[T] Young and rebel.

Hanw' trop biennnn !

SUIIITE !

trop trop bien. J'aime trop
suite stp

jadore jadore jadore et demande la suite évidement !!

Toujours aussi bien ^^
Suite please!

Hum, j'ai déjà lu une histoire assez ressemblante sur un blog.
Mais cest pas mal du tout =)

Suite.[/b]

je souhaiterai la suite

Hello,
Les filles la suite dans pas longtemps ^^
Merci pour vos com's

Youpi ^^ ma chère gymnaste je suis très contente!

^^ De rien
Si ça vous fais plaisir ça me fais plaisir =D

Chapitre 17 : Rendez vous anonyme

***
<<POV Bill>>

Il fais nuit noire. Les garçons et moi sommes avachis devant la télévision, en train de regarder un film en espagnol même pas sous-titré, où une fille fais le tapin pour rembourser les dettes de son père (croyez pas que j'ai compris, j'ai simplement vu l'article dans le programme télé). On regarderait bien autre chose, mais aucun de nous n'a assez de volonté pour bouger afin de changer de chaîne. Notre répétition d'aujourd'hui nous a laissé sans force.

Là, Tom est assis à côté de moi, à environ 1 mètre de la télécommande. Il la regarde fixement, comme s'il espérait qu'elle bouge où change de chaîne toute seule, sans qu'il ai à bouger. Georg est limite en train de compter les miettes de son sandwich qu'il reste dans son assiette. Gustav a la tête posée sur le plat de sa main, et commence doucement à sombrer. Vive l'ambiance...

Ha ! On toque à la porte. Gustav sursaute alors qu'il recommençait une fois de plus à s'endormir.

Georg (sans lâcher son assiette des yeux) : Qui y va ?

Gustav : Le plus jeune ou le plus prêt...
Trois regards vides se tournent vers moi. Pas besoin d'être Pythagore pour savoir que le plus jeune, c'est moi. Et malheureusement, pas d'échappatoire, puisque c'est moi qui suis le plus proche de la porte. Je prend mon courage à deux mains, me redresse et avance d'un pas nonchalant vers la porte. Je l'ouvre lentement. C'est un employé de l'hôtel.

Employé de l'h^tel : Bill Kaulitz ?
Moi : C'est moi.

Emplyé de l'hôtel : Une lettre pour vous.

Je prends la lettre qu'il me tend, le remercie et lui donne un pourboire pour son déplacement. Je reste comme un idiot dans l'entrée, à regarder l'enveloppe. Il n'y a que mon nom dessus. Je l'ouvre. C'est un petit message. Anonyme :

"Tu ne me connais pas. Je suis une amie de Floriane. J'ai des choses à te dire. Libre à toi de vouloir les entendre ou pas. Si tu es d'accord, sois devant l'entrée de ton hôtel pour onze heures du soir."

C'est quoi ce délire ? Les potes de Floriane veulent me voir maintenant ? J'hésite. Je n'aime pas les gens avec qui elle traîne. En même temps, si ça m'explique pourquoi elle est si bizarre ces temps ci, pourquoi ne pas y aller ? Je jette un coup d'oeil dans le salon : Georg a finalement changé de chaîne, et lui et Tom matent maintenant un film porno. Gustav, lui, est définitivement endormi. Je prend ma veste en cuir, l'enfile et sors discrètement.

J'arrive à la porte de l'hôtel. Il n'y a pas un chat dans la rue. Il y a un chien... bon ok mon jeu de mot était nul... Un beau labrador ave un collier noir, qui s'approche de moi dès qu'il me voit et se frotte à mes jambes. Je lui donne une caresse, puis il mord la manche de ma veste et commence à me tirer le bras.

Moi : Héla ! Doucement, où tu veux m'emmener comme ça ?

Il me lâche, aboie et me reprend immédiatement par la manche. C'est le chien qui donne des ordres, on aura tout vu !

Moi : ça va ça va, je te suis, lâche ma manche.

