[T] Double ambition, 2e Partie.

L'instatisfaite réclame une Suiiite !! :p

la suite stp jadore trop bisous.

Han. ça fait du bien d'avoir une suite tiens.

Alors déjà. J'aime bien le fait que June croit que nos chers Gus' et Georg se droguent. Mdr. On imagine bien la tête qu'ils doivent se payer.

Et puis. Moi non j'suis pas d'accord avec Bill. Ils sont attirants les deux gars.
*____*. Même que j'en bave. [ Bon j'me tait ]

Cette suite était géniale.
J'adore ton histoire.

Bisous à toi.

Et mon mari dans tout ça ??? Il revient quand ? C'est pas qu'il me manque mais bon ^^

(ouhlala j'ai réussi à plaianter ce soir! note cet immense effort vu mon état mental...)

Suite

Des gens sont-ils là qui voudraient la suite?

mauvaises réponses...

Encore une new lectrice!


C'est que je bats des records!!!!!




Meri à toutes mes lectrices et bienvenue à toi @2line

Suite !

J'suis amoureuse de mon avatar *___*
Bon elle est où la suite ??? >_<'

Pourtant, quoi que Bill puisse dire, Gustav et Georg ne sont pas mal du tout, du moins, je les trouve attirants, différemment de Bill, mais attirants quand même !

Ce qui me donne envie de les connaître, aussitôt mes appréhensions oubliées. Mais avant tout, un désir d’entendre Bill chanter me parcourt de la tête aux pieds. Je n’ais pas oublié le timbre de sa voix et le souvenir de ce son est toujours ancré en moi. Je me rappelle notre slow, unique moment durant lequel j’ai pu avoir la chance d’être proche de lui. Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai l’impression que la chanson est plus qu’un loisir pour lui mais une véritable passion. Je vois en lui quelque chose qui rappelle mon excitation quand j’attrape ma guitare par le manche et que je chauffe mes cordes vocales. J’ai ce don de repérer des talents musicaux. Cela me vient sûrement de mon propre amour de la musique, comme si entre « confrères » on se partageait nos sentiments et cela me rend terriblement avide d’ouvrir mes oreilles à Bill. J’ai l’impression qu’après cela j’arriverais mieux à le comprendre et à le cerner et que je pourrais me sentir plus proche de lui. C’est d’ailleurs la raison principale de ma présence ici, à Magdebourg.

Je presse donc Bill et les deux musiciens afin qu’ils me fassent une petite démo et je m’aperçois qu’ils semblent tous vivre cinq fois plus intensément avec leurs instruments dans les mains. Je m’assois par terre en tailleur et ferme les yeux, prête à me laisser submerger par une émotion que je ne connais que trop bien.

Dès les premières notes, je me sens partir. Je ne vis plus, je rêve, je vole. Je n’existe plus physiquement. Je suis quelque part entre deux terres, seulement retenue par un rythme, une basse et une voix. L’un a valeur d’essence, l’autre de moteur et la dernière trace une route que l’on ne peux plus quitter. Impossible de se tromper de chemin, on ne peut dévier de la trajectoire. Je me laisse seulement guider, incapable de comprendre ce qu’il m’arrive, et pourtant, je sens qu’il manque quelque chose. Là où je suis est un monde qui semble parfait mais dans lequel est pourtant absent un essentiel insaisissable.

Je rouvre brusquement les yeux. Je ne veux plus écouter. Pas sans cet élément, sinon, j’ai l’impression d’être trompée. Ce qu’on me montre n’est pas un miracle s’il n’est pas entier. Je ne veux pas avoir l’impression d’être au paradis si ce n’est pas le cas.

Je veux simplement le tempo d’une guitare en plus.

Les trois musiciens semblent avoir compris mon malaise. Ils ne semblent finalement pas si heureux que ça eux-mêmes et ils s’arrêtent de jouer. Leurs regards passent au-dessus de moi et se fixent sur un point imaginaire au-delà de mon épaule. Je sens un courant d’air souffler contre mon dos et je me retourne.

Tom est là, il se place avec élégance sur la scène, un peu à l’écart des autres, comme si une gène s’était installée entre eux, et il entame quelques rifts de guitare sans prononcer un mot. Après l’avoir observé quelques secondes, Gustav et Georg redirigent leurs esprits vers leurs propres instruments.

Et c’est le tour de Bill de reprendre la mélodie au vol.

Un sentiment brûlant d’intégrité me gonfle alors et je peux profiter pleinement de cet instant magique.

Tous sont concentrés à l’extrême mais semblent pourtant détendus et naturels. Leurs visages expriment leurs émotions et ça ne les rend que plus beau encore.

Sur leur scène, ils semblent grandir, grandir jusqu’à devenir insaisissable. Ils sont désormais loin de moi qui ne suis que spectatrice. Je me sens misérablement petite devant ces demi-dieux et pourtant je devine des étoiles pétiller dans mes prunelles. Je ne pourrais décrire cette émotion, mais je la vis.

suite!!!!!!!!!!!!!!

TrOp magnifique
Wouaw...

Suite (L'

Putain Oriane j'ai des frissons sans déconner !! ><
En plus j'écoute Vergessene Kinder en lisant, ce qui n'arrange rien à mon problème de frissons ^^

Même pas drôle, je les connaissais ces photos Ori !! ><
Tu l'aurais pas piquée sur mon blog celle de Tom par le plus grand des hasards ?? xD

crazy-of-th, je te rassure, yen a beaucoup que je 'navais jamais vu avant qu'elle els postes ici ^^

suite stp ses trop bien jadore trop bisous.