[T]H€art Heavy to lift

déso' il ya eu un beug xD

J'vous souhaite bien du courage pour celles qui ont la chance de reprendre les cours demain
Moi il me reste encore une semaine
Mais j'me fait opérer des dents de sagesses demain --'.

liebeTH! a écrit:

J'vous souhaite bien du courage pour celles qui ont la chance de reprendre les cours demain
Moi il me reste encore une semaine
Mais j'me fait opérer des dents de sagesses demain --'.

Bon courage



et Bonne rentrée à tout le monde
enfin bonne...ça dépend

mdr bonne rentrée à toutes celles qui rentrent!!

la suite stp!!!

Saaalut Ju,
Je suis désolé pour l'absence très très très longue que j'ai eu sur ta fic et même sur tout le forum, j'ai eu quelques problèmes de santé puis ensuite une panne d'ordinateur ( ouais je sais on s'en fou complètement), mais je suis de retour^^
Je veux te dire avec un peu de retard (SNIFFF) que j'ai vraiment adoré la fin de ta première fic, c'était vraiment beau, une fin qui conclue l'histoire merveilleusement bien!! J'en avais les larmes aux yeux^^ Et là tu es à nouveau repartis dans une nouvelle, et c'est avce grande joie que je suis en train de lire, et j'aime beaucoup ( je suis pas encore arrivé jusqu'ici dans l'histoire, mais j'y suis presque hihi!! alors je n'est plus qu'un mot à la bouche SUIIIIIIIIITEEEEE
Gros bisous miss et à bientôt
Et bonne rentrée les filles

(xD nan c'est bn j'ai gérer avant de me faire taper sur les doigts)


BONNE RENTREE LES FILLES!!!

Swytheu pleaz!!=)

coucou jsuis une ancienne lectrice Leslie(jsais pas si tu te rappelle de moi) ^^ desolée si jai mis 10 000 ans a venir lire ta fic j'avais plus internet --' enfin bref on sen fou xD en tout cas ta fic comment dire elle est SUPER MEGA GENIAL jaimmeeee troppppppppp a oui et suite stp ^^

aller suite please
ten pi je serai pas la
je te di bien bonne chance
pour les cour
car ta repris comme moi ce matin.
Passe une bonne semaine.
gros kissouilles
jtm
tu va me manker t ta fic aussi.
a dimacnhe (logikement)

suite pour une fille fatiguée après une journée de merde =)

Yo
suite please
j'ai manquer de m'endormir en latin
je me suis endormis en histoire achant que
j'avais deux heure, j'ai refais un somme en allemand
et comme je n'ai dormie que 3 heure cette nuit
je suis encore fatiger enfin bref suite please!

Beh moi j'avais hate de retourner au lycée.
Les copains, ya que ça de bien. =)

Bisous ma Collègue.
Je t'aime.

Suite.

Magnifique chanson
A mettre impérativement.


https://www.dailymotion.com/relevance/search/flavor%2Bof%2Blife/video/x101cl_utada-hikaru-flavor-of-life-pv-full_music


Je sors, ma sœur souriante comme un rayon de soleil venant d’apparaître derrière ces nuages qui perdurent déjà depuis une bonne semaine.
Moi, je me sens comme accroupie au bord d’une falaise.
En effet, mes pensées étaient bonnes, ces quatre garçons à qui tout sourit, la vie y comprit, ne veulent m’accorder aucun répit.
Non, une perche leur a été tendue afin de me faire du mal, et eux, et bien…..et bien, ils la prennent, et la tire violemment.
J’observe Victoire du coin de l’œil, et de voir sa mine réjouit, me fait de plus en plus mal.
En effet, demain, demain matin, je n’aurai plus de travail, et…..je ne pourrai donc plus subvenir à nos besoins personnels.
Voila, la vie est faite ainsi. Depuis déjà un an, je misais tout sur ce job, oui, car je m’étais fixée un plan sur l’avenir, quand elle sera toute seule, il lui faudra des sous de côté.
Et ça, je ne serai plus la pour les lui donner.
En effet…….mon cœur, mon cœur me fait défaut. Dans un an, jour pour jour, je viendrai à mourir.

Victoire : Merci Juliette, merci beaucoup !

Une larme apparaît dans le coin de sa joue. La voir ainsi, me donne du baume au cœur……mais malheureusement, ce bonheur n’est qu’éphémère.

Victoire : Ça y est, ça y est Juliette, j’ai enfin compris ce que veut dire ce mot…..le bonheur, merci, merci beaucoup, c’est merveilleux.
Et je pense que celui-ci est encore plus merveilleux, mais que lorsqu’on le partage, alors j’aimerai le faire avec toi.

Moi : Avec moi ? Mais pourquoi ? Qui te dit que je ne le suis pas ?

Vic : Tes yeux.

Moi : …. Mes yeux ? Mais depuis quand sais-tu y lire dedans ?

Vic : Ju’…..je t’aime, et, je veux que tu sois heureuse.

