[T] Un demi-frère, sa change une vie

Voila une grande suite. J'espère qu'elle vous plaira. Il y a beaucoup de truc en rapport avec des délires avec mon Dédé =)

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Une semaine était déjà passé. Le soleil des Maldives nous avait donné des couleurs, on rentrerais à Hambourg bronzer. On avait loué huit chambres dans un fabuleux hôtel, quatre vu sur la piscine intérieur et quatre sur la plage. Autant dire que c’était le bonheur. Il était un peu plus d’onze heures quand je me réveilla. Je me leva, prit une douche, coiffa mes cheveux en chignon, en laissant tomber quelques mèches sur mes épaules et j’enfila mon maillot de bain noir ainsi qu’une jupe en jean de la même couleur. Je savais très bien que les autres dormait encore même Gustav, le lève-tôt de la bande, n’émergeait pas avant 13 heures. J’allait donc passé un moment seule, comme chaque matin mais cela ne me déplaisait pas. Je mit en boule ma serviette de plage dans mon sac à main, mes lunette Ray Ban sur ma tête et je descendis. Je prit un petit déjeuner au restaurant de l’hôtel puis je fila sur la plage de sable fin. On avait découvert un petit coin tranquille, sans agitation autour, aucun vendeur de glaces ou d’attrape touristes, juste quelques palmiers qui faisait de l’ombre, le sable blanc et fin et sans oublier l’eau transparente. J’étendit ma serviette au soleil, à cette heure ci il n’était pas encore méchant. Je mis un pied puis l’autre dans l’eau. Au bout de quelques minutes, j’étais entièrement trempée. Je détacha les cheveux et je me mit à faire l’étoile de mer.
Un quart d’heure plus tard, je sortis de l’eau et je m’allongea sur ma serviette. Je ferma les yeux. Je ne pensais plus à rien, je faisait abstraction du monde autour. Ici personne ne nous connaissait, on pouvais donc se balader tranquillement, sans garde du corps et sans se cacher. On retrouvait une vie presque normale, et sa faisait du bien. La pression des tournées et des promos retombait, on se sentait plus léger. Du bruit se fit entendre autour de moi mais je ne bougea pas, puis je sentit des lèvres se posait contre les miennes. J’ouvris les yeux et me redressa. Les jumeaux, mon frère, Gustav et les filles étaient là. Ils s’étaient levés de bonne heure aujourd’hui. Bill s’assit derrière moi et il passa ses jambes autour des mes hanches. Il colla son corps chaud contre le mien, encore mouillé.

Moi : Tu ne vas pas te baigner avec les autres ?
Bill : Non, je voulais rester avec toi. J’ai quelque chose à te demander.

Je me retourna pour lui faire face. S’il voulait me parler, il devrait le faire en me regardant dans les yeux, c’était hors de question qu’il se défile en parlant à mon dos ! Il me tira par la taille pour me coller contre lui. Je lui déposa un chaste baiser sur les lèvres puis je colla mon front contre le sien.

Moi : Qu’est ce qui se passe ?
Bill : Je sais pas trop comment formuler ça. Je t’aime et mes sentiments n’ont pas changé depuis qu’on est ensemble, depuis presque trois ans.
Moi : C’est long. J’arrive pas a me dire que sa fait autant de temps.
Bill : Pareille. Mais en ce moment c’est bizarre, tu es d’accord ? On se considère comme un couple que lorsque l’on est ensemble. On peut aller voir ailleurs, même si je ne l’ai jamais fait.
Moi : Moi non plus, ne t’inquiète pas.
Bill : Tant mieux. Je n’arrivais pas me faire à l’idée d’une relation a distance mais on en vit une. Je veux crier au monde entier que tu es à moi, que ton cœur est prit, que le mien t’appartient, je veux qu’on se considère comme un couple, n’importe ou et n’important quand, il y aura toujours un nous. Tu te souviens ?
Moi : Comment oublier. C’était notre deuxième nuit ensemble, quand tu ma dit que tu partais en tournée le lendemain pendant trois mois. Camille et Georg y arrive, on s’en sortira aussi.

On se retourna dans seul coup vers Tom qui revenait au hurlant sur la plage. Il avait l’air terrorisé le pauvre. Georg et Gustav arrivèrent plié en deux. Mais qu’est ce qu’il c’était passé ? Léa et Céline portait quelques choses dans les mains. Le dréadé arriva vers nous essoufflait et il se cacha derrière son jumeau. Camille prit la bête des mains de Léa et l’approcha un peu plus de Tom qui se remit à hurler de plus belle.

Tom : Non mais lâche moi. Il fait trop peur ce truc.
Gustav : C’est juste un poulpe Tom.
Léa : Oui, juste un mini toi !
Bill : Elle a pas tord.
Moi : C’est drôlement ressemblent. On peut pas l’adopter ? On aurait toujours une photo de Tom comme ça !
Tom : Pff, n’importe quoi. Georg, va remettre ça dans l’eau s’il te plait. Je flipe là.
Céline : Ah oui la merde.

