[T] Un demi-frère, sa change une vie

Hey les filles ! Bienvenue ma nouvelle Lectrices =)
Bonne nouvelle, voila une suite ..
mauvaise new, il n'y en aura pas d'autre avant le 15 aout ..
Vous aimee

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La dernière note retentit dans la salle plongée dans un silence émouvant. Margot avait lâché le morceaux ce qui les avaient laissé bouche bée. 2ooo personnes nous firent une dernière ovation quand la dernière lumière s’éteignit. Elle était le signe que la fin avait sonné. La tournée, nous 5 sur scène, tous cela ne serait plus qu’un souvenir, un merveilleux souvenir..
On sortit de scène sans parler. On se doutait bien qu’aux premières phrases de l’eau sortirait de nos yeux. On préférait rester au sec ! On croisa les garçons, on les embrassa comme chaque soir et on rejoignit notre loge. Léa se décida à briser le silence de plus en plus pesant.

Léa : J’ai envie dire, on c’est bien éclaté ! La prochaine fois ça sera les gars qui feront notre première partie !
Moi : Mais on ne sera plus que quatre..

Elle avait essayé de nous faire rire mais rien n’y fit. L’eau était entrer dans ma tête noyant mes yeux et s’écoulant sur mes joues. Soudain Camille et Céline furent prises du même symptôme. Seules Léa et Margot surent ce montrer fortes pour 5. Elles échangèrent un regard et elles nous prirent dans leur bras. Il fallait qu’on pense à autre chose, absolument. On effaça les quelques larmes qui tombaient encore sur nos visages et on alla observer les garçons depuis les coulisses.
Une heure plus tard Gustav fait entendre le dernier son de sa batterie, mettant fin à la session, faisant commencer un torrent de larmes dans les yeux du public. Il faudrait attendre avant de recommencer ce rêve.
Après la dernière séance d’autographes improvisés, on remonta dans nos tours-bus, en direction d’Hambourg. On rentrait à la maison. J’en avais aucune envie. Je voulais que tout continus, eux, nous, la scène, toutes ces émotions, la prochaine fois tous sera différent. L’ambiance était calme, des éclats de rire de temps en temps mais sans plus. On ne se faisait pas à l’idée de voir partir Margot. Les 3 mousquetaires n’auraient jamais eu la même force à deux. On est pareil.
Le trajet terminé, on prit nos valises et on remonta à l’appartement. Notre chez nous, ne m’avais pas tant manqué que ça. J’embrassa les filles et je me mit au lit. Mes yeux commencés à se fermer quand la porte s’ouvris. Le corps de Bill vint se coller contre le mien. Il passa ses mains autour de mes hanches et il m’embrassa dans le cou. On s’endormit dans les bras l’un de l’autre, c’était tous ce que j’avais besoin pour le moment…

Une semaine c’était écoulé. On avait reprit nos petites vies tranquilles, interview et photoshooting en plus. Margot était partie, il y a 2 jours, chez Andréas. On remonta la salle de répète dans sa chambre, laissant la cave vide pour y mettre nos affaires inutiles. L’inspiration était revenue et grâce à l’aide de Bill je mis le point final à la chanson que j’écrivais en tournée. Les garçons bénéficièrent d’un mois de vacances bien mérité pendant que l’on ferait quelques festivals d’été. On se sentait déjà prêtés à remonter sur les planches, malgré l’absence de Margot.

Un mois était passé, les filles courraient les routes depuis 2 semaines et on ressentait un terrible vide en nous. Malgré les vacances que nous avait données David, on continuait à composer. A vrai dire on avait la tête à rien d’autres. L’absence de ma petite sœur inspiré Bill qui avait écrit 4 chansons toutes aussi belle les une que les autres.
Tom tournait en rond dans le duplex, soit-il voulait sortir, soit-il était stressé ou avait un truc à se reprocher. Je l’attrapa par la manche de son tee-shirt XXL et je le fis asseoir. Il me donnait le tournis.

