Je hais avoir cours le mercredi
Je hais ça --'
Je hais avoir cours l'après midi --' aussi xD
Hier je voulais poster la suite à la mi temps du foot
Mais je me suis endormi comme une sous merde --'
Vendredi, 06 février 2009.[Oui, décidément, j’aime énormément faire des ellipses temporelles.Un petit bilan s’impose, je présume. Saleté de curiosité.Alors.Tom fait désormais bien partie de la petite bande, il donne son avis au même titre que Georg, Gustav ou Andréas. Il a se même air de supériorité accroché à son visage.Il commence aussi à jouer avec la drogue. Mais il ‘joue’ utile comme les trois autres.Il se contente d’un joint, la ‘grosse’ marchandise il préfère la vendre discrètement.Et voilà, c’est tout ce qu’il y a dire sur Tom… le ‘nouveau’ Tom.Ah non, j’ai failli oublier … encore.Il n’a pas encore eu ce qu’il voulait. Il n’a toujours pas eu Angélique.Pourtant ça ne saurait tarder…]Entre 21h et 22h dans un cinéma de la capitale.Ils ont réussi.
Ils m’ont forcé à aller au cinéma, avec lui, voir un film tout aussi pourri que celui qui m’accompagne.
On est au fond de la salle, à gauche.
Je suis contre le mur, et lui juste à côté de moi.
Je me sens oppressée, sa main n’a cessé de parcourir le long de ma cuisse.
Je rage, je me retiens pour ne pas lui en coller une magistralement.
Je fixe l’écran, comme si rien ne me gênait, comme si tout allait bien.
Et lorsque sa main se stoppe, enfin je respire !
Repos de courte durée.
Je sens son souffle et ses lèvres se poser dans mon cou.
Mes tripes se retournent, j’ai la nausée.
Il se rapproche de moi, nos corps sont proches, trop à mon goût, pas assez au sien.
« Ça te dis d’écourter la séance ? »
C’est une question pourtant j’ai l’impression que c’est un ordre.
« Qu’est ce que tu me proposes ? »
« Ma chambre »
Franc, direct et sincère. Et tellement répugnant.
« Je suis pas comme toutes les autres filles que t’emmènes au ciné » assurais-je.
Il ravit encore mon coup de baisers, espérant m’amadouer je présume.
Il sourit contre ma peau
« Ah… et t’es comment toi ? »
Sa main se repose comme une masse sur ma cuisse, puis remonte encore et encore, toujours plus. Beaucoup trop. Il défait ma ceinture, et je réagis enfin.
Je me défais de son étreinte, et colle un maximum le mur, il me regarde désabusé.
Il prend une grande inspiration. Il est énervé.
Il se rapproche de moi et m’oblige à être très près de lui.
Je tremble légèrement.
« On ne me dis pas non à moi »
Je ne sais ou je trouve le courage, mais je lui réplique froidement.
« Moi je te le dis » et redéfait encore son emprise sur moi.
Il se renfrogne dans son siège.
J’ai de la chance, il n’est pas encore aussi entreprenant et décidé que les 3 autres.
Je peux encore lui dire « non » et parvenir à ne pas m’attirer trop de problème.
Le film tire en longueur et je commence à somnoler malgré moi.
Je sais que je dois rester éveiller, mais je suis tellement fatiguée que je me laisse doucement allée.
[Fatiguée de quoi à 18 ans ?Bande d’ignorant.De la vie.Usé par la vie qui la détruit devant vos yeux émerveillés.Fatiguée par la drogue.Fatiguée de ce que les autres font endurer à son corps frêle. ‘Fin, en y repensant vous vous n’êtes pas si ignorant que ça.Vous savez vous, du moins vous imaginez.Seulement l’imagination peut être mensonge.Surtout la vôtre que je berce de doux euphémismes.Oui je vous berce d’illusion.Comment ça vous ne trouvez pas ?!Vous allez tout de même pas me dire que ce que je vous écris vous fait mal !Ttttt.Vous me décevez.Vous me décevez beaucoup.Sachez que je ne vous ai pas encore montrez le pire.Sachez que vous ne méritez pas encore de voir le pire.Vous voulez voir pas vrai ?Vous voulez voir sa douleur n’est ce pas ?Sa vraie douleur. Mais.Je ne vais tout de même pas exhiber sa douleur à tout le monde.La douleur ça se savoure, ça se vit.Vous n’êtes pas encore prêt.Ils ne vous dégoûtent pas encore assez.Mais ne vous inquiétez pas, un jour.Un jour je vous montrerais, un jour je n’omettrais absolument aucun détail de son calvaire.Je vous détaillerais secondes par seconde ce qu’il a osé lui faire endurer.Qui ‘lui’ ?Vous verrez.J’espère que vous lirez chaque ligne, chaque mot jusqu’au bout.Que vous sentiez le mal aise se propager en vous, et vous glacez les entrailles.Que vous vous confondiez en elle et que vous souffriez avec elle.J’espère que vous sentirez le temps perdurer jusqu’à l’infini.J’espère faire naître en vous l’espoir de pouvoir la sauver et de l’aider.Et A ce moment là, je vous rappellerais que vous ne lui êtes d’aucune aide assis tranquillement devant votre PC. J’espère du plus profond de mon être que vous vous sentirez vide, impuissant et stupide.]« Ange … »
Ma tête tourne, je sens quelque chose d’humide dans mon cou, des mains sur mon buste.
J’ouvre les yeux écoeurée.
Quand il voit que je me suis réveillée, il me susurre à l’oreille.
« Le film est fini… On va chez moi ou tu préfères chez toi ? »
[SUITE PAGE 58]
Demain c'est férié donc je posterais XD et je pourrais enfin écrire !
Par contre après jeudi ça risque d'être sehr sehr compliqué mes enfants V__V
parce que en faite, je vais faire une "bétise" vendredi
et le soir je vais dormir chez une pote et je rentre que le samedi.
Mais quand je rentre je pars peut etre directe chez une autre pote
donc retour que dimanche aprem --'
donc peut etre que postage jeudi et dimanch
je verrais ça
en attendant merci pour vos comms !!!
je vous aime