[T]H€art Heavy to lift

suite please
veu la suite
viteuhhhh
kissouilles
jtm fort

Viiiiiite, j'dois aller me coucher, mon père me guele déja dessus

Cette suiite et meugneufikk
comme les autres dsl du retard!!
Suiite pour une fois j'ai pas grand chose a dire
a par que ton histoire et très original et super!!

PDV normal (Juliette)

Ce regard froid, rempli de méchanceté, de haine, de réticence, glace tout mon être.
Ce simple œil tourné vers moi, me fait posé mille et une question qui ne sont autre que « Est-ce moi qui déclanche ce regard ? » « Ais-je fais quelque chose de soudain ? »

Mon supérieur cesse ces gestes déplacés, et me lâche d’un coup bref en se dirigeant vers ses clients. Moi, je reste figée la, sous l’œil imperturbable de ce garçon coiffé d’une casquette. Les trois autres, aussi distants les uns que les autres m’observent. En revanche, eux, semblent différents que le premier. En effet, eux, me regardent plutôt avec de la pitié et de la compassion. Le deuxième, habillé plutôt simplement, les cheveux blonds, me dévisage et me gratifie en m’adressant un bref sourire venu de loin.
Le troisième, aux cheveux plutôt long, au carré, n’exprime aucune réaction à mon égard. Seulement un regard alternatif entre mon employeur et moi.
Remarque, je le comprend. Entrer dans un magasin et surprendre un patron et son employé fricoter ensemble peut laisser perplexe même si cette dernière n’est pas consentante.

Puis enfin, arrive le quatrième. Son visage ressemble étrangement à celui du premier au regard froid. Je me demande même, s’ils n’ont pas un lien de parenté. Lui, maquillé de noir, lui, au style androgyne me regarde d’un œil bienveillant, et sûr de lui. C’est d’un air légèrement hautain qu’il me dévisage de même, et ne m’adresse rien, mis à part une légère déformation de la bouche qui semble être un sourire en guise de bonjour. Ils entrent et se dirigent vers la table où mon patron leur a indiqué.

Etrangement, le premier garçon, ne cesse de m’adresser son œil impitoyable. C’est en soutenant se regard si complexe et mystérieux que mon sang ne fait qu’un tour. En effet, celui-ci se glace et se fige pour reprendre son mouvement au bout d’une bonne dizaine de minutes.
En effet, ce regard, ce visage, cette silhouette….c’est comme si je l’avais déjà vu depuis….depuis ce jour. Mais…..non….ce n’est pas possible, c’est impossible. Qu’est-ce qu’une star viendrait faire dans ces rues délabrées d’autrefois et…..NON. Je me trompe.
C’est en voyant le regard de mon patron se durcir que je cours immédiatement vers les cuisines et commence à mettre en place ce que leur manager avait commandé par téléphone.
Tout posé sur un plateau, j’accours leur apporter. Mais, c’est par la précipitation de mes gestes désinvoltes, que je trébuche et atterrie aux pieds des quatre jeunes hommes assis. En face de moi, se poste la porte de prison, le visage sans vie, le regard froid, le regard méchant. LUI.
Celui-ci fronce les sourcils et, au lieu de m’aider à me relever, jette un coup de pied dans le plateau. La nourriture atterrie jusqu’au fond de la pièce et s’éparpille aux quatre coins.
Il arbore une moue et me peste :

Lui : Putain, elle est même pas capable de nous servir la bouffe. Ah bien David, super, beau boulot ! On vient ici pour que les cordes de monsieur billoute aillent mieux et on se récolte quoi ? Une serveuse bonne à rien et mauvaise à tout.

Des larmes commencent à se faire sentir. Seulement, ce n’est pas lui, qui va me les faire sortir. Non pas maintenant, pas après ce que j’ai pu endurer dans le passé, qui fait de moi aujourd’hui une femme forte prète à combattre tout et n’importe quoi. Lui, âgé de ses 18 et quelques années ne va pas me faire la leçon. Non, lui qui n’a jamais connu l’amour vu son œil aigris et son ton glacial.
Le liquide chaud que j’avais commencé à ressentir, se déverse à présent à l’intérieur de mon être plutôt qu’à l’extérieur.
Mes joues sont assez usées comme ça. Elles ont suffisamment pris leur douche pour qu’elles reçoivent désormais une vague déferlante remplie de haine et d’apitoiement.
Ses quatre amis ne cherchent pas à me défendre, ils restent la, assis comme si c’est normal de la part de leur ami.

Lui : Bon alors, tu vas pas dans les cuisines nous chercher un autre truc à nous mettre sous la dent !

C’est avec ma mine abattue, que je me retiens de lui répondre, et ramasse tout sur mon passage pour ensuite me diriger vers les cuisines à nouveau.
Une fois la-bas, je m’adosse au mur et enfouie ma tête à l’intérieur de mes mains.
Soudain, celles-ci sont secouées par un bras qui me provoque de violentes secousses.

Patron : Bon tu vas te remuer un peu ton cul ! C’est pas n’importe qui ! C’est le groupe Tokio Hotel ! Alors tu vas nous remuer tout ça, et très vite si tu veux avoir ta paye de ce mois ci !

Moi : Vous n’avez pas le droit de me l’enlever. Ce n’est pas dans votre droit ! C’est illégal !

C’est après ces paroles déversées, qu’il s’approche dangereusement de moi. Il me prend les mains et les postes sur sa partie génital.
De son œil pervers et ambiguë, il m’adresse un sourire faussement dérisoire, et me transmet à travers celui-ci une certaine gêne et provocation.

Patron : Et c’que j’risque d’te faire subir, tu crois qu’c’est illégal ou pas ?

