[T]H€art Heavy to lift

Ce matin, c’est avec une mine de déterrée que je me réveille moi, ainsi que ma sœur.
Ce matin, il faut que je me réveille plus tôt, que je me lave plus tôt, et qu’exceptionnellement, je passe devant le parc sans que je m’y repose habituellement.
Oui, car hier soir, ce fameux soir, où je me suis ridiculisée, le patron m’a confié les clefs du magasin.
Donc, réveil en avance oblige, afin d’ouvrir aux employés qui prennent leur service tôt aujourd’hui.
Ma sœur grogne, par les légères secousses que je lui provoque à l’aide de mes mains placées sur ses épaules.
Puis, c’est après avoir ronchonné, qu’elle finit par se lever et manger plus ou moins vite.

Victoire : Ju’, tu viens me chercher à quelle heure ce soir ?

Moi : Ben à 16H30 comme d’habitude, pourquoi ?

Victoire : Non juste comme ça.
…………….

Un silence lourd s’abat subitement.
La dispute qui m’a confronté elle et moi, est toujours présente dans son si frêle esprit.
Oui, elle n’a pas oublié, et elle m’en veut toujours.
C’est pas grave après tout, plus tard elle me remerciera des propos que j’ai pu lui tenir jusqu’à présent.
Je pense, j’affirme, je maintiens et je signe ce que j’ai pu lui adresser au sujet des groupes passagers qui passent à la télé ou autre connerie en tout genre.

Victoire : Dit, tu tiens toujours ta promesse, hein ? Tu viens toujours me chercher pour m’emmener voir les Tokio hotel, hein ?

Tiens, voila à quoi il fallait que je m’attende. Décidemment, elle, quand elle a des idées en têtes, elles ont du mal à s’évaporer !
Je peux apercevoir en ce même instant, deux étoiles se former dans les pupilles de ma sœur.
Des étoiles que je peux comparer à des étoiles filantes.
En effet, ces petites lucioles factices, sans intérêt, qui sont sublimes sur le coup, mais qui peu à peu, disparaissent.
Elles aussi sont comme le bonheur que peut envahir ma sœur en cet instant présent.
Oui, cette chose si rare que l’on attend comme un abrutit tout en observant le ciel.
Mais, une fois que l’on voit et obtient ce que l’on cherche depuis longtemps, on a comme l’impression que cette chose peut s’éloigner, s’évaporer d’un coup, comme ça, sans que l’on s’y attende.
C’Est-ce qui allait se produire chez mon double, si elle continue à se faire des illusions.

Moi : Oui, t’en fait pas, je viendrai te cherche à l’heure, mais j’aimerai que tu ne penses pas à ça, et que tu te concentre sur le travail que tu devras fournir aujourd’hui.

Victoire : Oui, oui, t’en fait pas. J’le ferai comme d’habitude !

C’est sur ces dernières paroles que l’on quitte la maison, pour enfin se rendre au travail, que se soit pour elle, comme pour moi.
Une fois l’avoir déposé, je me rend au boulot, en passant devant mon espace détente, qui n’est autre que le parc.
Le fait d’y passer, en n’y jetant, qu’un bref coup d’œil, me fait mal. Oui, le mot peut paraître fort, mais c’est mon seul point d’attache, mon seul point où je peut souffler et tout oublier.
Oh, bien sûr, j’ai un autre endroit, auquel je me rend quand je le peux.
Mais celui la n’est pas pareil. Non, celui-la, est tout comme un défouloir si je peux dire.
La dance……la dance, le chant, sont mes principales qualités, sont mes principaux centre d’intérêts…..j’aime ça, et ça pour toujours.
C’est après avoir pensé pendant les quelques minutes de marches, que j’arrive enfin à destination.
J’ouvre les portes, et m’assure que tout soit bien en état avant de commencer le service.
Je me rend jusqu’à mon emploi du temps qui est affiché sur mon casier.
Je l’identifie, et peut apercevoir avec joie, que je fini le travail à 4heures, et que demain, je prend à 4 heures.
Je fini de ranger les ustensiles à cuisine, puis enfile mon tablier de serveuse.
C’est à ce moment précis, que je vois mon patron arriver dans sa belle voiture.
=____=‘’, et ben, si on m’avait dit que le Mcdo payait aussi bien……

Patron : Tiens ! Juliette, ça fait bizarre de te voir aussi tôt au travail !