Je pensais m'être arrete plus loin mais non xD
Alors aujourd'hui c'est une immense dédésuite que je vous met ..
Love you mein sonne. Je t'aime Ma dédé (L)

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Je l’attrapa par la manche de son tee-shirt XXL et je le fis asseoir. Il me donnait le tournis.

Moi : Tom qu’est ce qu’il se passe ?
Tom : J’ai fait une grosse bêtise !
Moi : Quand ?
Tom : Hier soir, en boite de nuit. J’en pouvais plus de respiré le même air sans arrêt alors je suis sortis m’éclaté.
Moi : Oh non, ne me dit as que … Putain mais t’es trop con ! T’as pensé à Céline au moins ?
Tom : Je ne pensais qu’à elle. Elle me manquait, j’ai trop bu et je partis avec une autre qui, selon ma vision à ce moment, lui ressemblait beaucoup. J’ai fait une connerie mais ne lui dis rien je t’en prit Georg. Je l’aime et je ne veux pas la perdre.
Moi : Tu aurais pu y penser avant non ? Elle va avoir le cœur brisé. Je ne pourrais pas lui cacher éternellement et elle l’apprendra un jour ou l’autre. Assume tes conneries et dit lui. Les autres sont au courant ?
Tom : Je ne peux pas lui avouer, j’ai peur de la perdre. Je vais le dire aux gars quand il sortiront du studio.

Ce mec est vraiment con. Un verre de trop et le voilà dans les bras d’une autre. Je lui tapa derrière la tête et je partis. J’appelle Camille en espérant qu’elle ne répète pas.

Le portable de Camille vibra sur la table du tour-bus. C’était Georg, elle ne m’en voudrais pas d’avoir répondu. Je décrochai.

Moi : Allô.
Georg : Luna ? Je me suis trompé de numéro ?
Moi : Non elle est sous la douche. Je te la passerais après.
Georg : Non ce n’est pas grave. Céline est à cotée de toi ?
Moi : Non. Qu’est ce qui se passe ?
Georg : Ne t’exclame pas. Reste avec une expression neutre sur ton visage, personne ne doit savoir. Pas encore en tous cas.
Moi : Bien sur, compte sur moi.
Georg : Tom était en boite, Céline lui manquait, il a bu un coup de trop et il est parti avec une autre qui lui ressemblait. Il regrette et il ne veut pas qu’elle le sache. Il ne veut pas la perdre, il l’aime, tu comprends ?
Moi : Bien sur. Normal j’ai envie de dire.
Georg : Je te connais, va crier dehors si tu as besoin. Défoule-toi mais ne dit rien.
Moi : Ta raison. Embrasse les garçons, j’embrasse les filles. Je t’aime Frangin.

Je reposa la téléphone sur la table puis je sortis prendre un bol d’air frais. Je vais le tuer, l’étrangler. Moi qui croyais qu’il avait changé, n’importe quoi, je me suis bien fait avoir, comme ma pauvre Céline. Elle va avoir le cœur brisé. Reste zen et ne fait rien paraître, surtout. Je remonta dans le car l’air de rien. Je lui parlerais en rentrant. Encore 4 festivals, 8 jours avant de rentrer à Hambourg. Sa passerais vite..

Notre tournée d’été venait de prendre fin On avait la tête remplit de souvenirs tous aussi beau les uns que les autres. On écrirait sûrement sur cette période pour notre prochain disque. Mais pour le moment on voulait juste rentrer à Hambourg, à la maison et se reposer. On l’avait bien mérité et on avait des histoires à régler. J’avais gardé le secret deux jours puis la culpabilité de mentir à mes meilleures aimes me rongeant, je leur avais avoué. Malheureusement Céline avait surpris la conversation. On la consola toutes les trois comme on put puis elle prit une décision qui lui brisa le cœur. En rentrant, elle irait rompre avec Tom même si cela lui coûtait énormément.
Le tour-bus nous posa au pied de l’immeuble. On monta les marches 4 à 4 malgré nos valises à la main. On était pressée de rentrer. Les garçons qui avaient entendu notre rafus, sortirent sur le pallier pour nous accueillir. Un froid glacial se fit ressentir entre le dreadeu et notre chanteuse. On préféra s’éclipser pour les laissé régler leur compte. Chacune de nous rangeait ses affaires avec son petit-ami. Je m’assit sur mon lit et je regarda Bill avec insistance. Il me déposa un baiser sur le front et il se posa à mes cotés, ses mains se baladant le long de mon dos.

