[T] Voilà ce que ça fait d'avoir une grand-mère rockeuse

Hopla =)




A l’hopital

Tim : Puisque Bill ne passe pas aujourd’hui, sa te dit une autre « distraction » ?

Clak.Paf.Bing.Boung.Bang. Bref, une belle giffle.


Sophie : Ecoute moi bien : Ce qu’on a fait, était une erreur. Je ne t’aime pas. Je ne veux pas recoucher avec toi. J’aime Bill. Et pour être franche, il se débrouille mieu que toi.
Tim : Sa va. Pas besoin de t’enervée !
Sophie : Nan mais j’en ai marre. T’insiste la ! j’tai dit que je ne voulait plus recoucher avec toi.
Tim : =) j’ai compris. On reste amis ?
Sophie : on reste amis =)



Toc toc toc. [>.<]


Sophie : oui ?
Bill : =)
Sophie : Haaaan !!! Biiill !!!!

Le bonheur. Elle n’aurait pas pu rêver mieu. La, devant elle, lui. Dans un timing parfait. Elle avait besoin de lui. Elle avait besoin de son chéri. Elle avait besoin de Bill. Tout simplement. Dans un élan, elle se jeta dans ses bras. Faisant tomber le bouquet qu’il lui avait acheter pour se faire pardoner de son « manque de visite ».

Sophie : Bill.
Bill : je t’aime.

Des retrouvailles intense après une courte abscence. Comme si, ils avaient eu peur de se perdre. Chacun de leurs côtés.
La, la terrre pourrais s’écrouler que ni Bill, ni Sophie ne bougeraient. Ensemble, les yeux dans les yeux. Ils se cherchent, ils se trouvent, ils s’aiment.

Tim : Bon, j’vais me prendre n coca. Je reviens pas avant la fin de la soirée. Je vais voir si a pas de jeunes et jolies demoiselles en détresse dans l’hôpital.


Quelqu’un à parler ? En attendant, personne n’a entendu.

Sophie : Je t’aime. Je t’aime. Je t’aime.







Leïla : Taxiiii !

Le taxi s’arrete, elle monte à l’arrière. Personne ne l’a vu sortir. C’est parfait. Elle n’aurait pas aimé rendre des compte sur sa « visite médical » à qui que se soit. Même si elle sera sûrement forcée d’en rendre à Bill…

Chauffeur : Hey =)
Leïla : ?
Oh ! Comment sa va monsieur le futur président ? =)
Chauffeur : trés bien =) et vous, depuis la dernière fois ? il vous as pardonnez ?
Leïla : … non.
Chauffeur : Je suis dsl. eu…je vous emmène ou belle demoiselle ?
Leïla : =) Leïla. Chez le docteur : 34 routes des mimosas svp.
Chauffeur : très bien =). Hein ?! Docteur ?!
Leïla : Je me sens pas bien…j’ai des nausées, des vertiges…Chauffeuur : Ah ! Sa ne me dit rien qui vaille tous ça…
Leïla : Vous inquietez pas ! C’est juste que je ne mange pas grand chose depuis…depuis que…qu’il refuse de me parler.
Chaufeur : Je ne comprend vraiment pas. Hésiter comme ça…
Leïla : Ce n’est pas une hésitation, c’est un refus. Mais, moi, j’le comprend.
Chauffeur : Vous l’aimez.
Leïla : Vous pouvez me tutoyer. Oui, je l’aime.
Chauffeur : Tu peux faire pareil =). On est arrivée. Bonne chance Leïla =)
Leïla : Merci =)



Le stresse au ventre, elle entre dans la salle d’attente.
Les larmes aux yeux, elle en ressort.



Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non.


Le trajet du retour, elle l’a fait à pied. En courant. Accellérant, quand ce qu’elle venait d’apprendre lui revenait en tête. Rallentissant, quand sa respiration ne lui permettai plus de continuer à courir.
Elle arriva devant ce grand portail, vers 19h.
Elle courut jusqu’à sa chambre. Il devait savoir. Il était le premier concerné.
Elle toqua, n’attendant pas la réponse, rentra.
Elle le retrouva dans la même position que les soirs précédents. Assis, en tailleurs, adossé à son lit.
Il releva la tête. Elle pleurer toujours. Leurs regard se croisèrent.

Tom : Ques’tu veux ?
Leïla : Faut absolument que je te parle.
Tom : J’ai pas l’temps.
Leïla : Je ne vois pas en quoi tu es occuper.
Tom : Je suis occuper à me demander pourquoi je t’ai aimé.
Leïla : …
Tom : Sors s’il te plait.


La, sa dernière bouée venait de couler. Sa dernière phrase, venait de l’achever.
Elle rentra dans sa chambre, tenta vaguement de noter le jour qu’elles avaient décidaient avec le docteur.





Elle réussit tant bien que mal à trouver le lit à travers ses larmes.

=X

Tom, tu déconnes grave là. Même si tu peux pas savoir.
XD



Et pour Bill et Sophie, TU M'AS FAIT PEUR, HEIN!
Genre je m'étais déjà trop imaginé la merde, Bill qui rentre et Sophie qui avait dit oui à l'autre idiot là ><

suiiiite stp !!

suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite

suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite

oO
Nonnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn
La suiite

suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite

Ouaiiiiis!!!!!
J'ai hâte !!!
suiiiiiiiiiite

oui. voilà =)


Hôpital


1 salle de bain, utilisée 2 fois, avec 3 personnes différentes.
La première : Sophie et Tim.
La seconde : Sophie et Bill.