Et comme s'il m'avait compris, il lâche ma veste et traverse la route, en passant par le passage piéton alors qu'il n'y a aucune voiture. Je le suis, il s'engage dans une petite rue. Un cul de sac. Je le vois alors s'arrêter devant un banc et poser sa tête sur les genoux d'une jeune fille qui est assise, en train de jouer avec son portable. Elle a de beaux cheveux noires flamboyant, porte une longue veste noire en coton et des bottes en cuir. Elle tourne son regard émeraude vers moi, et me dit simplement :

Fille : Salut Bill.

...Bon allez, la caméra caché, arrêtez votre jeu, c'est pas drôle du tout. On se croirait un plein film d'action, quand le héros reçoit des infos capitales pour sa mission. J'vais arrêter les James Bond moi...

Moi : Euh... salut... euh...

Fille: Oh pardon, moi c'est Morgane.

***
<<POV Morgane>>

Bill est intimidé, ça se sent tout de suite. Peut être que le coup de la lettre anonyme, c'était abusé...

Moi : Sympa d'être venu, je me voyais mal squatter ici toute la nuit.

Je tente de le dérider. Ça n'a pas l'air de fonctionner.

Bill : Tu... voulais me dire quoi ?

Moi : Viens t'asseoir.

Il s'exécute, et viens s'asseoir à côté de moi. Balto va immédiatement poser sa tête sur ses genoux, réclamant des caresses. Bill le gratte gentiment derrière l'oreille, attendant toujours que je réponde à sa question.

Moi : D'abord, j'voulais que tu saches que Floriane n'est pas une mauvaise fille, comme elle en donne l'impression. C'est juste que, dans notre groupe, c'est important d'avoir l'air rebel et intouchable.

Bill ne répond pas mais hoche la tête en silence. Je continue donc.

Moi : Il y a un bout de temps, le chef de notre bande est décédé d'une overdose. On a cherché quelqu'un pour le remplacer, et c'est tombé sur elle.

Là, il réagit, et se tourne vers moi.

Bill : C'est une blague ?

Moi : Non. Elle n'était pas trop d'accord, mais elle a accepté quand même. En même temps, on peut pas trop dire qu'elle ai eu le choix.

Je m'arrête une seconde et sors une cigarette et un briquet de ma poche.

Moi : ça t'ennuie si je fume ?

Bill : Non non, ça ne me gène pas.

J'allume ma cigarette, tire un coup dessus et recrache la fumée par le nez. Balto se met à grogner, la tête toujours posée sur les genoux de Bill. Il grogne dès que j'ai une cigarette entre les mains. Faut croire que les bêtes ont mieux compris que les humains les problèmes de santé qu'engendre la cigarette.

Bill : Tu n'avais pas que ça à me dire... j'me trompe ?

Je secoue la tête.

Moi : Bill... tu sais ce que c'est, un "lynchage" ?

Bill : Une bagarre, en gros... j'suis pas callé sur le sujet.

Moi : Chez nous, c'est ce que subit quelqu'un qui veut quitter le groupe. J'ai vu des dizaines de gars se faire à moitié assassiner parce qu'ils veulent retrouver une vie normale...

Bill : Tu veux dire que vous ne décidez rien par vous même ?

Moi : On peut dire ça... et c'est ce qui m'inquiète... pour Floriane surtout.

Bill fronce les sourcils. On dirait qu'il commence à comprendre.

Bill : Floriane veut quitter votre groupe ?

Moi : Ben..., je reste hésitante sur ce que je dois dire. Elle ne l'a pas dit officiellement, mais elle en donne l'impression. Je ne suis pas la seule qui l'ai remarqué. Elle se détache du groupe, de plus en plus... depuis qu'elle est amie avec toi...

Bill : Tu ne serais pas en train de m'accuser de ses problèmes là ?

Oups... j'aurais du dire ça autrement...