Bill : Vous êtes au courant pour Tom je suppose ?
Moi : Bien sur et je suis étonnée que ce ne soit pas toi qui me l’ai appris !
Bill : Dans la maison, j’étais le dernier à apprendre la nouvelle. Tom avait peur de ma réaction.
Moi : Et tu as réagis comment ?
Bill : Comme il s’en doutait, mal, mais je le soutiens, malgré tous c’est mon jumeau. Il ne va pas bien tu sais, il a peur de perdre Céline.
Moi : J’espère qu’il a peur. De toute façon rien ne changera. Elle va partir en le laissant avec ses regrets. Peut-être que cela lui servira de leçon. Il m’a tellement déçu. On avait une promesse tous les deux et il ne l’a pas tenu.
Bill : Tu ne dois pas le laisser tomber toi aussi. Il compte sur toi autant que sur moi, tu es sa meilleure amie.
Moi : Tu rigoles j’espère ? Il vient de brisé Céline en deux. Elle a tellement pleuré dans nos bras qu’on ne savait plus quoi dire à la fin. Il faudrait que je fasse comme si rien ne c’était passé ? Tu me connais, je ne peux pas. Il va falloir que j’apprenne à re avoir confiance en lui comme nous quatre je pense.
Bill : Ce ne sont pas nos histoires. Gustav considère Céline comme sa petite sœur et j’ai bien cru qu’il allait tuer Tom mais il a toujours confiance en lui. Il sait ce qu’il veut et il ne lui en veut pas. C’est ça les potes ! Sa va jeter un froid bien sur, mais ça passera non ?
Moi : Je ne sais pas Bill. Il n’a pas tenu notre promesse non plus. J’ai mes raisons aussi, tu ne crois pas ? Mais peut-être que tu n’as pas tord. Il a besoin de moi, je le sais, comme Céline. Je fais quoi ?
Bill : Va lui parler, tu verras après comment tu dois régir. Laisse le t’expliquer au moins.

Il s’approcha de moi et il m’embrassa. Je me blottis dans ses bras. La conversation pris fin et on profita de ce moment de calme pour se retrouver tendrement.

Les filles étaient rentrées. Nos 4 princesses avaient retrouvé le chemin de la maison et on en était tous content. Bien sur un froid glacial remplit le couloir lorsque Tom et Céline échangèrent un regard. On s’éclipsa pour les laisser régler leur histoire. J’aida Camille à défaire ces valises. Ce fut fait rapidement. Elle jeta ses affaires dans ces différents tiroirs. On s’assit sur son lit. Elle entre mes jambes et mes bras entourant ses hanches. Je pense qu’on avait tous le même sujet de conversation. La bêtise de Tom.

Moi : Luna vous l’a raconté, je suppose ?
Camille : Oui, on bout de deux jours. Elle n’arrivait plus à nous mentir. Céline a surprit notre discussion et ça lui a brisé le cœur. Elle a du mal à s’en remettre. Heureusement que l’on était sur scène pour qu’elle puisse penser à autre chose. Je ne sais pas comment elle va se sentir maintenant qu’on est rentré. Je crois que Luna en veux aussi à Tom.
Moi : Ca ne m’étonne pas. Je connais ma sœur, elle va vite changer d’avis. Elle ira lui parler et tous sera oublier. Il m’a parlé d’une promesse qu’ils s’étaient faite et qu’il n’avait pas tenu. Tu sais de quoi il s’agit ?
Camille : Non mais je connais cette phrase par cœur.

