[OS] Sur un toit. (Je t'attendrai.)

Ce soir, comme hier, je la rejoint sur le toit ce cet entrepot désaffecté. Sa silhouette se découpe dans le soir roux, et elle me lance un regard faussement accusateur.
- Tu es en retard.
Mes lèvres se transforment en un large sourire, puis viennent embrasser son cou.
- .. Et en plus tu as la truffe froide.
Je l'emporte par la main, et l'invite à s'asseoir juste au bord du toit, où le vide caresse nos pieds. Les yeux rivés à l'horizon, on regarde le soleil baiser avec l'horizon.
- Pourquoi ?
- Parce que c'est le but du jeu, attendre.
- Non Tom, non. On ne va pas se résoudre à attendre que la Lune explose la Terre, que les étoiles s'éclatent et que nos coeurs lâchent. Non. Je ne veux pas.
- Alors qu'est ce que tu veux ?
- Aller là bas. Voilà. Là bas. Au pays des ombres. On doit y vivre heureux. Tu crois qu'il y fait froid toi ?
- Je ne sais pas Eléa, je ne sais plus.
Elle laissa échapper un long soupir. Ma vision de l'avenir l'exaspérait. Je l'envisageait comme une fatalité à subir quoique l'on fasse, comme une voie sans issue, comme un aller sans retour. La vie nous avait déposé au coin d'une rue, et que quelque soit le chemin qu'on prend, on arrive de toute façon au même endroit. Tous les chemins mènent à Rome. Non. Tous les chemins mènent à la mort. Mais pas pour elle. Ses rêves s'étaient cassé la gueule mais elle battait quand même, pour une seconde de bon temps parmi toutes celles qui se laissent emporter par le vent. C'était déjà l'heure que je reparte, et son visage s'assombrit aussitôt.
- Je reviendrai. A l'heure où le soleil s'est couché.
- Et ce jour là tu m'apprendras à voler ?
- Oui, Eléa, je t'apprendrai.
- Alors je t'attendrai.

J'ai toujours rêvé de voler.
Tes mots viennent de me donner des ailes.
Merci.

Bordel.
Relire juste pour le plaisir.
Mon amour de diabolo.
Tu mérites tellement mieux que de simples mots.
(L')

Relecture.
Et magnificence encore plus forte que la précédente.
Bordel.
Cette lumière c'est toujours la tienne, elle m'éclaire plus que quiconque.
<3.

Alors je t'aime. (L')

Tartinette. Mon Dieu. Tout comme le reste. C'est magnifique.
Tes mots reliés les uns aux autres sont tellements beaux.
Ne t'arrêtes jamais surtout. J'en aurai besoin je pense.
J'aime ce que tu fais. Et donc, je t'aime toi aussi. Oh oui. <3

Tartinette a écrit:

Et je crois bien que ce n'est pas demain que l'envie d'arrêter me prendra

Muaha, j'espère bien.
j'fais quoi sans Toi moi ? oÔ
(L')

Marie. a écrit:

Tartinette a écrit:

Et je crois bien que ce n'est pas demain que l'envie d'arrêter me prendra

Muaha, j'espère bien.
j'fais quoi sans Toi moi ? oÔ
(L')

Je te lâcherai jamais, jamais.
Je viendrai même t'harceler à coups de mots pour que tu ne m'oublies pas. (L')

Même si tu m'harcèles pas, je t'oublierais jamais.
Mais, ce faire balancer des mots à la gueule est toujours un plaisir.
(L')

Alors, je me retire dans mon antre pour préparer les mots que je vais bien pouvoir te balancer pour la suite de ma fic
=)
(L')

Oui ma Délinquante (L).
Je t'aime, bien que je le répète trop.

On ne répéte jamais trop

Je t'aime mon rayon de soleil (L)

trop bo !!! (L')

On radote, on se fait vieille faut croire x).
J'te Biiiiiiiip (L').

MissLora: merci =à

Margot Vieilles
T'as rêvé. Il faut pas qu'on perde notre jeunesse,
sinon on perdra notre folie enfantine,
plus d'enfermement en asile à tes côtés t'imagine ?

Je sentirais presque le vide me chatouiller les pieds . . .


( L )*

Bonjour. =)

Je t'aime. (L')

Au revoir. n___n

Gin. Bordel. Je ne mérite pas autant. J't'admire. Toi & tes mots. Ne dis jamais que t'es nullissime parce que c'est faux, bordel, tes mots c'est des baguettes magiques, et tu dois être la meilleure majorette magicienne. Alors.. chut. (L')

Wawa. Tant que tu ne te jettes pas dans ce vide, tout ira bien. <3

Mariie. Moi non plus (L')

oÔ. Saloperie
(LLL')

Sinon je perdrai Pan.
Je ne conçois pas la Vie sans lui et Clochette moi.
Et pas sans nos cellules d'asile côte à côte.
J'veux pas vieillir, je ne veux même pas grandir.
Soyons puériles, soyons enfants.
(L).