MAHAHHAHAHAHAHAH
Oui je poste très tot today ^^, c'est parce que je suis pas la de la journée --'
Merci pour tous vos comms !!!
J'ai mis angélique en violet, parce que je sais que y en a qui on du mal [Mélodie sent toi concernée]
Donc voilà Bonne lecture ^^
Dimanche 08, février 2009, 5h30[Elle est toujours au salon. Ses yeux se ferment et elle commence à avoir l’espoir qu’il ne viendra pas, qu’il est complètement ivre et qu’il a finit la soirée avec une autre fille.
Elle se love doucement dans le canapé, presque confiante.
Puis doucement le sommeil l’emporte.
Doucement sa respiration devient régulière…]6h30« AN-ANGE !!!! »
Je me réveille en sursaut, et tombe nez à nez avec deux pairs d’yeux.
Par réflexe, je me met assise et replis mes jambes contre moi.
Je les regarde tout deux successivement.
Tom et Andréas. Andréas et Tom.
Mon cœur bat à mille à l’heure, ils m’ont fichu la frousse, ces cons.
Ils me regardent dans les yeux. Tom a les yeux brillants… comme si…
« Andréas ? »Il sourit « Oui »
Il ne répond pas à l’appel de son nom, mais plutôt à ma question muette.
J’observe Tom, ses mains tremblent légèrement. Ils sont toujours tout les deux devant moi, accroupis devant le canapé.
Les mains de Tom serpente sur le canapé et atteignent rapidement mes jambes.
J’écarquille les yeux, mais Andréas me fait signe de me taire, je le fusille du regard, et il me réplique avec son foutu sourire en coin « Il est excité. Le pauvre, son premier shoot, et tu étais même pas la pour le voir. C’est devenu un homme maintenant ! »
Sa voix est ironique, ce mec est une ordure, une pourriture, d’une arrogance sans pareille.
Je sens les mains de Tom se faire plus pressante, et surtout progresser de plus en plus le long de mon corps. S’en ai assez, je me lève en bondissant, sous les yeux ébahit du shooté, qui tombe presque sur les fesses.
En faîte non, il tombe sur ses fesses –‘.
Andréas se lève également sur de lui comme toujours.
« Qu’est ce que tu lui as donné pour qu’il soit dans cet état ?! »« Rien de particulier ! Il a bu beaucoup, je lui ai donné le reste qui l’a allongé »
« Pourquoi tu l’as ramené chez moi ? »« Parce que je devais venir chez toi, je lui ai dis, et il m’a collé, supplié toute la soirée, alors voilà, j’ai pas pu résister. Regarde le, allongé par terre, les yeux brillants, défoncé, il voulait te voir, il prononcé sans arrêt : Angélique, Angélique. Comment tu voulais que je ne le prenne pas avec ? »
« Wé… c’est ça »« ANGLIQUE !!!!!!! »
Je me retourne vers l’énergumène qui a poussé ce cri de désespoir.
Y a du progrès ! A présent il est plus par terre, mais sur le canapé ! Certes totalement avachi, le baggy a moitié enlevé, mais bon, pour quelqu’un qui est à l’ouest il s’en sort encore dignement… ‘fin presque.
Je fais de nouveau face à Andréas.
« Je veux que tu sortes avec lui » débite-t-il.
« Pa-pa-pardon ?! »« Je veux que tu sortes avec lui » répète-t-il.
« Tu plaisantes ? » « Non »
« Et pourquoi je ferais ça ? »« Parce que je te le demande »
« Je veux pas, je le déteste »« Je ne te laisse pas le choix »
« J’ai quoi en échange ? »« Georg, Gus’ et moi, on te touchera plus du tout, enfin presque plus. »
« Je ne te crois pas, tu mens ! Tu mens toujours »« Je t’en donne ma parole, si tu sors avec lui. Il n’y aura que lui qui te touchera »
Je le regarde hésitante, je sens le coup foireux, je le sens.
Je cherche à déceler dans ses yeux le mensonge, un indice, n’importe quoi. Mais rien, son regard est froid et hautain.
J’y crois pas à sa promesse, j’y crois pas du tout même.
Il attend, il attend ma réponse, mais, je suis perdue, je ne sais pas, je ne sais plus.
Je n’y crois pas, pas une seconde.
Andréas me tend sa main, en souriant « Notre dernière fois … avant longtemps »
Je n’ai le temps de faire un mouvement de plus, qu’il prend ma main.
Encore une fois, il choisi pour nous, pour moi.
[Pourquoi il fait ça ?
Pourquoi il fait ce « pacte » avec elle ?
Qu’est ce qu’il gagne ?
Sa parole que vaut elle ?
Dieu seul le sait, si vous y croyez.]On monte les escaliers du couloir long et sombre, jusqu’à ma chambre, laissant Tom dans le salon avachit.
On entre, il ferme la porte.
Je reste immobile regardant le soleil se lever à travers la fenêtre, c’est beau.
Je sens son souffle chaud dans mon cou, ses mains se poser sur mes hanches.
Ses lèvres ravirent mon cou de baisers papillons.
« Je veux que tu sois lucide le plus longtemps ce matin. Je veux te savourer le plus longtemps possible »
Ses mains se faufilent sous mon T-shirt, et me l’hôte doucement, ses mains caressent mon ventre. Il me tourne vers lui avec précaution comme si j’allais me briser.
Nos yeux se croisent furtivement, parce que je baisse les miens. Il relève mon menton.
« Regarde moi »
[SUITE PAGE 26]Alours ?