[T] [Partie 1][Complette] Un pont, des larmes et LUI !

MOn topic ayant été suprimer je remet toutes les suites ici ! ^^
Bonne lecture ( merci de ne pas supprimer celui ci ^^)

Ps : Des modifications on ete apporté a la deuxième saison ! L'histoire se passe a maintenant a notre époque. Les jumeaux : 18 ans Gustav : 19 ans et Georg : 21
POur les filles elles ont 16 ans voila ! ^^ dsl :s

Suite 1 :

Au fond de mon cœur renait une petite lumière. Cette petite lumière nait qu’autre que le besoin de t’aimer pour vivre, pour survivre. Certain me prenne pour une folle certes je le suis mais c’est ta faute ! Le jour où j’ai entendu parler de toi de ton groupe est pour moi le jour le plus salaud et en même temps le jour le plus merveilleux. A partir de se jour la je t’ai ouvert les portes de mon cœur pour toujours. Fur immer I love you ! Mais sa tu ne le comprend pas. Tu ne c’est pas que pour toi je me jetterai de ce putin de pond où mon copain est mort d’amour la bas. Se si est une histoire compliquée.

Tout cela commence le 5 mai 2013, j’ai 18 ans , c’est le jour de mon anniversaire. Celui que je croyais être l’homme de ma vie est venu me voir. Il s’appelait Mathias. Je l’aimait avant que tu vienne tous gâché. On était sur le pond de la seine a Paris, cela fessait 2 ans qu’on était ensemble. On se promener mains dans mains. Pour lui j’aurai pu tuer, tuer d’amour. On s’arrêta et s’assîmes sur le rebord du pond . Le besoin d’etre a c’est coter s’est endurci. Mon cœur battait comme jamais encore. Je voulais finir mes jours avec lui. Je l’aimait c’est tout. Il c’est mis a genou devant moi et comme vous pouvez le deviner il ma demander ma mains. Pendant quelque milliard de fragemant de secondes mon cerveau reflechisa. Je l’aime mais tu est la toi ! Depuis que j’ai 12 ans tu me bouffe de l’interieur a etre connu, j’ai pu t’approcher peut etre 2 fois en vrai et pourtant je t’aime sans savoir rien de toi. Je repoussa Mathias je senti la haine en lui monté mais malgré tous il me souria et remit la bague dans son etui. J’aurais cru qui m’en voulais j’avais resont. Je me remit a marcher croyant que Mathias m’accompagner. Quelle conne j’ai pu etre a se moment la . Tout se passa tres vite entre l’instant ou je me suis retourner et l’instant ou on ma annoncer que tu était mort. En fait tu a sauter de ce putin de pond par amour pour moi. On c’était promit que toi et moi c’était pour toujours. Mais tu a sauter en pensant de moi la verité : que j’était une pute. Vers minuit j’était encore a l’hopital en pensant que ton petit cœur allait rebattre d’amour. Mais non quelqu’un venu me voir pour me dire que c’était réellement fini.

Pourquoi t’avoir dit non ? c’est a cause de cette enfoiré. Je te promet, je ferait tous mon possible pour me venger quitte a venir de tenir compagnie en enfer.

Suite 2 :

Un an c’est écouler depuis ta mort et pourtant je t’écrit toujours dans se journal intime. J’ai honte comme je l’ai écrit précédemment une petite lumière d’amour a resurgit pour lui. Tu sait tous les jours je vais sur ta tombe. Avec un couteau je me fait tomber quelque goute de sang pour te prouver que je regrette de t’avoir fait du mal. S’il te plait je veux savoir si un jour tu me pardonnera. J’en besoin, je ne croit pas pouvoir continuer. Tu c’est la dernière fois j’ai vu ta mère dans la rue. Elle ma promit qu’elle ferait tous pour que je sois triste dans ma vie. Malgré se quelle me dit tu sait ta mère je l’aime. C’est la seule qui ma accepter chez elle quand mes parents on su que j’était enceinte. Malheureusement, l’enfant je pu le garder. Tu m’avait bien fait comprendre que c’était lui ou toi .C’était on fils aussi tu c’est. Enfin maintenait j’ai 19 ans et triste a mourir. Aujourd’hui je me suis promit de ne plus t’écrire mais je n’y arrive pas ! J’en ai besoin, besoin de vidée mon sac, ma colère sur ses pages que je rempli avec des larmes de désespoir. Je ne sais pas quelle mois somme nous mai je sais juste qu’aujourd’hui cela fait un an exactement que tu est mort donc je suis la sur ta tombe entrain de m’ouvrir une veine comme chaque jour . Cette fois si quelque chose m’empêche de me faire vraiment mal, l’impression d’être vraiment pardonner, l’impression d’avoir déjà assez eu mal. D’avoir souffert d’amour pour toi, pour un amour perdu. Pour se qui s’agit de l’autre personne dont j’ai tous laisser tomber pour lui j’ai des nouvelles pistes. Le plan : je drague son frère et âpres je m’occupe de son jumeaux mais si je sent que la souffrance va être au rendez vous. Dans exactement 2 semaines je serait fixée sur mon avenir, ma vie.

Suite 3 :

Dans deux semaines exactement, j’aurai mes places pour cette boite de nuit où vous devez passer. Un an que je vous cherche et je sais enfin. Je ne pense pas être moche donc niveau drague, si j’arrive à faire tomber son frère c’est bon. Je suis encore sur ta tombe un cutteur dans le bras gauche et un stylo qui marque ma vie dans mon journal dans l’autre main. A mes yeux des larmes coulent. J’en peux plus, mais efforce de le dire je crois que tout le monde le sait. Tu c’est aujourd’hui le proviseur ma appeler pour me dire que j’étais renvoyé de l’université. Je lui est tous simplement répliquer que je m’en fouter. Je passe mes jours sur tombe, je sèche les cours alors a quoi bon aller a l’école pour supporter les regards des autres. Seul. Pas tout a fait. En fait j’habite chez un mec que je connais. Tu c’est c’était ton meilleur ami. Thibault. Lui quand il a apprit la nouvelle ne ma pas jeter comme les autres, comme mes parents. Chez Thibault je me sens bien. La dernière fois Thibault ma dit qu’il voulait venir sur ta tombe, mais j’essaya de l’en empêcher. Je n’y arriva point. Une fois sur ta tombe il vu les trace de sang sécher et les nouvelles aussi. Il me regard différament depuis ce jour. J’en est marre. Quand on dit que l’amour c’est le bonheur regarder moi je suis entrain de sonner chez la mort et c’est sa que vous appeler le bonheur ? Je dois te laisser mon journal j’ai rendez vous avec mon psy que Thibault ma conseiller.

Une semaine de plus de souffrance. Alors chère journal après-demain exactement je serai sur la piste entrain de me déencher comme je l’ai pas depuis que tu est mort. Au fait mon psy ne veut plus me voir. Il dit que se n’est pas un psy qui peut régler mon problème. Mais quoi alors ?

Je veux une aide, quelqu’un puisse me comprendre et me dire que je ne suis pas folle mais juste en manque de bonheur, d’amour. Thibaut me frappa tout a l’heure, je ne l’avait jamais vu comme sa. Sa le calma quand il vu que je ne réagi point. Je le regarda juste de manière a lui demander pourquoi ? Alors il me raconta qu’il était a bout, sa copine l’avait quitter parce qu’elle avait peur qu’il se passe quelque chose entre lui et moi. Je me mit a pleurer. Thibault m’aimer vraiment car il avait choisi de me garder chez lui. Juste se petit geste me redonna le moral.

La nuit fut un calvaire jusqu'à 4h30 du mat’ au je décida d’aller voir Thibault. Il m’avait montré combien il tenait a moi. Il dormait tranquillement dans son lit. Je me glissa a coter de lui. Un an que je n’avais senti cette chaleur, un an que je n’avait plus de contacte avec les autres. La chaleur de son corps me fessait un bien fou. Je me sentais en sécurité. Il se retourna et était alors en face de moi. Il ouvrit ses yeux, ses deux yeux blanc qui m’inspecta l’intérieur.

Mathias je te le promai je ne ferait rien avec lui mais tu c’est en ce moment c’est la seul personne qui m’aime et qui essaye de me comprendre.

Il se rapprocha de moi de plus en plus mais j’ai fait une promesse, je me releva et m’appuya sur mes coudes. Je lui expliqua mon projet sans lui laisser le temps de donner sa réponse ni sa réaction et alla me coucher.

10H30.Thibault venu me réveiller avec mon déjeuner et m’expliqua la journée. Demain tout aller enfin se réaliser il fallait que je soit prête.

Suite 4 :

Apres avoir mangé je me lève comme toujours.

Depuis que je me suis lancée dans cette aventure je m’efforce de ne plus compter les jours où tu n’es pas la. Je sais juste que sa fait 1 an et 13 jours que tu n’es pas la. Je sais il faut que j’arrête mais comment dis le moi toi qui est là-haut et qui me voit entrain de pourrir ma vie. Tu c’est souvent je me dis que si quelqu’un tomber sur se journal il me prendrez pour une folle. Mais les gens ont-ils autant souffert que moi ? Se sont t’il déjà senti exclu de la société comme moi ? Non je ne crois pas car je suis un cas appart, appart du monde, appart des autres, tu c’est la fille qu’on regard longuement dans la rue quand elle passe à coter de toi. Mais ont-ils déjà pensé que leur regard nous bouffe de l’intérieur ? Que leur regard peut nous faire du mal tous simplement ? Je sais que quand tu ma connu j’étais une fille joyeuse, qui croquait la vie a pleine dent mais maintenant je suis une fille éteinte. Mon âme mais surtout mon cœur, le pouvoir d’aimer, se sont envoler avec toi. Je ne suis pas enquête du bonheur de la joie de l’amour mais juste j’aimerai retrouver une vie normale. J’ai 18 ans ils ont on 24. Pourquoi avoir attendu pour les voir ? Parce que tous simplement j’étais heureuse avec toi, je me sentais en sécurité. Heureusement j’ai retrouvé cette sécurité hier dans les bras de Thibault.

