[T] Young and rebel.

moi aussi je veux la suite ^^

Salut toute le monde
Suite dans pa longtemps

oulala qu'elle histoire!!!!
Suite stp

moi je veut la suite !!!!!
moi je veut la suite !!!
moi je veut la suite !!!!!!!!!
moi je veut la suite !!!!

2 Com's de plus et je l'a met ^^

Putain, j'veux la suite xD

ouai je poste tkt ^^

Il fait nuit noire. Je suis devant la grille du parc municipale. Fermée. Ce n'est pas ça qui a arrêté Chris, et ce n'est pas ça qui m'arrêtera. En à peine dix secondes, je suis de l'autre côté, et me promène sur les chemins de cailloux du parc. Chris m'attend à la fontaine, le seul endroit du parc qui est suffisamment éclairé le soir. Il a les yeux dans le vide, l'allure négligée. Lui il vient de se piquer, à tout les coups. Mais il m'aperçoit et me dit :

Chris : Te v'là ! T'es en retard. Occupée avec l'autre chanteur, j'suppose ?
Moi : Qu'est ce que tu veux que je fasse avec lui ?
Chris : Qu'est ce que les mecs veulent faire avec une nana comme toi, à ton avis ? Jouer aux mikados ? Il veut ton p'tit cul, rien d'autre !
Moi : Prend pas ton cas pour une généralité Chris !

Il se lève et avance vers moi, de sa démarche de drogué. Je n'ai pas le droit de m'enfuir, mais ce n'est pas l'envie qui m'en manque. Je le sais pertinemment : Chris est plus fort que moi. Et si une bagarre éclate, à moins d'un miracle, c'est lui qui gagne.

J'inspire à fond et m'interdit de reculer. J'ai toujours une dette envers Bill. Il m'a sortit de la merde pour cette histoire de sac, quand Stacy voulait ma peau. Je ne fais que la payer ce soir. Sans qu'il le sache.

Chris se retrouve tout près de moi, et passe sa main sous mon menton. Je ne cille pas, mais je déteste qu'il me touche. Il me fais un tendre sourire, puis la claque part. Je le savais, il ne va pas me laisser m'en tirer comme ça. Sous la force de son coup, je tombe par terre, et commence à saigner au coin de la lèvre.

Chris : P'tite garce. Regarde moi.

Je n'obéis pas. Je réfléchis. Comment je me sors de là moi maintenant ?

Chris : Regarde moi !

Chris m'oblige à me relever en m'agrippant les cheveux. Je réagit, l'attrape par le bras et lui donne un coup dans les cotes dont il se souviendra toute sa vie. Il titube et tombe sur les fesses. Cela me laisse le temps de récupérer et de chercher une solution. Chris se relève et me toise d'un regard noir.

Chris : Prête à tout pour ton p'tit chanteur, hein ?
Moi : La ferme !


J'aurai mieux fais de me taire. En à peine deux seconde, je me retrouve collée contre un arbre, et une douleur fulgurante me transperce le bras. Je sens un liquide chaud couler le long de ma main. Ce connard à un couteau sur lui. Le deuxième coup part, et instinctivement, je me baisse, passe son sous bras et me retrouve derrière lui alors que le couteau se plante dans le tronc.

Je recule alors qu'il se retourne vers moi. Son regard est noir. Noir de haine. Il pourrait me tuer dans la seconde qu'il me le ferai. Mon pied heurte le rebord de la fontaine sur laquelle il était assis quelques minutes avant. J'aperçois un objet dans l'eau. Long, argenté... Une barre en métal.

Chris : Tu as peur.

Il a raison. J'ai peur. Ma lèvre tremble, non pas parce que j'ai froid, mais parce que j'ai peur. Mais je n'ai pas peur de lui. J'ai peur de moi. Peur de ce que je suis capable de faire. Peur des idées qui me traversent l'esprit quand je pense à cette barre en fer qui se trouve derrière moi.

Chris (en s'avançant) : C'est beau une femme qui a peur

Il est de plus en plus proche. Et ma main ne demande qu'à plonger dans l'eau glacée pour me saisir de cette barre de métal afin de me défendre. Chris est vraiment trop près. Ses yeux noirs me dévorent, ses lèvres s'entrouvrent lentement, puis il dit :

Chris : Et c'est encore plus beau quand elles hurlent...

Moi : FERME LA !

