[T] Voilà ce que ça fait d'avoir une grand-mère rockeuse

La suiite =D

Voilà =)
J'espère que sa va vous plaire... Et que sa vallait l'coup d'attendre =)




Tom : *dévallant les escaliers * Y a un boxer dessouus !!!

Sans se soucier de sa tenue, il dévala les marches de la porte d’entrée. La voie de Bill se fit entendre de la chambre de Tom « Mais Toooom !!!! T’es en chAUssetteeee !!!! »
-Ecoute Bill, j’ai pas l’temps. Alors ou TU BOUGE TON CUL ! ou j’te laisse la !
-J’arriiiiivee !

A son tour, il dévala les escaliers, attrapant une paire de basket qui se trouvait à l’entrée.
Sophie : J’ai appellée le taxi. Il arrive d’une minute à l’autre.
Tom : Pas l’temps ! J’prends ma voiture.
Bill – Sophie : Oh mon dieu .

Contrairement à Tom, Bill et Sophie prirent le temps d’attacher leurs ceinture avant de s’accrocher aux accoudoirs.
La cadillac démarra au quart de tour, se faisant « égratiner » par le portail qui n’avait pas finit de s’ouvrir.
Sophie : Tom, j’suis malade en voiture…
Tom : Ben ouvre la fenêtre.
Le compteur passa de 0 à 50. Il afficher maintenant 120. Pour une limitation à 70. Tom ne voyais ni feu, ni stop. Juste la pédale d’accélérateur.

Bill : eu…tu sais…tom…en continuant à griller les feu comme ça, on risque de se retrouver dans la mauvaise partie de l’hôpital… Tom : Ben t’a qu’a descendre !
Sophie : Comment tu veux qu’on descende ! Tu roule comme un dingue !
Tom : Ben, t’ouvre la porte, et tu saute.
Bill : oh mon dieu.
Tom, tu devrai mettre les chaussures non ? Sa ferait un peu plus « décent » devant Leïla…
Tom : Comment tu veux que je mette des chaussures avec le pied sur l’accélérateur ?
Sophie : Ben lève le…
Tom : ‘H. Bien essayer.
Sophie : AAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!!!!
Sophie- Bill : Putian TOOOMMM !!!! T’es en sens interdiiit !!!!
Tom : Je sais. Sa allait trop doucement dans le sens normal.
Sophie : Trop doucement !!!?
Tom : Ben oué. La, toutes les voitures s’arrêtent, me laisse passer, et m’insulte.
Bill : Et d’après toi, POURQUOI ils t’insultent ?
Tom : Parce qu’ils sont jaloux. Ben attend ! T’a vu ma voiture comme elle est belle !
Sophie : Oh mon dieu. AAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!!!!!!!!
Tom : MAIS QUOI ?! Ques’ta à gueuler comme ça ?
Sophie : Y a des voitures qui te foncent dedans !!!
Tom : oui, mais j’les évite =)
Sophie : oh mon dieu. Arrête toi stp. Faut qu’je descende.
Tom : impossible. Si j’marrête, c’est carrembolage.
Bill : Les flics vont arriver d’une minute à l’autre. Tu sera bien obliger de t’arrêter la non ?
Tom : Oh. J’suis sûr que question vitesse, j’lai bas.
Bill : Oh mon dieu.
Tom : oui ? =)
Sophie : --‘
Tooom !!! Le chaaat !!!!
Tom : Au pire, on l’écrase.
Sophie : oh mon dieu.
Tom : Mais quesque vous avez tous à m’appler la ?
Sophie : Comment tu fais pour être aussi calme ?
Tom : …
Bill : ?
Sophie : On t’écoute hein.
Tom : … je pense à Leïla.
Sophie : Tu sais, j’pense pas qu’elle aimerais nous retrouver en AAAAAAAAAAAAAAAAAA
Tom : --‘ en ?
Sophie : Mais t’es complétement calu !!!!
Oh mon dieu. Oh mon dieu. Oh mon dieu.


