[T] Il était une fois.. [Topic 1].

Oui moi aussi je suis d'accord avec Marjo ^^
J'aime bien ses messages , en fait elle dit ce que je pense aussi , sa m'évite de l'écrire x'D

La suite stp =)

nyaa .

Elle est où ?

*qui ?*

Bah la suite

Ou Sase

Ca dépend c'est toi qui voit

Coucou =)
Désolé pour hier soir, de pas avoir poster
j'ai pas fini ma dissert

et quand j'ai arreté d'essayer de la faire, je tenais plus debout T_T
désolé




Jeudi, 24 octobre 2008. 12h15


[Vous voulez savoir si elle s’en est souvenue ?
Et bien oui, elle s’en est souvenue.
Mais c’est déjà aux oubliettes.
D’ailleurs, la vie a repris son cours.
La petite bande est à la cantine, assis à « leur » table.
Un petit nouveau s’y trouve également.
Un seul petit nouveau seulement.]


« Bon, les gars demain soir, on sort ? »

Voilà le débat lancé par Georg. Et c’est parti, les opinions grondent.
Je ne dis rien, de toute façon, je ne sortirais pas, ni en boîte, ni nulle part d’autres.
Tom ne semble pas participé réellement à la conversation.
Il m’observe … un peu trop à mon goût, je détourne le regard rapidement.
Ce genre de regard me répugne, vous savez le genre de regard qui vous fait comprendre que vous n’êtes qu’un vulgaire bout de viande. Je déteste ce genre de regard, Andréas me lance quelques fois les mêmes.
Tom est en face de moi, et je crois que c’est son pied que je sens effleurer ma jambe, j’essaye de me mettre hors de sa portée, mais cet abruti est trop grand, il semble s’amuser de mon comportement.
Si il savait comme j’ai envie de le tuer à ce moment précis.
Une main se pose sur ma cuisse, c’est Gustav (qui est à côté de moi).

« Et toi tu veux faire quoi ? » demande-t-il.
Ils m’observent tous.
« Rien »
Ils rient tous.
« C’est pas une réponse »
« Ça sera ma seule réponse »
Je crois que j’ai de la chance que ce soit Gustav à qui je parle, Andréas m’aurait tué sur place.
J’ai abattue un grand froid, il me semble.
Ils me dévisagent, mais je n’ajoute rien.

« Tu veux pas bouger alors ce week-end ? » vérifie Georg.
« Exact »
« Bon bah on vient chez toi alors ! »
« Non mais vous rêvez là ?! Déjà le week-end dernier c’était chez moi ! »
« Je sais, mais comme tu veux pas bouger, c’est la seule solution. »
« Mais … »
« T’as pas d’excuses, ils sont jamais là les tiens »
« Mwé … »

Je capitule… encore. De toute façon, discuter avec Georg, c’est comme discuter avec un mur.


[Ils c’est ses parents.
Ils lui ont appris beaucoup de chose, comme tout les parents.
C’est entendu.
Ils lui ont appris à obéir aux autres.
Ils lui ont appris à se taire.
Ils lui ont appris à se débrouiller seule … mais ce n’était qu’une enfant.
Ils lui ont appris le respect… mais pas d’elle-même
Ils ont voulu faire d’elle un « idéale », une « œuvre ».
Finalement ils lui ont surtout appris à hurler en silence.
A mourir à petit feu.

Mais ils ne sont jamais là, alors ils ne contemplent pas le massacre.
Pourtant … une descente aux enfers c’est beau à contempler, non ?
Se sentir impuissant ?
Se sentir rien ?
Comment ça vous n’êtes pas d’accord ?
Vous seriez donc de ses personnes qui tendent la main ?
Vous seriez donc de ses personnes qui sont … humaines ?
Ne me faîtes pas rire.]


[SUITE PAGE 40]

Merci pour vos comms ça me fait très très plaisir
je posterais encore ce soir, pour me faire pardonner
énorme Bisous
=)
Je retourne me coucher T_T