Vas-y fout toi de moi bouffon.

Patron : Au fait, j’voulais te dire….deux choses…..

Moi : Oui, qu’il-y a-t-il ?

Patron : Le manageur du groupe que l’on a reçu hier va déposer une feuille de satisfaction demain matin. Je m’explique….
J’ai fait parvenir aux garçons, une feuille à laquelle ils devront répondre. Par exemple, je leur ait demandé si ton service a été correctement fait, ou bien, si tu as été aimable avec eux.
OK ? T’as pigé ?

Moi : Heu..m…moui,

Patron : Et enfin la deuxième chose, découle de la première.
La aussi, je m’explique, si l’appréciation est plus que mauvaise, alors, non seulement tu seras viré, mais tu devras aussi être obligée avant ça, de répondre et de faire ce que je te dirai de faire.

Moi : Heu….c’est-à-dire ? Qu’est-ce que vous

Je m’interromps, lorsque je vois arborer mon supérieur, son sourire qui ne le quitte jamais. Ça y est, c’est à ce moment précis que mes membres deviennent glace, que ma respiration se fait lente.
Oh, non s’il vous plait, pas encore ce manque de mentoline.
J’accours vers mon casier, et prend le médicament en question qui ne me quitte plus.
J’exerce une pression, et respire à plein poumons, la bouffé que m’offre ce tube.
Mon cœur, fragile depuis……retrouve son rythme normal.

Patron : Je pense que tu as deviné…..maintenant, remet toi au travail !

C’est avec une peur dévastatrice, que je me remet au boulot.
C’est en pensant au groupe, que des sueurs froides se font sentir tout le long de mon corps. J’ai peur.
Ces crétins, vont me faire payer l’impertinence à laquelle j’ai fait preuve envers eux hier. Ils vont s’en donner à cœur joie, jusqu’à me voir subir les moindres désirs de cet abrutit.
L’un deux dira « bien fait, vas-y, petite soumise » et me balancera le regard le plus noir qu’il soit.
Après ça, je serai salie, chômeuse, et miséreuse…..encore plus que je ne le suit actuellement.
Les quatre garçons, ne vont pas se garder de me le faire payer. Oh, que non….
Leur rire jouissifs, je les entend jusque la.

[…]

La journéee, se passe, se tasse, entre les clients qui défilent, gueulent, ronchonnent, réclament, mangent, protestent, affirment que ce que vous faites est mauvais, mal, honteux, incorrigible…..oui, la journée typiquement normale et basique.
Enfin arrive l’heure. L’heure tant espérée de ma sœur, l’heure tant riche en malheur pour moi.
Oui, le malheur de m’aventurer dans la cage aux lions, le malheur de revoir ses individus, qui ont du mal à cerner ma présence, en particulier un.
J’ôte mon uniforme, et me dirige en destination de l’école.
Une fois arrivée, je peux apercevoir ma sœur discuter avec ses amies, rires, s’esclaffer, et ensuite venir à moi, dès son regard croisé avec le mien.

Victoire : Ah, tu es la ^^. C’est partiiiiiiiit

Son enthousiasme n’est pas des moins partagé. Non, entre mon patron qui m’identifie à une prostitué, m’obligeant à faire ce que je ne veux pas, et ces quatre rigolos qui se croient les maîtres du monde, en me parlant comme une dératé, je dois dire, que le seul côté positif qu’il peut m’arriver ce soir, la, maintenant, en fin de journée, c’est de voir ma sœur aux éclats, innocente, se fichant de tout et de rien mis à part le moment de rêve qu’elle croit passer dans les quelques minutes à venir.
Seulement, j’ai bien peur de voir sa réaction de petite fille naïve, lorsqu’elle va s’apercevoir que ce dont elle rêve nuit et jour, n’est qu’illusion.
Je la regarde, elle, son visage lisse, tel un poupon, arborant l’un de ses plus magnifiques sourires, ses yeux pétillants de joie et d’honnêteté.