Thibault était venu chercher mon plateau. Je commença a m’habiller en noir comme toujours. La seule extravagance que j’avais quelque fois était de m’être se collier avec un cœur rouge où derrière était écrit fur immer. Le tient trône sur ta tombe en gisse de bonheur eternel. Je t’aime mais sa tu le sais.

Thibault était en bas. Il était assis et regarder la télé. Je santai que sa présence n’était pas la. Elle n’était tous simplement pas au rendez vous. Je me dirigeai vers lui et pour la première fois depuis très longtemps je lui déposa un baiser sur la joue, se qui le releva tous de suite. Il me sourit. Il fit me signe de m’assoir sur le canapé a coter de lui. Je le fit, mais je ne sais pas quelle chose dans mes gestes me fessait croire que quelqu’un m’aime, comment dire je trouve, que maintenant j’ai l’impression d’être importante au yeux de quelqu’un. Aussi pour la première fois je voulais m’inquiéter pour quelqu’un. D’habitude je n’aide personne pensant qu’il sont pas aussi triste que moi, mais la c’est différent je sent que Thibault avec besoin d’aide, lui aussi.

Apres être rester longuement a coter de lui je décida de me lever. Il était 11h25. Je monta dans ma chambre et je compris quelque chose a se moment. Rien d’important certes, mais je ne pouvais pas aller dans cette boite de nuit habiller toute en noir.

Depuis que tu est mort, Mathias, je me suis promis de ne jamais retomber amoureuse, JAMAIS. Mais l’a c’est différent si je veux me venger je dois draguer mais je en peux pas avec se style vestimentaire.

Je pris un billet de 100 euros, qui se trouvait dans le tiroir de mes sous-vêtements, que ma mamie m’avait glisser dans la poche quand mes parents mon mit a la rue et sorti de ma chambre direction le centre commercial. Sa fessait longtemps que je n’y avais plus mit les pieds.

En descendant Thibault était encore sur le canapé mais la quand je sorti de la maison, il me souria timidement. Maintenant direction le centre commercial.

Suite 5 :

Les rues étaient sombre pour moi. Comme d’habitude. Tous le monde dans la rue avait l’air heureux. Comme d’habitue. Je voulait disparaitre. Comme d’habitude. Je donne surement pas l’impression mais tu c’est Mathias j’ai peur pour se soir. Je me demande comment je ferait si rien ne marcher. Je demande aussi comment j’ai fait pour sombrer autant. Apres tout je me rappelle quand j’avais 12 ans j’était fan d’eux, je voulais tous savoir sur eux, je passer ma vie avec eux, j’avait tous d’eux et mainteant je veux les faires souffrir ? pourquoi ? En fait je veux juste les voirs pour leurs faire savoir que t’es mort a cause d’eux. Et de moi aussi.

Le centre commercial était rempli de monde. Ce centre était beaucoup frequenter mais pas que part des gens bien. Je me mit a marcher dans les galeries. Toujours les memes regard posés sur moi. Toujours les memes sensation d’etre exclu de la sociéte. Aujourd’hui je voulais me battre pour lui faire comprendre que je ne suis pas leur chienne. C’est alors que je détacha mes lonsgs chevaux blouclés. Il me tomberent jusqu’au fesses. Je releva ma tete, mon buste et marchèrent fièrement. Au bout de quelques miniutes je me mit a pleurer. Je ratacha mrs chevaux et baissa la tete. Se n’était pas moi. Je ne pouvait pas, sa n’est pas ma personnalité ou plutôt la vison que j’ai de ma vie.

J’alla au toilettes pour me rafraichir. Je n’y arriverai jamais se soir.

Quand je passa devant les toillettes des mecs, je vit un mec se faire taper. Ceux qui lme tapaient réclamer leurs fric. Le gamin devait avoir 15 ans.

Apres on me dit que la vie est belle. Je veux qu’on me sorte de la. Je veux devenir quelqu’un. Ma vie est une merde.Venez sécher mes larmes s’il vous plait.

Le gamin j’aurai voulu l’aider. J’aurait voulu le prendre et le sortir de la ! Mais que voulez vous faire fasse a des brutes qui pourrait me faire aller rejoinder Mathias ? Je ne sais pas. Je ferma les yeux et reprit mon chemin vers les toillettes des filles.

Je ne sens plus l’eau sur mon visage. Toutes les sensations ont disparus. Tout c’est enfui de mon corps me laissant la , vide. En sortant des toillettes j’alla m’assoir sur un banc. En face de moi se trouver une fille. Elle devait avoir 12 ans. Elle avait un cd d’un groupe a coter d’elle. De se groupe qui me bouffe. Cela me rappelle un jeudi quand j’avais moi-même 12 ans…

Suite 6 :

….j’avais moi même 12 ans. Malgré le fait que se groupe me fessait vivre et égayait ma journée , cela n’empêcher pas mes malheurs. C’est une histoire a la con mais a cause d’eux j’était la risée du collège. Un mec m’avait laisser un message comme quoi je ne trouverai jamais l’amour a tel point que j’était moche. Sa m’avait fait souffrir. L’idée de ne pas trouver l’amour me fessait peur. J’était donc la assis pour la dernière fois dans ma chambre. Je regardait vos visage, je regardait vos visages qui m’avait fait vivre plus d’un an et demi a l’époque. ILS me fessait si mal. Je prit dans ma table de nuit cette lame qui m’avait servit une fois en 12 ans. Je l’avait déjà utiliser sur mon bras droit quand mon ex ma quitter parce que je les aimait. Il m’avait baffer, baffer pour me dire de ma taire quand j’ai voulut l’embrasser une dernière fois. Et vous savez à 12 ans pour un petit bout de chou, c’est dur a avaler. La deuxième fois je l’ai utiliser c’était donc un jeudi peu banale. Je sait pas trop mais se commentaire m’avait vraiment retourner. Je prit donc la lame et je m’agenouilla devant un poster du groupe. Je me planta la lame au fond de mon être. Je voulait que la douleur disparaisse. Je ne voulait plus souffrir pour eux. C’est alors qu’il arrivé et me sauva…

Suite 7 :

…. Mathias arriva et me sauva. Sur le trajet de l’hôpital je lui raconta alors ma souffrance, mes douleurs, mes amours. Mon amour envers lui.

Une fois la bas il fallu me recoudre le bras. 16 points de suture. Masi la souffrance n’était rien. Mathias pendant toutes l’opération était resté la a mes cotes. C’est âpres qu’il me demanda de sortir avec lui. 1 mois plus tard.

Cette période de ma vie était a la fois douloureuse et a la fois merveilleuse. J’avais voulut mourir pour eux et à la fois je sui sorti avec le mec dont j’étais énormément amoureuse.

J’observer toujours cette fille, elle murmurer les paroles des chansons. Ce groupe avait 25 ans et il marchait toujours aussi bien. C’est se soir il y avait le rendez-vous et je suis vraiment pas prête. Je la regarder toujours et je ne remarqua même pas qu’une main c’était posées sur mon épaule. C’était Thibault. Il était la a me sourire de ses dents blanches. Je ne sais pas pour quoi mais son sourire me fit trembler. Il le remarqua.

Thibault : Sa va tu es toute blanche ?

Moi : oui sa va à peu prés

Thibault : tu as fini tes courses ?

Moi : a vrai dire j’ai même pas commencer

Thibault : Tu veux qu’on les fasse ensemble ?

Moi : euh…. Avec plaisir

Il me prit par la main, me serra contre lui et nous nous mimes a marcher. Son corps, sa chaleur me fessait sourire et sa fessait longtemps. Les courses passèrent très vite. Thibault m’avait choisi une tenue « sexy » selon lui. On rentra a la maison et je monta directement dans la salle de bains avec les paquets que j’ai acheter. Je sorti d’un des placards, une trousse. Une trousse de maquillage que je n’avait pas utiliser depuis plus d’an. Je sorti le fart a paupières, le gloss et le mascara. Je me maquilla très légèrement pour pas que sa fasse pute. En rengant mes produits je trouva au fond de la trouse, la lame. Cette lame qui avait voulut m’enlever la vie s’il y n’avait pas était la. Je l’avais gardé depuis. Je la prit la posa de mon bras. Je suri je ne sais pas pourquoi. Puis je l’enleva et la remit dans ma trousse.

J’enfila mon petit t-shirts que j’avait acheter avec marquer dessus « love and sexe ». Se n’était pas moi qui l’avait acheter c’était Thibault. Pour le bas j’avait pris un slim avec sur les poches arrières des têtes de mort. J’était prête. Thibault arriva dans l’entrouverture de la porte puis reparti.

Suite 8 :

Je resta dans la salle de bain 10-15 minutes a me fixai dans le miroir. D’un coter j’ai envie d’aller a cette soirée et de l’autre pas du tout. J’ai peur. Je descendis et m’asseya sur le canapé. Il est 21h30. C’est pas encore l’heure d’aller en boite. Je me mit donc devant la télé avec une assiette de pates. Je l’englouti. Le temps passa vite. En faite je mettait endormie. Thibault me réveilla avec un petit bisous sur le front.

Tout le trajet en voiture n’est pas très intéressant. Ni la soirée d’ailleurs, jusqu'à ce que je le vois.

En fait c’est grâce a Thibault que j’ai pu rentrer dans cette boite très privée. Il m’avait fait rentrer par derrière. Son ex travaillait ici.

Maintenant je ne pouvez plus faire machine arrière. J’étais dans la boite de nuit, au bar. J’avait demander un coca. Je n’avait pas encore danser. Je les attendait. J’attendait ce jour depuis an. Je ne sais pas si je pourrai les approcher. C’est alors qui furent leurs apparition dans la boite de nuit. Ce groupe était Tokio Hotel l’un des plus grands groupe de rock de toutes une génération. Ils provoquaient l’hystérie chez les ados. Et moi j’était une de c’est hystériques avant. Ils étaient encore plus beaux qu’avant. Ils allairent s’assoir au carré vip et commandèrent a boire . Je continua a les observer quand je senti une mains sur mon épaule. Je me retourna et le vit. Je n’avait plus besoins d’aller a lui le guitariste de Tokio Hotel se tenait devant avec son petit sourire pervers au lèvres.

