Coucou =)Pas beaucoup de temps pour écrire ces denriers temps ='(Je suis entrain de déménager dans mon apart faut ramener plein de trucs V_Vs'ajoute à ça, l'invasion des antis ces deriers temps donc voili voulouune petite suitemais une suite quand meme =)Sa voix pleine de sous entendus me glace le sang, il s’assoit à côté de moi, ses mains glissent sur mes jambes.
« Allonge-toi » demande-t-il froidement.
Il réitère sa demande en criant, quand il s’aperçoit que je n’ai toujours pas bougée.
La peur me tétanise. Je n’ai jamais été seule dans une chambre avec Tom. Je n’ai jamais eu à lui demander de me shooter avant qu’on fasse quoi que ce soit, Andréas était toujours la pour me donner une dose, et Tom a toujours été trop stone pour s’apercevoir de quoi que ce soit.
[Du moins, c’est ce qu’elle croit …]La peur engourdit mes membres, j’aurais voulu répliquer quelques choses hautainement, remballer son ego démesuré, mais les mots se perdent dans ma gorge. Mes yeux sont fixés aux siens machinalement, je n’arrive pas à m’en défaire. Il soulève un sourcil.
« Alors ? On a peur ? »
Sa voix douce et rassurante contraste avec le sourire malsain qui orne son visage. Il s’approche de moi, à pas lent, je sens son regard sur tout mon corps, il joue avec le piercing qu’il possède à la lèvre.
Il arrive bien vite au pied du lit sur lequel il m’a jeté comme une vulgaire prostitué.
Je ne peux plus bouger, je ne sens même plus mes jambes, je ne sens plus rien, mon esprit est prisonnière de ce corps inanimé, et il est impossible pour lui d’en sortir.
Il se place à califourchon sur mes cuisses, pour empêcher un quelconques mouvements… cette précaution n’est même pas nécessaire, le seul geste que je suis capable de réaliser est mécanique, c’est d’emplir mes poumons d’air.
Mes yeux suivent ses gestes que je ne ressens presque pas, mais qui me font horreur.
Ses mains déboutonnent mon jeans, et je n’arrive même pas à me débattre.
Mon corps cogne tellement fort dans ma poitrine que s’en ai douloureux, il bat trop rapidement et je manque considérablement d’oxygène. Il me voit sous lui, entrain de mourir de peur.
Son visage s’approche du mien, alors qu’une de ses mains passent sous mon sweet, et caressent mes côtes.
Son souffle s’écrase contre ma joue, puis il niche son visage dans mon cou.
« Ma belle, je vais pas te faire de mal… que du bien, tu vas voir… Je t’aime… »
[A la manière qu’un proxénète aime sa pute.]Sa phrase s’achève dans un éclat de rire, qui me fait reprendre peu à peu conscience de la situation.
J’essaye de mouvoir mes jambes, qui répondent trop faiblement, ses lèvres aspirent désormais mon cou dans un bruit visqueux.
Son visage abandonne mon cou, pour me faire face, ses pétillent machiavéliquement
« Tu sais… Ange, j’attends ce moment depuis longtemps… »
Ses mains se perdent sur ma poitrine et j’avale de travers.
Il retire son T-shirt, puis s’empresse d’enlever brutalement mon haut, une fois la chose faite, il s’aplatit avec force sur moi.
Malgré sa peau brûlante sur moi, je tremble.
Mes membres commencent à se réveiller doucement, et j’essaye de le repousser, mais mes actions sont tellement faibles, qu’il ne s’en aperçoit même pas.
D’une main il bloque mes deux poignets au-dessus de ma tête, ses lèvres s’abattent sur les miennes avec brutalité, il me mord, et je retiens une plainte étouffée.