Victoire : Tu vas, tu vas voir qu’ils ne sont pas comme tu le prétend.

Moi : …

On arrive enfin devant l’hôtel. Comme prévu, rien à l’horizon, rien autour, aucun vigile. Remarque, cela ne m’étonne guère.
Ici, à part le troisième âge, et une quinzaine de petites filles, rien de bien chatoyant ne s’y trouve.
Aucune masse de filles en chaleur, ni de paparazzi n’oseraient s’aventurer dans ce si petit village n’apparaissant même pas sur la carte. Reste à savoir, comment le groupe est amené à savoir qu’il existe.
Les portes s’ouvrent sur notre passage, et se referment instantanément.
Ici, bien qu’à l’extérieur, se ne soit guère bien voyant, c’est d’un luxe à vous couper le souffle.
Malgré le fait que ma sœur et moi vivons dans ce village depuis maintenant bientôt un an, nous n’avions jamais mis les pieds ici.
Cet hôtel est désert. En effet, ici, dans le hall, aucune personnes, ni même le personnel n’est présent.
D’un certain côté, je ne suis pas vraiment étonnée. Oui, ici, il n’y pas grand monde qui a le luxe de se payer une chambre dans cet immeuble.
Je me dirige vers le réceptionniste, et l’interroge sur la chambre du groupe en vogue.

Moi : Excusez-moi, les chambres du groupe tokio hotel s’il vous plait ?

Réceptionniste : Heu, je n’ais pas le droit de vous communiquer leur chambre, en revanche, je peux vous dire qu’en ce moment même, ils se trouvent dans le lounge.

Moi : Pardonnez moi, mais le lounge ?

Recptionniste : Oui, si on peut dire aussi, l’espace détente, qui se trouve sur votre gauche.

Moi : Ah, d’accord, merci.

Une fois la conversation terminée, je me dirige vers la pièce, ma main dans celle de ma sœur, et apparaît dans l’encadrure de la porte.
Une fois postée la où m’avait indiqué le réceptionniste une chanson se fait entendre.
Je la reconnais, j’y dans dessus dès que j’ai l’occasion d’aller à mon endroit, mon endroit où je peux enfin tout refouler.
D’ici, je peux entendre une voix, une voix rauque, froide pleine de haine.

… : Une chance que le monde soit peuplé de crétins, ça permet à chacun de vous de ne pas se faire remarquer !

http://fr.youtube.com/watch?v=h1tClnybyXE&feature=related

Cette chanson, ces mots, coordonnent parfaitement avec le cadre et les personnes.
Je peux apercevoir d’ici, les quatre garçons que j’ai reçu la veille.
Bill, celui qui m’a l’air d’être le chanteur si j’ai bien compris, est assis en se balançant, sur le dossier d’un fauteuil, qui m’a l’air plus que confortable. Le blondinet, dont j’ignore encore le prénom, est de face à ses amis, assis sur une chaise, en positionnant sa jambe sur celle-ci.
Puis, leur ami aux cheveux mi-long, lui, est debout, les bras croisés en observant d’un air affligé, consterné son ami ayant des dreads et un caractère de cochon, qui lui-même, est de dos à moi, mais face à ses compagnons tout en restant assis sur un canapé.
Pour conclure, tous sont face à moi, ormis la porte de prison, et son ami le batteur.
La chanson bat son plein. Et un discours des plus endiablé à l’air de mettre en opposition, les quatre amis :

Tom : Une chance que le monde soit peuplé de crétins, ça permet à chacun de vous de ne pas se faire remarquer !