… : tu veut danser ?

Moi : oui avec plaisir.

… : je m’appelle…

Je lui coupa la parole

Moi : enchanter Tom moi c’est Alice

Tom : enchanter Alice comment tu connais mon prénom ?

Moi : c’est pas dure

On éclata de rire. Sa commencer bien. Il me prit pas la main et on se mit a danser sur la piste. D’abord je me mit a danser en face de lui, mais je ne sais comment un peu plus tard je me retrouva coller a son bassin. Le rythme de celui-ci me fessait frissonnée. Pendant qu’on danser je senti sa tête dans mon cou. Il me mordilla l’oreille. Punaise il va vite se Tom, mais bon il est connu pour sa. Une fois la 4ème musique terminer on retourna au bar. Cette fois si je pris une vodka. Je la but cul seque et retourna sur la piste suivie de très prés pas Tom. Sa fessait longtemps que je ne mettait pas autant amuser. Mais il ne fallait surtout pas que j’oublie pourquoi j’était la. La musique était forte, on s’éclatait bien n’empêche. Je mit mais mains autour de son cou et lui sur mes fesses. On se regarda dans les yeux. C’était bizarre, je lui plaisait. C’est alors qu’il…..

Suite 9 :

Il m’embrassa. Sa langue entra dans ma bouche. Son piercing froid me fessait des frisons partout dans le corps. Il avait toujours ses mains posée sur mes fesses. Je sentais ses lèvres sourire contre les miennes. Il devait être content de m’avoir conquéri. Il décolla ses lèvres et me regarda et se remit a m’embrasser. A chaque fois que sa langue frôlai la mienne, j’avais mal. Sa me rappeler trop Mathias. C’est alors qu’il m’emmena dans les toillet. On se mit dans une cabine. Il me plaqua contre le mur de la cabine. Mon dos claqua mais sa n’avait pas l’air de le préoccupé. Il se mi a m’embrasser dans le cou et en même temps a passer une mains sou mon t-shirts qu’il s’empressa d’enlever. Il enleva le siens. Il se mit a embrasser ma poitrine puis mon ventre jusqu'à mon bas-ventre. Il déboutonna mon bouton de jeans et le fit descendre entièrement. Je du enlever son jeans. Il ne devait en aucun cas se doutait de quelque chose. Il enleva ma culotte jusqu'à mes genoux et éleva de même son boxer. Je voulait lui dire que finalement je ne voulait plus, que j’en avait pas envie mais avant même que je puisse dire un mots, je senti une présence rentré en moi. Il commença c’est va et viens dans mon être. A chaque coup de reins un petit bout de plaisir monta en moi jusqu'à ce que je monte au 7ème ciel.

Je sorti de la cabine et alla me remaquiller devant le miroir. C’est vrai j’avait pris mon pied, mais maintenant il fallait que je trouve un moyen de rentrer chez lui.

Tom : sa te dit qu’on remette sa se soir ?

Que demander de plus ? j’hésita quand même.

Moi : oui avec plaisir mais alors s’il te plait on peut faire sa ailleurs ?

Tom : dans un lit bien chaud par exemple

Moi : oui très bien

Il reboutonna son jeans. P’tin c’est tablette de chocolat a croquer. Moi je me recoiffa encore un peu. Il arriva derrière moi et engouffra sa tête dans mon cou et commença a me mordillai fermement l’oreille.

Tom : sa ta plus au moins ?

Moi : oui , oui

Je ne mentais pas. Se mec était vraiment doué. On alla retrouver les autres gars du groupe.

Tom : Bon les gars voici Alice

Tous : Salut

Georg *a l’oreille de Tom* : Tu te l’ai faite ?

Tom * a l’oreille de Georg * Oh que oui dans les toilettes

Georg : Bien joué mec

Et il commencèrent a rire tous les deux

Gustavmoibill : hein ?

Suite 10 :

C’est alors qu’il me fit se petit sourire pervers. Je n’avait pas envie de refaire l’amour avec lui. Une larme salée coula le long de ma joue.

Tom : eh oh sa va ?

Moi : oui oui très bien

Tom : ouais bof on dirai que tu chiale

Moi : ta gueule et fait moi l’amour imbécile

Il me refesa sont sourire pervers que je n’aime pas du tout. Il commença a m’embrasser a partir du pieds tout en remontant et me déshabilla. Il m’embrassa fougueusement. Je ferma les yeux. J’ai peur. Ses mains glissa a nouveau sur mon corps presque dénudé. Je ne fessait plus rien, mon corps lui appartenez pour cette nuit. Il enleva son boxer devant mes yeux et enleva mes sous vêtements qui me restai.

A chaque va et viens de Tom la douleur augmenter . A chaque va et viens une larme coulait sur ma joue. A chaque va et viens je voulait partir. A chaque va et viens je voulait oublier. A chaque va et viens j’avait mal tout simplement. Chaque va et viens me rappeler Mathias. Tom me vu pleurer mais se n’est pas pour autant qu’il se dégagea de moi. Il resta dans moi a me regarder pleurer jusqu'à ce qu’il comprenne. Il se retira et se posa a coter de moi puis se fut le trou noir. La douleur m’avait quitter certes mais maintenant le plus dure rester a venir.

Le lendemain matin je me réveilla avec un mal de crane pas possible , inimaginable. Lui il était a coter de moi a dormir. Je sais pas pourquoi mais j’était dans un de ses t-shirts avec la tête sur son torse : Que m’avait t’il fait cette nuit ? J’essaya de me lever sans bruit mais il ouvrit les yeux.

Tom : et salut ma puce

Ma puce d’où il m’appelle comme sa lui ?

Moi : coucou sa va ?

Tom : euh bof je comprend pas trop hier on fessai l’amour et toi tu évanoui comme sa plus rien j’ai flipper j’ai cru que je t’avait tuer LOL

Moi : ah ouais

Punaise il est pas drôle LOL quoi que. Il me prit la main et on descendis prendre notre petit déjeuner.

Il étaient tous en bas a parler. Ils arrêtèrent leurs occupations quand ils nous vîmes descendre.

Je m’asseya je me mit a déjeuner tous se passa bien jusqu'à se que Bill intervienne

Bill : Tu pourrait éviter de ramener toutes conquêtes a dormir on manque de place.

J’ai failli m’étouffer avec le bout de pain a quel point que tout le monde ma fixa.

Bill : sa va ?

Moi : Non

Je me leva et parti c’est alors qu’il arriva….

Suite 11 :

C’est alors qu’arriva Georg. Quesqu’il me voulait lui ?

Georg : euh…. Salut

Moi : Salut

Georg : Sa va toujours ?

Moi : Ouais bof j’ai vraiment mal a la tête

Georg : Tu veux quelque chose ?

Moi : Non c’est bon merci

Georg : au fait pourquoi t’es parti ?

Et merde, je vait quand même pas lui dire que je suis parti parce que j’était énervé car l’autre ma prend pour une pute alors que je dois tous faire pour sortir avec lui

Moi : Au rien j’avait besoin d’aller au toilettes, on vas retrouver les autres ?

Georg : Ok

Il me fit un grand sourire et on alla rejoindre les autres qui était encore entrain de prendre leurs petit – déjeuner. Tom fit une drôle de tête quand il me vit descendre avec Georg.

Bill : Alalala bravo Tom c’est la première fois que tu garde autant de temps une de tes…

Tom : ta gueule frérot

Georg : sa vous dit qu’on regarde un film ?

Moi : moi je vais y aller

Tom * a mon oreille* : Reste jusqu'à se soir je vai te faire ta fete ma puce.

J’esquiva un sourire. On alla tous s’installer sur le canapé. Georg se chargea du film. Tom me fit signe de m’installer entre lui et Bill , se qui n’avait pas l’air d’enchanté son jumeau. Tom passa une main dans mon dos et une autre sur ma cuisse. Le film ne le passionnait pas du tout car au lieu de regarder, il n’arrêtait pas de me mordillai l’oreille et le cou. J’allait me mettre a parler a Bill, pour détendre l’atmosphère entre nous, mais Tom m’embrassa a pleine bouche. Apre se bisou je regarda ma montre gêné. Il était 11h37. Je devais partir avant de ma faire égorger pas Bill qui nous observaient toujours. J’allai me lever mais Bill me prit pas le bras et me fit signe de monter avec lui.

Bill : Tu peux venir Alice

Tom : Ta pas assez d’expérience pour une fille comme sa Billou.

Il ne répondit point a son frère et commença a monter en serrant toujours autant mon bras.

Je le suivi jusque dans une chambre clair avec des posters de plusieurs groupe différents. Je m’assieds sur le lit très timide. Bill sorti de nulle part du coca. Il bu a la bouteille. Il était beau.

Bill : ….
Suite 12 :

Bill : je t’en veut pas a toi tu sais

Moi : quoi ?

Bill : non mais tu va croire que je t’en veut avec toutes les insultes que je t’ai dit tout a l’heure.

Je vais le frapper. Je sais pas mais tout d’un coups je vient de perdre ma timidité.

Moi : C’est pas une raison. T’es jaloux ou quoi que j’ai couché avec ton frère ?

Bill : mais non mais tu comprend il en ramène une au moins tous les soirs et le groupe en a marre donc voila

Moi : ah ok

Bill : Et puis va pas croire que je m’intéresse a toi j’ai déjà quelqu’un.

Coté Bill

Moi : Et puis va pas croire que je m’intéresse a toi j’ai déjà quelqu’un.

Quel con ! pourquoi j’ai dit sa ?

