Julie :
Après avoir couru comme une dératée dans l’escalier, je monte et parle un peu a marc.
Moi : alors comment tu vas ?
Marc : ben tu me manques, c’est agréable de pas faire la cuisine !
Moi : ben je la fait toujours mais pour 6 !!
Marc : quelque chose me dit que tu te fais avoir
Moi : t’inquiète je compte faire que sa, adieu les machines...
Marc : mais ils on pas une femme de ménage ?
Moi : je crois que si, ben tu as raison je me fais avoir.
Marc : lol
Moi : bon alors la réunion elle finit a qu’elle heure et on parle de quoi ?
Marc : vers 17h et on parle cuisine !
Moi : très drôle
Marc : c’est la nouvelle collection de printemps.
Moi : d’accord on est arrivé
Je descend et à la moitié des escaliers je tombe.
Moi : saleté de talon !
Marc se baisse et m’attache les chaussures puis me dit.
Marc : julie les chaussures pour marcher avec il faut les attacher !
Cette immeuble est composé de gens extrêmement narcissique, habillé à la pointe de la mode en même temps c’est une entreprise de mode pas de mécanique, pas une seule mèches de dépasse de leur coiffure. J’ai eu du mal à mis faire au début mais maintenant sa va. Je tombe encore devant l’accueil et Vanessa, elle est un peu stupide mais très gentille me dit :
Vanessa : normalement julie tu arrives au moins à ton bureau avant de tomber
Moi : sa fait une semaine que je les ai pas mis alors j’avais oublier la torture.
Vanessa : moi je sais pas comment tu fais sans ?
Moi : je met des chaussures confortables tout simplement.
Vanessa : je vois pas en quoi des talon de 10 cm de haut ne sont pas confortables
Moi --’ : tu dois avoir raison
Marc rentre dans son bureau à coté du mien mais je l’appelle avant
Moi : marc tu peux m’aider ?
Marc : a quoi ? Oh j’ai compris
Et il m’aide a me portant à moitié dans mon bureau,
Marc : la réunion est dans 30 minutes et il veux que l’on trouve des idées pour la collection printemps
Moi : tu as quelques choses toi ?
Marc : non pas du tout
Moi : génial on va encore se faire engueulé
Marc : comme d’habitude
Après avoir passé 30 minutes à réfléchir sur un thème sur le printemps et dessiné trois petits trucs sur mon carnet, je me décide que les papillons ne serais pas une si mauvaise idée bon j’avoue c’est pas très original pour le printemps mais bon, j’ai rien d’autre.
Marc : tu viens c’est heure ? Tu as trouvé quoi ?
Moi : des papillons et toi ?
Marc : des fleurs
Moi : encore mieux
La réunion commence on est environ une quinzaine à être devant un calepin, à chercher la solution pour devenir invisible pour ne pas que le patron nous demande ce que l’on a trouvé.
Je commence à dessiner sans réfléchir mais petit à petit le visage du grand brun prend forme sur ma feuille, il m’obsède même au boulot. Je continue jusqu’a ce que marc essai de voir se que je dessine. Je cache mon dessin, mais bien sur il insiste.
Marc : allez montre
Moi : non sa te regarde pas
Marc : allez je veux savoir !
Il commence à m’attrapé mon calepin, je me défend et quand je vois qui l’a l’avantage, je déchire la feuille et la met dans ma bouche
Patron : julie vous avez une idée ?
Marc qui chuchote : je sais pas comment tu vas faire pour te sortir de là lol
Julie : hum, en fête je voulais exprimé l’agacement que provoque le papier qui représente le travail, et donc l’hiver, et le l’étouffement que celui ci provoque et qui ouvre donc vers une envie de printemps
Tout le monde me regarde, alors la c’est foutu avec les conneries que j’ai sorti c’est mort je suis virée.
Patron : hum pas mal, dessinez moi sa et on en reparle et marc tu proposes quoi ?
Marc : des fleurs
Patron : des fleurs pour le printemps vous l’avez chercher longtemps cette idée ? Bon allez retourné travaillé.
Tout le monde sort on reste moi et marc dans la salle un peu.
Marc : dis moi que tu n’avais pas réfléchi à la connerie que tu as sorti ?
Moi : ben non j’ai dit les mots qui me passaient par la tête
Je jette la feuille qui m’a mis dans une galère pas possible. Marc la regarde avec dégoût et me dit :
Marc : sa te tente d’aller voir ta meilleure amie se demain soir ?
Moi : non j’ai pas le temps avec les dessins et ma soeur
Marc : ne me dit pas que tu vas te couché a 20h ?