Ma sœur et ces cachotteries. Elle et Tom sont pareilles et je sais très bien qu’ils ne resteront pas longtemps brouillé. On se leva et on rejoignis Gustav, Léa et Bill dans le salon. La porte s’ouvris sur une Céline en larme. La discussion avec tom n’avait pas du être de tous repos. Notre batteur se leva d’un bond et il la prit dans ses bras. Il lui caressa les cheveux en lui murmurant des mots qui la calmèrent. Elle essuya ses larmes et elle nous fit un bisou à chacun avant d’aller ranger ses affaires. Quant à Luna, elle avait déjà prit l place de Céline dans la chambre de Tom. Ca risquer d’être intéressant et haute en décibels.

Je claqua la porte. Tom me fit face. Je ne peux m’empêcher de le giflé. Pardonnez-moi mais ça fait du bien ! Il baisse la tête et admire ces pieds. Tiens, il a de nouvelles chaussures, enfin ce n’est ni le moment ni le lieu de parler de son look. Il se décida à m’affronter. Je lui lança un regard noir et je me laissa tomber dans son pouf rouge. Tom s’assit sur son li et resta muet comme une carpe. Ce petit jeu pouvait durer longtemps. Je décida de prendre les choses en main.

Moi : Excuse-moi pour la baffe mais ça t’amuse ?
Tom : Oh c’est juste la deuxième que je me prends et s’il te plait ne viens pas me faire la moral ?
Moi : Et je peux savoir pourquoi ? Tu as brisé le cœur d’une amie et notre promesse. C’est sur, je ne vois pas en quel honneur je serais énervé contre toi !
Tom : Tu crois que je suis content de ce que j’ai fait ? Tu pense que je ne me sens pas complètement mal d’avoir vu Céline comme ça ? Tu crois que je ne souffre pas de cette rupture ? Regarde-moi, je suis heureux de vivre, ma vie n’est en aucun cas un cauchemar ! Réfléchis deux minutes avant de d’emporter, tu veux ? Pardon pour notre promesse. Ta confiance aussi est à la poubelle ?
Moi : Pas à 100%. Ecoute, tu es mon meilleur ami et même ta bêtise ne changera pas. Mais tu comprends que je ne peux pas faire comme si rien ne c’était passé ?
Tom : Les autres le font bien pourtant.
Moi : Mais c’est différent Tom ! Tu es mon meilleur ami. Je suis censé avoir confiance en toi à 300%. Je suis censé savoir que je pourrais toujours compter sur toi, que je pourrais te donner ma vie et que fais-tu ? Tu ne tiens pas nos promesses. En plus celle là était tellement anodine. Je vais te dire qu’une chose. Tu me déçois énormément. Je pensais que tu avais changé, que tu avais grandit et prit de bonnes résolutions. J’ai parié sur toi et j’ai perdu. Je crois que c’est ça qui me fait le plus mal. Je pensais te connaître par cœur mais j’avais tord.
Tom : Tu as dit plus d’une seule chose !
Moi : Et tu trouve ça drôle ?
Tom : Non, j’essayais de détendre l’atmosphère. Depuis une semaine, on me fait des réflexions à longueur de journée. J’avais hâte que tu rentre parce que tu es la seule à me faire décompresser. Malheureusement tu es pire qu’eux. J’ai l’impression d’avoir perdu leur confiance alors que ce n’est pas le cas. Toi, je sais le temps qu’il me faudra pour que tous redevienne comme avant. J’ai conscience que j’ai blessé des gens mais merde tous ça pour un simple baiser avec une fille dont je ne me souviens même plus. Je te jure que sur le moment j’étais sur que c’était Céline. Tu sais à quel point je l’aime hein ?
Moi : Qui mieux que moi le seraient ? Je sais aussi à quel point elle t’aime, a quel point on t’en veut tous un peu, à quel point on t’aime malgré tous et qu’on te pardonnera.
Tom : Même Céline ?
Moi : A part elle et moi, tu n’as à te faire pardonner de personne. Alors oui, même Céline y arrivera, laisse-lui le temps.