Je n'ai pas pu me retenir. J'ai attrapé cette barre et lui ai donné un violent coup sur le crâne, avant qu'il ai pu faire quoi que ce soit. Il tombe à terre, se tordant de douleur. Qu'est ce que j'ai fais ?

... : Floriane !

Je me retourne. A la lumière d'un réverbère, j'aperçois Morgane qui m'appelle.

Morgane : Floriane ! Viens, on se tire !

Je ne me refait pas dire deux fois. Je laisse tomber la barre et me met à courir derrière Morgane, alors que Chris commence à se relever. On sort du parc par un trou que des gosses ont fais dans le grillage. La voiture noire des parents de Morgane est sur le trottoir. Elle leur a encore piqué. Mais je n'ai pas le temps de m'en soucier. Je veux mettre le plus de distance possible entre Chris et moi. Aussi je monte du coté passager, Morgane prend le volant et la voiture s'éloigne dans la nuit.


Arrivée chez moi, Floriane s'assied dans le canapé alors que je monte à la salle de bain chercher la boite à pharmacie. Elle n'a rien de grave, mais les blessures causées par les camés, je préfère les désinfecter le plus vite possible, par précaution. Avec un coton imbibé d'alcool, je commence à désinfecter son ouverture au coin de la lèvre.

Moi : C'est pour cette histoire avec Tom, je suppose ?

Floriane (en grimaçant) : Tu supposes bien... Aie !

Moi : Si j'avais été toi, je n'aurai pas répondu à sa provocation.

Floriane secoue la tête et remonte la manche de sa veste pour que je désinfecte son bras.

Floriane : Si il en avait eu après Tom, je crois qu'à la limite je n'aurais rien fais. Mais c'est Bill qu'il menaçait.

Moi : C'est bien son genre ça. S'en prendre à ceux qui n'y sont pour rien. Mais prendre la défense d'un gars que tu connais depuis à peine un mois, ça m'étonne de toi...

Floriane : J'avais une dette envers lui, maintenant c'est réglé... Mais... J'ai l'impression de plus du tout être la même ces temps ci.

Je commence à bander sa plaie, en silence. C'est vrai que Floriane change en ce moment. Tout doucement, mais elle change. Il y a quelque temps, je ne l'aurais jamais imaginée en train de parler et de rire avec un garçon comme Bill. Et pourtant, ils s'entendent bien. Même très bien.

Moi : Tu ne serais pas un peu amoureuse de Bill, par hasard ?

Elle relève la tête et me regarde fixement de ses grands yeux. Elle ne s'attendait pas à cette question, apparemment. Et pourtant, je ne dois pas être la seule à m'être rendue compte qu'elle s'est attachée à lui. Si Chris a menacé de s'en prendre à Bill, ce n'est certainement pas pour rien. Floriane tourne enfin la tête vers la fenêtre, et répond simplement, après un certain laps de temps :

Floriane : ... Non.

Moi : Non ? Tu n'éprouves vraiment rien pour lui ?

Floriane : Je sais pas... C'est vrai, je l'aime beaucoup, mais je ne suis pas amoureuse de lui. Je crois pas être amoureuse de lui. Mais je voudrais pas qu'il lui arrive quelque chose... par ma faute...

Moi : Au point de te battre avec Chris, sachant qu'il est plus fort que toi ?

Floriane : Entre autre.

Je m'en rends compte beaucoup mieux qu'elle. Floriane a toujours été discrète sur ses sentiments, mais là c'est clair que comme de l'eau de roche : Elle est folle de Bill, j'en mettrai ma main au feu ! Et ça la perturbe tellement qu'elle ne le réalise même pas. Je finit son bandage et rabaisse sa manche.

Floriane : Merci... j'vais y aller, je t'ai assez dérangé comme ça.

Moi : Mais nan, tu penses ! Reste ici cette nuit si tu veux !

Floriane : ça ira, mais j'vais rentrer. A la prochaine.

Elle me fais la bise, et sort sans bruit de la maison. Je l'observe partir depuis la fenêtre. Balto me rejoint, réclamant une caresse. Je lui gratte la tête en murmurant.

Moi : Mon pèpère, je vais avoir besoin de toi maintenant... on va rendre une petite visite à Bill Kaulitz...

suite stp

HA TROP BIEEEN !!

Nouvelle lectrice ?
Je crois =D

Je réclame une suite , je la quémande, je me traîne par terre tel un molusque si tu veux, mais je demande une suite !!

Suiite C'est crow exellent !