Moi : Victoire….ne te soucie pas de moi. Profite de ton enfance, ce n’est pas aux enfants de s’occuper des plus grands.
Je ne veux pas que tu passes ton temps à essayer à ce que tout aille bien.
Si j’ai fait ça pour toi ce soir, ce n’est pas pour eux, mais pour toi avant tout.

Vic : Merci mais

Moi : Mais rien du tout. Aller vient presse toi un peu, on va être en retard.

Ma sœur me regarde, et commence à courir avec moi, ne s’occupant de rien, les cheveux dans le vent.
On court, on rit aux éclats. Et tout ça accompagnée de l’insouciance de la vie.
Tout en courant, je la regarde, ELLE, ELLE, mon double, ELLE, qui m’aide à garder encore le peu de fois mon sourire.
Car sans elle, mon visage ne serait que ramolo, inerte, tellement aucune déformation de la bouche n’apparaîtrait.
Ce coup-ci, le ciel se dégage et fait place à un coucher de soleil des plus magnifique qu’il soit.
Ça est, ça y est petite sœur, tu y est arrivée.
Tu est arrivée à faire transparaître ta joie au monde entier….du moins à ce petit village…
Victoire je t’aime.

PDV Tom

Je marche, je marche encore et encore jusqu’à à en avoir ras la casquette.
Cette agressivité qui règne en moi, qui a fait son nid et qui maintenant est installée pour la fin de ses jours m’assaille.
Oui, je suis fatigué de gueuler, fatigué de reprocher, fatigué de rejeter, mais pourtant c’est s’qui fait de moi le Tom d’ajourd’hui, et ça, rien ne pourra le changer…. non jamais. Ne jamais dire jamais.
Ce village qui me donne la gerbe, ce frère insupportable qui est censé se la boucler pour cause d’extinction de mes deux, ce batteur qui laisse pisser la moindre connerie faite par notre manager, ce bassiste à qui le je-m’en-foutiste est omniprésent, puis enfin cette serveuse que je peux apercevoir courir au loin avec sa petite sœur…..tout ça, tout ça concentré, me donne envie de gueuler au monde entier ma douleur, ma solitude, puis pour finir le malheur qui ne cesse de s’accroître en moi.

Cette soirée, j’aurai souhaiter ne jamais la voir.
Mais est-ce que fuir à son destin n’est pas lâche ? Est-ce que fermer les yeux sur ce qui nous entoure peut nous apporter une satisfaction quelconque ?
Pfff de toute façon, j’en ai rien à foutre.
Oui, car les yeux, mes yeux, je les ai déjà clos…..mais cela m’a vallu ma paix intérieur. Car depuis…..je ne dors plus, je n’aime plus, et enfin, je ne ris plus.

Ce changement soudain apparaissant chez moi, provoqué par elle, et par eux, me fait prendre conscience que tout n’est qu’illusoire, tout n’est que foutaise, tout n’est que supercherie.
Oui, dans la vie, je pense qu’il ne faut jamais se reposer sur ses acquis.
Car un jour, cela nous fera défaut.
Des cris de joie, des éclats de rire se font parvenir jusqu’à mes frêles oreilles.
Je m’approche de la falaise où je me trouve, cette falaise qui est même présente dans mon esprit depuis ce jour, cette falaise où je me sens en perpétuel danger, tellement mon corps est attiré vers ce vide qui s’est installé confortablement dans mon âme.
Arrivé au bord, je peux apercevoir cette fille, cette serveuse, qui apparemment en sait plus que moi.

Seulement ça, ce n’est qu’une apparence.
Oui, peut-être est-ce un jeu ? Peut-être n’est-elle pas pauvre, peut-être que cette mine abattue sur son visage n’est qu’une façade ?
Oh et puis trop de peut-être pour cette pauvre fille.
Tout cela m’afflige, elle m’afflige, elle m’énerve….et pourtant….sa mine blanche, ayant un vécu, ne m’apprend rien d’elle.
Et c’est peut-être mieux ainsi après tout.

Mais une chose est sûr, c’est que malgré l’antipathie que j’éprouve pour elle, je sais que nous nous ressemblons. Oui, cette façade qu’elle arbore, ce faux sourire qui apparaît chez elle, ces cheveux en bataille qui font d’elle une fille espiègle, tout ça, font d’elle et moi, deux être humains fracassé par la vie. Seulement, je pense qu’il y a une seule différence entre elle et moi…mais je n’arrive pas à la déceler….

Des pas, j’entends des pas derrière moi. Mais, sans me retourner, je peux savoir de qui il s’agit. En effet, sans même faire volte face, je peux deviner déjà la mine qu’arbore cette personne. Cet individu, lui, dont le calme transparaît sur son visage, possède toutefois un néant incommensurable dans son cœur qui fait de lui un être humain.

Oui, ce néant n’est autre que le manque de sa petite sœur.
Le fait de ne plus serrer ses rayons de soleil, font de lui un homme déchiré.