Je me leva de son gros pouf et je m’assit à ces côtés. Il se pencha vers moi et je le serra dans mes bras. Peut-être que je n’avais pas vraiment tord en pariant sur lui. Depuis presque 4 ans que l’on se connaît, je ne l’avais jamais vu ainsi. Aussi abattu et triste. Mon tom où est-il ? Celui qui est toujours fort et sur de lui, qui ne se laisse toucher par rien. Inconsciemment j’ai peur pour lui. Et s’il ne remontait pas la pente ? C’est mon meilleur ami, je n’ai pas le droit de lui en vouloir pour une simple promesse. Je dois être là pour lui. Les amis sont là pour ça comme dit Bill non ? Je resserra mon étreinte pour lui faire que je serais toujours là pour lui. Un moment de tendresse dont on profita car c’était très rare. Mon poulpe releva la tête, un petit sourire se redessinant sur ses lèvres.

Tom : Merci. Un câlin c’est rare, c’était en quel honneur ? Je suis déjà pardonné ?
Moi : Oh tais-toi ! Tu sais très bien qu’oui. Allez viens, on va rejoindre les autres.
Tom : Je ne sais si c’est une bonne idée.
Moi : Tu ne pourras pas les éviter continuellement alors autant le faire maintenant. Et puis Camille et Léa voudraient peut-être te serrer dans leur bras, tu ne crois pas ?
Tom : Je n’en suis pas sur.
Moi : Tu me fais confiance oui ou non ? Alors suis-moi.

Je lui tendis ma main, qu’il attrapa, signe de sa confiance en moi. Tant mieux. On traversa son appartement puis le couloir et on arriva devant la porte 10. je lui laissa un petit regard et je poussa la porte.

J'ai passé la soirée d'hier a lire toute ta fic' et je ne suis pas du tout deçue, au contraire j'adore!

J'aime beaucoup la façon dont t'écris, t'as beaucoup d'inspiration et tu sais mettre tous les evènements en valeur sans qu'on s'ennuie c'est vraiment bien!

Une suite?

Huhu j'était dédé inspiré pendant les vacances. je pensais pas que sa
serait dédé si long. T'inquiète pas Dédé c'est pas vraiment fini entre
you and lui =)))

Merci Tokiohotelleuse29. Sa me touche vraiment sa que tu me dit =)

Voila une petite suite =)

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Six têtes se retournèrent en même temps dans notre direction. Céline baissa le regard en apercevant son briseur de cœur. Il lui faudrait du temps, peut-être beaucoup de temps.. Léa et Camille se levèrent d’un seul bond et vinrent prendre le blond dreadé dans leur bras. Je ferma la porte et je m’assit sur les genoux de Bill. Après un moment de tendresse et de confidences, tout le monde étaient enfin réuni dans notre salon. On en profita pour discuté, leur raconter notre première tournée et nos anecdotes. Un bruit sourd mit fin à l’éclat de rire général provoquer par une gaffe scénique de Camille. On se retourna vers Georg, le bruit venait de son ventre. Message reçut, il fallait faire à manger. Je me leva suivit aussitôt de Léa et on alla dans la cuisine. Les placards n’étaient pas trop remplis mais bon, on ferait avec. Je sortis deux paquets de pâtes que je mit dans l’eau bouillante pendant que Léa s’occuper de la sauce tomate. Ma belle batteuse s’assit sur la table en attendant que tous cuisse.

Léa : Faut qu’on trouve une solution.
Moi : Pourquoi ? Tu pense qu’il n’y aura pas assez à manger ?

Elle se leva et me donna une tape sur la tête avant de reprendre sa place initiale. Quoi, qu’est ce que j’avais dit ?