[grans blanc]


Je pense à Leïla . Cette phrase résonnait dans le tête à Sophie.
Sa cousine était amoureuse. Et* heureuse. Elle était parfaite avec Tom. Ils se complaitaient. Se comprenaient. S’aimaient.
Elle aurait aimé que la complicité qui liée Tom à Leïla soit aussi entre elle et Bill. Pourquoi sa ne marchait pas ? Elle l’aimait. Sa, elle en était sûre. Il l’aimait lui aussi. Il était tendre, protecteur, doux. Il l’a faisait rire. Ils partageaient leurs secret. Un peu comme des meilleurs amis... Ou des frères et soeurs… Elle ne savait plus.
Amour ? ou amour ?
En tout cas, la seule chose dont elle soit certaine, c’est que jamais ele ne pourais le sortir de sa vie. Rien qu’a la perspective, qu’ils puissent ne plus se parler, ne plus se voir, ne plus s’entendre ; son cœur s’emballa.
Et juste à ce moment la, quand elle décida de lui dire ; la voiture vira sur la droite. Les yeux de Bill s’agrandirent, et les mains de Tom bougeaient dans tous les sens, espérant remettre la voiture sur le « bon chemin » .
Trop tard. Ils allaient mourir. A la vitesse ou ils allaient, à part un miracle, RIEN ne l’es empécheraient de finir dans le ravin.
Non. Elle était trop jeune. Elle ne voulait pas mourir. Et…
Sophie : Tooom !!! fais quelque chose !!! j’ten suppliiiie !!! J’veux pas mourir ! et, si’l te plait. Laisse nous une deuxième chance.
« Laisse nous une deuxième chance » un grand blanc s’installa dans l’habitacle.
Bill venait de réaliser qqu’ils allaient sûrement y passer. Qu’il ne reparlerai plus à Sophie. QU’il n’entendrait plus son rire. Ce son délicieu qui sortait si souvent de sa bopuche. Sa bouche. A elle. Qu’il embrassait si souvent. Non. Sa ne pouvait pas être fini.Pas comme ça en tout cas.
Et pendant que Bill se remémorait tous leurs moment ensemble –la première fois ou ils s’étaient embrasser. Il se rappeller encore la sensation qu’il avait ressentit : le ventre nouer. Le cœur qui battait à toute vitesse. Puis ses bras. A elle. Qui s’enroulait délicatement autour de son cou. – Tom, lui essayer de comprendre la signification de « Laisse nous une deuxième chance » es-ce-que Bill et Sophie avait rompu ? Ce couple. Ce couple si parfait. Le coucple qui était sencé être ensemble pour l’éternité ? Non. C’était impossible.
Rompant le silence, ignorant que la voiture partait en vrille, il décida de se rassurer.
Tom : Pourquoi « Laisse nous une deuxième chance » ? Vous êtes plus ensemble ?
Sophie : Tooom !!! Regarde la route !!!
Faisant comme si il n’avait pas entendu, il réhédita sa question
Tom : Non mais pourquoi ? C’est anormal que vous soyez séparer…
Bill : Oui, on est plus ensemble. Oui, sa me rend dingue. Non, ce n’est pas que de la faute à Sophie. Oui, j’aimerais bien m’expliquer avec elle. Et surtout : Oui, je veux vivre ! Donc concentre toi sur cette PUTAIN de route et ammène nous à cette hôpital.
Et puis la, comme si les paroles de Bill eurent un effet déclencheur dans la tête de son jumeau, il se mit à serrer le volant au maximum sur la gauche, tout en appuyant sur la pédale de frein ; cette fois ci.
La cadillac refusa tout dabord de freiner tandis que son conducteur se démener tant bien que mal avec le volant.
Puis, comme par magie, au bout de 10 minutes de frayeur, la voiture pilla net sur la chaussée, prête à être « conduite corectement » en direction de l’hopital.