On explosa tous de rire à la remarque de Céline. Pauvre Tom. Georg reprit le poulpe et il le remit dans l’eau transparente. Tom attrapa sa serviette de plage et il partis. Pour lui c’était fini, il irait à la piscine. On le suivit tous. Allons goûter à l’eau de la piscine de l’hôtel !

Voila la dernière suite .. Je vous laisse imaginé ce que vous voulais pour la fin .. Si vous voulez ma nouvelle fic dite le moi, je vous enverais un Mp quand je l'aurais poster =).
Merci de m'avoir lu <3

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Un mois c’était écoulé depuis la fin de nos vacances. On avait reprit le chemin des plateaux télés, photos, les interviews. On voyait les garçons un peu plus souvent car ils n’étaient pas encore repartis en tournée. Ils avaient quelques mois pour souffler et se concentré sur leur nouvel album. Pendant ce temps, on continuait notre promo dans toute l’Allemagne et certains pays de l’Europe. On aimait ce que l’on faisait.
Ce matin les garçons avait une interview avec un magazine people. On en savait pas comment été apparu les photos de nos vacances en première page. Il fallait régler sa, plusieurs rumeurs circulaient et on voulait mettre un terme à tous ça. Les garçons allait s’en charger.

On était en route pour une interview et pas n’importe laquelle. On devais répondre à des rumeurs sur nos vacances passé avec les filles. Certaines étaient complètement absurde mais d’autre reflétait simplement la vérité. Bill se tordait les doigt dans tous les sens, il était stresser, mais je ne voyait pas vraiment pourquoi. Le van se gara. On descendit tous les quatre et on rentra dans le bâtiment du journal. Une demi heure plus tard, la journaliste apparut et s’assit sur la chaise en face de nous.

Journaliste : Bonjours les garçons. Vous allez bien ?
Tous : Très bien merci.
Journaliste : Vous êtes ici pour me parler de vos vacances avec les quatre filles de groupe Funf Sterne. Plusieurs rumeurs circulent, quand pensez vous ?
Bill : Certaines sont vrai, d’autre totalement fausses.
Journaliste : Ah oui ? Lesquelles ?
Tom : Celles qui assurent que nous les détestons et que nous leur avons fait passer un très mauvais séjour.
Bill : On peut vous assurer qu’on les apprécie plus que vous ne le pensez. On les connaît depuis toujours. La guitariste est la petite sœur de Georg.
Journaliste : C’est vrai ? Et pourquoi ne jamais en avoir parler ?
Georg : Parce que ce n’était pas utile pour notre musique ni pour la leur. Nos vrais fans le savaient, cette article ne leur apprendront rien.
Journaliste : Qu’entendez-vous par là ?
Gustav : Qu’elles connaissent toutes les histoires qu’ils y a eu entre les deux groupes.
Bill : Georg a une petite amie depuis quelque temps, ce n’est un secret pour personne, et il s’agit de Camille. Ils sont ensemble depuis quatre ans, peut-être plus.
Je tenais d’ailleurs à dire quelque chose.
Journaliste : Bien sur, nous vous écoutons.
Bill : J’en ai marre de devoir faire croire à toutes vos lectrices que je suis un cœur à prendre, que je suis célibataire depuis le début de ma carrière, que je n’ai jamais eu d’histoire d’amour. C’est faux. J’en est eu une et elle dure toujours. C’est la seule que j’ai aimais et que j’aimerais toujours. On est ensemble depuis presque trois ans et ça n’a pas était facile tous les jours, avec notre carrière et la sienne mais l’amour est plus fort. Je veux crier au monde entier que je l’aime même si pour cela on doit perdre des groupies. On s’est mis d’accord pour ne plus jamais cacher sa, malgré le refus de notre manager. Aujourd’hui, vous savez que Georg et moi ne sommes plus célibataires.

Bill regarda Tom. Je savais ce que se regard voulais dire, il fallait qu’il se lance. Un de plus, un de moins, c’est la même chose. Les fans devront si faire, leur rêve ne pourront pas se réaliser, nous sommes amoureux et heureux. On fait de la musique, on passe nos nuits et nos journées avec les femmes de nos vies. On a la belle vie. Je sortis de mes pensées en entendant Tom soupirer.

Tom : Il n’y a plus aucun de nous quatre qui est célibataire. Gustav à trouver une petite amie formidables il y a quelque mois. Je ne suis plus se coureur de jupons d’autrefois, je me suis posé et je l’assume complètement. On grandit, il faut faire avec.
Journaliste : Et aurons-nous le droit aux prénoms des chanceuse les garçons ?
Bill : Ce n’est pas compliqué. Mon frère et moi, on est en couple avec la guitariste et la chanteuse de Funf Sterne.
Gustav : Quant à moi, je préfère garder son identité secrète.
Journaliste : Merci beaucoup pour toutes vos révélations. Aurevoir.

On serra la main à la journaliste et on partis rejoindre les filles. Voilà une bonne chose de faite ..

Les garçons avaient avoué leur statut, ils n’étaient plus célibataire. Je sais très bien que si Georg n’avait pas été là rien ne se serrait passé comme cela. Je ne l’aimais pas au début de notre relation, maintenant je n’imagine plus vivre sans lui. Il me comprend tellement bien.
Un demi frère sa change la vie …


FIN