J'aime trop tes fics Hanw c'est pas possible !

hey hey Morgane à la rescousse !
c'est qui carla ????

suitouiillle

Bienvenue ladodo27
Merci de lire toutes mes fics !!! SA me fer grave plaisir !!!
La tienne osi es tro bien "le camescope des tokio hotel" !!!

une suitouille please !!!
jadore trop !!

oh oui suite please !!!

je la tape et la poste

YOUPIIIIIIIII
alors la je suis heureuse lol

13h30. Une belle journée ensoleillée. Le samedi plus que les autres jours, les rues de Berlin sont très agitées. J'ai proposé d'emmener les jumeaux à la fête foraine. Floriane a dit qu'elle viendrait. J'ai eu un mal de chien à la joindre, car son portable a été coupé toute la nuit et toute la matinée. Elle m'attend en salon de thé "Le cristal". Alors je la rejoins, légèrement à la bourre, j'admets. Ce coup ci, je plaide non coupable ! La chaudière est tombée en panne, et j'ai eu droit à l'eau froide pour ma douche. L'horreur totale.

J'arrive enfin au cristal, aperçoit Floriane au fond de la salle, assise devant un café. Je commande un cappuccino et file la rejoindre.

Moi : Comment va ma cousine préférée ?

Floriane : Mal.

... Et je comprends vite pourquoi. Elle a une magnifique marque de sang au coin de la lèvre.

Moi : Comment tu t'es fais ça ?

Floriane : Hannah j'suis dans une merde pas possible !

Moi : C'est encore cette Stacy, n'est ce pas ?

Floriane : Nan... enfin oui, c'est vachement long à expliquer. Mais jure moi que tu tiendras ta langue devant Tom et Bill.

Moi : Juré ! Raconte moi !

Floriane commence à tout m'avouer. La dette qu'elle avait envers Bill alors que Stacy voulait sa peau pour le sac, le chien qui a piqué la casquette de Tom et le fait qu'elle l'ai embrassé devant tout le monde (J'ai d'ailleurs faillit m'étouffer avec mon cappuccino lorsqu'elle me l'a avouer), le chantage de Chris et leur bagarre de la nuit dernière.

Floriane : J'ai payé ma dette envers Bill. Mais Chris est furieux. Si Morgane n'était pas intervenue hier, il m'aurait tuée, j'en suis sure.

Comme preuve, Floriane remonte la manche de sa veste et me montre le long bandage sur son bras. Je n'en reviens pas. Je savais que Chris était légèrement dérangé, et je mettais ça sur le compte de la drogue, mais à ce stade, il est bon pour la prison !

Moi : Pourquoi tu ne vas pas voir les flics ?

Floriane : Parce qu'ils m'ont déjà dans le collimateur. Ils sauront que si Chris a voulu me tuer, ce n'est pas pour rien. Et moi aussi je suis pas irréprochable dans cette affaire.

Je reste perplexe.

Moi : Tu n'es pas en train de me dire que tu as essayé de tuer Chris, quand même ?

Floriane : J'ai bien failli le faire.

Je me plaque la main devant la bouche pour m'empêcher de sortir une connerie. C'est beaucoup trop d'un coup.

Floriane : Je ne l'ai pas tué ! Je l'ai frappé avec une barre en métal. Mais ça aurait pu le tuer.

Moi : Floriane, tu sais que je n'aime pas me mêler de tes affaires... mais... cette fois ça devient grave ! S'il te plait, laisse tomber tout ça ! Reprend l'école, laisse tomber ta bande ! C'est pas encore trop tard !

Floriane : Malheureusement si...

Moi : Comment ça ?

Floriane : Tu te souviens du jour où je t'ai parlé des lynchages infligés à ceux qui quittent le groupe ?

Je hoche la tête. Ah ça oui... j'en a fais des cauchemars toute la nuit. Des types battus à mort parce qu'ils ne demandent qu'à retrouver une vie normale. J'en tremble rien que d'y penser...

Moi : Pourquoi tu ne négocies pas avec le chef de ton groupe ? Tu m'avais dit que s'il refusait les lynchages, on pouvait s'en tirer.

Floriane : Dans l'idéal, ouais...

Moi : Sauf que ?
Floriane : Sauf que c'est moi, la chef...


La grande roue se dresse devant moi. Bill et Tom sont en retard. Alors on attend. Hannah n'a presque pas dit un mot depuis qu'on a quitté le salon de thé. Cette histoire la travaille, visiblement. Elle traîne les pieds, tortille une mèche de ses cheveux blonds entre ses doigts, regarde partout sans aucune raison. Est-ce que j'ai bien fais de lui en parler ?

