[E.P.] Il était une fois..[Topic3]

suite stp

Coucou ^^
Alors je suis très déçue de ce que j'ai écris.
J'étais bien lancé et tout cette aprem quand j'ai commencée.
Mais ma cousine est venue squatter --'
et donc impossible d'écrire. Bref
j'ai écris la, mais je suis vraiment pas satisfaite, mais vraiment !
Donc voilà
Angélique en bleu =)


Je n’y parviens pas. Après des minutes de ce traitement, qui m’ont parues des heures, je concentre le peu de force que j’ai et souffle à bout de souffle « A… appel Andréas. »

[Trou noir]


10 petites minutes plus tard,


Mes yeux se rouvrent lentement, et je tombe dans son regard qui m’agresse.
Mon corps entier tremble inlassablement. J’ai chaud. J’ai froid.
Je suis en sueur, comme en état de transe.
Si il pouvait tuer d’un regard, je serais morte à l’heure qu’il est.
J’essaye de bouger le bras, mais il me tient. C’est à ce moment que je réalise dans quelle posture je me trouve.
Il me retient plaqué contre le matelas, Lui sur moi. Moi sous lui.
Il retient mes deux poignets au-dessus de la tête d’une de ses mains.
Je le regarde apeurée sans comprendre.
Je sens le sang coulé le long de mon bras meurtri. C’est gerbant.
Je l’interroge du regard, et il sourit ignoblement.

Son visage s’approche du mien, puis va se nicher dans mon cou. Il me mordille l’oreille, et entame au même moment un mouvement de vas et vient contre mon bassin.
Je veux répliquer mais les mots restent étouffés dans ma gorge.

« T’as été méchante » souffle-t-il au creux de mon oreille.

Puis son visage me fait de nouveau face.
Ses yeux m’obnubilent, comme si ce n’était pas les siens …
Je détaille chaque parcelle de ses yeux, chaque détail, comme si… comme si je les connaissais mais… ce ne sont pas les siens.
Mes yeux se perdent dans ses iris… Son regard est froid, et profond.
Et je réalise.
Ce regard là, comme une épine en plein cœur, comme la morsure d’un serpent, comme une plaie inguérissable, comme….comme Andréas.

Je reste tétanisée sous lui, comme si j’étais face à mon pire cauchemar.

[Et c’est un peu le cas]

Sa main libre se pose sur mon cou. Sa main chaude, me donne l’impression d’une brûlure, que mon être se consume de l’intérieur, comme si il me vidait de toute énergie, de toute force. Il renforce sa prise autour de mon cou de plus en plus. Ma respiration se fait difficile.
Puis peu à peu, l’air cesse complètement de passer.

J’happe l’oxygène, mais c’est peine perdue. Sa main serre si fort mon cou. Mes yeux le supplient.

[Pauvre humaine que vous êtes.
N’est-ce pas ?
Si, si, je vous assure. Si la phrase c’était stopper net à « Mes yeux le supplient », vous auriez toutes et tous, pensez que ses yeux le supplier d’arrêter.
Ça aurait été votre interprétations, n’est-ce pas ?
Une interprétation subjective.
Ne vous inquiétez pas, je suis là pour l’équité, alors il est de mon devoir, de vous dire que ses charmants yeux peuvent le supplier soit de vivre soit de l’achever enfin, et de la tuer.

Voilà, maintenant que l’équilibre est rétablit, je vous laisse retourner à son histoire.
Ne me remerciez pas, je suis modeste.]


Il jubile, et je meurs doucement entre ses mains.
Je ne me débats pas, ou j’irais chercher la force ?
Mes yeux restent plongée dans les siens, inexpressifs.
A ce moment ce n’est pas Tom que je vois, c’est Andréas, ce regard c’est celui d’un salop, d’un enfoiré, d’un bourreau. C’est les yeux d’Andréas.
J’en suis presque rassurée. J’ai toujours su que je m’éteindrais, sous son regard glacial.

Aux enterrements, l’on entend souvent « Tu es poussière, et tu retourneras dans la poussière », c’est un extrait de la genèse. Ça m’a fait comprendre très tôt, qu’on revient toujours aux sources, au commencement.
Tout a commencé avec lui et quelque part en moi, je sais que tout finira jamais qu’avec lui.

[Tout ne peut que finir qu’avec lui.]

Tout s’éteint autour de moi, tout est si sombre. Il n’y a que ses deux yeux sévères qui semblent briller dans les ténèbres. Ses yeux s’assombrissent encore et encore… ses yeux rapetissent et prennent l’aspect de fentes comme des yeux de serpents.

Mais d’un coup, ses yeux se rouvrent normalement.
Un bruit s’élève. La pression sur mon cou disparaît, une douleur transperce ma joue.
Il m’a frappé.
Tout se passe rapidement, je relève le buste et prends une profonde inspiration. Mais il me re-claque contre le lit.
Ma poitrine se lève et se rabaisse à un souffle effréné, je ne contrôle plus rien.
Il me regarde avec insistance une dernière fois, puis se retire de mon lit.
Je reste couchée, incapable de reprendre mon souffle correctement. J’ai mal … tellement mal.

