Coucou ^^
déslé du retard, j'ai fuis la maison tout le week end !
LooL
Je me suis toujours pas fait capter ^^La porte claque derrière moi. Effrayée je cherche l’interrupteur.
La lumière s’allume … mais ce n’est pas grâce à moi.
« Comme c’est mignon »
Je fais volte face.
« Il t’a… raccompagné. Quel gentleman ! » Continue Andréas ironiquement.
« Arr… » Tentais-je.
« Tais-toi » crache-t-il méchamment.
Je le regarde s’avancer de moi.
J’ai peur.
Le temps semble filer à toute vitesse.
Il est déjà devant moi, il me regarde hautain.
Ses lèvres bougent, mais il se retient de dire quoi que ce soit.
A la place, il me gifle brutalement.
Douloureux, humiliant …
Il me faut quelques secondes pour reprendre mes esprits.
Je ne tiens pas très bien debout, mes jambes ont du mal à supporter mon poids.
Georg se plante devant moi à son tour, il me pousse encore et encore, jusqu’à ce que je tombe involontairement sur mon lit.
Il grimpe sur moi, s’assoit sur mes hanches.
Je ne calcule plus ce qui m’entoure, la force de la baffe d’Andréas m’a presque mis K.O.
Gustav et Andréas bloquent chacune de mes mains… mais je le réalise trop tard.
Je me débats inutilement.
Je ne peux plus rien bouger.
« On est vraiment, vraiment déçu par ton comportement Ange, tu sais.
Quand est ce que tu comprendras que tu ne fais pas ce que tu veux ?! » Déclare Gustav.
« Tu nous appartient, et quand on te dis de faire quelques choses tu le fais, c’est clair ! » renchérit Georg.
« Mais … »
« LA FERME » me coupe Georg en hurlant.
Je reste interdite. J’essaye encore une fois de m’échapper de leurs emprises mais rien n’y fait, je n’y arrive pas. Je ravale mes sanglots, je ne veux pas leurs montrer que j’ai peur, je ne veux pas leurs faire ce plaisir.
« J’ai eu une super idée pour que tu te fasses pardonner »
En même temps qu’il prononce ces mots, il déboucle sa ceinture.
Je ferme les yeux fort, très fort, j’espère que quand je les ouvrirais je me réveillerais.
Je veux que tous ça ne soit qu’un cauchemar … je veux me réveiller …
Mes bras sont plaqués le long de mon corps, Georg remonte un peu, et s’assoit sur ma poitrine, Gustav et Andréas immobilisent mes jambes et mes hanches à présent.
« Ouvre les yeux ! »
« … »
« J’ai dit ouvre les Yeux » répète mon bourreau.
Je lui obéis péniblement.
Il ouvre sa braguette. Je bouge dans tout les sens.
Je veux pas, je peux pas… par pitié.
Il abaisse légèrement son jeans, puis son boxer.
[Alors ?Qu’en pensez vous ?Quelqu’un va-t-il la sauver ?Vous aimeriez, pas vrai ?La scène qui va suivre est un peu crue, je dois dire.Ame sensible s’abstenir.Vous rêvez ! Lisez ! Je veux que vous lisiez !Je veux que à travers mes mots vous ressentiez son dégoût.Je veux que la scène se passe devant vous.Je veux vous dire que ce genre de chose arrive.Je veux que vous lisiez mes mots, et que vous ressentiez sa douleur.Ne me dîtes pas « Je peux pas lire ça »Je ne vous laisse pas le choix, elle n’a pas eu le choix.Lisez.]Mes tripes se retournent, parce que je sais qu’il va osé.
Je prends une grande inspiration et ferme la bouche.
[C’est stupide n’est ce pas ?Fermez la bouche, genre ça va servir à quelque chose, hin.Si vous avez osez pensé ça, mettez vous à sa place, et demandez vous ce que vous auriez fait.Vous auriez aussi fermé la bouche, non ?Alors vous voyez, ce n’est pas si stupide que ça]Il approche sa bite de ma bouche.
Mes yeux s’écarquillent, j’oublie tout.
Je ne sais plus qui je sais, où je suis ni pourquoi j’ai mérité ça.
Sa queue bute contre mes lèvres fermées.
Ils rient, et je pleure.
Les larmes inondent mon visage malgré le mal que je me donne pour les retenir.
