[T] Always cold ( integral+suite)

oki bn courage pr tes exms et hate d'avoir la suite qd meme^^

Merci de ces nouvelles & bonne chance pour tes exams.

Bisous & vivement la suite !

<3 suiiii!te

On y croit, on y croit... un jour, la suite viendra u_u' .

Courage ! ne perdons pas espoir!^^

xD l'espoir fait vivre!

trop^^
en esperant qu'elle revienne quand même^^

SUITE...

Halalia est partie, Gustav est parti, elle est partie, il est parti, ils sont partis. Un vide comparable au néant trone dans le coeur de tous, chacun fait des pieds et des mains pour éviter de regarder l'espace qui torturait leur coeur. Tom ne parlait plus, disons qu'il arrivait toujours à détourner la conversasion lorsqu'il s'agissait de savoir comment il allait, LUI. Rien ny fesait, et l'etat de Bill allait de mal en pis. Georg se perdait dans les grave de sa basse et bien souvant les autres pensaient qu'il partirait à son tour. Arriane était la seule à sourire de temsp en temps lorsqu'elle appercevait Tom et Bill ensemble ou encore Georg secouer sa chevelure au rythme de ses notes profondes.

Halalia s'était relevée bien marlgré elle, une force, un instinc de survit, un courant electrique dans ses jambes et de l'oxygene dans ses poumons, ses pulsoins dans son coeur et la vie reprennait le controle de cette masse à terre. Les vêtement encore poussiereux elle marchait le long de la route. Errence...
Aucun chemin précis à suivre, juste le file de ses pensées qui s'en mêle et forme un noeud imposible à defaire. Ses yeux étaient subjugué par ses pieds, perdant de vue les obstacles sur son chemin. Fonçant consciement vers la prochaine chute...

Gustav tenait cette petite chose entre ses mains, la vie, un miracle, son neveu, un petit Gustav...
Après tout ça, après rien, il y avait la naissance, l'espoir d'un futur et tout se concentrait dans un petit être minuscule, la promesse que rien ne s'arrête vraiment...
La vie est un eternel recommencement.

Bill suait à grosse gouttes, sa respiration était bruyante et saccadée, ses yeux revulsés et ses mains tremblantes. Il attendait dans l'ombre son autre. Losrque Tom entra dans la chambre de son frère, celui-ci se jetta sur lui le ruant de coup.
...: Bill, lache moi! T'es fou!
...: Donne m'en, donne m'en j'en ai besoin!

Voilà.
Le carrefoure où tout ce jouait, une fase décisive, tu marches ou tu crèves et Bill devait choisir.
Les mains du chanteur se pressaient contre la peau de son frère, la rougissant au fure et a mesure. Tom grimaçait mais ne se plaignait pas. Bill se mit à jouer la carte du coeur, les yeux de chien battu, les larmes au bords des paupièrs et la voix tremblente malgré la force avec laquelle il serrait son frère.

...: S'il te plait, j'en peu plus, juste cette fois.
...: Non.

Ferme et nécéssaire, et mister Hide s'est déchainé, Bill à tout saccagé, il frappait dans tout les sens, dans les meubles comme sur son doubble, marquant son visage de griffures fine et abondantes. Il fallut l'intervention de Georg pour le maitriser. Il a fallut des heures pour qu'il arrête de reclamer et de hurle, il a fallut 5 minutes pour qu'une fois la raison retrouvée, Dr Jeckhill se sentent coupable de la noirseure de son ame et des pulsion enfuits. Il n'en fallut pas tant pouur qui Bill s'écroule epuisé de cette lutte.

...: Je pense qu'il faut l'emener à l'hopitale.
...: Non! J'irai pas. Tom je ne veux pas!
...: Mais il va finir par blaisser quelqu'un...

Arriane regardait le visage de Tom qu'on aurait cru avoir été attaqué par une orde de chats.
...: ...
...: gravement cette fois.
...: Je veux pas y aller...

Tom ferma les yeux des secondes qui parrurent une éternité, la seule solution, le même que pour lui.

...: Je ferai n'importe quoi, mais pas l'hopitale.
...: ...

Personne ne semblait l'entendre, Tom re-ouvrit les yeux et soupira.