Le bassiste, lui, arbore une moue des plus narquoises qu’il soit :

Georg : Putain, ben toi, si t’as des gosses, j’espère que tu les fera quand tu seras vieux, comme ça tu les emmerderas pas longtemps !

Gustav : Faut-il encore qu’il est une femme !

Tous trois tournent leur tête vers le dernier interlocuteur.
Le blondinet, lui, arborant sans cesse un air détaché, calme, prend soudain la parole tout en prenant un air hautain familier aux jumeau en particulier au chanteur.
Une fois, ses paroles dites, Bill, arbore un sourire des plus narquois qu’il soit, ce qui a le don visiblement, d’héxsacerber son frère.

Bill : Moi je

Tom : Toi ta gueule ! J’te devance, tu vas encore sortir d’la merde comme d’hab, à vouloir me « pseudo-chambrer » chose que tu crois savoir faire, lorsque je te vois sauter partout en disant « Ça y est j’ai chambré ce con ».

Bill : Mon pauvre Tom……Tu t’accordes bien trop d’importance dit moi.

Tom : Ben en même temps, c’est pas pour rien qu’on est frère non tu crois pas ?

Gustav : Vous êtes vraiment cons tous les deux franchement !

Ce coup-ci, c’est au lieu de répondre que Tom affiche droit lever son index vers son ami. Celui-ci roule les yeux au ciel en signe de désinvolture et d’habitude et rajuste ses fesses au fond de la chaise afin de mieux percevoir les faits et gestes de son ami.

Georg : Tom sincèrement écoute ton frère, il

Tom : Que j’écoute mon frère ? Attend, ça fait deux ans que je ne lui parle plus…..tu sais pourquoi ? Juste pour ne pas l’interrompre !

Bill : Arrête, je parle pas tant que ça !

Gustav : Nan, juste à peine ….

Je décide de m’avancer lentement vers eux, jusqu’à être dans le champ de vision de l’un d’eux.
Ma sœur, elle me tient la main fermement, de peur que je m’envole.
Une fois un pas mis dans la pièce, Bill, le chanteur androgyne, lève les yeux vers moi, et arbore une mine d’abord surprise, puis tourne la tête vers son frère, pour voir si celui-ci a remarqué ma présence.
Le fait de voir les jumeaux arrêter leur sarcasmes, Georg et le blondinet, se tournent vers nous et nous analyse de haut en bas.
Malgré ma présence, tous quatres, ne dédaignent pas couper le son.
Donc, c'est en haussant le ton pour couvrir la musique que je leur dit :

Moi : Excusez moi, de vous interrompre, mais, voila, ma sœur est fan de vous, comment l’expliquer ça, je sais pas *ma sœur me tapant le bras*, et elle a voulu que je vous réclame un autographe hier soir, mais, mais, enfin disons que je n’ai pas franchement eu l’opportunité donc

Bill : , mais bien sûr, allez-y entrez !

Tiens, d’où vient cette amabilité subite ?
Ce sourire colgate faisant apparaître ses jolies dents blanches, ce teint pâle, laissant transparaître ces petites joues de poupons…… le chanteur est méconnaissable.
Le profil qu’il peut arborer soudain, est étrangement le même que celui qu’il affiche sur les couvertures de magasines, ou autre conneries en tout genre.
Il se dirige vers nous, prend la main à ma sœur, et la prend dans ses bras.
Ce geste si soudain à mes yeux mais si normal pour mon double ainsi que pour les membres du groupe, m’interpelle.
Je lance un regard suspect au guitariste, afind e voir si son comportement à lui, a changé, mais non, rien, l’air toujours aussi froid, toujours aussi incrédule, est omniprésent.
Pendant que j’observe la scène avec surprise, je peux voir ma sœur rire et parler avec ses gens dont je ne connais pas encore la véritable identité.
Moi qui croyait avoir cerner leur caractère, leur fourberies, s’avère finalement être qu’éphémère.
En effet, joueraient-ils par hasard un double jeu ?
Une fois les embrassades et autographes finient, ma sœur se dirige vers moi, et m’enlace de toutes ses forces.

