[T] Un demi-frère, sa change une vie

Et voila une petite suite pour vous =)

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J’entendis la porte de ma chambre et mon lit s’affaissa encore un peu plus. Mes 3 meilleures aimes étaient là, avec moi et cela me réchauffa le cœur. C’étaient les seules personnes dont j’avais besoin en ce moment. Je m’assit, en appuyant mon dos contre le mur et en remontant mes jambes contre ma poitrine. Je crois qu’elles attendent que je leur raconte pourquoi je n’ai pas la forme. Je n’ai aucune raison d’aller mal pourtant, on vit notre rêve, on est à Paris et demain on se produit sur scène .. C’est dure la vie de star !

Léa : Il va falloir qu’on te torture pour savoir ce qui te tracasse ?
Moi : Bill ..
Céline : Oui mais ça on le savait déjà ma chérie. On voudrait plus de détail ..
Moi : Ils sont aux Etats-Unis là et ils me manquent tellement. 6 mois qu’on ne les a pas vu, c’est dur. J’ai envie de voir Bill, d’être dans ses bras. Défois j’aimerais juste qu’on soit un couple normal. C’est pas pour autant que j’aime pas ce qu’on vit, on est bien d’accord ? C’est mon rêve et je suis fière de le réaliser avec vous. J’aimerai juste le voir plus souvent c’est tous.
Camille : Pourquoi tu ne viens pas avec moi la prochaine fois ?
Moi : Je sais pas. Je ne veux pas d’une relation à distance, lui non plus. C’est comme si on était célibataire en réalité.
Céline : Sauf qu’il t’aime et que tu l’aime et que dès que vous êtes ensemble c’est l’amour fou !
Moi : Il faut juste que j’arrête d’être accro à lui comme ça. Vous pensez qu’il se morfond comme moi ? Non je crois pas. Bon aller assez parler de lui ! Il n’est pas très tard, vous voulez sortir ?
Léa : Luna, il est 22 heures. Demain on doit être débout de bonne heure, on a un concert. Alors toute au lit maintenant.
Céline : Oui maman.

Elle me posèrent toutes les trois un bisous sur chaque joue et elles me laissèrent seule dans ma chambre. Il fallait que j’arrête de penser à lui, c’était mieux pour moi. Je partis dans la salle de bains prendre une bonne douche puis j’enfila un débardeur et je me mis au lit. Je tourna et tourna encore sans trouver le sommeil. Je me redressa et je sortis une feuille et un papier. Je me mit à écrire. L’image de Bill était dans ma tête et elle m’inspirait.
« J'ai atterri quelque part
Je ne peux plus dire qui je suis
J'ai perdu les souvenirs
Les images n'ont aucun sens
Ramène-moi en arrière
Ramène-moi à la maison
Je ne réussis pas à m'en sortir seul
Viens et aide moi à voler »
Ce n’était qu’un début mais cela m’apaisa et je m’endormis quelque minutes plus tard.

Mon réveille sonna mais il ne me tira pas des mes rêves. Non, j’y étais déjà sortis depuis un moment. Il était huit heures et j’étais déjà prête. La nuit avait été courte et je tournais en rond dans ma chambre depuis deux heures. Je m’était préparer en prenant tous mon temps pour une fois. Je n’avais plus qu’une chose à faire, attendre les filles. Mon téléphone me sortis de mes rêveries. Je décrocha.

Et voila une suite mes lectrices chériie =)

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Mon téléphone me sortis de mes rêveries. Je décrocha.

Moi : Allô !
… : Hey ma princesse d’amour sa va ?
Moi : Oh papa, j’ai plus quatre ans ! Et oui sa va super. Ce soir on joue à Paris, tu te rends compte ? C’est fou !
Fabian : Je suis fière de ma petite fille. Au faite Joyeux Anniversaire mon trésor. Tu passera à la maison en rentrant en Allemagne si tu a le temps ? Ta sœur vient d’avoir un petit garçon.
Moi : Je sais, elle m’a téléphoné juste après avoir accouché. Je suis passé la voir à l’hôpital.
Fabian : C’est super. Je ne savais pas si tu étais au courant avec ta carrière et tous ..
Moi : Le téléphone existe et je l’utilise régulièrement. Ce n’est pas parce que je ne suis pas tous le temps à Hambourg que je ne me préoccupe plus de ma famille ! Je passerais vous voir, Julia et toi. Promis.
Fabian : Ok mon trésor. Je te laisse, tu dois avoir des choses à faire. Je t’aime et encore Joyeux anniversaire.
Moi : Merci. Je t’aime papa.

Je raccrocha et je déposa mon portable dans ma poche. On était le 13 Juillet, aujourd’hui j’avais 20 ans, aujourd’hui on allait se produire en France et aujourd’hui serait une bonne journée. Je reçut plusieurs sms pour mon anniversaire, ma mère, ma demi-sœur, Margot et Andréas ainsi que mes grand-parents avaient eu une pensée pour moi avant 9 heures du matin.
Je décida qu’il était temps d’aller voir se que faisait mes meilleures amies. Je frappa simultanément à la porte de Léa et Céline puis à celle de Camille. Je dus attendre 10 minutes dans le couloir avant de les voir sortir presque au même moment. Elles me sautèrent dessus et me chantèrent « Happy Birthday ». Je les embrassa puis on descendit déjeuner en riant. Le ciel était bleu, sans nuage, tous comme cette journée.
On était à peine dans le van que mon portable vibra. C’était le numéro de mon frère.