Pourquoi … pourquoi … pourquoi ?! POURQUOI ?!
Cette question cogne inlassablement dans ma tête… pourquoi ?
J’aimerais être quelqu’un d’autre …
[Elle aimerait que ça ne lui arrive pas à elle.Elle donnerait tout pour que ce soit quelqu’un d’autre à sa place.Mais en même temps elle ne souhaite ça à personne…C’est dur d’être humaine]« Ange… ouvre la bouche »
Il laisse quelques secondes s’échappait, puis essaye encore de faire rentrer sa queue dans ma bouche.
Il perd patience, d’une main il me saisit la mâchoire, et appuie brutalement mes joues.
Je ne peux garder plus longtemps la bouche fermée.
Je crie sous la douleur et, contrainte et forcée j’ouvre la bouche.
Je veux le mordre, je vais le mordre.
« N’y pense même –han- pas »
Il bouge des hanches, il m’étouffe presque avec sa bite qu’il fait aller toujours plus long dans ma bouche.
« Si tu me mords, je te prends par derrière à sec »
Je peux pas, je peux plus.
J’ai la nausée, des hauts le cœur, je vais mourir.
Il me fait mal, il veut me faire mal, m’humilier… et il y arrive.
« Mmm. Putain Angélique met y du tien »
Je me débats parce que je suffoque, il ne me laisse pas respirer.
Ses vas et vient me semblent interminable.
J’essaye avec je ne sais qu’elle force de me débattre, mais je n’arrive même pas à bouger d’un centimètre, ils me serrent tellement fort.
Je suffoque, je tousse et ils rient.
J’ai chaud, je transpire, j’ai peur.
Je sens cette chose monstrueuse rentrer et sortir de ma bouche.
Ma tête tourne. Mon estomac se contracte.
[H.U.M.I.L.I.A.T.I.O.N.]Il gémit, ils me parlent, mais je n’écoute plus…
Je n’y arrive plus.
Sa queue claque contre mon palais et il éjacule dans ma bouche.
« Avale » ordonne-t-il.
Je reste immobile, je suis tétanisée. Il ferme ma bouche et bouche mon nez.
Je n’ai pas le choix, j’avale difficilement le poison amer …
« Ah ben tu vois quand tu veux, c’était presque médiocre »
Ils se relèvent hilares. Les draps sont moites de sueurs.
Mes cheveux collent à mon visage … je me sens sale, mais je suis sale.
Je me mets assise sur mon lit.
Ça tourne, vite … trop vite … Le goût dans ma bouche… j’ai seulement le temps de me tourner légèrement et je vomis au pied du lit.
« Bah bravo ! Je te fais avaler et tu vomis tout ! »
Je me recouche lourdement sur mon lit, le front en sueur, les yeux bouffis, complètement ailleurs.
« Dégagez… de chez moi » soufflais-je difficilement en me tournant de l’autre côté de mon lit.
Gustav fait le tour du lit et s’approche de moi, puis me glisse à l’oreille « Chez toi, c’est chez nous. Tu es à nous, ne l’oublie surtout pas… »
Dans ses yeux, je vois toute sa colère et sa foutue supériorité, du bout des doigts il caresse mes lèvres souillées quelques minutes plus tôt.
« Ange, pourquoi tu as fait ça, hin ? On aurait pu passer une bonne soirée. Regarde ce qu’on a du te faire. Ne nous oblige plus à te faire ça, entendu ? »
Je me perds… mes yeux s’emplissent de larmes, et bientôt mes joues sont inondés de larmes salées. Je sanglote de peur, de stress, d’angoisse, de haine, d’épouvante, je pleurs pour tellement de chose…
Il m’attire vers lui, près du bord, il me serre dans ses bras.
« Chut, ça va aller. Tu ne referas jamais ce que tu as fait ce soir, et nous on ne refera jamais ça non plus. Entendu Ange ? »
Mes bras l’entourent et je le sers encore plus fort.
Mes pleurs s’intensifient, je tremble.
Je sens l’odeur d’Andréas proche de moi.
Malgré que mes yeux soient embués, je distingue la silhouette de Gustav qui se lève. Andréas s’accroupis au pied de mon lit, comme Gustav il y a quelques minutes.
Il efface doucement les larmes qui serpentent sur mon visage.
« Calme toi » Susurre-t-il.
[suite page 14]
Alors ?