Tom : Oh mon dieu.
Bill-Sophie : Oui ?
Tom : --‘ Comment j’ai fais ça ?
Sophie : Je sais pas. Coup du destin ? Mimi ? en tout cas, si c’est toi, merci
Tom : Ta grand mère pourait bien être notre bone étoile…
Sophie : =) oué, p’tetre bien…

Comment auraient-ils pu s’en sortir sinon ? La voiture déraper tellement que… Wah. Ils étaient vivant. Ils n’allaient pas mourir.

Sophie : Je vous aimes. Au mon dieu. J’suis tellement heureuse. Reste plus qu’à retourner à l’hôpital.
Tom : J’appuie sur la pédale d’accélérateur ?
Sophie-Bill : Naaaan !!!
Bill : Tom, sa suffit maintenant les conneries. Des fois, je me demande si c’est pas moi, le plus agé de nous deux.
Tom : Dsl de te décevoir très cher frère, mais la maturité et la beauté et l’intelligence ,bien sûr, prouvent que c’est moi qui suis né le premier.
Sophie –Bill : Bien sûr.
Tom : Ah. Et j’oublié l’humour, la force, le
Bill : regarde la route, sa t’éviteras de dire tant de conneries.
Tom : Vous savez, je connais un raccourcis pour aller plus rapidementn à l’hôpital.
Sophie : Il est en sens interdit ?
Tom : non =)
Bill : Alors prend le.

Tournant brusquement à droite, il s’engagea dans une petite ruelle, provocant par la même occasion une horde de klaxon.
Bill : Tooom…
Tom : Biiiill…
Bill : T’aurais pas oublier quelque chose ?
Tom : Eu…le clignotant ?
Sophie : Oh mon dieu. Je vous en suplie, faites qu’on arrive entier à l’hôpital.
Tom : Requête accepté.
Bill : --‘ Quesque sa serait si TU serait né dix minutes après moi.
Sophie : Il serait bon pour l’asile.
Bill : Vous entendez pas un bruit ?
Tom : Si. Sa s’appelle la sirène des flic, très cher frère inculte.
Sophie : Merde.
Tom : Mais t’inquiète pas. On arrive à l’hôpital dans cinq minutes.
Bill : Parce que tu compte faire quoi la ?
Tom : Appuyer sur l’accélérateur.
Bill-Sophie : Oh mon dieu.
Tom : S’il vous plait chèr apôtres, pas tous à la fois. Une course-poursuite avec les flics demande beaucoup de concentration, alors je vous demanderez un peu de silence.

Les yeux de Bill et Sophie s’agrandirent.

Bill : Mon frère est fou.
Tom : J’te rappelle que nous somme jumeau.

Et sans lui laisser le temps de répliquer, il appuya d’un coup sec sur la pédale [d’accélérateur], tournant une fois à gauche, une fois à droite. Les mains de Bill et Sophie étaient sérrées contre les accoudoirs, et celle de Tom contre le volant. On commençait à voir l’insigne de l’hôpital, et on entendait plus les sirènes.
Ils avaient réussit.
A esquiver les flics.
A arriever entier à l’hôpital.
Il se gara sur la première place de libre.

Bill : Tom, tu peux pas te garer la, c’est une place réservée pour les handicapée.
Tom : Ben, si on vient nous dire quelque chose, tu te montre et

Trop tard. Il ne termina pas sa phrase. Elle était la, assise sur les marches de l’hôpital, la tête dans les mains, les coudes sur les genoux. En pleures, sans doute.
Il ne prit pas la peine d’arrêter le contact, il décendit de sa cadillac, et s’avança vers Sa Leïla

Super
mais pas assez long
Franchement j'adore et je suis mega ultra pressé d'avoir la suiite!!!!!

suite! stp
jaime tjr autant tes suites
et j'en redemanderai tout le temps !!

New lectrice.
J'aime troooop.
Une suite ???

Oui j'ai lu la nuit les 65 pages. Haha.
Préssée que tu postes alors. (:

Oh merci.
Préssée que, avec tes idées tu trouves les phrases. :p

Suite.

Suite ?

suite!!

Suite.