

Merci.
De me faire voir que.
Le talent, il existe encore.

L'angoisse du rectangle blanc comme tu dis hein.
Je crois qu'elle n'a jamais été aussi forte que ce soir, après tout ça.
La déesse que tu es ne cesse de grandir devant mes yeux, dans mon coeur, et bon dieu que j'adore ça. S'il te plait, fais que jamais ça ne s'arrête. Nao si tu savais comme cette histoire m'ensorcèle. Celle que tu viens d'écrire, et celle enfouie sous les notes de Tom. Les mondes que tu construis sont les plus envoutants que je connaisse, les seuls dans lesquels je pourrais me plonger pendant des jours entiers.
Comme à la fin de Cimetière, j'ai le coeur quelque part ailleurs, et je ne veux pas savoir où, Nao s'il te plait, fais que jamais je ne trouve cet ailleurs. Ce sont tes mots qui le construisent. Et bordel j'aimerais parler de talent mais si tu savais comme c'est bien plus que ça, comme c'est bien plus fort que ce qu'un simple être humain puisse imaginer.
Nao si tu savais ... Déesse ... Merde les mots se perdent.
Mais je crois que tu as tout compris hein.
Je t'aime.

Entrain de pleurer alors que putain quand j'ai ma meilleure amie qui me chiale dans les bras j'suis pas foutue de lâcher une larme, et là dans cette salle informatique entourée d'inconnus aux visages familiers parce que je les croise chaque jour je pleure toute seule avec mes doigts qui tremble sur le clavier de l'ordinateur...
Voila Grand Soleil, après t'avoir lu les mots n'ont plus de sens, je les mélangent et je les blesse à essayer de les rassembler sur cet écran.
Pourtant je voudrais, je voudrais te dire comment ça me noie de l'intérieur de te lire, j'voudrais te dire comme je me perd chaque fois avec plaisir dans les méandres de tes histoires, te dire toutes les fois où inconsciemment je me retiens de respirer, te dire à quel point c'était beau de retrouver Tom, te chuchoter que même si c'est impossible je te jure de l'avoir entendu ce concert, te dire que j'en ai encore la tête qui tourne, te dire pardon de ne pas pouvoir m'empêcher de te dire tout ça.....
Vraiment merci,
merci de m'avoir fait vivre cette histoire, de m'avoir permis de connaître Ca Ho, Tom et Bill.
et Bravo...
<3

Je dois répéter?
(Si tu me dis oui, je te répèterai que t'es une petite merdeuse XD)
(T'es prévenue ^^)

Je ...

c'était....

La FIN.

Je...

toujours pas les mots.

Désolé.

Juste...

MERCI

sincèrement.

*Lute pour ne pas pleurer devant les clients*
non. non,non. non non et non. non. NON!
Je sors prendre l'air.

Il serait temps de me [re]manifester..
Mais pour dire quoi ?
Que bordel, sa me tue que ce soit terminé, mais que merde, cette fin me défonce les entrailles ?
Ouai, ouai c'est un peu sa en fait.
Mais puissance 10 millions quoi.
Et ça me tue de pas pouvoir t'expliquer ce que je ressens ou ai pu ressentir en te lisant. C'est.. j'sais pas je..
Tu m'as scotchée à ma chaise des heures durant à te lire et relire. J'ai usé et abusé de tes mots, juste parce qu'ils me montraient autre chose, tu vois.
Vraiment, j'suis clouée par l'incapacité d'aligner deux mots et j'en suis vraiment désolée.
C'est un truc de fou, ta chose, c'est.. c'était immense, Nao, immense. <3

J'avais peur, j'avais peur d'arriver à la fin, de découvrir la fin de cette histoire. Mais tu sais encore une fois je ne veux pas croire que cette histoire là soit finie, je l'ai peut-être déjà dit avec Cimetière, mais tu sais Nao, les mondes que tu inventes sont les pires, ou les meilleurs, je ne sais plus comment ont dit, mais ces mondes là ce sont les mondes qui existent sous tes mots, et qui existeront encore même après.
Cette fin est comme un véritable soupir de soulagement, quand tu soupires parce que tu te dis que tu es heureux, que tu balances ta tête en arrière et que tu éclate de rire de bonheur. Tu sais quand je vois tes personnages, quand je lis le sourire de Caho, j'ai envi d'y croire, tu sais.
L'histoire du meilleur qu'on finit toujours par trouver.
Et puis Tom, Nao ton Tom, je crois que lui je ne l'oublierais pas. Parce que quand je l'imagine assis, là, devant ces instruments magiques avec ses doigts qui se promènent, j'ai comme le coeur qui bat la chamade en me disant que cet instant devrait durer encore et encore tellement il est magique.
Et la magie, biensûr, Nao, mon Amante, mon éternelle Amante, ma plus belle, tu sais, toi en qui j'ai confiance, la magie c'est toi.