Moi : Bien sur que non. Je trouve même que tu as une bonne influence sur elle. Avant, elle était toujours sur les nerfs, piquait des crises de colère effroyable sans aucune raison... et là, elle a changé, elle est silencieuse, calme, rêveuse...

Je tire une seconde fois sur ma cigarette, respire un bon coup puis continue.

Moi : Floriane est ma meilleure amie. Je ne veux pas qu'elle passe par l'épreuve du lynchage. Si elle veut retrouver une vie normale, c'est son droit...

Bill (légèrement inquiet) : Mais si elle est la chef, elle a son mot à dire, non ?
Moi : J'ai peur que ça n'aggrave son cas, au contraire... Elle a déjà des ennuis, en plus...

Bill : J'ai remarqué qu'elle était bizarre, ces temps ci.

Moi : Si tu lui parles de ce que je t'ai dit, je pense qu'elle te racontera tout d'elle même. Mais là, tu en sais suffisamment...

Bill (alors que je me lève) : Tu t'en vas ?

jadoree trop et j'aimerai bien avoir la suite

Plus de lectrices= Une suite
=D

Citation :

Elle a de beaux cheveux noires flamboyant, porte une longue veste noire en coton et des bottes en cuir. Elle tourne son regard émeraude vers moi

je suis pas blooonde !! x'D j'ai la classe 0)

je fume ? 0.0 FUMER TUE

ralala qu'est ce que ça peux être intelligent un chien..

pauvre billow il est largué x'D

suitouille !

aller veut la suite moi

suite stp
J'aime trop. Et elle est bien gentille cette morgane ^^

salut, la suite arrive dans pas longtemps
j'ai fais une nouvelle fic : Une histoire... un rêve... une vie... tokio...

Merci de suivre ma fic...

Chapitre 18 : Tension... Menaces... Solutions ?

J'suis en retard ! J'suis en retard ! J'suis en retard ! Bill avait dit onze heures, il est midi moins le quart. J'savais bien que j'aurais jamais du bouziller mon réveil. (voir chapitre 1) Rah mais quelle conne ! Déjà qu'il avait limite l'air de m'engueuler au téléphone, là il va m'arracher le cou ! Pas grave, j'me servirai de Tom comme bouclier !

Ok, Floriane, relax ! On reprend ! Bill a demandé à te parler, et après ? Dans le pire des cas, Tom aura lâché le morceau sur Chris&co, et monsieur va me faire une moral de fou avant de téléphoner aux flics... donnez moi une corde, que je me pende !

J'arrive devant l'hôtel, et toujours en courant, je grimpe les escaliers, freine devant la chambre des garçons et frappe trois coups. Georg vient immédiatement m'ouvrir. Et comme d'habitude, il pete le feu.

Georg : Salut ! Entre ! Bill n'est pas encore prêt !

... Retenez moi, j'vais le tuer ! Ce mec est pire qu'Hannah, c'est pas croyable ! Georg me fais entrer et me sert un jus de fruit.

Georg (en me tendant mon verre) : J'lui avais dit de se magner parce que tu allais arriver. On le changera jamais, ça fait tout de même cinq ans qu'on essaye.

J'étouffe un rire et discute un moment avec Georg. Gustav est déjà debout depuis huit heures du matin, et est sortit se détendre à la piscine. Tom dors encore, on entend ses ronflements résonner dans le couloir. Et Bill est en train de se préparer dans sa chambre. Au bout de dix minutes, excédé, Georg commence à s'impatienter.

Georg (en frappant à la porte) : Hey ! Macky ! Il te faut un chausse pied pour mettre ton T-shirt ou quoi ?

La réponse de Bill ne se fait pas attendre.

Bill : J'ai déjà mis mon T-shirt !

Georg : Alors arrête d'hésiter entre des santiags noires ou brunes ! Magne toi les fesses, on fait pas attendre une fille enfin !

La porte s'ouvre sur un Bill fin prêt.

Bill : Y'a pas le feu, si ?