Je me détache subitement de lui, et commence à préparer la commande que j’avais auparavant renversé par mégarde.
C’est en m’adonnant à la tâche, que je ressasse ce que ce fourbe vient de me dire…. « le groupe Tokio Hotel ? » Ce n’est pas celui dont Vic est fan ?

PDV Bill

J’observe mon frère d’un air amusé.
Presque satisfait de son geste et de la rudesse avec laquelle il s’était employé à répondre à la jeune et jolie serveuse.

Bill : Ouah ! Tom, mon frère ! Tu t’es mis à adresser la parole enfin à une fille ! Qu’est-ce qui t’arrive ? Tu m’avais habitué simplement à des cris de plaisirs mais alors la, des mots ?
Bien qu’tu lui ai gueulé d’ssus je pense que c’est la première fois qu’tu utilise ton cher vocabulaire pour le sexe opposé !

Mes amis, me regardent d’un air mi amusé, mi craintif de peur de voir les conséquences de ce que peuvent provoquer mes dernières paroles.
Tous sans exceptions même Saki, notre garde du corps, observons le principal concerné.
Celui-ci daigne tourner la tête vers nous et m’offre enfin se regard, dont je suis le seul à cerner à n’importe quelle situation.

Tom : Tiens, le sapin d’noël rempli de tous ces artifices et accessoires à retrouvé l’usage de la parole ?
Va falloir se remettre à la boule caisse attitude les gars !

Je le regarde, et rigole avec les autres tout en le provoquant. Ça y est le duel commence.

Bill : Tom, je sais que c’est dur pour toi de t’exprimer tout ça en te faisant comprendre, c’est pourquoi, je vais te reformuler ma question…. « Qu’est-ce qui t’arrive ? »

Tom : Pff, cette pauvre conne n’est même pas capable de nous servir la bouffe, elle est bonne qu’a flirter avec son abrutit de patron. Et j’suis en boule car j’ai les crocs ! Voila c’qui m’arrive ! Après qu’tu crois qu’j’ai envie d’sauter mon coup avec une nunuche pareille, c’est ton problème, pas le mien !
Maintenant, boucle la tu m’les casse sérieusement !
J’vais t’faire manger ta touffe, si ya qu’ça qui puisse t’la faire fermer.

Les deux autres m’adressent leur regard qui signifie habituellement « vaut mieux en rester la »
J’acquiesse d’un simple coup de tête et replonge dans mes pensées les plus vagues qu’il soit.
Bien que les paroles de mon frère soient assez convainquantes, je continu à croire que sa dernière altercation avant la mienne, n’est pas un hasard. Depuis notre arrivée, celui-ci n’arrête pas de la dévisager…comme si, elle lui est familière, connaissable.
Je connais mon frère, malgré que son comportement est totalement changé depuis ce jour où…..il continue d’être ce que je suis actuellement…c’est-à-dire un humain avec des sentiments.
Mais pour l’instant, je décide de continuer à analyser la scène qui s’offre à mes yeux ce soir, et d’observer les moindres faits et gestes de mon double.
Je ne laisserai rien échapper.
Car depuis, des années Georg, Gus et moi, essayons de reconstituer ce cœur en mille morceaux. De plus, je pense que si on a débarqué dans cette petite ville qui a l’air en apparence sans importance, je pense que c’est le destin qui nous a amené ici.....
quoique.....cette personne qui m'a donné ce papier pour se rendre ici, n'est peut-être pas un .....enfin bref,
S’il faut m’amener dans n’importe quel trou perdu, je serai prêt à tout pour comprendre le comment du pourquoi qui a rendu ma moitié dans l’état actuel.

C’est toujours de son air tout mignon mais sacrément naïf, qu’elle revient vers nous et dépose sur la table à laquelle nous nous trouvons la nourriture commandé il y a déjà un moment. Elle nous adresse un sourire hésitant, légèrement craintif.
La voir dans cet état par la faute de mon frère, ne me peine pas à son égard, mais m’amuse. Le fait de voir cette jeune fille toute gêné, toute secoué, me plait.
Ce n’est pas de la méchanceté, mais un plaisir intérieur.
Je pense que Tom éprouve la même chose en ce moment…seulement lui, le transmet simplement par de la colère.

Elle : Voila….Bon appétit messieurs.

Tom : Ouais c’est ça…..

Tom…….ses paroles, cet air adopté juste ce soir, m’intrigue, et même pire, me stupéfient.
Tom, lui, détestant le sexe opposé, ne se servant d’elles juste pour le sexe, utilise désormais l’usage de la parole….cela aurait-il un lien avec ce que je pense ? Non…..ce n’est pas possible. Pas après tant d’années.

tro con ce tom
pfffff
lé chieur nul con ettou ce ki sui
aller suite please
hate la prochaine suite
kissouilles
jtm fortix
gute nacht

C'est beau, plein de suspence
j'adore vraiment!
Je trouve les personnalité trés
original!

C'est génial *_*!

Bon, Tom est un salopard de première, mais ce n'est pas grave, ça donne du piquant à l'histoire x)!

Et je confirme ce que je n'arrête pas de te dire, mais tu ne m'écoutes jamais: tu écris de mieux en mieux =].

Tu n'écris ps MIEUX que moi: toi, t'arrives à décrire les sentiments sans problème, alors que moi, c'est trop le caca .

han putain j'adore
dans ta première suite tom me faisait rire avec ses reflexions
mais là j'ai envie de lui foutre une tarte
stp suite
je veux savoir pourquoi il est comme ça !!!!!!!!!!!!!!!!!

N'oublies pas Gustav. Ils sont tous les deux de la même veine: têtus avec un mauvais caractère. On est fait pour s'entendre . *ironie*