Coté Alice

Ses mots venait de me briser le cœur. Mon plan tomber a l’eau. Je ne pourrai jamais forcer Bill a tromper sa copine. C’est dégelasse de faire sa.

Je me leva et alla dans la chambre de Tom en claquant le porte derrière moi. Je commença a remettre les habits et prit mon sac a main. Je prit aussi les habits de Tom et les serra de toutes mes forces sur ma poitrine. Cette odeur.

Depuis hier je ne mettais pas rendu compte de la chance que j’avait eu. Enfin Tom si on pense a Tom c’est sure alors qu’il ya beaucoup de filles qui ont de la chance. Non mais j’avait eu la chance d’avoir un tête a tête avec Bill et Georg. C’est sure je regrette un peu de ne ^pas avoir vu Gustav mais il n’était pas. Il était chez ses parents.

Quand je sorti de la chambre il était la a attendre contre le mur. Il s’appuya sur un coude et pour la troisième fois il me fit son petit sourire pervers.

Tom : tu veut partir ?

Moi : oui

Tom : mais pourquoi ?

Moi : regarde les choses je ne suis qu’une autres de tes conquêtes

Tom : mais ….

Moi : A + Tom tiens voila mon numéro au cas ou mais je sais que tu ne m’appelleras pas.

Tom : tu te trompe.

Je lui fila mon numéro, lui fit un petit bisou en signe d’adieu et parti. Les autres n’étaient plu dans le salon, tant mieux. Je repris la route de chez Thibault.

Tout était sombre autour de moi comme d’habitude

Tout était triste comme d’habitude

Je pleurer comme d’habitude

Suite 13 :

Le bonheur de tous ces gens autour de moi me foutais encore plus le moral en l’air. Allais-je encore plonger dans une dépression après avoir passer une nuit et matinée formidable ? A vrai dire je ne l’espère pas.
Je marchai dans la rue, sans chaussure alors qu’il pleuvait et ma robe toutes de travers. C’est fous comme l’amour rent dingue. C’est vrai tu est parti la le jour de mon anniversaire et tu ma laisser avec ma haine au ventre. J’aurai pu te tuer de t’avoir suicidé, mais malheureusement tu était mort. MORT. Se mot ma fait vivre des moments très difficile. Beaucoup de larmes on couler le long de mes joues se demandant pourquoi. Pourquoi m’avoir laisser dans se monde de merde ? J’aurait voulu trouver la réponse mais la fatigue mélangé a ma tristesse embrouiller mon cerveau.
Tu était mon ange mais tu ne le savait pas. A 13 ans quand on a commencer a sortir ensemble on s’était promit pour la vie. On restai ensemble 5 ans supportant a deux les épreuves les critiques et même la violence. A 14 ans tu a voulut avoir des rapports et j’ai refusé. Par amour pour moi tu a attendu mes 17 ans avant que l’on couche ensemble. Je n’oublierai jamais cette première fois avec toi. C’est pour dire que chaque matin je me levait pour voir ton visage, pour sentir l’odeur de ton corps contre le miens , pour t’embrasser. Sa avait tous d’un comtes de fée jusqu'à se putin de jour où tu ma demander en mariage. Pourquoi ? Pourquoi t’a voulut m’épouser a 18 ans ? on était trop jeune. Et puis comme je l’ai dit , eux ils étaient la. Je ne sais pas se qui m’ai passer par la tête ce jours la. Aujourd’hui j’aurait voulut être dans tes bras entrain de te dire que je t’aime et ne pas a voir eu besoin de coucher avec le célèbre guitariste de Tokio Hotel juste pour pouvoir faire souffrir son frère. Putin j’ai un problème moi. Juste parce que je suis malheureuse je dois faire souffrir tous le monde autour de moi ? Non je crois pas. Mais le sourire des gens autour de moi me font mal. Sa ma rappelle juste ma famille , mon quotidien , ma vie d’avant. Cette vie que j’aimait , cette vie que j’aurait du la garder.
Dans un parc sur la route pour retourner chez Mathias je vu une fille , sur l’herbe entrain d’embrasser un mec. Il s’aime sa se voit. Ils se chatouillaient, ils rigolaient , ils s’embrassaient. Et comment il feront dans 1 ans si se garçon demande en mariage cette fille ? Comment ils feront ? ils soufreront comme moi ? J’aurait aimé aller les voir et leurs dire de ne pas tomber amoureux si jeune. Mais je ne pouvait tous de même pas. Il m’aurait pris pour une folle. Mais je le suis et j’aime pas la vie. Restant sur cette vision tous le reste du chemin, j’arriva enfin chez Thibault. Je sonna. Quand il arriva dans l’entrebâillement de la porte, il me fit vite renter. J’était mouillée de la tête au pieds. Tant pis je ne sentais encore plus ni chaud ni froid.
Je l’aimait lui Thibault , comme un grand frère. Il avait était la quand j’en avait eu besoin, il avait était la quand mes parents m’avaient jetée de chez moi. Il avait su me réconforté et me reconstruire un peu. Un peu car les trois quarts de mon cœur sont rempli par la haine , le désespoir, la souffrance et la rage. Les quarts qui restait de mon cœur était encore un fois pour se groupe que j’aime et aussi pour Thibault et le chocolat. Le chocolat car j’aime le chocolat depuis que Mathias m’en avait apporter après mettre faite opérer. Il m’avait offert de chocolat en forme de nounours. Je les aimait ces chocolats. Mais je ne peu plus en manger sa ma rappelle trop sa présence.
Thibault m’installa dans la canapé sa aussi sa me fessait souffrir car quelque heures plus tôt mon plans aurait pu marcher. Sa me rappelait le canapé du groupe.
Thibault : Qu’es qui ta prit de rentrer a lors qu’il pleuvait t’aurait pu m’appeler ?
Moi : Je ne voulait pas te déranger.
Thibault : N’importe quoi tu me dérangera jamais ma chérie.
Je lui donna un sourire timide. C’est fou que je sourit malgré la souffrance.
Thibault : alors se rendez –vous ? et notre plans ?
Moi : J’ai coucher avec Tom Kaulitz mais notre plans a foiré Bill …. A ….
Thibault : A ?
Moi : Il a une copine Thibault.
Thibault me prit dans ses bras lorsqu’il vu quelque larmes roulé sur mes joues.
Thibault : J’ai une mauvaises nouvelle
Moi . quoi ?
Thibault : j’ai reçu une lettre des huissiers.
Je resta la a le regarder pendant 10 bonnes secondes avec des yeux ronds comme deux patates.
Moi : et ?
Thibault : On as 1 mois pour trouver 3 mois de loyer donc 2400 euros.
Moi : c’est pas possible comment on faire ?
Thibault : j’en sais rien ma puce, j’en sais rien.
Thibault se mit a verser des larmes. Je les senti glisser dans mon cou.
Thibault était peintre. On ne peut pas dire qu’il gagne sa vie normalement. Je devait l’aider comme lui l’avait fait.

Voila le résumé de l’a dernière fois que je vous est raconté ma vie. Je vais vous dire depuis se qui c’est passer.
Alors en faite…

Suite 14 :

Alors en faite ma vie tait redevenu une grosse galère. Thibault avons dut trouver des boulots , mais se n’était pas assez pour payer se qu’on devait. Vers mi mars j’ai dut devenir mannequin pour photo nue. Attention pas porno mais nue. Ce boulot ne me plaisait pas du tout mais c’était bien payer, même très bien payer. A chaque fois que la pause venait entre deux scènes, les mecs ne fessait que me relooker.
Mon quotidien n’était pas très intéressant. Le matin je me levait, a 10 h je partait travaillait, le midi je mangeait 2 biscotes, l’après midi des photo, au diner je prenait une soupe et le soir avant de me coucher, je me mutiler. J’avait perdu 13 kilos en un mois.
Pour pas que mon patron voit mes traces de lame sur mon bras je devait vider un tube de fond de teint.
C’est fou comme c’est dur de cacher sa blessure intérieurement et extérieurement. Thibault ne savait pas je recommencer de mutiler, je ne lui avait rien dit. Valait mieux pas car en se moment il ne vas pas très bien. Il vent un peu plus de toile mais il doit quand même travailler dans un super marché pour contempler. Je ne croit pas qu’il c’est que je fait ses photo.

Assise sur mon lit je regarde le plafond. Il est 9h12. Je vait aller travailler. Je prit un sac a main et descendit. Mon portable était sur la table. J’avait reçu 2 message. Le premier une pub et le deuxième je l’ai supprimé direct j’avait la flemme de le lire.

Sur le chemin de l’engar ou je prenait des photos, toujours la même sensations d’être exclu. J’était vraiment tomber bas. Dans la rue cette fois si , je senti un peu la chaleur du soleil sur ma peau. Je sais pas mais ce rayon de soleil me mettait encore plus ma a l’aise. Enfin si je sais pourquoi : ce rayon de soleil me rendait mal car sa me montrait que j’était VIVANTE. Et sa pour rien au monde je voulait l’accepter.
Dans la rue je vu une affiche avec marquer a love you. Sur cette affiche une fille regarder une lame. Cette affiche me fessait penser a ma vie. Se titre me donna de l’inspiration. Je m’assaya sur un banc et me mit a écrire.
« Qu’es qu’un je t’aime ? Un mot ou plutôt deux qui vous font rêver s’y il vous sont adresser. Ces mots désigne la passion, la folie entre 2 corps étranger qui s’aime. Mai si le contraire existe, si une personne disait un je t’aime a une personne qui en un mots aurait pus prouver son amour , éblouir les yeux d’une fille rempli de blessure a cause des siens. Cette personne en a décidait autrement laissant derrière lui une fille qui une semaine plus tard se coupera les veines après l’avoir supplier de l’embrasser. Celui-ci l’aura baffer, baffer pour lui dire de se taire. Elle l’aimait a telle point quelle lui a prouver ! »
Je sais que c’est pas super mais c’est le seul moyen de me défouler. Un jour j’espère vendre un livre. J’espère vendre un livre qui comme on souffert. Assez papoter je sui arriver dans cette aller sombre. Au bout de celle-ci se trouve la porte de l’hangar.
Je n’ai pas trop envie de vous raconter ma vie la dedans, c’est pas se qui a de plus intéressants. Ce n’est pas la parti de ma vie que je préfère dans tout sa. La parti de ma vie intéressantes arrive bientôt.
Coté Tom
Je lui avais promis que je le l’appellerai, je l’ai fait, elle ne pas répondu.
Coté Bill
Putin tom m’avait encore piquer les maquettes. J’alla dans sa chambre. Le foutoir vache. J’alla fouiller sur son bureau et merde je vien de tout faire tomber. Bon je ramasse et la je voit ….