Mais ça, il le garde pour lui, et c’est en faisant comme ça, qu’à travers les couvertures de magasines, à travers les photos, on peut apercevoir cette mine renfrognée, saccagée
Oui…ces pas discrets, mais lourds à la fois, me font prendre conscience d’une chose…je ne suis jamais seul, jamais. Voila quelle est cette différence.

PDV Gustav

Tom : Qu’est-ce qu’il y a ? Bill a encore pété une durite par mon manque de tact, c’est ça ?

Moi : Non…..et puis, après tout, vous faites ce que vous voulez tous les deux.
J’suis pas venu pour ça.

Tom : Ah, tu m’étonnes, pourtant tout le monde aime parler de mon frère, à croire, que c’est le nombril du monde !
T’es venu pour quoi si ce n’est pas pour lui.

Moi : Je suis venu pour celle que tu es en train de regarder courir, la, sous tes yeux.
Tu sais la serveuse maladroite, qui, malheureusement pour elle, a une vie pourri.
Tu sais la fille qui a eu la malchance de faire tomber son plateau sur Mr Kaulitz.

A cet instant mon ami fait volte face, son visage se fige sur le mien, et l’expression qui peut apparaître dans ses yeux est désormais inerte.
Aïe, je sais très bien que Tom déteste qu’on le surprenne dans ce qu’il peut faire ou regarder.
Seulement, la c’était trop tentant.

Tom : Qu’est-ce tu veux m’dire sur elle ? J’en ai rien à foutre ! Puis qui te dis que je la regardais elle, en particulier ? Putain, mais qu’est-ce que vous avez la tous à devenir des maîtres en la psychologie humaine ?

Moi : Peu importe ce que tu regardais, pour le reste, tout c’que t’as pû dire, je l’ai déjà oublié.
Bref, je suis venu la, avant tout, pour te demander ce que tu faisais demain soir.

Tom : Demain soir ? Pourquoi demain soir ? Tu comptes aller à la salle des fêtes du troisième âge ?

Gustav : Non….. Seulement il y a peut-être une nana qui va se faire violer par son patron parce qu’elle a un mauvais rapport, tout ça parce que des personnes possédant l’usage injuste de la force et de l’abus de pouvoir auront signé un papier qui a premier vu d’œil n’a aucune importance.

Ce coup-ci j’ai touché dans le mil.
Oui, seul moi, Georg et Bill pouvons le faire réagir. Et nous savons de quoi on parle.
Le visage du guitariste se fait blême, presque inerte. Ses yeux deviennent noirs, ses pupilles se dilatent. Ses mains, ses si fines mains, deviennent moites, et si mon œil ne me fait pas défaut, je peux apercevoir que ces dernières tremblent légèrement…à moins que ce ne soit qu’une vision d’optique après tout.

La réponse que va me donner mon interlocuteur, aura un double sens. Oui, si celui-ci me dit qu’il ira jeter un coup d’œil au magasin afin d’éviter le pire, alors il fera volte face et me dira « d’façon j’en ai rien à foutre, j’y vais juste pour pas qu’elle puisse gueuler tellement elle aura pleuré » ou alors, s’il me dit qu’il n’y va pas et qu’il n’en a rien à foutre, alors la aussi il se retournera et me rétorquera ce coup-ci « d’façon, toi demain, t’as rien à faire, tu fais jamais rien, alors t’as intérêt à y aller, sinon t’auras mauvaise conscience ! »

Voila les paroles, SES paroles que j’attend à bras ouverts.
Ah ce brave Tom, dont le visage détruit fait de lui un homme cruel à tout d’même bien au fond de lui, même s’il ne veut se l’avouer et l’avouer aux autre, un organe que l’on appelle communément, un cœur.

Tom : J’en ai rien à foutre ! Qu’elle se fasse sauter, au moins, elle sera ce que c’est pour la première et dernière fois de sa vie !

………..Avant de partir, j’attend, j’attend avec impatiente, qu’il se retourne. Mais rien, non, pas d’autre phrase en réponse Rien, non rien de rien.
Mon ami est-il sérieux alors ?
Est-ce qu’il a mesuré la conséquence de ses propres mots ? Est-ce qu’alors la possibilité qu’il soit devenu inhumain est juste ? Est-ce que Bill avait raison ?
C’est après avoir attendu une bonne dizaine de minutes, que je pars, laissant mon ami tourner à nouveau comme je l’avais vu pour la dernière fois sur cette colline, contemplant ce coucher de soleil, que seul ses yeux peuvent profiter. Oui, car ce qu’il se trouve au fond de lui, dans son cœur, dans son âme…..ça rien ne peut y faire, puisqu’il a tout imperméabilisé.
Ce secret qu’il garde au fond de lui, ne fait que s’accroître, et le détruit à petit feu. En effet, Tom s’invente un paradis que seul lui, a la clef. Si seulement il pouvait faire un double de celle-ci et l’offrir à une personne en qui il reposerait une totale confiance….mais ça, c’est trop demander pour ce cher Tom, oh que oui, c’est bien trop demandé.
Après tout, chacun son paradis, chacun sa vérité et à chaque paradis sa vérité !