La seconde étant plus adapté à la situation. Sauf que, une fois encore, dans la précipitation de se « retrouver », ni l’un, n’i l’autre n’ont pensé à se protéger…
Cette soirée, Tim s’en souviendra. A 3 reprises, il était revenue dans la chambre, pensant que Bill avait fini par décamper. Et durant s’est 3 reprises, ils n’avaient pas « terminaient. » Chose qui lui filla un sacré cout dans son égaux. « Sa n’avait pas durer aussi longtemps qu’en il était lui, avec Sophie … »



A la maison [dans la chambre de Leïla]


Georg : Hé…ques’qui t’arrive ?
Leïla : Tout. Et rien.
Georg : Tu veux que j’aille lui parler ?
Leïla : non. Hier, il s’est demander, pourquoi il m’a aimé.
Georg : Dsl. Mais…je suis sûr qu’il t’aime toujours…Il faut juste que tu lui laisse du temps…
Leïla : Je sais. Mais…j’ai besoin de lui moi…
Georg : je sais. En attendant, un bon petit déjeuner te fera du bien. =)
Leïla : J’ai pas faim.
Georg : AH NAN ! TOUT LES DEUX DEPUIS QUE VOUS VOUS ETES ENGUEULER VOUS NE MANGEZ RIEN ! VOUS SORTEZ PRATIQUEMENT JAMAIS DE VOTRE CHAMBRE, BILL ET AVEC SOPHIE A L’HOPITAL, JE SAIS PAS QUAND MEGHANN ET GUSTAV REVIENNENT ! ET MOI, JE FAIS QUOI, LA COMME UN CON, TOUT SEUL HEIN ! ALORS JE VOUS PRéVIENS ! SI DANS 1 SEMAINE, VOUS N’ETES PAS DE NOUVEAU ENSEMBLE, JE PARTS !
Leïla : naan. Pars pas.
Georg : mais ques’tu veux que je fasse ?
Leïla : mais…Bill va rentrer. Et Gustav et Meghann aussi… Georg : Et toi et Tom, c’est quand que vous allez sortir ?
Leïla : Hier, je suis sortie !
Georg : oui, et t’a vu dans quel état tu es revenue ?!
Leïla : sa passera…
Georg : c’est ça. Prend moi pour un con.
Leïla : …
Georg : Bon, je vais toucher 2 mots à Tom.
Leïla : NAN !
Georg : Si.
Leïla : Georg, si tu lui fais du mal, je te parle plus.
Georg : Il a déjà mal.
Leïla : L’engueule pas. Le fais pas plus soufrir. S’il te plaît…
Georg : j’y vais.





Toc.Toc.Toc.


...
Georg : Salut =)
Tom : ...
Georg : Putin ! sa put le fauve ici !
Tom : laisse moi stp.
Georg : Depuis quand tu m’a pas ouvert ses volets ?
Tom : Depuis que…nan, laisse moi stp.
Georg : Bien sûr. Y a mon meilleur pote qui est mal à ne plus manger, et tu crois vraiment que je vais t’écouter ?
Tom : Bill m’aporte à manger !
Georg : Bien sûr. C’est ce qu’il y a la sur le plateau ? C’est bizarre, il est plein…
Tom : Non. J’ai manger la pomme.
Georg : Tu as CROQUER dans la pomme.
Tom : …
Georg : Bon, écoute moi bien, vous vous pourissez la vie la, tout les deux.
Tom : je vois pas de quoi tu parle.
Georg : A nan ?! tu voie pas ?! Ben moi j’vais t’expliquer ! Leïla et toi. Oui Leïla, pas la peine de te raidir, elle existe toujours. Et tu sais quoi ? Elle t’aime. Nan, lève pas les yeux au ciel. Si j’te dit qu’elle ne mange rien non plus, qu’elle se fait vomir, et qu’elle pleure tous les soirs, tu m’dit quoi ?
Tom : Qu’il faut qu’elle aille voir un médecin.
Georg : Tom, tu te pouris la vie la, tu le sais ?
Tom : Non. Je suis très bien comme ça.
Georg : Bien sûr. Depuis quand t’a pas toucher à ta guitare ?
Tom : Depuis qu’elle est rose.
Georg : --‘ Tom, elle t’aime. Elle est désolée. Elle s’en veut. Et elle souffre. Enormément. Comme toi enfète.
Tom : Ah. Ben elle doit pas beaucoup souffrir alors, parce que moi, je m’en fous.
Georg : C’est ça tom. Bon, tu veux manger quelque chose ?
Tom : Non. J’ai pas faim.
Georg : --‘ Tu devrai aller consulter avec elle alors.
Tom : Avant de partir, merci de refermer les volets, la fenêtre, le rideau, et la porte. Tous ce que t’a ouvert quoi. Ah ! et aussi d’éteindre la lumière.
Georg : Et après, tu souffre pas !
Tom : non, je suis juste fatigué. Au cas ou tu ne l’aurais pas remarquer, il n’est que midi, et j’ai pas beaucoup dormie cette nuit.
Georg : Et pourquoi ?
Tom : sors, stp.







Diiing. Doong.

Georg : C’est ouuuveeerrrt !!!
Gustav : Heeey !!!
Georg : Putain gus’ !!!
Gustav : =) sa va ?
Georg : eu…ici, c’est pas la super forme…
Mias vous, vous êtes tous bronzer, tout beau…
Meghann : oué =) on s’est fait une semaine sur la côte d’azur en amoureux …
Georg : en amoureux ?
Gustav : oué = )

J'adore suite!!!!!

mais là Tom et Leila faut qu'ils parlent sinon je rentre dans ta fic et je leur botte le cul!

Attention Meg s'énerve!!!!!!

Du rose au rouge!!!!

Moi je veux qu'il se remette avec Leila et surtout qu'ils arrete de faire chier!!!!!
Qu'ils soient un peu plus normaux!!!!!^^

J'adore ton Naméoh!!!!!

suiiiiiiiiite