Suite 15 :

C’est la que je vois de magasins porno. Bon d’accord veinent de mon frère sa ma choque pas trop mais voila quoi, je c’est pas mais ses magasins mon fait un effet bizarre, je c’est pas trop pourquoi. J’allais passer la porte de sa chambre mais je revint vite sur mes pas. Je c’est la fille sur se magasin n’était qu’autre que Alice.
Coté Alice
18 h. J’ai fini le travail. Je rentrer chez moi. Comme tout les jours. Comme tous les jours je n’avait pas envie de sourire. Je marcha, encore et encore quand une questions me vint a l’esprit :
Pourquoi j’ai voulut espérer ? pourquoi je tes aimait ? Mais je croit que je ne répondrai pas a c’est questions, je c’est pas la flemme ou bien j’en ai marre d’avoir des question et ne pas trouver la réponse.
Quand je rentra Thibault était affalé sur le canapé, une bière a la mais et des larmes sur les joues. Je ne cherchai même plus a le comprendre c’était trop dur. Entre lui et moi il n’y avait même plus de dialogue. Je ne cherchait plus a comprendre les autres. Un jour Mathias ma dit : « Je ne te comprend pas ». Je sait c’est tout con mais je lui est répondu « moi non plus ».
Je ne me comprend pas , je ne me comprend plus. Je ne comprend pas pourquoi je suis la dans une bain rempli de sang pas la lame que je viens de m’enfoncer dans le bras. Je ne comprend pas la vie tout simplement. Je ne comprend pas pourquoi c’est eux , c’est mystérieuses personne qui alimente mon cœur , qui son l’oxygène du bonheur. Je ne comprend pas pourquoi je suis venu sur cette terre alors que dieu savait que j’en chirer. Je ne comprend pas pourquoi je ne suis pas morte depuis. C’est fou comme des jours on a le moral en l’air. C’est comme par exemple, le mec que tu aime beaucoup te dit qu’il t’aime et quand plus tard dans la journée il te dit que c’est une blague. On dit aussi qu’il y a beaucoup de suicide dans le monde , mais sa ce comprend non ?
Un jour quand j’était petite, je me suis déguiser en princesse. J’avait donner rendez-vous a un petit garçon de mon âge. Il n’ai jamais venu. J’ai attendu toute la journée, Je n’avait que 6 ans. Le soir j’avait put écrire avec mon sang dans mon journal intime mais sa ma mère ne la jamais su. Le lendemain a l’école il c’est excuser avec un petit bisou sur ma joue en me disan qu’il avait une compètes de foot. En quoi cela avance dans mon histoire me direz vous ? c’est pour vous expliquer que je suis une exclu de la société.
De mon bain j’entendais Thibault pleurer. Il était entrain lui aussi de pourrir sa vie pour avoir essayer de sauver la mienne.
Je sait pas si vous avait déjà prit un bain jusqu'à ce que toute l’eau se vide. Moi oui a chaque fois que l’eau commence partir c’est comme si tous se vidait de vous. C’est con mais c’est la vérité. J’essaye juste de vous distraire pour ne pas vous foutre le cafard. A quoi sa serve que je vous raconte que je suis dans ma baignoire sans eau entrain de me taillé les veine ? A quoi sa sert que je vous dise sa puisque je ne sens pas la douleur ? Je n’ai plus aucune sensations.
Je sorti de la salle de bains et alla dans mon lit. Une fois sous la couette de la l’inspiration me vint. Je sorti mon carnet et voila se que j’écrit :
« Chut j’attrape les étoiles , laisse moi s’il te plait revient plus tard, et si je dort alors laisse moi rêver c’est mon seul échappatoire depuis se qui est arrivé » C’est pas des proverbes , ce n’est pas de l’art , se n’est pas beau c’est juste que j’ai besoin d’écrire pour me défouler, besoin d’écrire pour me libérer, juste besoin d’écrire pour exister. Je m’endormis juste âpres avoir ce petit passage dans mon carnet.

Le lendemain même rituel, je me lève, je prend un petit mais alors très petit, petit déjeuner , je m’habille et je prend la route vers le hangar. Aujourd’hui un évènement vas se produire.
S’ayailler je suis arriver a ce putin de hangar. Toujours aussi délabrer toujours aussi triste. Mais bon faut y aller.
Matinée tranquille rient de spécial. Je me dirigea vers les toilettes, pour me reposer un peu. La tête dans mes mains, les coudes sur le mur, j’ai était trop conne de ne pas entendre arriver se mec derrière moi. Il est arriver et ma mit une main sur la bouche. Je me défendit comme je pouvait avec mes mains mais celui-ci me les prit et me les serra violament au dessus de ma tête. Tous est passer très vite. Il se mit a m’embrasser dans le cou. Des larme toujours et encore coulèrent sur me joues pas pour le fait qu’il essaye de faire ce qu’il fait mais pour le fait que ces bisous ressemble énormément a Tom. Je n’avait pas la choix je devait partir je devait aller les retrouver pour leur dire que je les aime. Je me retourna viollament alors que le gars essayer de m’enlever ma petit culotte et lui mit un gros coup de genoux entre les deux jambes. Je prit toutes les forces qui me rester et me mit a courir hors du hangar. Il pleuvait comme la fois et je rentrer de chez le groupe. J’était pieds nu et j pleurai encore je l’aime et je doit absolument lui dire.
Coté Bill
J’avait trouver l’hangar où ces photos était prise. Où ces ignobles photo était prises. Je devait la sortir de là. Pourquoi ? parce que au premier regard j’ai su que sa serait la femme de ma vie, au premier regard je l’ai aimait au premier pleure j’ai voulut la consoler au premier sourire j’ai voulut rigoler avec elle mais sa elle le sait pas. Elle sait juste qu’elle croit que je la déteste. Je doit la voir je doit lui dire.
Je suis donc dans la rue, entrain de courir. Il pleut. Plus j’avance plus je tremble.
Coté Alice
Je les aimes. Je veut partir de ce monde au je suis chauffé a la pollution et où je ne vit que pour vous.

Suite 16 :

Je cours toujours, j’ai besoin de te voir. Adieu mon monde cruel , je veut prendre la route du bonheur. Rien ne m’arretra appart l’annonce de ta mort. Je t’aime j’ai besoin de toi , s’il te plait aide moi. Aide moi a aimer de nouveau , aide moi a tourner la page , aide moi a m’epanoiur, aide moi simplement je sais que tu c’est le faire. Je suis une de fan mai je sais que je t’aime rien d’autre au monde. Tu est pour moi le seul personne qui pourra me faire oublier Mathias.
Coté Bill
Je l’aime je le sais. Cou de foudre. Simplement. Je l’aime.
Je cour dans la rue. Je le sais plusieurs fans mon reconnu. Je m’en fous. Elle m’aime moi je n’aime qu’elle.
Coté Alice
Plus je cours plus mon cœur pleure, J’ai mal pour se qui m’ai arriver, j’ai mal pour Mathias , j’ai mal pour ma putain de life.
Une forme vien de se former devant moi. Elle est immobile. Elle ne bouge pas.
Coté Bill
Je me suis arreter. Elle est la devant moi a courir.
Coté Alice
C’ est lui. Dégoulinant.
Moi : Bill ?
Coté Bill
Moi : Je suis venu pour toi.
Coté Alice
Pour moi ? Quelqu’un pour moi ?

Suite 17 :

J’ai peur. Il est la devant moi, toujours aussi beau. Son visage est parfait son sourire , ses dents , ses yeux. Tous son être me bouffe de l’intérieur m’empêchant de réfléchir a se que je doit faire. Je veut li sauter au cou et lui dire que j’au toujours rêver de lui mais comment , comment lui dire sa alors que je ne suis censé le connaitre depuis seulement un jour.
Coté bill
Elle est devant moi. Elle est triste , elle seule, elle est salie par la vie. Je veux la sauver mais elle me connait presque pas. Je ne veut pas rater ma chance, je le sait c’est la femme de ma vie quoi qu’on puisse me dire.
Je m’approche lentement d’elle. Ton revers de main j’essuie une perles salée qui roule sur sa joue. Elle pleure encore. Je ne veux pas la voir comme sa. Je m’approche encore plus et la prit dans mes bras. Il pleut toujours mais tant mieux j’espère qu’une nouvelle s’ouvre a moi aujourd’hui.
Coté Alice
Il me prit dans ses bras. Ses tous se que j’attendez, je savais que maintenant tous serait différent. Je veux revivre ne plus penser a Mathias. Je releva ma tête de son cou et puis la trou noir je me souviens de rien d’autre…

Suite 18 :

Je viens de me réveiller ma tête est lourde e j’ai mal partout. Mais ma douleur reste pas très longtemps car son corps est la a coter de moi. Il vient de se réveiller.
Bill : Et salut
Moi : salut
Bill : sa va ? je t’es ramener la car hier ta fait un malaise.
Moi : Ah bas merci.

