[T] dans l'immeuble

=O suiteeeeeeeeeeeee !!

Rahhh!!!!!
Cxnnard!!!
C'est un malade ce type!!!!!!!!!!!!!!!
Suiiiiiiite!!! please

Il ne fait rien enfin ce que je crois parce qu’il sort de sa poche une chaîne en cuire, on peut aussi une ceinture. Il me donne un coup en plein visage. J’essaye de me débattre mais il est plus fort que moi. J’ai beau crie de toutes mes forces personnes ne viennent m’aider pour sortir de cet endroit. Je ne bouge plus, je reste sur le sol.

Les jours ont passé pourtant je ne sais pas combien de temps je suis là. Je prends une fourchette et le passe sous la porte pour que quelque le ramasse. Je retire un bracelet que le type n’a pas vu. Parce qu’il est sur ma cheville c’est Mistig qui me l'a offert, elle a le même. Je vois que la fourchette a lancer une trace vu que la personne a toquer à la porte. C’est Bill, j’entends sa magnifique voie mais il y a aussi de la tristesse.

Le lendemain, je glisse mon bracelet sous la porte lorsque j’entends les bruits de pas sans doute de Bill vu comment il marche. Je lance. Je vous ai pris, regarde-le, trouve-le. Please

Vingt-cinq jours dans l’appart et plus que 38 jours dans l’appart

[PDV de Bill]

Je ne vais qu’aller-retour dans l’immeuble mais un jour je tombe sur une fourchette. Je souris en pensant que c’est une blague de gamin. Je rentre dans l’appartement de Valérie. On ne sait jamais qu’elle réussit à partir de l’endroit où elle est enfermée.

Moi : il y a quelqu’un ici
… : nous sommes dans la cuisine

Je vais dans la cuisine avec la fourchette toujours dans mes mains.

Tom : pourquoi tu as cette fourchette ?
Moi : je l’ai trouver dans couloir !

suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeee !!

suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite=)

Tom : quelqu’un a sans doute perdu !

Mistig : mais oui c’est vrai que c’est courant qu’une personne mange dans le couloir et perd sa précieuse fourchette, en riant

Moi : je vais faire un tour !
Mistig : mais tu as déjà fait…

Moi : ça m’empêche de penser
Tom : fait attention
Moi : je sais. A tout à l’heure.

Toujours rien. Je finis par rentrer pour dormir mais demain j’irais encore voir. Le lendemain, je vais ce que j'ai prévu enfin c’est pareil dans les autres jours avants. Je reviens pour dîner quand cette-ci, je vois quelque chose par terre. Ce n’est pas une fourchette mais un bracelet assez beau je dois dire. Je le ramène avec moi chez elle. Je le pose sur la table juste à côté de moi. Mistig approche sans doute pour me dire bonjours quand elle s’arrête devant le bijou.

Mistig : où t’a trouver ça ?
Bill : à l’endroit où j’ai trouvé la fourchette hier, pourquoi ? en avalant un bouffé de pâte

Mistig lève sa jambe pour le poser sur la chaise à côté de moi. Mais qu’est-ce qu’elle me fait ? Elle soulève maintenant son pantalon pour que je voie apparaît le même collier que j’ai trouvé.

Mistig : ces colliers sont uniques. Il y a que moi et Valérie qui en a !

Moi : tu veux dire que

suiteeeeeeee !!

il n'y pas que Ashika qui lit ma fic???

siiii jregardai joséphine l'ange gardien ^^'''''''''''
SUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIITE

Valérie est ici. Je cours vers le téléphone et appelle la police. L’agent qui s’occupe de notre affaire. Celui arrive aussitôt avec plusieurs collègues. Ils fouillent les moindres recoins de l’immeuble, en défonçant les portes s’il le faut. Les heures passent, je reste près d’eux comme ça s’ils la retrouvent. Je veux être la seule à pouvoir la toucher mais peut-être qu’elle ne voudra pas et puis, je m’en fous ce qui compte c’est de la retrouver en vie et j’espère en bonne santé.

Il défonce la porte au niveau supérieure. Je ne sais pas pourquoi mais on fond de moi. Elle est dans cet appartement. Je cours dans les escaliers manquant de me casser la gueule. Je fonce dans la pièce des polices ont voulu n’arrêter mais ils n’ont pas arriver. J’arrive dans une pièce, je la vois sur le sol. Les bras et les mains attachées solidement, ses habilles déchirés montrant les coups pris pendant ses deux semaines où elle a disparue.

Je m’approche d’elle mais je ne veux pas la toucher de peur de la faire mal. Je remarque que sur son corps parfait mais maintenant blessé, il y a des genres de morsures pas de chien mais d’homme. Des policiers prennent des photos des lieux. Je m’en veux tellement d’avoir pas chercher dans l’immeuble.

Elle commence à se réveiller. Dès qu’elle me voit ses yeux verts se cache derrière des larmes de souffrance et un regard de tendresse pour moi. Elle se lève pour aller vers moi mais un policier crie qu’elle doit rester dans la même position, pas pour qu’il prenne des photos mais parce que l’ambulance n’est pas encore arrivée et qu’il se pourrait qu’elle a quelque chose de cassé. Je m’allonge à côté d’elle et prends sa mais pour ce rassurer.

Moi : ne t’inquiète pas mon cœur
Valérie : je…, me montrant son cou

J’aperçois des traces de mains sur son cou. L’enfoiré qui l’a kidnappé, a voulu la tué.

Valerie : Bill, en pleurant

suiteeee !!

suite stplai ma diablesse
pour mon retour
^^

je l'ecris je poster dans la soirée
mais je veux des demandes et beaucoup

la suite stplai ma diablesse
pour moi
stplai
[T] dans l'immeuble - Page 30 A16

Je regarde de gauche à droit pas de policier. Je décide donc de la prendre dans mes bras main avec douceur. Je tends mes bras vers Valérie qui me sourit à cette idée. Elle se lève un peu mais elle manque de force pour faire tout et en plus toute seule. Je l’aide en fessant attention pour ne pas lui faire mal. Le voilà dans mes bras, elle pose sa tête contre mon cou pour pleurer pour vider cette haine cette souffrance.

Valérie : je ne veux…plus rester…ici, en essayant de parler
Moi : ok

Je dois la poser sur le sol pour que je me lève d’abord puis la prends de nouveau dans mes bras. Et l’en porte dans le couloir tous les policiers que je rencontre sur mon passage. Je croyais qu’ils m’auraient engueuler pour avoir déplacer Valérie mais c’est le contraire qui se passe, ils me demandent tous si moi ou elle veut quelque chose.

Je leur réponds avec un sourire qui veut tous dire, tout ce que j’ai besoin se trouve dans mes bras.

Valérie : je…
Moi : je t’aime aussi

Elle me sourit, elle sait rend compte qu’elle n’a pas besoin de parler pour que je sache ce qu’elle veut, ce qu’elle pense. L’ambulance vient la chercher mais ne veut pas que je viens avec qu’elle. Elle me tient la main, ne fessant comprend que tout ira bien. Je la suis derrière l’ambulance dans le van de Tom.

Moi : mais avance
Tom : je ne peux pas, l’ambulance oui comme les sirènes sont allumées.

Tom grouille toi put*in
^^
j'adore de trop
la suite stplai
^^

ma sadique???

oiui ma diablesse ???

^^

bienvenue^^

^^
merci

j'ai une encore une autre tu la veux???

dsl mais j'étais parti
^^
je lma veux bien stplai
dsl pour le retard

j'ai les mise sur ta fic

suite ^^

quand il y aura plus de monde

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