Moi (en finissant mon verre) : Nan, mais j'ai pas que toi à voir aujourd'hui, et t'es en train de chambouler tout mon emploi du temps !

Bill : Ça va, on y va !

Il enfile sa veste et m'entraîne dehors. Comme à chaque fois, on se dirige vers le parc. C'est plus calme pour discuter, car il n'y a jamais de fans qui traînent là bas. Je regarde la fontaine devant laquelle je me suis battue avec Chris. Il règne un silence de mort, que Bill s'empresse de briser.

Bill : J'ai vu ton amie Morgane, pas plus tard qu'hier.

Je ne lui répond pas et tourne la tête. Vu son ton, il a entendu des choses qui ne lui ont pas plues.

Bill : Alors, mademoiselle la chef, on dirait que vous avez des ennuis !

Moi : Et alors ? Ça ne te regarde pas, à ce que je sache.

Bien sûr que si ça le regarde. Chris veut lui faire la peau pour que ça me serve de leçon.

Bill : D'après Morgane, tu t'es attachée à moi et c'est à cause de moi que tu as des ennuis.

Moi (en marmonnant) : J'ai pas besoin de toi pour me défendre

Bill : Bien sûr. Montre moi ton bras pour voir !

J'écarquille les yeux. Morgane lui a vraiment tout raconté.

Bill (croisant les bras) : J'attends

Moi : Oui, c'est bon, j'me suis jamais pris de porte ! J'me suis battue avec un type de la bande qui m'a donné un coup de couteau. T'es content ?

Je me suis brusquement énervée, et j'ai sortit ça comme si c'était la chose la plus naturelle du monde qu'un type veuille me tuer. Bill ne cille pas. Il garde ses bras croisés sur sa poitrine, et me regarde, impassible.

Bill : On progresse...

Je me retourne et avance vers la fontaine. Je l'entends me rattraper et me demander à l'oreille.

Bill : Et ce type, il ne s'appellerai pas Chris par hasard ?

Là, il me pousse à bout.

Moi : Puisque Morgane t'a tout raconté, pourquoi tu me harcèles comme ça ? Ne joue pas à monsieur je sais tout ! Tu ne sais rien sur rien !

Bill : Floriane calme toi.

Moi : Non j'me calmerai pas. Tu fais comme si tu pouvais tout régler. Sauf que dans tes studios et ta petite chambre d'hotel quatre étoile, tu risques pas ta peau, toi ! Et puisque tu veux tout savoir, si je me suis battue avec Chris, c'était pour toi !

Je sens les larmes monter. Je ne veux pas qu'il me voit pleurer. Je le bouscule et sors du parc, m'interdisant de pleurer. Je n'ai pas le droit de craquer.

Je tente un coup d'oeil derrière moi. Bill ne me suit pas. Il est encore dans le parc. Je sais qu'il va vouloir qu'on termine cette discussion, mais pour le moment, je n'ai plus envie de lui parler.


Je sors du lycée, il est une heure. Mon père travaille aujourd'hui, alors je rentre en bus. En l'attendant, je me repasse un peu de gloss. Je cherche mon portable dans mon sac, afin de confirmer à Tom notre rendez vous de l'après midi, mais j'ai à peine le temps de chercher son numéro que quelqu'un m'appelle.

... : Hey, Hannah !

Je me retourne et mon sang ne fait qu'un tour. Cette fille, je la reconnaîtrait entre mille, bien que je ne l'ai vue qu'une fois dans ma vie. Avec ses cheveux blonds platine, ses yeux verts qui lancent des éclairs, son allure de loubarde, impossible de la louper. C'est Stacy.

Moi : Qu'est ce que tu me veux ?

Stacy : Ho, tout doux ! J'veux simplement causer !

Moi : Si c'est pour apprendre des choses sur Floriane, tu peux faire demi tour, tu ne sauras rien !

Staçy : Elle a l'air de bien s'entendre avec ce cher Bill Kaulitz. Pas aussi bien que toi avec Tom, mais bon.