Je t'aime.

Nao, ma Nao, je t'ai suivi pendant tout cet extraordinnaire voyage que tu as écrit devant mes yeux. Et maintenant tu sais je crois bien que je te suivrais n'importe où, où tu voudras bien m'emmener, où tu voudras bien me guider.
Je ne me souviens plus pourquoi j'ai cliqué sur ce lien, la toute, toute première fois. Mais ce que je sais, c'est que c'est une des meilleures décision que j'ai jamais prise.
Parce que tu es parvenu à me faire oublier tout le reste à chaque fois que je te lisais, je voudrais te dire un énorme merci. C'est immense, immense tu vois, ce que tu fais. Et moi qui essaye de te dire quelque chose, dans ce petit rectangle blanc, entre "Réponse rapide" et "Prévisualisation", finalement, j'ai dû mal, maintenant. J'ai dû mal à me dire que c'est fini, vraiment fini. Une chose est sûre, c'est qu'ils vont me manquer, tous. Mais j'me doute que tu m'embarqueras bientôt dans un nouveau voyage hein =)
Et je me répète, je me répète.
Alors finalement, peut-être que je ferais mieux de me taire n__n
La mélodie qu'on chanté tes mots étaient dignes du chant des étoiles, Nao (L)

Excuse moi pour mon commentaire débile de out à l'heure...
Je t'expliquerais tout quand je serais prête
En tout cas merci (L)

Il m'a fallu du temps.
C'est comme un feu d'artifice.
Les étincelles retombent.
Mais je n'oublierai jamais que lune d'elles m'a atteinte en plein coeur.
J'ai beaucoup aimé ta fiction, Nao.
Encore merci.
Encore Bravo.

Eh merde.

J'arrive toujours avec 35000 ans de retard...Pardon Nao, sincèrement, pardon. J'm'en veux, si tu savais.

J'y étais avec Tom et sa Musique. Je sais pas si c'est parce que j'suis moi-même musicienne, mais bordel, j'étais avec eux. Et j'ai jamais autant explosé devant des mots. Car c'était pas un texte que tu nous as écrit là. C'était une mélodie sans fin qui est venue me bouffer les entrailles jusqu'à ce qu'il ne reste plus de moi qu'un être sans pensées claires et incapable de faire autre chose que ressentir cette foutue mélodie - que je ne connais pas tout en la sentant dans chaque parcelle de mon petit corps - jusqu'à la fin des temps.

Merde Nao, préviens-moi quand tu publieras autre chose, même si ce n'est qu'un vulgaire bout de papier déchiqueté avec ton nom dessus. Rien qu'avec ces trois lettres -N.A.O-, je pourrais retrouver cette odeur de fatalité étouffante qui se répercute encore dans mes oreilles déchirées de notes mineures et bémolées...

Merci. Je trouve pas mes mots pour te dire ce que ça m'a apporté de te lire. Merci. Et puis à la prochaine j'espère -j'attends de pied ferme-.

Milie.

P*tain P*tain P*tain
Comme j'aime ... Tout ce que tu as écrit, chaque phrase, chaque mot, sa me transperce
c'est magnifique, quand tu lis sa tu ne pense a rien d'autres RIEN
et la fin ... mais nan c'en est trOp je m'arrète là
Merci <3

<3333
whooo j'adore j'adore j'aime tu peut pas savoir!!
49 page sur un os!! whouaa sa *respey*
met tu le mérite vraiment!!!!
bravo encore bravo!!

Cette fic
tes phrases
tes mots.........




Je ne sais vraiment pas quoi en dire du moins je ne sais pas comment exprimer ce que je ressens en ce moment........ Tellement de sentiment se mélangent , se bouscule , se courent aprés dans ma tete , dans mon coeur.............



Et je pense que je n'ariverais jamais a l'exprimer tellement c'est étrange , beau...............

Je n'est jamais ressenti autant de sentiments si étrange mais si magnifique a la fois........
L'amour , la musique .




Bref Nao , Bravo et surtout merci , merci de m'avoir fait voyageais dans tes textes . De m'avoir fais oublier , l'espace d'un instant , ma vie a moi.......




Encore une fois Merci beaucoup !







Kissousssss