[T]H€art Heavy to lift

hate demain alors
vite la suite
kissouilles tm fort

hate d'avoir la suite!=)

Ouais présééééé!! ^^

Merdeeeeeeecredi!!
Moi j'ai mon brevet blanc mardi et mercredi snifff!!

Je m'inquiéte pas pour ton topic XD
je pleurer pour le brevet blanc XDDD
Marcii!!

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16H30, voila l’heure à laquelle je commence aujourd’hui. Je suis seule, dans cette « cabane » qui nous sert de maison à ma sœur et moi.
Elle, est à l’école à présent. Moi, je commence à préparer mes habits, prête à recevoir ma convocation de licenciement. Mon dieu, je n’ose même pas penser aux gestes déplacés qu’il va tenter de’me faire.
Soudain, je repense aux paroles de ce Bill.

Oui, car lui, malgré son air hautain et plein de surprise, lui malgré ces paroles quelques fois déplacées, a su m’ouvrir d’une certaine façon les yeux à travers des paroles percutantes qui m’ont fait prendre conscience qu’il ne fallait pas que je m’abaisse à ce genre d’individu. En effet, il faut que je sois battante. Il faut que je sois à la hauteur de l’image que je peux faire transparaître aux gens, aux personnes qui m’entourent.

Je ne veux en aucun cas ressembler à ce genre d’individu qui laisse tout faire sans broncher, sans lever le petit doigt. S’il y a bien une seule et unique chose que mes pauvres parents m’ont appris, c’est ça.
Voila la seule bonne résolution, le seul bon principe qu’ils m’ont inculqué.
Alors pourquoi crasher dessus ?

Je prend mes clefs, referme la porte derrière moi, et commence à partir à vive allure, en ayant dans mon esprit un but principal. Un objectif à atteindre !
Oui, celui-ci est de partir la tête haute en ayant peur de rien et de personne….surtout pas de lui !
Au dehors, le temps est pluvieux, les arbres bougent, les feuillent tombent au goutte à goutte. Un vent cinglant se fait sentir sur mes oreilles encore irritées par ce froid si tenace, que l’on se croirait en hiver….voila la preuve que le monde tourne à l’envers, car l’on est en printemps…..enfin bon, beaucoup de choses pas nettes, pas claires se passent dans ce bas monde.

Mes jambes encore fatiguées, usées par la marche quotidienne, me trahissent de jour en jour. En effet, je suis lasse, fatiguée de ce déplacement pendulaire.
Une fois arrivée au village, je me poste quelques instants devant ce parc. Ce parc si beau et si démunie à la fois. Oui, démunie d’un brin de folie, qui ne peut être que provoquer par l’enfant.

Oui, ici, aucun bambin, ne peut ajouter sa bonne humeur, sa bonne fois, son innocence dans ce village aigri subit par le troisième âge.
Mes yeux se tournent désormais sur un ressort tout déformé, abîmé par la tempête qui fait rage au même moment où je parle.
Oui, ce vent si tumultueux, emporte avec lui, les misères comme les joies que regorgent chaque jouet pour petit.
Ce vent si cinglant démarrant au quart de tour, emporte avec lui, tous les souvenirs que regorgent cet espace vert.

Je me vois, moi, seule ici même avec ma sœur, errant, avec aucun sou dans la poche, mais beaucoup de malheurs dans ce si pauvre cœur.
Oui, celui-ci me cause tant de tracas, que je ne sais plus comment faire tellement ma solitude est omniprésente.

Dans un an, ma sœur sera placé dans une famille d’accueil, quant à moi, dans un cercueil.
Oui, rime mal placé sans doute, mais rime réaliste, certes pas objective, mais c’est ainsi.
Je continue d’avancer, jusqu’à apercevoir ce néon jaune luire de loin.

Je me stop net, et apprécie chaque moment, que je peut vivre encore en tant qu’employé. Car dans à peine 20 bonne minutes, je serai au chômage avec sous mon aile une petite pas plus âgée de 10 ans.
Ouah, qu’est-ce qu’elle est belle la vie. Mes pas avancent, c’est un mécanisme car mon cerveau, lui, mon subconscient m’empêche d’aller dans ce magasin, mais pourtant, mes pieds me guident, sans que je puisse mettre un terme.
Une fois derrière la porte, je peux apercevoir mes collègues courirent dans tous les sens. Mon patron, lui, est posté derrière le comptoir, un papier dans les mains.

A cette vue, mon sang ne fait qu’un tour. Oui, ce papier, cette feuille, cette missive, n’est autre que le fruit de mon travail donné le soir précédent.
J’ouvre, cette lourde porte qui sépare le monde du malheur du monde de l’angoisse.
Mon supérieure, à l’entente de la porte claquer, m’aperçoit et me fait signe de m’avancer jusqu’à lui.
Il fait fermer le magasin, il est l’heure, il est 23heures. Et ce soir, on ne fait pas la garde nuit. Non….ce soir on est dimanche.