Elle joue avec l'anneau qu'elle a au nez. Je garde mon calme. Dans ce genre de situation, je suis capable de me comporter comme Floriane. Nous avons le même caractère emporté quand on nous cherche des ennuis.

Moi (en haussant les épaules) : Qu'est ce que ça change ?

Staçy : Elle n'a pas le droit de nous lâcher pour un petit chanteur qui hurle "Schrei" à tout va. Elle est la chef, qu'elle ne l'oublie pas.

Moi (sifflant entre mes dents) : Comme si tu n'aimerais pas avoir sa place.

Staçy : Je n'attends que ça ! Je fais tout pour qu'on lui retire son poste. Mais Chris ne sais vraiment pas se montrer persuasif... quel dommage...

J'écarquille les yeux.

Moi : C'était toi ? C'est toi qui as obligé Chris à envoyer des menaces à Floriane !

Staçy (en remattant une mèche de ses cheveux en arrière) : Tout comme je pourrais l'obliger à en faire voir de toutes les couleurs à ton petit dreadé ou à l'autre androgyne.

Moi : Espèce de garce...

Stacy : Mais oui, je sais très bien ce que tu penses de moi, Hannah. Mais si j'étais Séréna, pour le bien de tout le monde, je me tiendrais tranquille... Dis le lui, je sais qu'elle t'écoutera...

Elle fais demi tour et repart comme elle est venue, comme si rien ne c'était passé. Mon bus arrive pile à ce moment. Je paie ma place et monte m'installer. Je repense à tout ce qu'elle viens de me dire.

Moi : Elle m'écoutera... mouais, c'est beau de rêver.



Il est neuf heures de soir. Je suis sur mon lit, mon téléphone portable à la main. J'hésite à appeler Floriane. Elle n'est peut être pas calmée. Je respire un bon coup, et appuie sur le petit téléphone vert. J'attends quelques secondes, elle décroche :

... : Allo ?

Moi : Floriane ?

Floriane : Qu'est ce que tu veux ?

Moi (en tordant une mèche de mes cheveux) : Tu es calmée ?

Floriane : Ouais. Ecoute je sais que toute cette histoire est tordue, mais je n'ai pas besoin de ton aide. D'accord ?

Moi : D'accord. Je veux seulement que tu m'expliques ce qui se passe.

Floriane : Pourquoi tu ne demandes pas à ton frère ? Il saura tout aussi bien te répondre !

Je met quelque seconde à réaliser.

Moi : Tom ? Qu'est ce qu'il vient faire là dedans ?

Floriane : S'il évitait de traîner là où il ne doit pas être, on en serait sûrement pas là. Excuse moi, mais on m'appelle pour manger.

Moi (avant qu'elle raccroche) : : Floriane !

Floriane :Quoi ?

Moi : Samedi soir on est invité à une soirée, et on nous a demandé d'être accompagné. Hannah y va avec Tom. Tu veux venir ?

Floriane (un peu inquiète) : Quel genre de soirée ? Moi : Genre costar et robe à paillettes.

Floriane : Tu veux ma mort là, hein ?

Moi : Allez ! Moi aussi j'aurais l'air idiot, déguisé en pingouin !

Elle éclate de rire.

Floriane : Peut être moins que Tom, parce que les pingouin à dreads, ça existe pas !

Je rie à mon tour.

Moi : Alors c'est oui ?

Floriane : J'verrai bien. Je te rappelle. Bon je dois vraiment y aller.

Moi : D'accord ! Au revoir !

Floriane : Au revoir.

Elle raccroche. Je pose mon téléphone sur ma table de nuit, et regarde, accroché sur le porte manteau, mon costume qui attend impatiemment d'être enfilé. Mouais, j'vais avoir l'air con là dedans...

Mici ladodo27 ^^
Allez voir ma new fic : Une histoire... un rêve... une vie... tokio...

tu t'es encore appelé Séréna ..

expdr ! pinguin dreadé x'D

ça serait marrant de les voir en costar x'D

suites !