Léa : Mais je ne parle pas de la bouffe !
Moi : Ah pardon ! Tu parlais de quoi alors ?
Léa : De Tom et Céline bien sur.. Il faut que tout redevienne comme avant, ça me fait mal de les voir comme ça.
Moi : Comme lui et comme elle ! Pour le moment il faut laisser les choses se faire. Ils y arriveront, Céline à juste besoin de temps.
Léa : Je le sais bien. Et tes pâtes vont trop coller si tu les essors pas maintenant !
Moi : Oups.

C’est bien de discuter mais on en a presque oublié les pâtes. Je me dépêcha de les mettre dans une grande assiette et je les apporta sur la table du salon. Gustav, Bill, Céline, Georg, Tom et Camille étaient déjà prêts. De vraies morfales ! On se servit tous un par un et on mangea dans une bonne ambiance, malgré le froid qui régnait entre Tom et Céline. Une fois le repas finit, Camille et Céline s’occupèrent de la vaisselle. On embrassa les garçons qui retournèrent dans leur appartement. Ce soir tout le monde dort dans son lit, une décision prise d’un comme un accord. Je dis bonne nuit aux filles et je regagna mon antre. J’enfila un boxer et un débardeur blanc et je me glissa dans mes draps. J’aurais aimé dormir contre le torse de Bill mais se fut contre mon oreille que je m’envola dans les bras de Morphée.

Et voila une suite =). C'est un transition dans l'histoire et j'espère qu'elle vous plaira ..

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Léa me secoua, c’était l’heure de se réveiller. J’ouvris un œil puis l’autre. On allait atterrir. Je m’étira et je regarda en direction de mes amies. Le moment tant attendu arrivait de plus en vite et le stress montait de plus en plus aussi. L’avion se posa à l’aéroport de Paris. On y était.
Deux ans, deux ans avait passé depuis la dispute de Céline et Tom et la situation n’était toujours pas au beau fixe. Elle commençait à lui refaire confiance mais ils ne se voyaient presque plus. Comme nous tous d’ailleurs ! Nos carrières prenaient toute la place. Les garçons étaient devenus des stars internationales et le monde entier les réclamait. De notre côté, tous se passaient pour le mieux. Notre album était un carton dans notre pays et plusieurs de l’Est et maintenant en France. C’était notre rêve et il allait se réaliser. On n’avait jamais été si heureuse. Mon anniversaire allait avoir lieu, le jour de notre premier concert ici. Que rêver de mieux ? J’aurais 20 ans en jouant en France.
On descendit vite de l’avion pour rejoindre notre van qui nous emmener dans notre hôtel. On avait pas le temps de traîner, pas encore. On avait deux interviews télés et deux pour différente presse. On se reposerait demain.
On avait chacune notre chambre. La mienne était banale, toute simple sans artifices. Un grand lit au centre, un mini bar quasiment vide, une petite télévision et une salle de bain. Juste le nécessaire pour passer quatre jours dans la plus belle des capitales. Je me déshabilla et j’entra dans la douche. Je fis couler l’eau tiède sur mon corps pour retrouver mes esprits. Je sortis et j’enfila un slim noir avec une chemise a carreaux blanche et violet. Je lissa mes long cheveux noir, je me maquilla puis je rejoignis les filles dans le hall. Le marathon promotionnel allait commencer.
La lune prit la place du soleil pendant quelques heures. La nuit n’était pas froide en ce début d’été. On était en Juillet. On avait finis notre interview pour le magasine One et on rentrait à notre hôtel après avoir manger dans un petit restaurant. On fut surprise de voir une dizaine de fans attendre. On prit notre temps pour signé des autographes, prendre des photos et parler avec elles malgré la barrière de la langue. L’anglais me servit enfin ! Trente minutes plus tard, on leur adressa un dernier signe de la main et on monta dans nos chambres. On était fatigués et on avait qu’une envie c’était dormir.
Le soleil tapa contre ma fenêtre. J’avais oublier de fermer mes volets. Bravo, il était à peine huit heures du matin et j’était déjà réveiller. Moi qui voulait faire la grasse matinée c’était loupé ! Je me leva et je me prépara avant de descendre déjeuner. Les filles dormaient encore et il était presque dix heures et demi. Tant pis, j’irais me promener dans les rues de Paris seule. Je mis mes Ray Ban sur mon nez, j’enfila une légère veste et je partis. Je déambulais dans les rues en regardant autour de moi émerveillée. J’étais comme une petite fille qui venait de voir le faux Père Noël, j’avais réalisé mon rêve. J’avais réussi, ma mère n’y avait jamais cru mais je l’avais fait et j’en étais fière. Aujourd’hui Paris était à moi, je la considérait comme ma ville même si c’était la première fois que j’y posée les pieds. La ville de l’amour, la ville la plus romantique et j’étais célibataire. Et Bill me direz-vous ? On ne se voyait quasiment plus et je n’avais pas la force de vivre une relation à distance. On se considérait comme un couple lorsque l’on était ensemble. J’avais besoin de sa présence, de me blottir dans ses bras mais on avait des obligations. Je me sentais moi à 100%, deux fois dans l’année, quand j’étais avec lui. Seuls Georg et Camille avaient réussit se dur défi. Dès qu’on avait trois jours de libre elle partait le rejoindre et inversement. Ils étaient tellement beau ensemble, le couple idéal. Je m’assit sur un banc et je ferma les yeux. Le visage de Bill m’apparus, cela faisait depuis les fêtes de fin d’année que je ne l’avais pas vu et il me manquait terriblement. Je m’étais promis de ne plus m’attacher autant mais c’était plus fort que moi. J’avais besoin de lui.
J’étais tellement dans mes pensées que je n’entendis pas mon portable sonner.

