[T]Je te retrouverais...

Elle me fixe droit dans les yeux... Je ne sais plus quoi dire, ni même penser. Son visage, ses mains, son corps, tout me fait tourner la tête.
Elle m'embrasse, mais passionnément tout aussi amoureusement. Je commence à la désabiller doucement, de peur d'aller trop vite pour elle. Je ne veux pas la brusquer surtout pas lui faire du mal.
Elle se laisse faire malgré que je sens qu'elle est crispée.
Moi: Tu est sûre que ca va?
Amélie: Oui, c'est juste que... je ne l'ai jamais fait et j'ai toujours eu cette appréhension d'avoir mal la 1ere fois.

Je me doutais de sa réponse...
Moi: Mais tu n'est pas obligé si jamais tu ne le veux pas...
Amélie: Tu sais, je n'ai jamais été aussi stréssé mais je sais qu'un jour j'y passerais et je veux le faire avec toi.

Elle prend les devants et me désabille, à la même vitesse que moi. Je la sens plus rassuré et assez sûre d'elle.
On est tous les deux en sous-vêtements maintenant.
On se regarde. On se découvre. Ca n'a pas l'air de la décevoir...
Moi: Sûre?
Amélie: Oui.

On s'embrasse. Plus sauvagement cette fois-ci, nos derniers vêtements sont tombés, on est complètement nus. L'idée que c'est la 1ere fois qu'elle se donnera pour moi... Cette idée me fait un peu peur, je ne veux surtout pas la décevoir et je veux qu'elle s'en souvienne de cette nuit. Pour toujours.
Je la porte sur le lit, elle me regarde, son regard, me rassure. Elle est prête, tout comme moi.
Je commence à l'embrasser sur tout le corps, je ressens ses frissons.
Amélie: Continue, j'aime ça...
Moi: Ok...
Je descends de plus en plus bas, et arrive au niveau de son bas-ventre. Je la regarde... elle a l'air inquiète mais malgré cette apparence, elle me donne son signal.
Je commence alors à lui donner quelques coups de reins. Elle crie directement, ce qui me force à m'arrêter.
Moi: Tu veux qu'on arrête?
Amélie: Non... continue... s'il te plait.
J'ai toujours un peu peur mais l'envie monte en moi. Je la pénètre, plus profondément en gardant un rythme assez lent pour ne pas trop la faire souffrir...
Amélie: Vas plus vite... Ne te fais plus ce soucis, tout va bien.
Moi: D'accord.

Je commence alors à aller plus vite, de plus en plus vite. Je ne fais plus trop attention mais je vois qu'elle commence à rougir, beaucoup même, tout comme moi. Ca me fait sourire. J'accélère de plus en plus mes mouvements. Pendant quelques minutes je garde ce rythme, nos souffles commencent à être saccadés, on transpire beaucoup, je sens que je ne tiendrais pas ce rythme jusqu'au bout de la nuit. Jusqu'à ce que...
Amélie: C'est...à mon tour.
Moi: Si tu veux.
Amélie: Je ne te promets pas l'extase mais je ferais de mon mieux.
Moi: Ok.

Elle se retourne et se mets au dessus de moi. J'aime la regarder, elle est si belle comme ca.
Elle commence alors à m'embrasser partout au point qu'elle me mord la peau à plusieurs reprises, ce n'est pas elle, mais le diable en personne si elle continue comme ca je vais mourir de ses baisers...
Puis elle arrive au niveau de mon entrejambe, se positionne exactement au dessus mais avant qu'elle commence, son visage vient se poser au creux de mon cou, et me dis ces paroles qui font chaud au coeur...
Amélie: Je t'aime.
Moi: Moi...aussi.

A ma réponse, elle sourit. Oui je l'aime, comme un fou, je serais prêt à tout faire pour elle, je l'aime tellement.
Elle revient à elle et commence alors ses coups de reins. Lents, mais sûrs.
Moi: Tu peux aller plus vite, si tu veux.
Amélie: On a toute la nuit devant nous, pourquoi se presser?
Moi; Tu as raison.

J'adore ses manières, sa facon d'être, elle me fait rire...
Mais elle commence subitement à aller plus vite, sa respiration se fait plus essouflée, la mienne aussi, je la sens en moi, comme si on était en totale connexion, c'est spur, c'est la personne que j'attends.
Elle accélère, de plus en plus vite. Elle se lâche complètement, je ne l'avais jamais vu comme ca mais ca à l'air de lui faire un bien fou...
Je décide de reprendre les devants, je la retourne dessous moi en continuant tout autant mes coups de reins de plus en plus réguliers, je ne compte plus le temps que je passe avec elle, je la sens en transe, elle crie, encore et encore, j'ai l'impression qu'elle va crever les murs...
Amélie: Humm...Bill...
Moi: Je...suis...là.

Nos respirations sont irrégulières, je la sens toute essouflé, mais je recommence, pour profiter une dernière fois, juste avant qu'on atteinde le 7ème ciel... elle et moi dans un cri rejoint, et je me déverse en elle.
On se regarde, l'air satisfaits, je crois qu'elle n'oubliera pas cette nuit de si tôt...