Coucou les gens !!!!
Ahahahaha j'en ai marre du lycée V___V
Ma prof de lettre nous déteste xD
Bref je suis désolé pour hier
Et quand je vois que le lycée a repris
et que je vais être moins présente sur le PC
et quand je vois aussi que j'ai plu que 20 pages Word de prêt pour ma fic =S
je me demande QUAND je vais écrire
et j'ai tout mon programme à réviser pour le bac
Je vais mourir les gens xDLes larmes me monteraient aux yeux si seulement je pouvais encore pleurer.
Mais rien.
Je revis ma mort sans arrêt depuis des années, à chaque fois c’est un peu plus douloureux.
Le plus horrible c’est de se dire qu’on s’y habitue.
Ses mains parcourent mon corps déjà souillé. Mon cœur s’accélère.
Et je ne cesse de me demander ‘pourquoi ?’, tant de questions germent dans mon esprit et jamais je ne trouve réponse. Ma respiration se saccade.
Désespérée j’enroule mes bras autour de son cou, et cache mon visage dans son cou.
Il me serre plus fort, ses mains cessent de se balader sur mon corps, et caressent désormais mes cheveux.
Ses gestes sont doux à présent.
Petit à petit je me calme, et me sens quelque peu rassurée.
Je suis folle d’être rassurée dans ses bras, mais j’y peux rien, c’est comme ça.
Je me déteste d’être comme ça, je ne me comprends pas moi-même.
Je devrais le détester, le repousser, le rejeter … mais non.
Je ne le déteste même pas, je ne le repousse que rarement, et je le rejette jamais.
Je suis faible ?
Je crois que oui.
« On monte ? » demande-t-il doucement.
Je bouge ma tête en signe d’approbation. Mes jambes s’enroulent autour de sa taille, il me soulève et on se dirige hors de la cuisine.
On monte les escaliers assez rapidement, et arrivons dans sa chambre.
Il me dépose dès qu’un a franchi le seuil, je vais m’écraser sur son lit, tandis qu’il verrouille la porte.
Il s’allonge à son tour, et se colle à moi.
Je pose ma tête délicatement sur son torse.
Il fait sombre dans cette pièce… portant une atmosphère calme se dégage.
La seule lumière provient de la lueur des étoiles et de la lune.
Je soupire d’aise, de soulagement, parce que je sens qu’il ne me fera rien ce soir.
« Ça va ? »
« Mmmh » assurais-je.
Je me blottis un peu plus contre lui, la pièce est un peu froide.
Il m’enlace et essaye de me réchauffer en resserrant son étreinte sur moi.
Les minutes passent silencieusement, et je sens la fatigue gagner du terrain sur moi.
Mes yeux se ferment, ma respiration légèrement agitée s’apaise en se calquant sur la sienne.
Je me sens mieux, j’oublie.
« Angélique ? »
Je soupire un peu plus fort pour lui montrer que je l’écoute.
« Tu dors ? »
« Mmm »
« Tom m’a parlé de toi, tu sais »
« Tom ? Celui qui t’as demandé une capote tout à l’heure pour baiser une des poufs ? » Marmonnais-je à demi consciente.
Son torse sur lequel je me reposais, est secoué par de petits soubresauts, il rit le crétin.
« Lui-même »
« Mmm… veux quoi ? »
« Toi »
Mes yeux se rouvrent rapidement, je me relève légèrement et l’interroge du regard.
Il m’observe et me ramène contre lui à nouveau sans que je puisse réellement m’y opposer.
« Reste là »
Je me love contre lui, de toute façon, est ce que j’ai quelque chose à dire ?
Je ne suis qu’un pion, un vulgaire pion, un objet, un truc qu’on prend et qu’on jette quand l’envie passe.
Ses mains dessinent des arabesques le long de ma colonne vertébrale et je me sens m’apaiser petit à petit.
« Il va faire partie des notre tu sais »
« Wé »
« Quel enthousiasme ! »
« Je l’aime pas »
« Il t’aime bien lui »
« Je sais Georg et Gustav me l’ont dit… Il va m’avoir, hin ? » Étouffais-je crispant mes doigts sur son T-shirt.
Il dépose un baiser sur mon front pour me rassurer, même si on ne peut pas me rassurer vraiment. « Pas tout de suite » souffle-t-il.
Je soupire d’un léger soulagement.
[Ah oui, pardon. J’ai oublié que vous viviez dans un autre Pays.Excusez aussi mon arrogance.Vous vous demandez sans doute, ce que signifie ‘Il te veut’ et ‘il va m’avoir’, non ?Au fond de vous vous le savez.Si, je vous assure, au très fond de vous, vous vous en doutez.Oui, c’est ça.Il la veut, il veut la posséder, la dominer, la soumettre, il veut la faire sienne.Qu’elle lui appartienne.Oui, vous avez encore raison, il veut, vulgairement parlé mais c’est la triste réalité, la ‘baiser’.C’est le seul moyen qu’on trouvait les hommes pour montrer leur ‘supériorité’.Ne vous inquiétez pas … ‘fin, si vous pouvez vous inquiétez mais ça ne changera rien.Tom est un gentil salop. Du moins au début. Il va se donner bonne conscience vous allez voir.Il ira doucement, puis quand il se rendra comte que ça ne lui suffit plus, il deviendra violent, et il lui fera mal.Mais elle a encore un peu de répit avant qu’il la fasse hurler de douleur, avant qu’il veuille absolument se sentir supérieur.Quoi encore ?!Non, je n’exagère rien. Non je ne prends pas plaisir à vous commentez tous ça, de cette façon !Mais si je ne le fais pas, qui le fera ?]On reste un long moment enlacés l’un sur l’autre, sans parler, sans rien.
Je sens mes yeux se fermer. Et un torrent de penser affluer dans ma tête.
Je me laisse aller et finis par m’endormir.
[SUITE PAGE 56]
Alours ?
Je sais c'est cours, mais je suis obligé de stopper la
Bisousje vous aime
j'ai honte de pas poster souvent