A la fin de ses mots bill m’embrassa a pleine bouche. On se lève du lit toujours en s’embrassant fougueusement. Putain c’est fou comme je l’aime mais je sais pas trop en fait se que sait que ce sentiment au fond de moi. Bill me plaqua contre le mur et commence a descende doucement les bretelles du simple soutif que je porter. Il m’embrasse dans le cou. Il me souleva par les fesses et j’entrelaça mes jambes autour de ses hanches. Je lui enleva son t’shirts a toute vitesses et le plaqua contre le mur. Je descendis jusqu'à son membre que je caressa a travers son caleçon. Je lui retira sous ses gémissement. Je le caressa tout doucement avec mes doigts puis je le prit a pleine bouche. Il releva ma tête avec ses mains et m’embrassa a nouveau avant de me procurer lui aussi du plaisir. Puis il me pénétra tout doucement. Il avait la même tendresse que son frère. Ses va et viens me fessai du bien cela me procurer du plaisir. A la fin de se moment magique je sorti de la chambre, Bill lui se retira au toilettes. Dans le couloir je trouva Tom.
Tom : Alice ?
Moi : Oui Tom ?
Tom : nan rien sa me fait plaisir de te voir la mais quesque tu fait chez nous ?

Je ne voulait pas plus de questions. Je le prit , et l’embrassa aussi. Maintenant j’en était sur , j’était dans la merde. Deux jumeaux , deux amour différents , deux problèmes , une fille …

Suite 19 :

Vous demandez vous pourquoi je sui heureuse maintenant ? Vous vous trompez, je ne sui spas heureuse c’est juste un passe de bonheur dans ma vie. Je pourrai très bien oublier Mathias et vivre normalement avec 4 rock stars. Non mais sérieusement vous pouvez vraiment croire sa ? vous pouvez aussi dire que je pourrait mettre fin a mes jours en me jetant d’un toit ou autre mais non je n’irai pas me suicidée même si j’y est déjà penser pour une seule est bonne raison : je veut vivre ma putain de vie sans être malheureuse au moins une fois. Je veut être une fille vivante , une fille différente de la fille coincée qui se mutile. Je veux rester sur cette terre car je veux vivre , rêver et aimer ! un poète un jour a dit « la vie est un sommeil et vous aurez vécu si vous avez aimer » alors laisser moi me réveiller un jours un fois dans ma vie, au delà de tout. Je vais tout expliquer a Tom et partir si Bill et moi nous aimons vraiment on se retrouvera , j’en suis sur !

En attendant je suis dans la salle de bain je me suis fait coulée un bon bain. Je rentre dedans. La tête sous l’eau , le souffle couper je pense que tous cela pourrait être pire ou peu être pas. Je voit une ombre s’approcher. C’est Bill il rentre dans l’eau. La chaleur de son corps passe a travers l’eau et atteint mon cœur. Je ne peut pas. Je ne peut plus leurs mentir si je les aimes. Je sorti du bain, enfila un peignoir.

Bill : Mais ?

Moi : Chut , un jour tu comprendra si tu m’aime comme je le croit.

Je l’embrassa. Pas pour la dernière fois je l’espère. Personne ne doit être au courant appart vous et moi que ‘ai tromper deux hommes merveilleux et complètement différents, pourtant ils sont jumeaux et leurs 2 cœurs m’appartiennent. Bill ne me refera jamais signe de son existence, je le sais. Pour les deux je ne suis qu’une de leurs conquêtes amoureuse pourtant Bill je ne savait pas qu’il était comme son frère mais bon qui se ressemble s’assemble. Tous se que je voulait vous dire d’autre c’est que rien est finie, tout commence ici. Je vous le promet un jours j’effacerai son nom , un jour je tourner cette page ou des centaines de larmes ont couler, un jour je vivrai surement avec messieurs bonheur en attendant je doit tous LEURS expliquer mais pas en même temps.

C’est a se moment là que je croisa Tom. Il essaya une approche.

Moi : Non Tom rendez –vous demain a 16h sur la place j’ai besoin de te parler c’est important.

Sur ceux je ne lui laissa pas le temps de répondre , je prit la direction que je connaissait déjà : la porte. Dans les rues tout étaient pareils. Toujours triste , toujours maussade mais bon je ne pas besoin de vous faire un schéma vous connaissais déjà la suite. Cela veut dire que je vais replonger se soirs mais dans le mal , juste dans mon monde.
Suite 20 :

Ma vie toujours ma vie, a force vous commencez a la connaître , elle devient plus intéressante. Je le sais. Cette histoire , mon journal pourrait s’arrêter la, mais j’ai pas envie. J’ai pas envie d’arrêter ce journal car je l’aime , j’aime vous parler j’aime vous raconter ma vie , mais bon sa serait vous mentir de vous dire que la vie est rose et que tout est beau.

Quand je rentra enfin, Thibault n’était pas la. Depuis que j’était rentrer, lui est moi nous éloignions peu a peu. Il rester dans son coin ne parler plus et surtout, surtout se droguer. Il se droguer pour oublier qu’il y a 1 an il a sauver une pauvre fille de la détraisse, de la mort. Mais maintenant il s’en fout , il s’en fout de sa vie qui est pourri , il s’en fout de se qui l’entoure , il s’en fout de tout il veut juste qu’on lui foute la paie.

J’était allongée sur mon lit. Je repensée a tout. La vous allez surement vous dire que je pleurer toutes larmes de mon corps mais non pour une fois je souriais tout seule (tmtc ma twins) j’était sur mon lit avec le sourire au lèvres. Certes tout n’allait pas bien, mais un conseil quand vous n’avez pas le moral (tmtc Just’) penser que rien est parfait et n’import ou vous êtes il y a toujours des gens plus tristes que vous. Sa s’appelle l’injustice. L’injustice d’un monde de merde ou personne ne vous regrette si vous mourez , l’injustice ou vous êtes critiquait pour aimer quelque chose ou quelqu’un , l’injustice de l’amour , de la vie, de notre univers ! Mais je sourit quand même. Je souriait a la vie même si celle la me planter un poignard dans le dos. Je lui disait merci , merci de m’avoir donner la chance de revoir son visage d’ange . J’ai pu passer deux moments magique mais tout a une fin sauf cette histoire , je veux finir cette page avec marquer un je t’aime je veut moi aussi avoir un vie normale. Mais bon finalement je m’en fout du moment que je l’ai revoie et que je leurs explique c’est le principale. Je m’endormit bercer par ses mots mais avec un boule au ventre. Demain je doit lui dire la vérité, hausser lui dire que je me suit servit de lui , et lui dire que les je t’aime n’était que du vent parti avec le souffle du bonheur qui n’est plus dans l’air. De toutes façon je n’est pas le choix … ils doivent savoir.
Suite 21 :

[size=12]le lendemain je n'eu pas de mal a me lever pour une fois . En descendent c'est la que je le vu sur le sol , inconscient. Je m'approcha tout de suite de lui , je ne voulait recommence , pas lui. J'ai déjà perdu Mathias. Lui m'avait aider qu'en j'en avait besoin . Vous pouvez dire que je me répète peu être mais si vous vous aurez une besoin d’une aide a mon époque vous sériai comme moi .

Je me précipita vers lui ; son cœur batter très lentement. J’ai peur, peur de le perdre. Ses yeux me fixai. Il en trouva la bouche mais aucun sons ne sorti malgré ses efforts. Je me précipita alors vers le téléphone et composa le numéro des urgences. Ils arrivèrent très vite et a peine une demi-heure âpres j’attendais dans le Hall de l’hôpital. L’attente fut longue. L’attente me rappela la même attente lorsque Mathias est mort. Les même bruits, les mêmes gens qui courent partout et les même peurs qu’on m’annonce que c’est fini. Thibault était la personne dont tous le monde a besoin. Thibault était le genre de personne a donner des services sans demander. Il était inégalable. Voila que je met a parler au passé. Un médecin s’avança vers moi

Bonhomme blanc : iL sauver d’affaire , j’ai juste une overdose

Moi : mer… mer….merci ! docteur

Je me mit a pleurer. Au fond de moi j’aimer Thibault mais je le détester aussi. Pourquoi lui avait eu le droit d’être sauver et pas Mathias. On me demanda si je voulait le voir. Non je ne voulait pas je lui fit transmettre une lettre qui disait :

Coucou Thibault ,

J’espère que tu vas mieux , moi non. Je suis passer chez toi, j’ai prit toutes mes affaires. Oublie je t’en prie. Je sais c’est dur de te dire sa, moi je suis ta seul famille. Je n’est pas le choix je t’es déjà trop causer de problème. J’ai appeler ton ex elle va venir te voir. Je t’aime Thibault et je t’aimerai toujours mais qu’en ami. Je ne peux pas t’aimer tu était le meilleur ami de Mathias. Je te dit adieu pour toujours. Ne m’en veut pas c’est la seul chose que je te demande. Traite moi, insulte moi tout ce que tu veux mais n’essaye pas de me retrouver je ne veux plus que tu souffre a cause de moi. Adieu Alice !

Je versa des centaines de larmes en écrivant cette lettre mais je n’avait pas le choix. Quand je reprit mes esprits je me rendu compte que j’avait 10 minutes pour aller au café ou j’avait donner rendez-vous a Tom. J’appela donc un taxis qui se trouver sur le bord du trottoir de l’hôpital.

Sur le trajet, plus je réfléchissais plus j’avait peur. Peur de sa réaction , peur du futur, peur de ma vie, en tout les cas se quelle aller devenir. Le taxis s’arrêta enfin devant le café de la place. Il y avait déjà pas mal de monde. Il n’était pas la tant mieux.

Je m’installa a une table éloigné du bar. Je commanda un Coca quand enfin une grande silhouette sorti d’un grand van noir. C’était lui. Il me souria gentiment et s’asseya en face de moi. Bien sur 4 garde du corps n’était pas loin.

Tom : Eh salut sa va ?

Moi : Euh.. ouais très bien

Tom : Sa a pas l’air

Moi : si si Tom il faut que je te parle d’un truc

Tom : Oui quoi ? je t’écoute

Moi : Alors en fait . . . .