« C’est pas fini » annonce-t-il froidement.

La porte claque. Il n’y a plus que moi dans cette pièce. Ma respiration bruyante et saccadée écho dans toute la chambre.

Je roule tant bien que mal pour me rapprocher de la table de chevet.
Puis je cherche à l’aveuglette mon portable.
Je le trouve rapidement.
La souffrance de mon bras qui semblait endormie se réveiller brutalement.
Je gémis, me contorsionne dans tous les sens, mais la douleur ne s’en vas pas.
J’essaye de réunir un minimum de cohésion et de force.
Après quelques secondes, j’appel le premier numéro en mémoire.
Je ne fais pas attention à qui j’appel, ça doit probablement être un des trois.

« Allo ? » annonce une voix pâteuse.
« Georg » geignais-je.
« Angélique ? T’as vu l’heure qu'il est ? »

J’essaye de me concentrer, et de ne pas me laisser submerger par la vague de souffrance qui va bientôt m’engouffrer… mais je n’y arrive pas. Ma tête va exploser, j’essaye de retenir mes sanglots.

« Angélique ? » demande-t-il plutôt inquiet.
« Il faut… ah » puis j’éclate en sanglot. J’y arrive plus.

Je crie, je pleure, je hurle, je gémis. J’aimerais qu’on coupe mon bras, pour ne plus avoir mal.

« Je suis là dans 10 minutes, ça va aller. Calme toi. Je reste avec toi, ok ? Ange ?! »
« MMmm ? » essayais-je avant de m’agiter dans tout les sens comme si je pourrais extraire la douleur.

[…]

« Je suis devant chez toi, j’arrive »

[Il lui a parlé tout le long du trajet, pour qu’elle ne se sente pas seule.
C’est gentil, hin ?]


Je n’entends plus rien, le mal me fait hurler de douleur. Mes cris et gémissements raisonnent dans toute la maison.
Je m’agite dans tout les sens.
On me retourne de force, j’ouvre un court instant les yeux puis les referment comme si les fermer éteindraient la douleur.
Il s’assied sur moi, pour bloquer mon bassin. Je me débats, mais il me stabilise rapidement.
Ses mains attrapent mes bras, et les guident au dessus de ma tête contre l’oreiller.

« Angélique, écoute moi »

Je ne l’écoute pas, et continue de pleurer, sa main remue sur mon bras déjà meurtri et je crois mourir pour la énième fois.

« ANGE ! Regarde moi ! »
« Mon… AH ! » Sa main venait de serrer plus fort pour que j’arrête de me débattre.

« Arrête de bouger ! »
« Bras ! MON BRAS ! » Hurlais-je avec toutes les forces qu’il me restait.

Ses mains se détachent alors, ses yeux s’écarquillent.

« Ok, ok, ça va aller, ok ? »

Il se lève. Je me roule en boule en sanglotant.

« Je reviens, ne bouge pas. »

J’attends patiemment. J’attrape un coussin qui gisait plus loin, et mord fortement pour ne pas hurler encore.
Il revient après je ne sais combien de temps d’une torture horrible.
Il s’assoit sur le lit, et me tourne vers lui d’un simple tour de bras.

« J’ai…mal » murmurais-je.

Il soulève mon torse d’une main, et retire mon sweet de l’autre.
Des mauvais souvenirs rejaillissent au fond de moi.
Mon corps est parcouru d’un courant d’air glacial. J’ai peur.
Entre ses mains, je ne suis qu’une pauvre petite chose, il me retourne d’un bras en moins de deux secondes.
Il balance mon sweet shirt qui est en sang par terre.
Il ne s’attarde pas sur la peau qu’il vient de découvrir.
Son regard se porte directement sur mon bras complètement mutilé.
Je regarde à mon tour l’horreur. C’est vraiment écoeurant. Il y a du sang sec et du sang encore frais qui coule encore de mes blessures. Mon bras semble déchirer et j’ai moi-même l’impression qu’une partie de ma chair a été déchirée, déchiquetée.

Il se saisit de l’alcool et d’une compresse qu’il est sans doute aller chercher tout à l’heure.
Il hésite un moment, puis repose le tout.

Je le regarde inquiet. Il sort de sa poche une seringue et un flacon.
Je panique, ma respiration accélère.
« Tu ne sentiras plus rien après »
Il me rapproche un peu de lui. Il prend mon bras encore en état, puis me pique.
Tous mes muscles s’engourdissent. Il caresse mes cheveux puis me chuchote à l’oreille
« C’est de la morphine, tu auras plus mal »

Je me laisse partir… comme toujours.


SUITE PAGE 5

Voilà T___T
Vraiment je suis désolé,
je ferais mieux la prochaine fois !
Juré !
Bisous je vous aime fort

J'aime , j'aime & j'aime encore .
Mais je suis totalement surprise par le comportement de Tom , j' le comprends plus , mais alors plus du tout . Oo .
Braf, toujours aussi magnifique . .

Suite . <3 .