Moi : Dit Vic, est-ce que tu peux m’attendre dehors s’il te plaît ?

Victoire : Oui, oui.

Moi : Ok, j’en ai pas pour longtemps.

Ma sœur s’exécute, quant à moi, je me dirige vers le groupe.

Bill : Ta sœur est partie ?

Moi : Oui, j’ai besoin de vous parler seul.

Bill : O.K, mais dépêche toi, alors.

Le ton agressif et hautain du chanteur a repris le dessus.
Désormais, je comprend enfin.

Moi : Mais dit, moi, c’est que tu n’affiche pas vraiment le même langage en ma présence ?

Bill, arbore à nouveau son éternel sourire en biais, tout en observant ses compères.
Parmi eux, le bassiste, Georg, prend la parole.

Georg : Oh, tu sais, j’pense qu’il ne fait même pas faire attention à eux deux, sinon t’en sort pas !

Tout en parlant, il me montre simultanément de ses doits, les deux frères.
Parmi l’un des deux, Tom, laisse échapper un soupir qui en dit long.
Puis Bill, lui, affiche toujours ses dents en guise de je-m’en-foutiste

Moi : Bon voila, mon patron a décidé de vous

Bill : Oui, on sait, notre manageur nous en a parlé, et nous a fait voir le formulaire…..et ?

Moi : Et il se trouve, que…enfin comme vous avez pu le remarquer, il n’est pas très aimable ni conventionné….il

Bill : Il abuse de toi, oui merci, on l’a clairement vu, et alors ? T’es pas d’accord avec ça ?

Moi : Comment ça ? NON, bien sur que non, je ne suis pas d’accord avec ça !
Pour qui me prenez-vous ! Je ne suis pas

Bill : Ouais bon…..

Moi : Et, je, enfin, il m’a dit que si le formulaire est mauvais, alors non seulement je serai viré mais aussi, il….

Bill : Il quoi ?

Moi : Il…..je sais pas si….bref, il ferait des choses qui ne sont pas forcément

Tom : Quoi ? Bon sang, les gens sont hypocrites de nos jours bordel ! Dit le franchement bordel ! Il te prendra et te baisera ! Et alors t’as vu j’ai pas été puni par le bon dieu pour avoir dit ça !
Bon aller j’prend le large moi !

Tom, le guitariste part en claquant la porte. Son air et son attitude m’ont fait prendre conscience de beaucoup de choses. Malgré le fait que j’ai enduré de nombreux coups dans ma vie, je reste néanmoins une fille chétive qui a peur de dire les choses….en quelques sorte, une mauviette.
Les garçons, me regardent succinctement, me dévisageant, afin de voir quel serait ma réaction.
Bill, reprend son air de tout à l’heure, croise les bras.

Bill : Ecoute, nous ferons c’que nous penserons être la vérité ! Le reste, on veut pas savoir.

Les garçons me laissent la, et s’en vont.
Je me retrouve seule, ici, à me demander si j’arriverai un jour à retrouver un emploi, et ma virginité……

waouhhhhh ils sont tous très gentil avec Juliette,ça fait peur
j'espère qu'elle va tous leur clouer le bec un jour

roallalaal
kel ande de con --'
dsl
bon la suite please
tavé padi troi suite???
*on c jamais*
aller suite ma juliette ke jm tré fort
kissouuilles
<3 <3

aller suite pelase
vite

olala mon dieu c'eest trop magnifique! et je pars en vacs demain lol jaurais plein de suite ein en revenant!!!!

Pourquoi est-ce que je commence à les apprécier de plus en plus, ces bouffons =_="?

Il me tarde la suite, pour voir si elle va s'en sortir face àson patron... Ou si Bill and Co vont être indulgents, cette fois.