Allez une petite suite pour faire plaisir =)

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Une demie heure avait du passer quand je me décida enfin a rentré à l’hôtel. Mon estomac commençait à crier famine et les filles devaient être réveiller depuis le temps. J’avais à peine passé la porte qu’une tête brune me sauta au cou. Quel accueil ! Je me défis des bras de Céline et je la repoussa légèrement. J’étais pas d’humeur aujourd’hui. Penser à Bill et a notre histoire m’avais foutu le moral à zéro et je n’attendais qu’une chose, être demain pour monter sur scène et oublier tous mes problèmes.

Céline : Tu étais où ? On t’a cherché partout et tu répondais pas sur ton portable !
Moi : C’est bon je suis là maintenant. Je monte dans ma chambre si on me cherche.

Sans dire un mot de plus je laissa en plan ma belle chanteuse et je monta. Dans l’ascenseur je sortis mon Nokia de ma poche. Effectivement j’avais deux appels en absence et un message reçu. Les filles s’inquiètent vraiment pour pas grand chose. Je m’allongea sur mon lit, les yeux encré dans le plafond. J’attrapa d’un geste mon Ipod que je mis dans mes oreilles. Sa voix résonnait, je souffla un coup et je changea de chanson. Je souffrait suffisamment d’être loin d’eux sans pour en plus devoir en rajouter en l’écoutant chanter. Pourtant dieu sait comment sa voix me faisait du bien. Je ne tarda pas à m’endormir. J’avais du sommeil en retard, beaucoup de sommeil.
Une mains me caressait les cheveux et je sentis un souffle sur mon visage. J’ouvris avec difficultés les yeux. Camille se tenait à mes côtés un grand sourire aux lèvres. Je me retourna dans l’autre sens, lui tournant le dos. Elle continua à emmêler ses doigts dans mes cheveux. Je pesta, on pouvait pas être un peu tranquille ?

Moi : Qu’est ce qu’y a ?
Camille : C’est plutôt moi qui devrait te poser cette question non ? T’as eu des nouvelles de Bill c’est sa ?
Moi : Oh tais-toi !
Camille : Ah, tu en a pas eu ok ..

Je sentis une de ses mains se retirait de mes cheveux puis la remettre aussitôt. J’entendis la porte de ma chambre et mon lit s’affaissa encore un peu plus.