[T] Et Tom m'a pendue par les pieds à un arbre...

J'adore!
La suite please!

 CHAPITRE 48
ON THE RADIO NOW...

Il faisait vraiment nuit noire maintenant, et elle somnolait. Elle n'en pouvait plus de ne pas dormir, elle était crevée. Elle aurait bien demandé à Julian de rester, mais à quoi bon, puisqu'elle allait s'endormir dans son lit... Elle avait la tête conrte la vitre et regardait l'extérieur: le noir. Elle les imaginait entrain de boire un verre de champagne dans la piscine privé de leur hôtel avec des filles de chaques côtés. Mais que fait-il? se demanda-t-elle. Es-tu retourné au paradis ou restes-tu pour me faire vivre un enfer? La main de Julian était posée sur sa cuisse et revenait de temps en temps sur le levier de vitesse, avant de se remattre à son endroit initial. Ils avaient mis la radio, tout bas. Elle écoutait d'une oreille distraite en essayant de se remémorer la voix de celui qu'elle avait aimé. Mais ce ne fut que de ridicules imitations d'une voix remplie de saveur et de sentiments... Elle se souvenait. Elle se souvenait trop. Oublie les, s'implora-t-elle. Arrête de souffrir inutilement. Ils ne se soucient pas de toi, alors ne te soucis pas d'eux. Elle entendit de faible echos d'une voix familière. Une des voix qu'elle voulait oublier. Puis une autre voix cette fois-ci, totalement inconnue. Elle monta le volume de la radio, en essayant de se concentrer, pour ne pas sombrer dans un sommeil profond.

"... lèbre d'Allemagne a subit un grand choc durant ce mois de septembre. Il semble que pour une raison personnel, Bill Kaulitz et son frère jumeau aient pris une grande décision sans l'accord de leurs manager David Jost. Nous l'écoutons s'exprimer...

_ Merci, Ben. Oui, je n'ai pas très bien compris la raison de cette décision. D'habitude, les jumeaux sont toujours plein d'entrain et ne cessent de se charier sans limite. C'est pourquoi, je ne réalise pas très bien encore ce qu'il c'est passé durant ce dernier mois. Il semble que Bill n'aille plus très bien et que des dégats aient été commis sur son moral psychologique. Je ne peux pas dire être deçu par leur manque de réfléchit car je suis fier d'eux. Mais je suis déçu de cette décision. Je pense ne pas être le seul. Plusieurs milliers de fans doivent être complètement détruits... En effet, comment réagir lorsque le groupe le plus 'in' du moment a décidé d'annuler sa tournée européenne? Moi même, ne sachant pas pourquoi celà, je souhaite de tout coeur le soutien des fans auprès du groupe.

_ Merci, David. Et maintenant, j'ai une très grande nouvelle pour vous, fans de Tokio Hotel! Bill, le chanteur est venu, ce soir, pour s'excuser. Mais je ne vais pas faire durer l'attente...

_ Merci, Ben. Et bien, commença Bill. Je ne sais pas très bien par où commencer. Je suis très mal à l'aise en ce moment même et cette sensation prouve que je ne suis pas fier de cette décision. Ces vacances d'été ont été les plus géniales de ma vie et je dois dire, que vos lettres étaient plus belles les unes que les autres. Mais voyez-vous, cet été, a été... bizarre. Je ne sais pas pourquoi, en fait. Je me suis fait une amie et nous nous sommes en quelques sortes disputés... Et, continua-t-il en lâchant un sanglot, et elle est partie je ne sais où... J'ai peur pour elle et je ne me sens pas capable de supporter autant de concerts, en pensant peut-être, qu'elle sera dans la salle, ou qu'elle reviendra chez nous et que nous ne serons pas là... Je comprends que tu m'en veuilles, mais s'il te plait, si tu m'entends, où que tu sois, je t'en supplie à genoux: reviens..."

J'aime!
La suite please!

Génial!!!!!