...: Je vais devoir t'attacher alors...

Bill tendit les poignets vers son frère. Il avait fait son choix, il marcherai dans le néant qu'il avait engendré, assumer. Aujourd'hui il assumait, quitte à perdre sa liberté, pourvu que tout s'arrête enfin.
Pourvu que tout s'efface, que tout recommence, que le sphinx renaisse des ses cendres, que sa tête puise se tenir haute et fière à nouveau. Pourvu que Bill Kaulitz cesse de n'être qu'une ombre...

troppp contente que tu suiteee
sa fesait longtemps
J'aime toujours autantttt <3
suitee quand tu peux stpppp

a-j Bordel ça fait du bien
trop de temps que j'attends
qu'on attends, c'est une plaisir meme plus que ça de te lire encore et toujours
avec la meme envie
j'ai toujours mon coeur qui bat la chammade a chaque mot
et j'en redemande

ps : je vais me faire beul ? OK * sors *

c'etait mon moment humour
pas drole je sais

woa...
ba ça m'avait manquer.

white...
t'es revenue

encore un jour et, à force d'attendre, j'allais piquer la même crise cata que Bill !!

ça m'avais manqué . . .

viv'ment la prochaine *.*

<3 suite <3

ah enfin une suite xd jadore trop suite please bisous.

Ouah... Quel bonheur de pouvoir te relire, quelle joie lorsque j'ai cliqué sur le lien, j'ai vu une suite =)
tout ça m'avait manqué
et je suis contente que tu es fait une suite
C'est toujours aussi merveilleux
et il me tarde la suite

suite demain

youpi

au fait, j'ai oublié de demander... tes exams sont finis?
si oui, comment ça c'est passé?

cool...
je la lirai dmain soir...
parce que demain je suis pas là

Ho bordel. Bordel tes mots. C'est sublime. Comme ca fait du bien de te relire. Ca m'avait manqué. Tu transmets toujours autant d'émotions. Merci. Vraiment.

Il a prit une corde et l'a noué autour des poignets encore tremblant de son doubble. Il a serré, une, deux, trois fois et a recommençé son geste avec la tuyauterie de la chambre, celle du chauffage. Lui restait là impassible, comme une feuille que le vent ballote à son gré. Il se laissait faire, se soumettait. Se soumettre pour redvenir maitre de soi même, s'enchainer pour être libre, puisque quelque part la vrai liberté consiste à choisir les liens qui nous emprisonnent. Le dernier noeud, le début du dénouement. Tom regarda Bill poser sa tête fébrilement contre le mur, il vit ses paupières frémir tout en recouvrant les prunelles marrons. Bill pensait à tout et rien à la fois, puisque rien n'est qu'un vide de tout et que tout est rempli de rien.

Elle marchait toujours avec pour compagnie le froid, la faim, la soif et la tristesse. Les larmes avaient céssé de couler depuis longtemps. Elle était en plein milieu de nul part, entourée de route mais aucun chemin n'était le sien. Les voitures défilaient à vitesse variée, certaines transportaient des familles entière, d'autres juste des solitaires mais chacun semblait avoir un direction à suivre. Et elle tranait ce qu'il restait de ses converses sur le sol tantot bétonné, tantot boueux. Ses yeux dns le vague car c'est tout ce qu'il lui restait, la vague sensation de respirer encore... Une vague impression de ses pas qui s'alignaient vers nul part... Un sentiment vague d'exister encore... Une idée vague de ce que signifiait être mort.

Il avait finit par s'endormir contre la parroie glacée, dans cette chambre dot il avait fait sa prison son tombeau, cette pièce dont il ne voulait sortir que vivant. La chaine des dessins animés passaient aléatoirement des images et lui préférait dormir, de tout façon c'était kiff kiff, s'abrutir dans un someille sans rêve ou dans les souvenirs brumeux d'une enfance qui est déja lon derrière nous. Parce que l'innocence ne marche jamais longtemps à nos cotés, parce qu'un jour où l'autre apprend la différence entre le bien et le mal mais qu'i est difficile d'en saisir les nuances, et que bien souvant on se trompe.