Suite 22 :

Je lui raconta toute l’histoire de A à Z. Petit a petit ses yeux se refermer , petit à petit de la haine mélanger a de la tristesse envahir ses yeux.

Je me rappelle de quand j’était petite. Tom avait 18 ans. C’était la star des ados avec le groupe , je ne les connaissais pas a l’époque. Une rumeur circuler comme quoi Tom couchait avec toutes ses filles pour combler une blessure qui se trouvait au fond de son cœur. J penser que si j’avait était cette fille je ne lui aurait jamais fait sa. Mais c’est faut quesque je fait la maintenant ? Je joue ma pute !

Tom écouta les derniers mots que j’avait a prononcer. Une larme coula de sa joue mais il la balaya violement. Je ne l’avait encore jamais vu comme sa. Je n’avait encore jamais vu pleurer Tom Kaulitz.

Tom : Qu… Co….Comment ta pu me faire sa ? Tu sait je savait que tu nous connaissez et je croyait vraiment que tu savait je que je ressentais pour toi. J’ai cru a toi. La nuit que tu as passer chez moi , de toute cette nuit j’ai réfléchi. Tu est la première fille avec qui je me sentais bien quand je fessait l’amour et je en dit pas sa pour tes beaux yeux. Alice je croit que je t’aimait , c’est tout.

Moi : Tom s’il te plait…

Tom : non c’est bon, tu ma déjà fait suffisamment de mal en te voyant dans les bras de mon frère , Alice oublie moi c’est tout.

Moi : TOM PUTAIN ECOUTE MOI ! J’ai …

Tom : Non tais toi !

Il cria encore plus forts que moi sur ses derniers mots puis il parti accompagner de ses gardes du corps. Moi je resta là assise sur ma chaise, repensant a ces mots grave sorti de cette bouche , de cette personne, Tom. Je paya l’addition et parti marcher.

Je repenser a lui a Bill , a notre rencontre , a la chance et la merde que j’ai eux. J’aime Bill depuis longtemps. Mais se que j’ai fait a Tom est dégelasses. Lui aussi je l’aime. Je suis assez immature pour faire la différence des stars au personne réel. Au personne qui sont vraiment. J’ai cru pouvoir oublier , j’ai cru pouvoir oublier Mathias. J’ai mal cru.

Je retourna au cimetière, poussa la porte de celui –ci , prit un arrosoir a contre cœur , arrosa les plantes mais fit attention a la petite lame qui se trouvait derrière , j’en avait besoin. C’est alors que je reprit se même et eternel rituel …

Suite 23 :

Du sang sortait de plus en plus. Ce sang mon sang. Se sang du AB+ sans aucune importance. Se sang que personne ne réclamera. Sauf peu être Mathias. Au fond de sa tombe, il dort éternellement. Au fond de sa tombe il doit me regarder , ses yeux rempli de haine. La haine je connait. La haine j’ai vécu. La haine j’ai aimait. Je les ai aimait. Je ne sais plus ou j’en suis , je ne sait plus ou je vais , je ne sais plus que faire. A moins qu’elle m’aide , ses filles. Cinq filles avec le cœur sur la main que j’ai totalement lâché quand entre Mathias et moi c’est devenu sérieux. Ses filles je les adorait , je les aimait. Ses filles c’était tout simplement mes amies. Mais je l’ai abandonnées. Un jour peu être j’irai les revoir encore faut t’il qu’elle veulent encore bien de moi , de toute façon sa m’est égale. Je veux mourir, je en veux plus rester la haine au ventre a me lamenter sur mon sort, je veux partir.
Je sorti un bout de papier de ma poche et commença a écrire. Cette lettre j’irai la déposer dans la boites au lettre de ma twins. Elle comprendra malgré que sa fait 2 ans que je l’ai plus vus. Mais je dois lui dire , je doit lui dire que le paradis m’ouvre ses portes

Suite 24 :

J’écrit les derniers mots , les dernières lettres , le dernier point, les dernières sensation , mes derniers projet , mes derniers rêve , je referme ma vie. Cette lettre , c’est tout se qui me reste. C’est elles , ses filles , je ne sais pas pourquoi, j’ai envie que sa soit elle qui ma lettre , les deniers pensé de ma vie. Je les ai abandonnées , elle l’on pas supporter. Quand je suis revenu vere elle a la mort de Mathias , elle m’ont jeter. Elles ne voulaient plus de moi. Je l’ai accepter , j’ai accepter quand elle m’on dit des injures , j’ai accepter qu’elle me dissent qu’elles étaient contentes que Mathias soit mort, j’ai accepter tous sa car je les aimait et je les aimerait toujours. Je pouvait plus me passer d’elles, on étaient comme les doigt de la mai. Les délires entre copines j’en redemandait toujours plus car c’était avec elles , elles seules que je me sentais bien. Elle étaient tous pour moi , mais je les ai laissé, je laissé une grosse parti de ma vie quand elle sont partis a cause moi et moi seul …

Suite 25 :

J’enleva la bande autocollante et ferma un fois pour toute la fameuse enveloppe et glisa dans mon sac en bandouière. Je me dirige vers la maison de ma meilleure amie. Enfin mon ancienne meilleure amie. 15 minutes de marche et je suis enfin devant chez elle. Ya personne. Tant pis je laisse la lettre par terre et repart même chemin que d’habitude enfin pas tout a fait je vais chez Bill. Que lui peu me remonter le moral la maintenant. Les rues sont vides , vidées depopulation , de vie. Je sort mon mp3 pour me changer les idées. Que des chanson d’amour et de tristesse. Sauf une « happy ending » de mika. Elle date cette chanson. Cette chanson me fait rever , me fait m’evader , me fait partir vers un monde nouveau. Je marche dans la rue la tête haute le sourire au lèvres pourquoi ? car je suis amoureuse !

Je suis devant la villa des tokio le doigt sur la sonnette. A peine sonné que quelqu’un arrive dans l’entrbaillemen de la porte. C’est Tom.
Moi : Euh.. Sa.. Salut !
Tom : Quesque tu fait la ?
Moi : Tom s’il te plait ! réagis pas comme sa
Tom : Ah nan desoler je dois te serrer dans mes bras.
La il se raprocha de moi et me serra tres fort mes a ma tres grandes surprises il me fit un calin tres tendre et resta dans mes bras.
Tom : Je t’aime malgré ton geste.
Une larme glissa le long de ma joue. Une larme de bonheur. Il m’avait peu etre pardonner. Bill arriva tres zen a son tour.
Bill : Je peut te parler ?
Moi : Oui
Bill : En privée
Il me prit par le bras et ons se dirigea vers sa chambre encore une fois…

Suite 26 :

Je tournai le dos a Bill pour fermer la porte et quand je me retournai Bill m’embrassa. Tout était parfait, son piercing, ses petit coups de langue. Tout.
Bill : Je peux pas
Moi : Mais pourquoi ?
Bill : Tom ma tout raconté , pourquoi tu ma fait sa ? oui je suis peu être célèbre mais pourquoi tu voulait te venger sur moi ? Depuis le jour où je t’ai vue au bras de Tom j’ai compris que sa serai toi et personne d’autre mais j’ai appris se que tu voulait vraiment. Tu me dégoute, je t’aime c’est tout.
Je voyait vraiment la haine dans les yeux de Bill. C’este haine je la connais , c’est la même que ej ressentais pour Bill , cette haine où on se sens trahi, blesser , meurtrie.
Moi : je suis désoler , je t’aime aussi, un jour si tu ne me rejette pas je pourrai t’expliquer
Bill : dégage je veut plus te voir , je veut plus t’entendre me dire que tu m’aime, tu comprend quand je te dit que j’aurai put crevé pour toi ? non je vais reprendre ma vie , ma vie de célébrité sans toi mes avec mes fans mon groupe.
Bill venait de finir sa phrase les larmes aux yeux. Je en voulait pas faire sa , tout est sa faute. C’est la faute a Mathias. Mais que dis-je je l’aimait enfin je croit. Ou aimais-je Bill ? que dis-je je en pouvait aimer Bill c’étai une star comment aimer une star ? c’est plus un rêve de gamine c’est tout.
Je descendis les marche de l’escalier passa devant Tom, je lui adressa un petit sourire en signe d’adieu. Je croit que je ne r »alise pas très bien non plus que je l’ai fait souffrir lui aussi.
Je sort de la maison, et me dirige vers le square. Je vais m’assoir sur un banc. Je regarde le monde autour de moi, réfléchi a se que je vais devenir. Je ne vais plus a l’école, je n’est plus de familles. D’ailleurs je réfléchi au pourquoi mes parent mon rejeter ? parce que j’ai tuer un homme ? non il est mort d’amour pas pareil enfin si il est mort a cause de moi. Je en mérite rien de se que la vie m’offre.

Alors que je réfléchissais a sa une petite fille me balança son ballon dessus. Je le ramassa. La petite venu le chercher. Elle était ravissante. Je lui tendis le ballon.
Petite fille : Fait attention a toi
Moi : ?
Quesque sa voulait dire ? Pourquoi elle me disait sa ?

Suite 27 :

La phrase de la petite fille me fit longuement réfléchi sur mon banc. Faire attention a moi. Je m’en fout. Je réfléchi tellement longtemps que je ne remarqua même pas de la pluie commençai a tomber. Je mit ma capuche et je mit a courir. Les trottoirs glissai, les voitures passai a toute allure m’éclaboussant au passage. Je courrai tellement vite. Mes jambes souffraient. C’est alors que je rentrai dans une ombre devant moi. Elle était grande avec des cheveux bruns. Je sais qui c’était. C’était l’ex de Thibault Agnès.
Agnès : Ah tien salut !
Moi : Salut
Agnès : Sa va ?
Moi : sa pourrai aller mieux bon je vais te laisser je veux pas te déranger plus longtemps
Agnès : je croit pas non, j’ai quelque petite chose a te dire, viens avec moi ma voiture est garée la bas.