Moi : Allô Georg !
… : Non c’est moi, je n’ai plus de crédit. Joyeux anniversaire.
Moi : Merci beaucoup. Les garçons sont avec toi ?
Bill : Non je suis tous seul, ils sont en boîte de nuit.
Moi : Tu les embrassera de ma part ?
Bill : Pas de problème. Je te donnerai ton cadeau quand l’on se verra.
Moi : Dans très longtemps alors ..
Bill : Moins que tu ne le pense. * Veuillez attachez vos ceintures* Je dois te laisser. Je t’aime

Je ne pus rien rajouter, il avait raccrocher. Sans nuage ? Bon d’accord oublions ça. Pourquoi Bill appelait avec le portable de mon frère, lui qui avait toujours du crédit ? Pourquoi était-il dans un avion ? N’avaient-ils pas encore des concert outre Atlantique ? Bon d’accord, pour cela ils devaient voyager en avion, mais quand même ! Bill m’avait menti, les garçons ne pouvaient pas être en boîte, à moins qu’il parte seul. Tous cela était étrange. Je ne dit rien aux filles et je me contenta de sourire.
On arriva devant le Trabendo. On souffla un coup. Personne n’était devant le salle à part le staff qui fumait tranquillement. On salua tous le monde et on alla dans nos loges. Une fois la scène en place, on alla faire les balances. Je brancha na guitare blanche et je l’accorda en trente secondes, j’étais prête. Céline se chauffa la voix puis l’on commença. On joua toute la set liste, on était partis et on arrivait plus à s’arrêter. C’est notre garde du corps qui nous rappela à l’ordre. On devait se préparer. Il était 16 heures et les portes ouvraient dans deux heures.
Les lumières s’éteignirent et les cris redoublèrent. Une boule de stress c’était formée au fond de mon estomac. Je pouvais le faire, rien ne changeait de d’habitude. Je souffla un coup, je regarda derrière moi et je monta sur scène. Les premiers accords brisèrent la glace, ce concert serait parfait.
Je ne m’étais pas trompée. Les fans étaient au rendez-vous, nous faisant quelque surprise ( comme me chantez « Happy Birthday » ce qui me fit pleurer) et nous, on avait juste assurée au maximum ! On les remercia et salua une dernière fois et on retourna dans notre loge. En ouvrant la porte, j’eu un choc.

Voila une suite =)

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Devant moi ce tenaient quatre jeunes hommes. Je restais pétrifié. Est-ce que c’était un rêve ? Je ne savais plus trop. Les filles se précipitèrent à l’intérieur de la pièce tandis que moi je n’avais pas décollé du seuil de la porte. Le beau brun fit un pas vers moi ce qui eu l’effet de me faire reculer. Il arriva à ma hauteur et il m’effleura la joue avec la paume de sa main. C’était bien réel. Je m’approcha de lui et me blottis dans ses bras. C’était plus fort que moi. J’enfouis ma tête dans son cou et je respira son odeur. Cette odeur qui m’avais tant manqué, cette odeur de laquelle j’étais dépendante. Cette odeur et ce brun étaient ma drogue et aujourd’hui, j’avais le droit à ma dose. Il décolla son corps chaud du mien, me laissant déjà ressentir une sensation de manque, il me prit la main, entrelaça nos doigt et on entra dans la loge. Je regarda Gustav, Georg et Tom tour à tour. Je n’arrivait pas à le croire. Que faisait-ils ici ?
Camille avais retrouvé sa place sure les genoux de mon frère quant à Céline elle était entre les jambes du dréadé . Léa et Gustav se tenaient éloigner l’un de l’autre. Nos 2 batteurs avaient rompu il y a six mois et malgré une bonne entente, ils n’étaient plus aussi proche qu’avant. Je prit les mains de Bill que je posa sur mon ventre et je m’assit sur ses genoux.

Moi : En quel honneur, avons-nous le droit à votre visite ?
Tom : Ton anniversaire !
Moi : Et votre tournée aux USA ?
Bill : Terminer, fini, boucler. Il y a deux jours, alors on c’était dit qu’on passerait le 13 juillet avec vous.
Tom : Bonne idée non ?
Céline : Super. En plus, on a de vos nouvelles comme ça. Parce que bon, un coup de téléphone toutes les semaines c’est pas beaucoup !
Léa : Et ne dites pas que vous avez un emploi du temps chargée, nous aussi !
Georg : On se fait pardonnée comment ?
Camille : Restez avec nous ..

On se retourna tous vers Camille. Elle savais très bien que c ‘était impossible. Ils avaient leur carrière et nous la notre. On ne pouvait plus vivre tous ensemble, comme au début, c’était théoriquement infaisable. Elle le savais aussi bien que nous. Avait-elle une idée derrière la tête ?

Camille : Vous êtes en vacances pour un mois non ?
Gustav : Georg est toujours obligé de tous te dire, c’est nul ! Il n’y a plus de surprise L.
Georg : Désolé. Bref, oui et on c’était dis qu’elle pourrait venir aus Maldives avec nous !
Bill : Et leur tournée ? Et leur promo ? Tu y a pensé, espèce d’idiot !
Moi : Mon frère est intelligent ! On vient de faire notre dernière date et notre promo reprend en septembre. On peut dire qu’on en vacances.
Tom : Cool ! On partira à huit se faire bronzer sur la plage !

On allait passé trois semaines ensemble, rien que nous, tous les huit, comme au début. On avait besoin de se retrouver, de passer du temps ensemble, on ne vivait pas sans se voir. Ces trois semaines allait être géniales, les meilleures de ma vies même. Je posa ma tête sur l’épaule de Bill et je ferma les yeux. J’étais tellement bien contre lui, sans rien dire, juste savoir qu’il était là avec moi. J’aurais aimé que cela dure toujours, malheureusement c’était déjà l’heure de repartir à l’hôtel. Dans deux jours on sera au soleil ..