Hannah : (en regardant dans l'allée prinicipale) : Regarde, ils arrivent.
Moi : Tu n'oublies pas ! Pas un mot !

Hannah : J'te le jure.

Elle se détend et fais tout pour avoir l'air naturelle. Les garçons arrivent enfin vers nous. Surprise, Georg et Gustav sont là également. Bill ne peut s'empêcher de me demander en voyant ma marque à la lèvre :

Bill : Qu'est ce qui t'es encore arrivé ?

Moi : Euh... je me suis pris une porte...

... Quoi ? Pourquoi j'ai dit ça moi ? Niveau excuse, on fait mieux... La maladie des excuses foireuses façon Tom Kaulitz est-elle contagieuse ?

Bill : Bah tu t'es pas loupée ! T'as du le sentir passer !

Et il y croit en plus ! Nan mais je rêve ! Plus naïf que lui, on fait pas. Tom me jette un regard bizarre que je suis la seule à remarquer, et fais comme si de rien était. Je suis sure qu'il se doute de quelque chose. Il était le seul à savoir que je devais régler cette histoire avec Chris.

Georg : Cet endroit est génial ! Rien à voir avec la fête de Magdeburg ! En plus ça grouille de filles canons !

Hannah : De pot de peinture, oui ! Je vous lance un défi les garçons ! Le premier de vous quatre qui vomis dans les montagnes russes paie une tournée de barbe à papa !

Tom (en reculant) : Euh... allez y sans moi J'paie les barbes à papa pour mettre dégonflé !

Gustav (en entraînant Georg et Bill vers les montagnes russes) : Comme tu veux, Tomichou, mais tu vas raquer un max !


Le trio quitte bientôt notre champ de vision, et Tom dit immédiatement :

Tom : Il t'as pas loupé, le Chris !

J'écarquille les yeux. Depuis quand il est aussi perspicace, celui là ? Ou alors...

Moi : Hannah ! Tu m'avais promis !

Hannah : J'ai rien dit, j'te le jure !

Tom : Floriane, si ça va aussi loin, vas voir la police ! J'ai pas envie qu'il s'en prenne à mon frère !

Moi : Il ne lui fera rien ! Il est pas idiot au point de blesser une star ! Tout les journaux ne parleraient que de ça, et on aurait vite fais de le retrouver.

Tom (s'emportant) : Tu m'as dit toi même qu'un camé ne se contrôlait pas !


Là, il marque un point, j'avoue. Hannah n'ose pas s'en mêler et tente de suivre l'embrouille.

Moi : Il ne touchera pas à ton frère ! Je gère cette histoire !

Tom : Gère ce que tu veux, mais je veux pas que Bill soit mêlé à tes conneries !

Moi : MES conneries ? Alors ça c'est la meilleure ! T'es aussi fautif que moi dans cette histoire ! Et je t'ai sauvé la mise, j'te rappelle !

Hannah : Mais arrêtez tous les deux ! Vous croyez que vous allez arranger les choses en vous gueulant dessus ?

On s'arrête soudainement. Elle n'a pas tort.

Tom : Qu'est ce que tu vas faire maintenant ?

Je secoue la tête.

Moi : J'en sais rien, et ne t'en mêle pas.

Tom : Avec plaisir ! J'veux plus entendre parler de cette histoire, ça ne me regarde plus ! Et que ton imbécile de camé ne s'avise pas de toucher à Bill ou je l'égorge !

Moi : Pour la troisième fois, il ne lui fera rien ! Cette histoire est close !

Et elle est close juste à temps. Bill et Georg reviennent, soutenant un Gustav tout pale.

Georg (en aidant Gustav à s'asseoir sur un banc) : Elles sont mortelles vos montagnes russes, à Berlin ! A Magdeburg, Gustav arrive à tenir trois tours avant d'être malade, et là un seul lui a suffit !

Bill : Hé frangin, où elles sont nos barbes à papa ?

Mince, avec tout ça, on avait complètement zappé les barbes à papa.

Bill (en posant ses mains sur les hanches) : J'vous trouve bizarre vous trois. Vous nous faite des cachotteries ?

Ensemble : NAN !


Bill nous toise tous les trois d'un regard bizarre. S'il commence à avoir des soupçons, on n'est pas arrivé...