Arriane cuisinait ce qu'elle connaissait, personne ne se plaignait sauf Bill. Il se plaignait maiis mangeait pour quatre, la dépendence certainement. Quoiqu'il en fut elle lui apportait son repas tout les jours à midi et le soir, laissant le déjeuner à Tom ou Georg si il était réveillé car c'est lui qui veillé le seuvré. Chacun avait un role, tous se donnaient dans leurs taches espérant que se soit payant. Tom rêvait de voir Bill se réveillé sourir au lèvres et lui annoncr qu'il allait mieux, Georg imaginat déja les retouvailles avec son batteur et Arriane...

...: Bordel mais c'est quoi ctte merde! Degage!

Arriane supportait en silence les sautes d'humeurs de Bill, enfin si on peut réellement appeler la haine et le mépris qu'il avait pour Arriane de symptome de la dépendance...
David venait de temps à autre aux nouvelles pour disapaitre à nouveau. Elle tenait le coup, du moins paraissait.

...: Si tu l'entendais, si tu le voyais, tu croirais que c'est moi qui l'ait poussé à piquer, comme-ci j'étais responssable de la merde qu'il a foutu...

Ce n'était que des phrases murmurés au vent devant la tombe de Lya, une tristesse écrite sur la page de marbre d'une pierre tombale.

...: J'étais come ça avec toi? Est-ce que j'étais un monstre aussi?

Des reponses qui restent sans réponses si non les injures de Bill.

Cinq jors venait de s'écouler, Bill refusait de dormir à présent les remords son des mauvaises herbes capables de détruire n'importe quel avre de paix. Irrasible et taiseux, il murmuraient des folies au silence et se déchainnait en présence de son frère. Les liens s'usaient par endroit, si bien que Tom du l'attacher à nouveau. La peinture s'écaillait et s'enlevait à cause des frottements à répétitions. Les periode de controle de Bill était de plus en plus courte, si bien qu'il en était réduit à répondre à un onterogatoire lorsque qu'il revenait à lui. Souvant il se balançait d'avant en arrière et chantonnait des melodies inconnues, des contines pour la plupart...

Tom allait tout les jours à l'église chechant une prière à adresser à Rien. Il venait tard le soir et restait une ou deux heures assit ou agenoux, laissant le silence cacher le fracas de ses pensées. Il n'a pas revu Melody, pourtant il aurait aimé, aimé qu'elle lui raconte l'etrangeté de cette fille prisonnière du froid, son sourir et ses yeux tout noir. Cet aire malicieux qui cachait bien des horreures. I aurai aimé, pour la hair u peu plus, pour que chaque paroles, chaque mots sur elle ne soit qu'un souffle de plus vers la mort de sa mémoire...

Elle avait traversé des villages, joué un peu, mangé autant et dormi encore moins. Elle avait maigris beaucoup trop et trop peu pour ne plus être. Elle ne parlait plus, taisant les mots, refusant d'entendre le vent, de voir la pluie se battre avec le soleil, sentir le jour de plus en plus present sur ses paupières et toucher l'herbe qui rennait du bout des doigts. Elle taisait les mots, taisait la vie et luttai à peine pour sa survit. Sa seule joie consistait à s'endormir épuisé, ne plus pensé, oublié, s'abandonner un rictus en coin avec la vague impression d'exister, un sentiment vague d'être morte...

mais examens ne sont pas encore finis dans 4 jours, les plus mportants sont passés.

ah ça fait du bien de lire ça
j'adore
je le dit tout le temps
en meme temps je sais pas quoi dire d'autre
a chaque fois j'ai plus de mots
ça m'enerve
<3

suite et bonne chance pour la fin de tes exams

ah... je te dis merde alors pour la fin de tes exams.
J'aime toujours autant ta fic, quel bonheur de pouvoir relire.
J'en suis toute émoustillée ^^
Bref, tu dois le savoir que j'aime

vivement la suite

au fait, pourquoi tu ne viens plus sur ma fic?

Han. Merci. C'est sublime. Tes mots sont si...déroutants que j'en perds les miens. Je ne sais quoi te dire, a part que te lire est un véritable délice pour le coeur, et un suplice pour l'esprit.
Bonne chance pour la fin de tes exams Wink

*.*

waow.

<3

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