On se dirigea tout les deux vers sa voiture.
Elle habitai en plein dans le centre d’Hambourg. Une fois arrivai on se monta dans son appartement, s’essaya sur le canapé. Elle m’apporta un thé.
Agnès : C’est a propos de Thibault
Moi : Oui ?
Agnès : Il est dans le coma

Thibault dans le coma mais c’est impossible le docteur m’avait dis qu’il était sorti d’affaire.
Moi : Mais je croyais que…
Agnès : il était sauver, mais en lisant ta lettre il a fait une crise de stresse et depuis il est dans le coma.

Il était dans le coma par ma faute. « En lissant ta lettre , en lissant ta lettre , en lissant ta lettre » c’était encore de ma faute, putin je voulait crever moi aussi.
Je me leva précipitamment, renversant mon thé au passage , et me dirigea vers la porte. Agnès me regarder comme si j’était folle. Oui je le suis. Je sorti en courant. Je couru mais quand je voulut traverser je n’avait point vue la voiture qui me foncer dessus…

Suite 28 :

C’est alors qu’un bras me tira vers l’arrière. J’était choquée je me rendais pas compte que je venais de frôler la mort. J’ai toujours voulu partir de se monde et la on m’ouvrai les portes mais quelqu’un a décider autrement. Je pleure , je pleure de peur. La mystérieuse personne qui m’avait sauver se mit devant moi. C’était elle encore elle, toujours elle. Agnès se tenait devant moi et elle avait pas l’air d’être de bonne humeur.
Agnès : NAN MAIS T’ES MALADE MA PAUVRE FILLE ! TU VOULAIT TE TUER OU QUOI ?
Moi : mais….euh…
Agnès : NAN MAIS TAITS TOI
Moi : PUTAIN ECOUTE C’était un accident
Agnès : a ok excuse moi mais je dois t’avouer quelque chose j’avait pas fini tout a l’heure.

Je remonta alors dans son petit appartement.
Agnès : Alice tu est tout se qui me reste.
Moi : Hein ?
Agnès : Quand Thibault ma quitter j’ai fait une grave dépression , j’ai sombrer dans l’alcool et j’ai perdu mon travail. J’ai tout de suite penser a toi. Je me suis rappeler nos délires ensemble avec Thibault et Mathias. Il y a une semaine de sa j’ai fait une tentative de suicide qui n’a pas réussi mais d’un coter je suis contente car je t’ai retrouver crois moi si tu veux j’ai besoin de toi.
Moi, quelqu’un a besoin de moi ?

Suite 29 :

Ses yeux étaient rempli de larmes pour une fois se n’était pas moi qui pleuraient. Je me rapprocha d’elle et la serra dans mes bras. Je peux pas lui faire sa, elle compte sur moi. Tout le monde a besoin de moi voila se que me raconter ma maman quand j’était petite. Mais moi de qui j’ai besoin ? D’eux*

1 mois s’écoula depuis se moment.
On était devenu très amies. On rigolaient souvent même si a chaque fois c’était un peu forcer on vivait a peu près heureuse toute les deux. J’irai pas dire que c’était le bonheur mais sa y consistait. On partager presque tout. Elle avait aussi retrouver quelqu’un il avait l’air sympa mais je ne voulait pas m’en mêler.
Je l’avait aider a retrouver un travail
Je l’avait aider a se reconstruire
Je l’avait aider a revivre
Je l’avait aider a oublier
Je l’avait aider a redevenir heureuse avec son nouveau copain
Mais il y avait un seul problème
Moi qui m’avait aider ?
J’ai pas guéri
J’ai pas oublier ni Mathias et encore moins Bill…

Suite 30 :

Je pourrai jamais oublier ses deux corps dansant devant moi pour m’arracher un sourire.
Je pourrai jamais oublier leur va et viens quand on fessait l’amour.
Je pourrai jamais oublier leurs cœurs qui bâtaient.
Je pourrai jamais oublier a telle point ils me manque.
C’est se qu’on appeler l’amour. Vous savez cette chose que j’aime tant. Cette chose que je veut baiser pour le mal qu’elle ma fait. Je m’en fou je renoncerai pas rien que pour prouver que j’y arriverai. Mais un est mort et l’autre me hait a jamais. Malgré sa j’y arriverai a aimer un jour ou l’autre.
Pour le moment cesse les grandes citations , les grandes rêve. Je suis sur le canapé de l’appart a écouter depuis une heure les cris venant de le chambre d’Agnès. N’empêche c’est distrayant ! Bon, j’attrapa un sac,, mes clés et sorti de l’appart laissant derrière Agnès entrain de prendre son pieds.

Les rues me semble plus heureuse ici.
Ici j’ai envie de vivre
Ici j’ai envie de reprendre tout depuis le début.
C’est beau tout sa mais plus je marchai moins je m’était rendu compte que je venais de passer devant le cimetière.
Esceque tout sa va recommencer ?

Suite 31 :

Je dévisagea chaque petite tombe de se cimetière.
Je trouvai chaque tombe plus triste les une que les autres mais a chaque tombe je m’inventait une histoire , un passé. Me disant que celui de Mathias n’aurait jamais du être enterrer ici.
C’est le désespoir au lèvres que je m’éloigna du cimetière sans même reprendre mon rituel fort heureusement.
Sa me fessait du bien de m’évader un peu, de sortir de cette maison , mais je me doutait pas de ce qui aller se passer quand je rentra.
Apres avoir passer l’âpres midi dehors, je prit la route du retour. Tout était beau il y avais ce petit souffle d’hiver , qui vous glace un mort.
Arriver devant la maison, un taxis attendait. Je m’approcha et la je vis Agnès. Elle s’approcha de moi , l’air toute excitée.
Agnès :

Suite 32 :

Agnès : Je part a New York , je suis guéri, je ‘aime ma chérie t’en fait pas j’oublierai pas se que ta fait pour moi , a-t-elle point que je t’offre une places pour aller voir ton groupe préférer en concert.

Devine quel groupe ? Bien sur c’était eux , j’allait les voir en concert. Je peux pas dire que je suis triste mais pas non plus heureuse. Au concert je suis en fosse. J’arriverai assez en retard pour en pas être au premier rang.

Agnès monta dans son taxis accompagné de son copain et prit la route sans penser a ce que j’allai devenir. Je lui fit un dernier coucou et monta dans l’appart. Je passa dans la cuisine pour grignoté un petit truc puis alla dans la salle de bain. Je me déshabilla vite fait et me glissa sous l’eau bien chaude.
Les goutes tombait et s’écrasai sur mon dos. La chaleur de l’eau me fessai presque oublier se qui se passait autour de moi. Je m’évadait complètement. C’est alors que la sonnerie de la porte retentit et me rappela a mes obligations. Je sorti de la douche mit une serviette autour de moi, galera pour ouvrir la porte avec les mains mouillée, et tira la porte pour enfin voir mon plus beau cadeau se tenir la devant mes yeux dénudés.

Suite 33 :

4 filles merveilleuses se tenaient devant moi. Salomé, Justine, Flo et Mélissa. Elles ont derrières la porte le sourire aux lèvres comme si c’étaient elles qui voulaient se faire pardonner. Aucun mot ne voulait sortir de ma bouche, aucun ne pouvait. Sans rien dire je leurs fit signe de s’assoir sur le petit canapé prés de la fenêtre qui donnait sur le centre ville. J’étais tétanisée de les voir la. Elles étaient venues pour moi. Mais je ne pouvais pas, je ne pouvais pas faire comme si de rien était. Comme si je ne les avais jamais trahis. Elles m’aimaient, je les aimais et je les ai trahis comme une fille sans cœur ni âme. De toute façon c’est connu je ne suis rien, je ne suis qu’une merde ! Ce matin il pleuvait, depuis qu’elles sont arrivé le soleil est revenu dans mon cœur et je en veut plus jamais qu’il parte ! J’essaye malgré tout de leur parler.
Moi : Vous…. vous…Euh … quelque chose à boire ?
Flo : Je crois que non.
Les autres ne disaient rien, elle me fusinaient juste du regard. J’aimerais que tout se que j’ai vécu ne soi que poussières désormais. J’aimerais que tout sa se soit fini avec Mathias. Je voudrais repartir a zéro mais….. Puis merde, j’en ai marre des « mais ». Ses eux qui m’ont gâchée ma vie ne laissant pas aboutir mes rêves. Eux qui m’empêche de leurs reparler aujourd’hui. J’ai eu un déclic (gros bisous à ma Mélanie tu vas t’en sortir). Je ne veux plus de cette vie, je veux repartir a zero. Puis je m’étais pas rendu conte que les larmes coulaient et que les filles m’avait pris dans leurs bras. Sauf une ne se joignit pas au clan. Cette fille que je connaissais depuis très longtemps. Les autres filles je les avais rencontrés sur un forum de ce groupe quand j’avait à peu prêt 12 ans. Certes c’étaient des rencontres virtuels, mais des rencontres vrais. C’étaient elles sur qui je conte le plus, et elles qui mon aidés.
Elle était toujours assise sur le canapé, la tête sur sa main à me regarder tout en réfléchissant. Je ne fessais plus attention aux autres. Je ne voyais plus qu’elle. Mes larmes caché la plupart de sa beauté. Je les essuyai me leva sous les drôles de réaction des filles et l’une a l’autre avancions. Arriver a elle on se prit dans les bras. On se fit un énorme câlin comme jamais. Sa peut vous paraitre le conte de fées et pourtant je les ais retrouver. Elle me chuchoté a l’oreille « je t’aime » je lui répondis le sourire grand aux lèvres « moi aussi, moi aussi je t’aime Mélissa ».

Voila je vient de vous poster toutes les suites du premier Topic effacer si l'histoire vous interesse vous pouvez la continuer ici :

Topic 2 : https://tokiohotel-4-love.jeun.fr/fanfics-en-cours-f43/ecun-pont-des-larmes-et-lui-vengeance-2-topic-t48315.htm#4222810
Merci de m'avoir lue et a tout de suite !

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