 CHAPITRE 49
REACTION

Elle replaça sa tête contre la vitre, quand il eut terminé de parler. "C'est triste" avait dit Julian. Bien sûr, lui, venait d'Espagne, il était en Allemagne depuis 6 mois et il ne connaissait pas les Tokio Hotel, pas de vue, du moins. Qu'aurait-il dit s'il avait découvert que la fille dont Bill parlait n'était autre que sa petite amie? L'aurait-il jetée en l'insultant? L'aurait-il abandonné au bord de la route et lui aurait crié qu'elle ne le méritait pas? "Oui" avait marmonné Jacqui en répriment une grimace. Elle voulait juste aller au Texas et oublier cette mésaventure. Les oublier tout les deux, oublier Julian, oublier Frank, qui avait par la même occasion prolongé son déplacement professionnel. Elle pouvait tout oublier. Sauf une chose. Une chose la torutrerait jusqu'à la fin de sa vie. Jusqu'à ce qu'elle aille retrouver les anges, ou qu'elle aille pourrir en enfer. Elle ne pourrait jamais oublier l'image de Bill, dans le cabanon, qui la peignait en lui offrant un des plus beaux sourires qu'elle avait vu... Comment pouvez-vous reser serein alors que vous venez d'apprendre que la personne que vous avez cessé d'aimer et prête à se suicider pour que vous reveniez? Que penser? Elle n'imaginait que trop bien, Bill assit sur son tabouret, en face du tableau inachevé, regardant la seule image qu'il avait d'elle... Mais c'était de sa faute si elle était partie. Il l'avait complètement abandonné... C'est pour celà qu'il n'était pas venu au lycée? Parce qu'il était trop déprimé? Et c'est pour celà qu'il avait cessé de l'appeler? Non. Il y avait autre chose derrière ça, peut-être. Des larmes s'échappèrent et vinrent rouler le long de ses joues, à l'abris de tous les regards.

" Maintenant, des fans ont décidés des réagir face à cet appel de détresse. Voilà des fans admirables. Bill, que pensez-vous de ces fans qui, à dix heures du soir, appellent la radio pour vous soutenir?

_ Ils sont... fantastiques, répondit Bill.

_ Salut, Bill! Je m'appelle Tuci et j'ai 17 ans. Je voulais juste te dire que tous les fans de la ville de Hambourg te soutiennent du fond de leur coeur. Je pense que dans ta déclaration, il y a des sous-entendus avec cette fille et certaines en seront peut-être jalouses... Mais moi, c'est en tant que fan et non de groupies que j'appelle. Je souhaite vraiment que tu la retrouves.

_ Merci Tuci. Merci, répondit Bill, ému."

J'adore!
C'est magnifique!
La suite stp

J'adore... Mais faut que Jacqui réagisse !

Suite (l)

 CHAPITRE 50
L'APPEL

Les fans appellaient toujours, de plus en plus nombreuses. Toutes des groupies, pensa Jacqui. Il essaie juste de te narguer en te montrant le nombre de filles qu'il peut avoir... Elle se recroquevilla sur elle même en pensant à se garçon, cet ange si parfait. Il pleurait. On entendait ses larmes à la radio et Jacarei avait l'impression de passer pour une pétasse. Elle aussi pleurait, mais silencieusement. Elle voulait l'oublier. Elle voulait tellement de choses...

_ Arrêtes-toi, demanda-t-elle à Julian.
_ Ca ne vas pas? Tu ne te sens pas bien?
_ Si ça va, mon coeur. J'ai juste un coup de fil important à passer.