Son front cogne le mien, et il avoue en haletant
« Tellement longtemps que j’attends… toi… »
Il enfonce ses hanches contre les miennes, ses yeux sont noircis comme si il était possédé, son regard est perdu dans le vide, sa voix est glacial et son ton sans appels
« Te baiser… quand t’es clean… putain Ange, si tu savais comment j’ai envie de ça, t’aurais peur…»
Ses lèvres se plaquent sur les miennes, sans que je n’aie le temps de détourner la tête, sa langue pilonne mes lèvres et se faufilent entre elles.
Je le repousse avec le peu de force dont je dispose, ses yeux sont noirs de colère.
Son visage n’est qu’à quelques centimètres de moi.
« Tom… je…on »« Cherche pas d’excuses ! » grogne-t-il.
« Non, Tom attends »« Tu ne m’échapperas pas Ange. »
Je prends une grande inspiration, prends mon élan, et mes lèvres vont caresser les siennes. Il sourit en sentant mon souffle contre le sien.
Son visage se décrispe, et je sais que j’ai son attention.
Je ne suis pas folle. Je sais que je ne pourrais pas lui échapper, mais je veux au moins gagner tu temps. Juste un peu de temps…
Je réunis toutes les forces et le courage dont je dispose, et me lance
« Tom, je veux pas t’échapper, regarde, je ne me suis pas débattu. »« C’est vrai » avoue-t-il.
« Mais, on peut pas faire ça là, maintenant »« Et pourquoi pas ? »
Ses sourcils se froncent.
« Parce que… euh… »« Il n’y a pas de raison, tu veux te défiler, c’est tout ! » crache-t-il.
« Non ! Mais… »« Mais quoi ?! » vocifère-t-il.
« Approche »Son visage s’approche doucement du mien, il paraît méfiant, mais niche tout de même son visage dans mon cou.
Je prends une voix mielleuse et pseudo coquine qui me donne envie de vomir, puis susurre à son oreille
« Si on le fait là, je pourrais pas m’empêcher de crier et … je vais réveiller toute la maison »« Et c’est quoi le souci ? »
« J’ai pas envie que ta mère m’entende …»« Ma mère n’est pas là » répond-il du tac au tac en me coupant.
« Tom, ton frère est là, ça serait bizarre »« Non, ça lui montrerait juste que je sais bien me servir de ma queue contrairement à lui »
Un sourire immonde se lit sur ses lèvres, et j’ai envie de lui cracher au visage.
Il croit l’avoir emporté sur moi, et son bassin commence à prendre de la vigueur contre mes hanches.
Mes yeux se révulsent. Je vois flou.
Mon cœur manque un battement, tandis que mon échine semble être transpercé par des millions d’aiguilles.
Je ne sais pas si c’est mon corps ou mon cœur qui souffre, mais la souffrance est abjecte, la sensation que mon sang glacé ruisselle hors de mon corps me foudroie.
Je sens mon corps se raidir, l’air semble perforer mes poumons, je suffoque.
Malgré le froid qui s’insinuent dans chaque parcelle de mon être, je sens ma chair me brûlée à vif.
Je vois blanc pendant quelques secondes, avant de sentir une vive douleur dans ma joue.
Mes yeux se rouvrent sans que je me souvienne de les avoir fermer.
Je retombe mollement sur le matelas, complètement paumée.
« Il t’arrive quoi là ? » J’essaye de me relever, mais avant d’avoir fait le moindre geste, je hurle.
Mon ventre est la source de mon mal. Tout se broie en moi, ou du moins c’est l’impression que j’ai.
Ma tête tourne, mes reins me tiraillent, ma chair semble s’écarteler.
Je hurle encore et encore. J’essaye de me recroqueviller sur moi-même, mais on me retient, on m’oblige à me tenir allonger.
Je n’arrive pas à garder les yeux ouverts, je crie sous le poids des maux.
« ANGELIQUE ! PUTAIN ! ARRETE ! »J’aimerais répondre, mais seuls des cries d’agonie parviennent à m’échapper.
Je pleure tant la douleur est immonde, tant ça fait mal.
Mes muscles se tétanisent, tout est douloureux, tout est source de mal, tout est noir.
Je me sens partir, je me sens tomber.
Alours ?