Et dans ce village paumé, où il n’y a pratiquement personne, aucun individu ne se rend au Mcdo le jour dominical.
Une fois les employés partient, les lumières adoucies, les deux trois clients envolés, me voici seule, avec lui. Avec mon tortionnaire. J’exagère ? Non.

Lui : Juliette Dallas, filles de deux jeunes cons, à qui j’ai prêté mon aile, toi dehors sans un sous auparavant, totalement frêle et dépourvue d’intelligence, te voila viré !

Waouh, plus explicite tu meurs.
Il se rapproche de moi, et me bloque contre la vitre du magasin. Désormais aucune échappatoire.

Moi : Qu’est-ce que…. Qu’est-ce que vous voulez ?

Lui : Ce que je veux ? Mais enfin, tu es si sotte que ça ?

Moi : Je préfère ne pas comprendre c’est tout ! Maintenant lâchez moi !
Vous n’exercez aucun pouvoir sur moi !

Lui : Oh, tu m’en dira tant ! Même pas le pouvoir de profiter de toi ?

Moi : Non ! Laissez moi partir, vous m’avez déjà affligé beaucoup de soucis, si il n’y a que ça qui puisse vous satisfaire !

Lui : Me satisfaire ? Oh, bien sur que non ! Moi, je serai satisfait, une fois que j’aurai eu ce que je veux !

Moi : Mais bon sang, que voulez vous ?

Ses mains se contractent, sur mes hanches, ses doigts s’enfoncent dans ma peau pour y laisser des traces. Son autre main, à présent valide, se positionne sur ma gorge pour ensuite se serrer. Mon souffle se fait court, tandis que mes yeux eux, se lèvent vers le ciel.
J’ai mal, mon cœur ne fait q’un bond, pour ensuite s’arrêter… qui sait ? Déjà qu’il est fragile, plus que de la porcelaine….je n’ose imaginer ce qu’il endure à ce moment précis.

Enfin, une fois cette torture finie, une fois mon souffle haletant, une fois ma respiration stoppée, il s’apprête à répondre à ma question. Il exhorbite un peu plus ses pupilles, et de son haleine repoussante, il me vocifère :

Lui : TOI !

Bon chance pour tes DS =)

Ta swytheu est...énorme!!=D
Bon maintenant manque plus qu'elle se défende ou que quelqu'un arrive...

<3

et tu ose tarété la comem sa????
nan mais sa va pas
aller veux la suite vite
c pa possible
aller hop o boulo
c tro orible de nou laisser comme sa
kissouilles jtm fortix
aller suite please

SAluut ju,
J'ai en enfin pu revenir, et j'ai qu'un mot à la bouche :
MA-GNI-FI-QUE. Tu te surpasses à chaque fois. C'est vraiment très bien, trop beau. J'adooree
Dès que je peux je vais sur ta fic, et ne crois pas par mon absence que je me lasse, AU cONTRAIRE, ça me manque trop, et je suis impatiente de connaître la suite, de savoir se qui va se passer.
Comment Tom va-t-il enfin livrer tout ce qu'il a sur le coeur? A qui ?
Qu'elle maladie à l'héroïne au coeur? J'ai quelque supposition mais rien ne me dis si je suis dans le vrai, alors pour le savoir tout ne tient qu'à toi: SUITE ^^
Je te fais de gros bisous
JTDR fort
A bientôt

Ha mais c'est sadique de couper là
Vite la suite !
Je t'en suplie
La pauvre
Suite !!!!!!!!!!!!!!!

Suite arff elle a pas assez de caractére
la petite lol'
Sérieusement le suspence se devrai être interdit
hein Rrrrr!! XD
Bon suite
je crois savoir pourquoi elle va mourir
mais je suis pas sûr!!

yeah une suiite^^
c'est vrai qu'elle manque de charactère juliette mais en même temps dans la mm situation j'en menerais pas large -_-
bisous!!

aller suite please
kissouilles

vite la suite
jve savoir se kil va lui faire
il fo ke tom arive ou bill

J'ai bien aimé, mais un peu moins que les précédentes^^".

J'espère que tu pourras poster la suite bientôt^^!
Et demain, le théâtre =]! Et n'oublie pas qu'on doit absolument se mettre dans le même bus!

Ma Collègue.
Merci pour cette suite. =)

J'adore de trop.

Allez, faut que Tom vienne la sauver !

Suite !

Ps: Bientôt le nouveau topic =D

skipi08 a écrit:

oui c'est vrai, il faudra qu'on se mette à côté*
histoire que je te fasse chier !

Bon, je retire tout ce que j'ai dit: il est hors de question que tu viennes dans mon bus =_=!