Elle sortit de la voiture et se dirigea vers un bar. Un refuge plutôt, une sorte d'auberge. "Reste dans la voiture!" lui avait-elle dit. Elle traînait les pieds, regrettant déjà ce qu'elle allait faire. Elle poussa la porte de l'auberge, et rabattit la capuche de sa veste de sport noire sur sa tête. Elle l'aimait beaucoup cette veste, car elle était trop grande pour elle. Elle lui arrivait en dessous des fesses et ses mainches étaient plus longues que ses bras. Elle demanda le téléphone et on lui indiqua. Elle était dans une pièce fermée, recouverte de parquet, avec un banc, un téléphone, une radio et une télé. Quelques fleurs égayait également la pièce qui était pourtant chaleureuse. Elle composa le numéro, alluma la radio et s'adossa au mur, maintenant le combiné contre son oreille. Décroche, décroche, décroche! pensa-t-elle.

_ Vous êtes au standart, dit une voix mielleuse.
_ J'aimerai réagir face à la déclaration de Bill Kaulitz.
_ Nous allons vous mettre en ligne, ne bougez pas.
_ Oui, allô, qui avons nous à l'appareil? demanda Ben, l'animateur.
_ Une anonyme.
_ Vous aussi, voulez réagir?
_ Oui et j'aimerai m'adresser directement à Bill Kaulitz, s'il vous plait.
_ Je vous écoute, répondit Bill.
_ Je pense que cette fille n'a tout simplement pas réalisé ce qu'elle avait fait. Peut-être qu'elle s'en veut à mort et tout ce que vous faites, c'est de la faire passer pour une salope. Et je dois dire, que... que je n'ai jamais voulu te faire de mal Bill, c'est seulement que...
_ Jacqui? l'interrompit-il.
_ Oui. Je voulais te dire que je suis désolée et que ce n'était pas une bonne idée de venir chez vous. Regarde comment tu souffres maintenant... Vous me faites passer avant votre groupe et j'en suis fière et émue, mais s'il te plait Bill, je t'en conjure, ne bousille pas ta vie à cause de moi.

Haaaaaaaaaaaaaaaaan <3

C'est triste. ='(

Suite ?

Han je vais pleurer :'(
Cool une autre suite= )

Love-twins a écrit:

Han je vais pleurer :'(
Cool une autre suite= )

Ah toi aussi ? =D

 CHAPITRE 51
JE T'AIME...

Elle pleurait, mais elle s'en foutait. Tout un pays l'entendait pleurer, renifler, et pourtant, celà n'avait aucune importance poour elle. Elle lui avait dit ce qu'elle avait sur le coeur et pllus rien n'importait maintenant.

_ Jacqui tu ne peux pas... Jacqui, je t'aime.

C'était trop beau. Elle ne le méritait pas. Elle mis sa main devant sa bouche pour étouffer ses sanglots, mais ça ne servait à rien. Il venait de lui avouer ses sentiments devant tout un pays et elle lui demandait de l'oublier...

_ Moi aussi, Bill. Moi aussi, sanglotait-elle.
_ Rejoins moi, reviens Jacarei.
_ Où? demanda-t-elle en reniflant, oubliant quelle était à la radio.
_ A notre endroit.
_ J'y serai.

Elle raccrocha. Elle souriait. Elle était heureuse. Heureuse. Elle sortit en courant de l'auberge et revint à la voiture. Julian l'attendait, pas content. Elle ouvrit la portière mais il l'empêcha de monter.

_ "Je t'aime Bill", l'imita-t-il.
_ Julian, écoute...
_ C'est ça! Ben trouves toi quelqu'un d'autre pour te raccompagner à ton motel pourrave toute seule, moi je me casse!

Il démarra la voiture et s'en alla. Bien sûr, pensa-t-elle. Tu ne peux pas tout avoir Jacqui. Elle n'avait pas son téléphone et il était dix heures et demi du soir. Elle marcha donc, dans la nuit, jusqu'au motel. Elle était fatiguée et n'en pouvait plus. Elle arriva, trois quart d'heures plus tard. Elle démarra la voiture et roula. Elle faillit s'endormir au volant mais elle arriva. Elle marcha jusqu'au cabanon, traînant les pieds, manquant de s'évanouir. Elle frappa à la porte et eu à peine le temps de voir Bill qu'elle s'endormit, en tombant dans ses bras.