Moi : écoute je t’appelle pour te dire si je peux
Je passe la reste de la journée avec marc a choisir des tissus qui pourraient aller avec mes dessins.
Je rentre à la maison à 14h, les garçons ne sont pas là, ma soeur est allée faire les boutiques, je fais des crêpes que l’on pourra manger se soir, et pour moi se midi car je sais pas à qu’elle heure on va rentrer du gynéco avec ma soeur, elle a rendez vous à 18h.
Il est 19h et on rentre juste dans le cabinet, après avoir fais l’échographie et avoir chercher pendant facile 15 minutes ou était le cornichon, on parti.
On rentre à 21 heures les garçons étaient devant la télé les crêpes la main, ils se sont pas gêné.
Je vais à la cuisine pensant en faire pour moi et ma soeur, mais il restait plus, non je rêve. Je me met devant la télé.
Moi : sa va elles sont bonnes ?
Tom : oui très et pousse toi de la télé s’il te plait
Moi : il y en a même pas pour nous !
Pamela : vous avez tout manger espèces d’ogres égoïstes
Gustav : mais non on en a laissé j’en suis sur il reste même du nuttela c’est tom qui l’a rangé ! Tom non tu ne les a pas mangé !
Tom : elles étaient trop bonne j’ai pas résisté !
Pamela : ben tu vas nous chercher à manger !
Tom : pff tu veux quoi julie ?
Pamela : Mac do et grouille j’ai faim !
Bill : tu t’appelles pas julie que je sache !
Pamela : le lion anorexique tait toi
moi : va cherché mac do pour ma soeur moi je vais me débrouillé
Georg : désolé
Moi : pas grave mais je compte pas faire la cuisine tout les jours alors il va falloir tourner je vous préviens.
Gustav : t’inquiète
Tom : bon j’y vais mais compter pas sur moi pour faire autre chose que commander des pizzas pour le repas !
Pamela : grouille
Tom : oui sa va !
Tom part, moi je vais à la cuisine et me fais une salade pour manger, et rejoins le restant de la troupe de dingue qui vit avec moi.
Bill : tu veux voir quoi ?
Moi :...
Pamela : vive le vent vive le vent d’hivers !
Bill me tape gentiment le bras car je n’avais pas compris
Bill : tu veux voir quoi ?
moi : se que tu veux sa m’égal tu moment que c’est sous titré.
Pamela : je veux voir le journal de Bridget Jones
Gustav : non on l'a vu hier
Moi : il faut pardonné ma soeur elle n’a pas du tout comprendre.
Bill : lol !!
Pamela : allez !
Georg : madame Irma ?
Moi : oui pourquoi pas
Tom est revenu avec le repas de Pamela peu de temps après celle ci râlé parce qu’il n’avait pas pris du coca cola light, on regarde le film et on va se couché, après avoir rit tout le long du film avec les commentaires de tom qui trouvait le film pourrit.
Le lendemain matin j’ouvre les yeux à 7h45 et je vois Pamela toujours là on est vendredi elle à lycée je me lève, la réveille et court dans la chambre de tom pour qu’il l’emmène !
J’ouvre et lui dit :
Moi : debout !!!!!!!!!!!
Tom : quoi ?! Pourquoi ?! T’es folle laisse moi dormir !
Moi : non tu dois emmené Pamela debout !
Tom : non
Moi : allé je compte sur toi moi j’ai pas envie de passer ma matinée avec ma soeur pitié allez debout !
Tom : tu peux compter longtemps alors !
Moi --’ : allez dépêche toi !
Tom : je me lève si tu réveilles bill et qui me dit de me réveiller lui même et sa sans râler !
Moi : non je ferais pas sa allez grouille !
Tom : tic tac allez vite !
Je frappe à la porte de bill jusqu’à se qui l’ouvre pas content de tout, et avant même qu’il dise quoi que se soit je lui sort d’une traite sans respirer.
Moi : je suis désolé de te réveillé à cette heure là mais j’ai pas le choix je dois te réveiller pour que tu réveilles tom sans râler, pour qu’il veuille bien emmener Pamela au lycée, Gustav est parti alors j’ai pas le choix, et comme j’ai pas envie de supporter ma soeur toute la journée, il faut que ton frère l’emmène, s’il te plait aide moi, je ferais tout se que tu veux.
Il me dit pas un mot, vas dans la chambre de son frère, tom en sort 5 minutes après et va dans la salle de bain. Bill passe devant moi sans me dire un mot et avant de fermer la porte de sa chambre il se retourne et me dit.
Bill : se soir un film dans ma chambre c’est sa que je veux.
Je dit rien il ferme la porte. Et je souris comme une conne en plein milieu du couloir.